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Une retraite repoussée, une nature dévoilée

Chapitre 4

Trash
En rentrant de cette signature de contrat, Thomas voit se profiler le même scénario que lors de leur dernier rendez-vous, sa mère semblant vouloir éviter la discussion. Mais il prend les devants en verrouillant la portière.
— Mais enfin Thomas que fait-tu ? — Je refuse que tu m’évites une fois de plus. Ce qui se passe est trop important pour qu’on fasse comme si rien ne se passait.
Christine baisse la tête.
— Oui tu as sans doute raison. Entre, ton père n’est pas là.
Thomas ne compte plus le nombre de fois où il a entendu cette phrase. Son père est toujours absent, sa passion étant la mécanique de collection. Il passe son temps avec des amis partageant le même hobby. Mais cette fois, Thomas n’est pas mécontent de cette absence. Christine le fait entrer et lui offre une tasse de café. Son fils décide d’initier la discussion.
— Alors maman, comment te sens-tu ? Ces derniers jours ont dû être très éprouvants pour toi.
Pendant une fraction de seconde, Thomas sent l’hésitation dans les yeux de sa mère, une peur de confier ses émotions les plus intimes à la chair de sa chair. Cette fraction de seconde passée, elle se lance.
— À vrai dire, il y a encore quelques semaines j’aurai pensé bondir face à telle... proposition. Mais... je ne sais pas, je ressens une émotion étrange, une excitation que je n’ai jamais connue, et une étrange satisfaction à accomplir les cochonneries qu’il ordonne.
Thomas lui explique alors patiemment la nature de la relation dominant-dominé, et la façon dont il avait découvert sa propre nature de soumis, la repoussant d’abord, avant d’accepter de se soumettre dans un premier temps à la soumission elle-même. Puis, petit à petit, il a découvert cet univers et il s’est découvert lui-même.
Il omet néanmoins de mentionner que sa mère est l’objet de ses fantasmes depuis des années. À la fin de son récit, sa mère semble voir en lui un autre homme, mais elle semble également plus apaisée et moins culpabilisée. Mère et fils se séparent ensuite, se fixant rendez-vous ici même afin d’attendre Gustavo.
Qui est Gustavo ? L’employé de Monsieur Berthier, son espèce d’homme à tout faire, qu’il a chargé de venir nous chercher afin "d’acheter notre équipement" selon ses propres termes, Thomas ignore ce que ça signifie mais il craint le pire.
Le lendemain, à 14h, comme prévu, quand la voiture de luxe de Monsieur Berthier se gare devant le pavillon familial, il lance un coup de klaxon, ne semblant pas vouloir se donner la peine de descendre. Ils se précipitent donc vers la voiture. Thomas fait mine de monter à l’avant avant de se faire violemment recadrer.
— Non, toi petite merde, tu vas à l’arrière et tu restes à ta place de lopette soumise. Ta pute de mère monte à l’avant.
Christine s’exécute et les voilà partis direction la grande ville la plus proche. Après quelques kilomètres, elle prend timidement la parole.
— Excusez-moi, mais où allons-nous ? Ce qu’a dit le patron n’était pas clair.
Gustavo la regarde et sans dire un mot, il freine brusquement, manquant de se faire percuter par la voiture le précédant, ce qui semble le laisser totalement indifférent. Brun, moustachu, d’une carrure athlétique et d’une assurance hors norme, l’appétit sexuel de cet homme n’a de limites que celles fixées par son boss. Thomas apprendra par la suite qu’il est d’origine colombienne. Recherché dans son pays après avoir travaillé pour les cartels de la drogue, Berthier l’a pris sous son aile et a trouvé en lui l’homme à tout faire idéal, celui qui ne rechigne pas à se salir les mains en allant "persuader" les mauvais payeurs de régler leur ardoise ou bien en transmettant des pots-de-vin aux personnes influentes. Il se gare sur le bas-côté.
— Descendez, tout de suite.
Ils s’exécutent et posent les pieds dans l’herbe souillée de détritus jetés par les automobilistes. Posant un regard furieux vers Christine, il lui lance.
— Tu as commis deux erreurs monumentales. Tu m’as adressé la parole sans que je t’en donne l’autorisation et tu as qualifié ton maître de "patron". Et comme je suis un homme juste, reprend-il avec un rictus, tu vas écoper d’un juste châtiment. Penche-toi sur le coffre, chienne.
La mère de famille, d’un air horrifié, prend la posture exigée. Gustavo lève la jupe de Christine brusquement révélant un gros cul, nu et très excitant. Christine a donc respecté les consignes de leur maître de ne pas porter de sous-vêtements. Le Colombien lève alors la main et dépose une claque monumentale sur ce fessier énorme. Elle a un sursaut mais ne bronche pas. Neuf autres coups suivent, laissant la soumise avec un fessier très rouge et gonflé. Durant toute la durée du châtiment, des voitures passant sur cette route, ont lancé des coups de klaxon, ralentissant parfois, et allant jusqu’à s’arrêter le temps de lancer des invectives à Christine.
— Regarde ce cul ! Elle en veut cette chienne. — Vas-y mon pote, corrige cette pute comme elle le mérite.
Les joues rouges de honte et sur les ordres de l’homme de main, elle reprend place dans la voiture et réprimant un petit sursaut au moment où son fessier irrité entre en contact avec le siège. Ils reprennent ensuite la route et Gustavo les mène dans une petite rue triste et déserte. Il leur fait passer la porte d’une vitrine défraîchie avec pour seul signe de vie un néon rose affichant " Galaxy Sex". Une fois entré, Thomas constate que l’intérieur du magasin est à l’image de l’extérieur, sordide. La seule clientèle est constituée d’un vieil homme qui baisse la tête, semblant chercher la discrétion. La caisse est occupée par un homme qui semble valider tous les clichés du gérant de sex shop : nuque longue, Marcel noir et gourmette en or. Leur accompagnateur se dirige sans hésitation vers le comptoir et lance au caissier :
— J’ai rendez-vous avec Natacha.
Il leur fait un signe vers la porte derrière lui. Elle les mène à une pièce où trône en son centre un lit et à côté duquel sont disposés de la cire et divers instruments d’esthétique.
— Toi la lope, à poil et sur le lit, dit Gustavo. Thomas s’exécute et dévoile un corps et un sexe qui font éclater de rire le Colombien. — Décidément, la nature ne t’a pas gâté. Pas étonnant que tu sois une telle pédale. Je vais te montrer ce qu’est un homme.
C’est à cet instant que débarque une femme d’une cinquantaine d’années, refaite et maquillée comme une voiture volée.
— Ah Gustavo ! Ça fait plaisir de te revoir. Alors c’est eux ? — Bonjour Natasha. Oui répond-il. La mère est là, elle s’appelle Christine et bosse pour le patron. Lui c’est sa larve de fils, on s’en fout de son prénom.
L’esthéticienne regarde le corps de Thomas, comme une professionnelle.
— Vu son corps, j’imagine que l’épilation est pour lui ?
Gustavo acquiesce.
— Si. Et la pute, c’est pour le relooking. — Très bien, on commence.
La dénommée Natasha est sur le point de se mettre à l’œuvre quand l’homme de main reprend la parole.
— Le patron a dit que cette merde n’a pas exécuté ses instructions alors ne le ménage pas. — Entendu.
Le Colombien se dirige maintenant vers Christine et pelote ses seins sans ménagements.
— Comme je l’ai dit à ton fils, je vais lui montrer ce qu’est un homme.
Il déchire le chemisier de Christine et lui roule une pelle monumentale, lui léchant quasiment le visage, ce qui ne semble pas exciter la prude mère de famille et plonge sa main dans la culotte de cette dernière. Christine tente visiblement de résister mais finit par céder, les yeux révulsés, dans un orgasme intense, dégoulinant de cyprine sous la main experte de Gustavo.
— Le patron ne s’est pas trompé, tu es une belle chienne et ton dressage va être passionnant.
Il se dirige vers Thomas, allongé et plonge ses doigts trempés dans sa bouche, toujours plus loin et Thomas doit réprimer ses haut-le-cœur.
— Suce, salope.
Il saisit ensuite Christine par les cheveux et la fait s’agenouiller juste devant son fils pendant que celui subit les foudres de l’esthéticienne qui fait disparaître toute trace de pilosité. Gustavo sort une bite veinée de belle taille, plus entretenue que celle de son boss.
— Maintenant ta mère va me vider les couilles. Et je suis prêt à parier que tu vas aimer ça.
Il plaque le visage de Christine contre ses couilles et éclate d’un rire mauvais
— Le boss m’a interdit de te pénétrer par la chatte mais je vais bien te baiser la bouche.
Il donne des coups de bite sur son visage puis force l’entrée de sa bouche, commençant un va-et-vient forcené. La mâchoire de Christine est grande ouverte et de sa gorge sortent des borborygmes étouffés.
Pendant ce temps, Natacha continue son épilation sauvage, Thomas poussant des petits cris incroyablement peu virils à chaque arrachage énergique de poils. Gustavo continue son ouvrage, bloquant parfois sa bite au fin fond de la bouche de Christine, ne relâchant qu’au dernier moment afin de tester les limites de la soumise. Au bout d’une dizaine de minutes, le Colombien se met à pousser un râle de plaisir en éjaculant sur les gros seins veinés de la mère de famille. Il se rhabille puis saisit le bras de Christine l’emmenant dans le magasin, hors de la vue de Thomas. Il ne les rejoint que 15 minutes plus tard, après que Natacha ait fini, le laissant avec un corps parfaitement glabre et très rouge. Elle est toujours dans la même tenue, les seins à l’air et plein de foutre. Ses joues sont empourprées, visiblement il y a toujours des clients et ils ont apprécié le spectacle de cette mère de famille humiliée.
Gustavo porte tout un tas d’accessoires dans les mains, plug, godes (dont certains d’une taille impressionnante) et divers accessoires SM. Il pose tout sur la table et s’adresse à la patronne.
— J’ai tous les accessoires, mais pour les fringues, Monsieur Berthier te laisse choisir.
Natacha se précipite dans la remise pendant que l’homme de main met Thomas et genoux et susurre dans son oreille.
— Regarde comme ta pute de mère se transforme. Tu aimes n’est-ce pas ?
Thomas sait que sa mère l’écoute, mais c’est plus fort que lui. De toute façon sa bite tendue et dégoulinante de liquide séminal ne laisse aucun doute sur la façon dont il vit les choses.
— Oui Monsieur, j’adore ça, répond-il d’une voix rendue fiévreuse par l’excitation. — Alors profite, petite lope.
Natacha est de retour et une séance d’essayage commence. Le Colombien s’assoit sur une chaise à côté du jeune soumis, toujours à genoux et valide systématiquement les propositions de la patronne. Visiblement l’argent n’est pas un problème et des centaines d’euros seront dépensées. Une fois le paiement effectué, ils s’apprêtent à partir. Thomas se rhabille et ordre est donné à Christine de garder une jupe de cuir noir dévoilant de manière plus que généreuse la naissance de ses grosses fesses, des bas résille accompagnés de hauts talons et un haut profondément décolleté. Une véritable secrétaire de films porno se dit Thomas. Mais au moment de franchir la porte, Gustavo les retient et s’adresse à un client, petit et très gros et au petit vieux, toujours présent, le regard plongé dans le synopsis d’un film X.
— Eh, vous voulez faire sucer ?
Les intéressés lèvent la tête vers l’insolite trio et se regardent, ne semblant pas croire à la chance qui se présente.
— Oh bah oui, avec plaisir !
Le gros bonhomme sort un petit sexe au gland gonflé et à l’hygiène douteuse et le vieux en sort une plus grande Christine, déjà à genoux ouvre la bouche, ne pouvant réprimer une légère grimace de dégoût. L’homme malaxe les seins de Christine sans ménagements. Une fois la petite bite salée dans la bouche, elle accélère d’elle-même, faisant éjaculer l’homme dans sa bouche rapidement.
— Aaah quelle chienne !
Elle s’apprête à recracher quand Gustavo intervient.
— Avale grosse pute !
La sexagénaire s’exécute avec une grimace.Le vieil homme est plus long mais finit également par jouir sous les coups de langue de plus en plus efficace de Christine, crachant le sperme par jets puissant et généreux sur ses gros seins. Il met ensuite sa bite sur les lèvres de la mère de famille qui lui nettoie le gland avec un zèle qui bluffe son fils. Gustavo saisit ensuite les cheveux de Thomas et approche sa tête des gros seins de sa mère.
— Lèche ! Nettoie-moi cette truie.
Il s’exécute, troublé par le mélange olfactif du sperme et du parfum de sa mère. Quelques minutes plus tard, l’insolite trio est de retour dans la voiture. L’ensemble des fringues et accessoires achetés est regroupé dans un imposant sac de sport. Le Colombien les dépose chez eux, en laissant à Christine une tenue pour la journée du lendemain. À la grande surprise de Thomas, c’est avec un sourire qu’elle prend congé de Gustavo. Il semble qu’elle y prenne goût, pense son fils dans un soupir.
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