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Une réunion pas comme les autres....

Chapitre 1

Erotique
Un jour de mai...
Aujourd’hui, je suis allée à Lausanne, j’avais rendez-vous avec Philippe. Je ne le connaissais pas auparavant, mais il m’a récupérée à la gare et on est descendu se promener et discuter de banalités au bord du lac avant de s’attabler au soleil sur la terrasse d’un café. Celui que j’appelle Philippe m’a proposé de venir à Lausanne pour des raisons de discrétion, m’a-t-il dit. Je dois dire que je préfère aussi.
Philippe, c’est Chloé qui m’a mise en contact avec lui. Chloé a toute confiance en lui et elle a l’expérience d’une « réunion » réussie. C’est le terme qu’elle emploie quand on en discute. J’adore Chloé! Elle se ferait sauter par la France entière, plus la Suisse, en ayant à cœur de ne pas prononcer un gros mot ! Et quand je lui ai dit que j’aimerais participer à une réunion du même genre, c’est là qu’elle m’a proposé de rencontrer Philippe...
Et j’ai donc rencontré Philippe aujourd’hui. Elle ne me l’avait pas dit, mais c’est un homme de couleur, sympa sans plus au premier abord, d’une trentaine d’années. C’est un homme d’affaires employé par une de ces nombreuses organisations internationales présentes à Genève. Il a l’air sympa, mais pas vraiment envie de plaisanter ! J’ai eu l’impression que si on avait sa confiance, on pouvait tout lui demander, mais pour avoir sa confiance, ça ne devait pas être simple. Physiquement, il est plutôt pas mal, originaire de La Réunion, m’a-t-il dit et comme je connais un peu, on a eu tout de suite un sujet de discussion...
— Mais on n’est pas venu pour parler de La Réunion ! Vous êtes déjà venue ici, Emilie ? — Non, c’est la première fois, mais je suis déjà venue à Lausanne ! — Cette ville est superbe, avec ses reliefs variés, la présence du lac, les montagnes de l’autre côté... et l’arrière-pays ! Vous connaissez Bulle ? Gruyère ? — Non, pas encore, mais vous me ferez peut-être découvrir ? lui dis-je avec un petit sourire. Je propose qu’on se tutoie, mais il décline ma proposition.— On verra plus tard !
Vraiment sérieux le Philippe !
— Excusez-moi, Emilie, je vous parais peut-être un peu rugueux, mais on ne va peut-être pas se revoir, alors pas la peine de rentrer dans l’intimité tout de suite ! Dites-moi, vous travaillez où ?
Je lui dis que je travaille à Genève dans un cabinet d’avocats et que c’est Chloé.....
— Oui, je sais. Elle m’en a parlé, bien sûr ! Vous voulez donc que j’organise une réunion pour vous comme celle dont Chloé a été la vedette ? Et vous pensez être prête quand ? — Ben, oui, c’est ça et je suis prête !
Là, il éclate de rire et me lance à la figure que je ne suis sûrement pas prête !
— Vous savez, Emilie, il y a plein de détails à régler avant le début de la réunion ! :) — Oui, je sais, je voulais simplement dire que j’étais prête dans ma tête, que j’en avais envie et que je ferai tout ce que vous me direz de faire... — D’accord, on a le temps de commencer à discuter maintenant ? — Oui, je suis venue pour ça :) — Alors quelques questions intimes et indiscrètes. Ca ne vous gêne pas, j’espère ? — Ben non, il faut bien en passer par là, je suppose ! — Oui, c’est évident ! Alors, première question. Avez-vous déjà couché avec un homme lors d’une première rencontre ? — Non, en général non... mais ça m’est arrivé une fois, si, mais j’étais un peu bourrée. Longue soirée, longue histoire. — Avez-vous été déjà... sodomisée ? — Non, jamais ! — Pourquoi ? — Pourquoi ? Je suppose que si les hommes que j’ai rencontrés l’avaient exigé, je me serais laissé faire, mais ils ont dû se contenter de me faire jouir ’classiquement’ et prendre leur plaisir ainsi ! — Vous devriez en parler avec Chloé. Est-ce que vous avez couché avec plusieurs hommes en même temps ? — Non, enfin oui, une fois, avec deux garçons ! — Donc pas de sexe devant plusieurs hommes... Avez-vous déjà été attachée ? — Attachée, oui... — Il vous a léché la chatte et vous avez aimé ? — Oui, beaucoup, mais vos questions...— Sachez que dans la réunion dont vous souhaitez être la vedette, vous devrez avoir du plaisir, vous devrez avoir envie de faire et refaire ce que vous n’avez pas encore fait et bien d’autres choses encore ! Alors, changeons de sujet !— Vous voulez faire la réunion dans quel genre d’endroit ? Ca peut être mon appartement à Genève, un chalet qu’on me prête, dans un wagon-lit, dans un bus, dans une camionnette complètement close...— Je n’ai pas encore trop réfléchi, mais l’idée du wagon-lit...— Oui, mais il faut du temps, on part le soir vers Milan, on voyage de nuit. On peut y passer la journée du lendemain et revenir. On peut faire aussi une réunion à l’aller et une au retour...
Là, j’ai éclaté de rire, lui aussi !
— Je suis obligée de décider tout de suite ? — Non, vous réfléchissez, mais il y a plein de points à discuter et à décider. Vous voyez, il y a le lieu de la réunion, il y a le nombre de participants que vous voulez inviter, comment on va les trouver, les sélectionner, les règles du jeu, l’ordre du jour, enfin, tout ça, ça prend du temps et puis vous devez vous entraîner aussi ! — Comment ça, m’entraîner ? — Vous n’imaginez tout de même pas que je vais investir du temps pour me retrouver avec une fille qui va se mettre à pleurer au bout de 5 minutes parce qu’elle aura peur de se sentir seule avec ses invités qui commenceront à... vouloir... discuter de près, de très près avec elle ! — Alors ? Vous allez me... sauter ? — Non, pas forcément. Pas forcément moi :). Et pas tout de suite. Mais avant de confirmer les invitations, c’est sûr que vous devrez me prouver que vous êtes capable d’assumer ce que vous me demandez de préparer pour votre... réunion ! — Oui, je comprends !
Avant de venir, je lui avais demandé à ma copine Chloé, elle n’a pas été fichue ou elle n’a pas voulu me dire si Philippe l’avait sautée ! Elle a eu les yeux bandés toute sa soirée et elle n’a pas reconnu sa voix, ce qui ne prouve pas qu’il n’était pas là. Elle pense qu’elle a été sautée par 4 hommes, donc par Philippe, mais elle n’en est pas sûre.
Alors, j’ai carrément posé la question à Philippe:
— Et Chloé ? Tu l’as... ? — Il faut lui demander ! Est-ce que vous voudrez voir vos... ’interlocuteurs’ ou bien vous préférez être aveugle ?— Les yeux bandés ? Comme Chloé ? Oui, je crois que c’est bien et vous serez là ? En spectateur ? Pour sécuriser ?— Oui, des foulards ou autres choses. Tu as des grosses lunettes de soleil ? On peut se la jouer à l’aveugle, je peux te faire passer pour une aveugle si tu veux. :) Oui, je serai là pour sécuriser bien sûr. :) — Une aveugle perdue dans un wagon-lit entre Zurich et Milan se fait... — Bon, ma chère, vous réfléchissez encore et puis vous m’envoyez un SMS d’ici une semaine pour me dire si vous voulez encore le faire ou non. Si vous êtes encore d’accord, on se revoit ici dans deux semaines. D’accord ? — D’accord !.............................................................................................................................................

J’ai beaucoup réfléchi. J’ai trop réfléchi ! Deux jours après notre première rencontre, je lui ai envoyé un message pour lui dire que je renonçais, que je m’y voyais pas, etc, etc.
Et puis, c’est Chloé qui m’a relancée, qui m’a engueulée et m’a forcée à reprendre contact avec Philippe qui, lui, ne voulait pas rediscuter. J’ai eu vraiment peur et honte. Quand je m’imaginais avec des mains d’hommes que je ne connaissais pas sur mon corps... Brrrrrr ! J’en avais des frissons.
Mais c’est vraiment Chloé qui m’a convaincue de reprendre contact. Elle m’a expliqué que, elle aussi, au début, a eu le même genre de réaction, mais que si je faisais confiance à Philippe, tout se passerait bien, qu’il savait tenir compte de mes réactions, qu’il était très doux, très calme...
Et puis Philippe a fini par accepter de reprendre le dialogue en me faisant jurer de faire exactement ce qu’il me demanderait de faire. J’ai dû accepter en regardant Chloé dans les yeux. Je crois que si, maintenant, je ne devais pas respecter mes engagements, Chloé me tuerait ! On a laissé passer deux semaines...

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Deux semaines plus tard...

Hier après-midi, j’ai appelé Philippe. Je voulais en savoir plus sur le programme d’aujourd’hui. Au téléphone, Philippe m’a expliqué qu’on ne devait pas perdre de temps et que si j’étais favorable à me préparer pour une réunion à l’aveugle, il fallait commencer dès aujourd’hui.
« Donc, Emilie, aujourd’hui je propose que vous ne me voyiez pas. Je serai bien sûr avec vous en permanence, mais vous ne me verrez pas parce que vous aurez mis vos lunettes avant que je vous rejoigne et vous ne les quitterez qu’une fois la séance terminée. On est d’accord ?« Oui, on est d’accord.»« Donc, en arrivant sur le parking de la grande surface dont je vous ai parlé, vous repérez ma 3008 grise, vous montez à la place passager, vous mettez les lunettes de piscine que je vous ai préparées, vous mettez vos lunettes de soleil par-dessus. N’oubliez pas vos lunettes de soleil ! D’accord ? Vous mettez le casque sur les oreilles !»
— D’accord ! Et je vous attends comme ça ?— Oui, vous m’attendez. — Et qu’est-ce qu’on va faire ? Qu’est-ce que vous allez me faire ? Parce que je suppose que...— Ne supposez rien ! Attendez de voir ! Ou de sentir ou de ressentir. Vous allez devoir apprendre à vous laisser caresser, à terme, par les mains d’un inconnu, d’un ou de plusieurs. Demain, il n’y aura pas de pénétration. Soyez rassurée. Vous connaîtrez toujours à l’avance les nouveautés que je vous ferai tester !
Hier soir, j’ai appelé Chloé pour lui résumer la discussion, mais elle a écourté la communication. Elle semblait très occupée...
— En train de faire des trucs, peux pas te parler !
Vu le ton de sa voix, j’ai compris qu’elle n’était pas seule, la pauvre et que les trucs qu’elle faisait, il n’y avait qu’un homme très attentionné pour les lui faire faire !

Le lendemain...
Il fait très beau, un temps d’été, le Festival de Cannes est terminé et Asia Argento a fait son discours pour dénoncer Weinstein qui l’a violée ici même il y a 20 ans ! Elle a eu parfaitement raison. Entre deux adultes consentants... Il y a le mot « consentant » !
Je suis venue à notre rendez-vous d’aujourd’hui. Je suis consentante et habillée d’une jolie robe d’été à bretelles, sans manches, avec un décor de grosses fleurs bleues. Pas de soutif et pas de petite culotte. Ca, je m’attendais à sa demande !
Et j’ai fait ce qu’il m’a dit de faire. J’ai facilement repéré la Peugeot gris/marron. Je suis montée à la place du passager. J’ai mis ses lunettes de piscine, j’ai mis mes lunettes de soleil par dessus, j’ai mis le casque. Je n’y voyais strictement rien ! Je n’entendais presque rien ! Ca fait bizarre au début, mais surtout, ce qui m’inquiétait, c’était que les portières étaient ouvertes et n’importe qui pouvait monter avant l’arrivée de Philippe ! J’aurais aimé pouvoir m’enfermer dans la voiture...
Au bout de 10 minutes environ, la portière s’est ouverte...
— C’est vous, Philippe ? — Oui, c’est moi, on peut se tutoyer si tu veux..... tu vas bien ? — Oui, ça va. — Un peu d’anxiété, tout de même ? — Un peu, oui ! répondis-je avec un sourire un peu crispé.....— Alors, je vais te mettre à l’aise. Enfin, j’espère. Aujourd’hui, c’est notre premier contact, notre première séance, je peux te dire qu’il n’y aura aucun contact physique ni entre toi et moi ni entre toi et d’autres personnes. Tu ne seras pas non plus exposée au regard d’une autre personne que moi.
Ca me rassurait un peu, quoique...
— On y va ? — Oui, d’accord !
On a roulé un bon moment, je ne savais pas du tout où on allait. Mais rapidement, j’ai compris qu’on était sorti de la ville et qu’on prenait la direction de... je n’en savais vraiment rien !
— Emilie, remonte ta jupe et tourne-toi vers moi.
Je ne sais pas pourquoi j’hésitais. Il m’avait demandé et j’avais accepté d’avoir le sexe nu, ma chatte à l’air, quoi ! Et il voulait vérifier !
— D’accord, merci Emilie, hummm, je regrette de t’avoir promis de ne pas te toucher :). T’as une vraie jolie chatte avec juste ce qu’il faut comme poil. Ca va plaire :).
Et puis on a pris ce qui était sûrement un sentier avant de s’arrêter un peu rudement quelque part. Il m’a aidée à sortir de la voiture et à faire quelques pas, en me tenant la main, comme si j’étais vraiment aveugle. On était garé sur un chemin, mais la forêt était là, juste à côté. Il y avait une barrière, on ne pouvait pas aller plus loin.
— C’est tranquille ici, il ne vient jamais personne, surtout en semaine, et là, on va être caché par la voiture, si quelqu’un vient, il ne pourra pas te voir... — Merci de prendre soin de ma pudeur ! :) — De rien ma chérie, tu permets que je t’appelle comme ça ? Bon, d’abord, je vais t’attacher juste les chevilles, viens.
Il m’a appuyé le dos à la voiture. Quand on n’y voit rien, tout devient vite compliqué ! Une fois appuyée, il m’a demandé d’écarter les jambes, le plus possible tout en étant confortable et là, il a attaché mes chevilles de telle sorte que je ne pouvais pas les rapprocher.
Il s’est approché de moi, j’imagine, juste devant moi, je sentais sa respiration toute proche, dans mon cou, et il a commencé à me parler...
— Je ne vais pas te toucher, je te l’ai dit...
Il parlait doucement, était parfaitement calme... C’était complètement rassurant, on entendait les bruits de la forêt, quelques bruits de voiture au loin...
— Mais si moi je ne te touche pas, qui va te toucher ? Hein ? — Ben je ne sais pas... — A part toi, je ne vois personne d’autres... pour te toucher... — Euh...
Il continuait à me parler doucement, à me faire des compliments... Devant mon hésitation, il a pris une de mes mains et l’a posée sur ma poitrine et puis il a soulevé le devant de ma robe, il a baissé mon string le plus possible et il a pris mon autre main qu’il a posée entre mes cuisses, me faisant comprendre clairement ce que j’avais à faire.
— Mais... — Tu ne l’as jamais fait devant un homme que tu connais à peine ? Tu sais, Chloé non plus, et elle a fini par épuiser trois beaux mecs pendant toute une après-midi... — Et comment on sait qu’ils sont beaux quand on n’y voit rien ? — Trois mecs avec de belles bites ! Elle les a ressenties comme belles ! Elle ne t’a pas raconté les détails ?— Belles comme la tienne ? — T’es pas sérieuse, tu ne la connais pas, ma chérie ! — Je sais, mais est-ce bien sérieux, ce qu’on fait ?
Dans le creux de l’oreille, il me disait que j’étais belle et qu’ils n’attendraient que moi... Ca me rappelait une chanson... J’étais belle et désirable et il était flatté que j’aie pensé à lui pour organiser cette... réunion !
— Tu es belle et je n’attendais que toi... Allez, caresse-toi ma belle, caresse ce joli corps que tu vas offrir à des jeunes mâles en rut que tu auras bien excités avant...
J’ai commencé à me caresser, sans conviction, même si le fait de me caresser les seins, même doucement, provoque chez moi une réaction rapide au fond de mon ventre...
J’ai commencé à me caresser avec Philippe presque collé à moi et je me suis rapidement sentie bien.
Il me dit que je suis celle juste faite pour leurs bras.
Avec douceur et tendresse, il me dit que j’en ai envie...
— Tu mouilles ma chérie ? Prends ton temps, on n’est pas pressé. Tu fais voir tes doigts... Hummmm... Tu as l’air super réactive... — Ta gueule, laisse-moi en paix ! — Oui, ma chérie, bien sûr !
Mes doigts humides font monter mon plaisir... Je suis à moitié inconsciente... La main qui n’est pas dans ma chatte se pose sur l’épaule de Philippe... Je sens sa peau sous la fine chemise... J’ai envie de jouir en touchant cette peau... Je m’accroche à lui... J’ai les jambes qui tremblent... Je connais ces tremblements... Ceux qui manquent de me faire défaillir à chaque fois au moment de jouir...
— Chérie, laisse-toi aller, ne t’inquiète pas, éclate-toi si tu en as envie.— Oui, t’inquiète ! — Tu es belle comme ça, quand tu es excitée, quand tu vas jouir ! — Oh putain !
Je me sens couler... Philippe me le fait remarquer... Je n’aime pas, mais brutalement, je me sens jouir, je me sens exploser, dégouliner de plaisir...
— Fais-moi l’amour, Philippe !
J’ai dit ça sans réfléchir, par réflexe, parce que les garçons devant qui je me caresse me font en général l’amour après, mais là, je me suis tout de suite après que j’espérais qu’il n’avait rien entendu et je me suis tout de suite après dit que j’espérais qu’il avait bien entendu.
Philippe ne fait rien, ne dit rien, me laisse délirer et me prend dans ses bras.
— Ce n’est pas ce que je voulais dire ! Je sais que tu ne veux pas me toucher aujourd’hui.
Pourtant c’est exactement ce que je voulais dire ! Je voulais qu’il me la mette, j’étais excitée comme une puce, comme une chienne qu’on prive de son os et son os je le sentais bien au travers de son pantalon...
Je venais de jouir fébrilement et j’en avais encore envie, envie de cette sensation qu’on décolle et que ça va durer, alors moi, j’avais envie que ça dure. J’avais envie d’un os. Je ne savais pas où on était, peut-être y avait-il 10 mecs en train de nous regarder, j’étais isolée du monde avec ces foutues lunettes et ce foutu casque ! Mais je m’en foutais du monde, j’avais envie, oh oui, j’en avais envie putain ! Et lui qui ne disait rien, ne bougeait pas...
Je caressais son torse, ses épaules. Il n’avait aucune réaction. J’étais presque sur le point de pleurer de frustration, j’ai imaginé avoir un réflexe de génie. J’ai imaginé effleurer le devant de son pantalon et recevoir une décharge électrique, me disant qu’il avait dû oublier un marteau dans la poche de son pantalon... J’ai imaginé que j’osais, que j’osais faire plus que l’effleurer, faire ce que toute nana normalement constituée aurait fait, le masser là où c’est bien de masser un homme, défaire la ceinture de son pantalon, le baisser un peu parce que j’étais pressée de glisser ma main dans son boxer et là, il aurait quand même poussé quelque chose qui aurait ressemblé à un gémissement de plaisir...
— T’es qu’une salope, Emilie, t’es qu’une salope ! T’as pas envie de faire l’amour, c’est pas vrai.— J’sais pas, peut-être que... — Non, tu n’as qu’une envie ! Tu sais laquelle ? — Euh ?? — T’as pas envie de faire l’amour, t’as envie de te faire baiser ! Dis-le, allez dis-le que tu as envie de te faire baiser, dis le fort !
Il criait dans mes oreilles, ce mec était un malade, c’est ce que je me suis dit pendant une fraction de seconde... Ne pas trop le contrarier !
— J’ai envie... de... me... faire... baiser ! — C’est mou, ça, Emilie, ça manque de conviction, allez plus fort ! — J’ai envie... de me faire... baiser ! — Allez, plus fort, plus fort, je veux t’entendre hurler !
Il m’a pincé le bout des seins assez violemment et j’ai hurlé, oui, j’ai hurlé que j’avais envie de me faire baiser !
— T’as envie d’être limée, d’être défoncée... — Hein ? — Oui, t’as envie d’être limée, d’être défoncée... Allez hurle-le ! Je veux t’entendre le hurler ! Je veux t’entendre !
Pendant un long moment, il m’a fait crier, hurler que j’avais envie de me faire baiser, de me faire piner, tringler, limer... mais avec des mots crus que je n’avais pas l’habitude d’employer et moi je lui obéissais, il me pinçait les seins, me claquait les fesses, les seins et puis tout d’un coup, tout est devenu calme, j’ai eu peur, aveugle, chevilles attachées et sourde, et il m’a dit tout doucement dans le creux de l’oreille :
— Tu as dit que tu voulais faire quoi, au tout début ? Je n’ai pas bien entendu...
J’hésitais sur la réponse à donner... A la merci d’un excité pareil...
— Que je voulais... faire... l’amour ?!
Alors j’ai senti ses lèvres douces sur les miennes, j’ai senti ses caresses dans mon cou avec le revers de la main, j’ai senti ses caresses sur mes seins...
— Je ne t’ai pas fait mal, j’espère... — Non ça va... — Et quand je te caresse ? — Ca va encore mieux...
Et puis sans me quitter, j’ai compris qu’il avait réussi à baisser son pantalon...
— Si tu veux que je te... — T’as envie de me sucer ? — Oui, j’ai envie de te sucer. Est-ce qu’il faut que je le hurle ? :)— Non, ça ne sera pas nécessaire !
Bon, après, je vous passe les détails, je l’ai sucé, je lui ai mis le préservatif, il m’a limée, tringlée un bon moment dos à la voiture, avec douceur, j’ai joui et je l’ai fini dans ma bouche...
Après, il m’a aidée à remettre de l’ordre dans mes vêtements et on est rentré au parking. Il m’a embrassée sur la joue... Et il est parti.....
Une fois parti, j’ai enlevé les lunettes. J’ eu besoin de quelques minutes pour me réhabituer à la lumière...
Philippe, je sais que tu me lis, mais j’ai passé un moment très ’spécial’ :)
Je ne sais pas quand on reprendra ma formation, mais je ne change pas de professeur ! J’ai hâte de démarrer une session où tu prévoies de me toucher ! :) parce que quand tu prévois de ne pas me toucher, c’est déjà pas mal !
A suivre... J’espère :)
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