Vendredi 5 octobre: Comment en suis-je arrivée là ? :)
Quand j’ai eu Philippe au téléphone en début de semaine, j’ai essayé de lui tirer les vers du nez et savoir qui m’avait baisée la dernière fois, mais rien à faire ! Au lieu de ça, il m’a proposé une promenade en amoureux, tous les deux ! — On va retourner dans un endroit que tu connais. — Ah bon, où ça ? — Ce ne serait pas drôle si je te le disais...... Tu as le choix entre là où tu t’es fait baiser à travers le grillage ou là où tu t’es payé le chauffeur italien..... — Bon, mais je ne baiserai qu’avec toi, promis ? — Promis ! Je m’étais habillée comme Philippe me l’avait demandé. Une robe rouge, robe d’été à bretelles, pas trop courte, juste un peu étroite, des bas noirs et des chaussures à talons hauts. Ca, c’est ce qui m’a été le plus difficile. Je n’en ai qu’une paire, que je ne mets jamais et n’ai pas trop l’habitude de marcher avec. Mais comme je suis mince, ça m’allongeait la silhouette et me donnait un balancement des hanches que Philippe trouvait sympa. Moi, j’étais à l’aise dans cette tenue pas du tout provocante, mais qui pouvait le devenir rapidement si je remontais un peu ma robe..... — Tu vois, t’es quand même la plus belle des filles que je vois ici ! Ici, c’est sur l’aire de CC où j’avais dragué un chauffeur italien, entre autres. C’était le restaurant ! — On se trouve un endroit tranquille ? Ca c’était le signal ! Philippe avait envie, moi aussi, ça tombait bien. — Je vais aux toilettes, pars devant !
En sortant des toilettes et quittant le restaurant, je traverse le parking voitures puis entre dans celui des camions et j’aperçois mon Philippe en train de discuter avec un chauffeur, à proximité de son camion, discuter avec des signes du genre passer l’index de la main droite tendue dans l’anneau formé du pouce et de l’index gauche, me montrant, montrant la cabine........ Je me suis approchée en restant juste à distance pour ne pas les déranger dans leur discussion. Le gars me montrait du doigt, regardait Philippe... Je rêvais ! Il demandait au chauffeur si on pouvait aller baiser dans sa cabine ?! Et le chauffeur était d’accord, sûrement à condition que je fasse partie du deal pour lui ! Mais Philippe, à juste titre ne voulait pas, le gars était moche en plus, pas mon genre. Quand ils se sont dit au revoir, Philippe m’a expliqué ce que j’avais bien compris ! — Oui, c’est ça, tu as tout compris, il est d’accord si tu écartes aussi les cuisses pour lui ! Allez, remonte un peu ta jupe, on va aller voir plus loin ! On a filé 3 camions plus loin et tenté la même demande ou explication, j’avais bien remonté ma jupe, juste à la limite de mes bas, mais il n’a pas voulu non plus. Philippe commençait à se demander si on n’allait pas devoir aller ailleurs... Il a refait une autre tentative négative avant d’apercevoir un superbe autocar de tourisme..... — Regarde, là, le car, il est vide, il ne transporte rien, j’essaie encore. Si ça ne marche pas, on ira voir ailleurs. Reste là, un peu en arrière, je te fais signe si ça se décoince ! J’admirais la détermination de Philippe qui faisait un maximum pour qu’on baise confortablement :) Là, Philippe a commencé à négocier avec le chauffeur du car, qui au début, devait mettre les mêmes conditions que les camionneurs, et puis ça n’en finissait pas, alors je ne sais pas ce qui m’a prise, mais je suis allée vers eux après avoir rallongé ma robe aux genoux. — Bonjour, moi c’est Cathy ! — Je te présente Daniel, il est canadien et il va chercher des touristes à Milan pour les ramener à La Haye. — Bonjour Daniel. — Bonjour... — Il est super ton bus, tu me fais visiter ? Je ne lui ai pas laissé le temps de me répondre, j’avais un pied sur la première marche... — Philippe, reste là, je te fais signe. En fait, je me rappelais qu’une semaine avant, Philippe m’avait offerte à plusieurs mecs et ça s’était bien passé, alors je me disais que si le seul blocage de Daniel c’était qu’il voulait aussi profiter de moi, du moment qu’il mettait un préservatif... Parce que le bus était idéalement confortable avec vitres teintées et moquette, même par terre ! — Ca a l’air super confortable ! — Oui, on fait de longs voyages avec ! Arrivée au fond du couloir, je me suis retournée vers Daniel qui me suivait de près : — Alors, c’est quoi le problème ? Tu veux me baiser aussi ? Tu veux profiter de ça ? Je lui montrais ’ça’ en remontant ma robe sur mon ventre et en glissant ma main profondément dans ma petite culotte. Daniel, à la vue de ma chatte et surpris par mon geste, s’est mis à bafouiller que..... non...... c’était pas de ’ça’ qu’il discutait avec Philippe... — Non, on discutait de regarder, je lui ai pas demandé de te baiser, mais..... — Mouais, mais si j’étais d’accord..... — Oui, il y a un peu de ça... — Bon, pour l’instant, tu regardes, d’accord ? Fais signe à Philippe. C’est vrai que Daniel avait l’air un peu timide, mais c’était aussi un homme solide de 35 ans environ, barbu... Philippe m’a rejointe au fond du car quand Daniel s’est assis sur le siège conducteur, tourné vers nous. Je murmurais à l’oreille de Philippe : — Pour l’instant, il regarde, il te regarde me baiser..... Pour l’instant :) Alors Philippe m’a prise dans ses bras et m’a embrassée sauvagement sur la bouche, ce que j’attendais depuis un bon moment ! Lui aussi apparemment et quand il me prend dans ses bras, je ne sais pas de quelle couleur est la vie, mais elle est belle. Elle est belle quand ses mains parcourant mon corps tremblant de désir me font vibrer et me font oublier toute limite. J’ai envie de lui, qu’il me prenne, qu’il me possède sans questions, sans retenue, sans limites. Je m’active à prendre en bouche l’outil de mon plaisir jusqu’à ce que, n’y tenant plus, il me retourne et la tête sur les sièges, il m’enfile sans retenue, comme j’aime. Je le tiens mon homme, je vais lui faire faire ce que je veux et il me tient et va me faire faire ce qu’il veut. Il m’enfile encore et encore...On change de siège..... Je suis debout. Daniel s’est un peu rapproché.....Il m’enfile encore et encore...Il m’allonge par terre sur la moquette si rembourrée.....Il m’enfile encore et encore...C’est bon de se sentir désirée... De prendre en main ce que je vais bientôt vider.....Il m’enfile encore et encore... — J’ai envie que tu me bouffes la chatte ! Il me laisse me redresser, je m’assois sur le siège du fond, face au couloir d’où je vois Daniel se rapprocher insensiblement....... J’écarte les cuisses et, complètement ouverte, je pose une jambe sur un siège de chaque côté et, à genoux, Philippe se met à me lécher divinement, j’en avais envie, tellement envie que je ne tarde pas à jouir, mais il continue, il continue..... Je vois Daniel tout proche, il a ouvert sa chemise sur un torse poilu et se masse le sexe au travers du pantalon. Il se caresse le torse en me regardant dans les yeux tandis que je caresse la tête de Philippe qui continue à me brouter le minou... — Ca te fait quoi, Daniel de me regarder me faire brouter le minou ? — Ca donne envie... — De ? — De faire pareil..... Je ne me suis jamais fait brouter le minou par un barbu ! J’en ai eu un instant envie et ça m’a fait sourire intérieurement, mais aujourd’hui, Philippe ne semblait pas avoir envie de partager..... — Tu veux lui lécher la chatte, ben, vas-y, je te laisse la place, mais pas longtemps ! Daniel et moi on a eu l’air aussi surpris l’un que l’autre, mais avant que n’ai eu le temps de protester, j’aurais protesté mollement de toute façon, j’avais une tête de barbu entre les cuisses qui me procurait des sensations assez inconnues, je dois dire ! Je me suis saisie du sexe de Philippe pour l’attirer vers moi et l’ai pris en bouche pendant que Daniel continuait à me fourrer. Et puis, Philippe, qui semblait maintenant disposé à me partager a proposé des capotes à Daniel. Avec le sexe de Philippe en bouche, je pouvais difficilement protester, mais comme je n’en avais pas envie... Daniel n’avait bientôt plus que sa chemise sur lui et avait posé son sexe dans ma main pour que je le branle violemment. Un beau sexe, une belle tige, poilue, velue comme on n’en fait plus ! L’image du vrai mâle ! — Tiens, suce-le ! — J’osais pas demander ! Bientôt, je suçais Daniel et branlais Philippe, mais Philippe ne sait pas résister à l’envie de m’enfiler dès qu’il peut et je me suis retrouvée à genoux dans le couloir, pinée par Philippe et suçant Daniel. Ca a duré un long moment, tout le monde y trouvant son compte ! Et puis : — On change ? Et là, c’est Daniel qui m’a enfilée et Philippe que je suçais et branlais alternativement... Je sentais le ventre velu sur mes fesses et les couilles poilues me caresser ma fente... C’était bon... je commençais à ronronner sérieusement..... Je me voyais déjà en train de jouir, mais quand j’ai pris ses bourses en main, il m’a prise de court et a joui brutalement. Il était tellement excité qu’il n’a pas pu se retenir. Quatre ou cinq coups de reins secs et il s’est écroulé sur moi quelques secondes avant de se redresser en s’excusant...... — Pas grave ! — T’es bonne ! Alors, la nature ayant horreur du vide, Philippe m’a reprise dans tous les sens, j’en avais le tournis ! Levrette à plat ventre, missionnaire, levrette debout... tout y est passé jusqu’à ce que j’explose les cuisses ouvertes et la touffe recouverte d’un foutre tant désiré ! Dans ce car, il y avait tout le nécessaire pour se refaire une beauté... c’était indispensable..... On s’est rhabillé et on a laissé Daniel, ravi, de nous avoir autorisés à utiliser son car de luxe. — Comment tu as su que je ne dirais pas non à Daniel ? — Quand je t’ai vue monter dans le car en dandinant des fesses devant lui, j’ai compris que tu voulais le vamper... — Non, il ne devait que regarder ! — Tu parles ! Te regarder baiser sans avoir envie de te sauter, une fille intelligente comme toi sait bien que ce n’est pas possible donc tu savais comment ça allait se terminer..... Pas faux ! :)
