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Une réunion pas comme les autres....

Chapitre 8

Une fin ou un début?

Erotique
Vendredi 19 octobre:
Comment en suis-je arrivée là ? :)
En rentrant de notre petite escapade en car de luxe, Philippe m’a avoué qu’il ne pensait pas que j’aurais accepté des rapports avec le chauffeur de ce fameux car. Je lui ai confirmé que ce n’était pas ce qui m’avait branché le plus, mais c’était de sa faute, lui dis-je en plaisantant, il n’avait qu’à ne pas me faire sauter par des inconnus et j’avais fini par y prendre goût.
— Au fait, tu as fait tes tests ? — Oui, c’est bon ! Toi aussi ? Et tu as toujours des capotes ? — Oui, c’est bon, et j’ai toujours des capotes ! Tu voudras qu’on essaie sans ? — Peut-être.....
En fait, en me disant ça, Philippe avait une idée derrière la tête..... En fait plusieurs idées...
— Tu es une fille séduisante, Cathy.— C’est gentil de me dire ça !
Je ne comprenais pas bien pourquoi il me disait ça dans la voiture qui nous ramenait à Genève, mais je n’allais pas tarder à le savoir.....
— Tu es une fille séduisante, mais ce qu’on a fait depuis qu’on se connaît n’exige pas que tu fasses preuve de séduction. N’importe quel mec capable de bander un peu est en mesure de te sauter les yeux fermés. Ca ne te valorise pas à tes yeux et ça te manque !— Qu’est-ce que tu en sais ?
C’est vrai que je n’ai pas fait vraiment d’effort, sécurisée par la présence permanente de Philippe...
— Moi, j’ai envie de te proposer des challenges de séduction, séduire des hommes qui auront envie de te sauter autrement qu’à travers un grillage ou dans le couloir central d’un autocar de luxe..... — Tu peux être plus clair, Philippe ? Je ne vois pas très bien.....

Là, il a commencé à me poser des questions auxquelles je ne pouvais répondre que par oui.
— Est-ce que tu préfèrerais faire l’amour dans une chambre du Carlton de Lausanne ou dans un couloir de bus ? Est-ce que tu ne préfèrerais pas dîner dans des restaurants haut de gamme ? Avec des hommes en général plutôt bien ? Et baiser pas au hasard, mais avec des hommes que tu auras choisis parce qu’ils te plaisent ?
Dit comme ça........ Philippe travaille dans une organisation internationale à Genève..... Vous savez combien il y a d’organisations internationales ayant leur siège ou des bureaux à Genève ? Entre 60 et 80 ? Oui, peut-être plus...
— Et qui dit ’internationales’ dit correspondants dans de nombreux pays, contacts qui viennent souvent ici, pour visiter, pour se former, pour rencontrer des gens d’autres organisations. — Oui ? Et alors ? — Et alors ? Ces gens qui viennent, et particulièrement ceux qui viennent pour de la formation, ne viennent pas que pour la journée quand ils viennent d’Australie ou du Japon ou des Etats-Unis ! Ces gens, qui sont surtout des hommes, s’ennuient vite..... Tu vois ce que je veux dire ? — Tu me proposes de faire la pute avec des gens qui viennent en formation chez toi ? — Faire la pute ? D’abord, il n’y a pas de transaction financière, ensuite tu choisis les hommes qui te plaisent et exclusivement des hommes qui te plaisent..... Ce sont des hommes qui ont entre 25 et 40 ans, bon niveau socio-culturel, bref, c’est ta cible !
)
— Moi, je ne suis pas forcément à l’aise avec ce genre de personne, je suis encore étudiante..... — Mais, justement, je te présenterai pour ce que tu es, une étudiante en stage chez nous, chargée d’une étude sur les demandeurs de formation. Je vais te faire une carte de visite avec un n° de tél. et je te filerai un téléphone. Aucun d’entre eux ne saura qui tu es... vraiment.— Vraiment, tu crois ? — Vraiment ! Ca devrait te plaire et ça ne t’engage à rien de venir dîner avec nous vendredi soir. J’ai un groupe de huit stagiaires qui arrivent jeudi soir et vendredi soir, on fait un repas en commun à l’Hôtel d’E....... Tout le monde a une chambre sur place, y compris toi. Tu veux essayer ?
C’est comme ça que je me suis retrouvée quelques jours plus tard, un vendredi soir, à une table du restaurant d’un hôtel plutôt haut de gamme de Genève avec Ann, une Anglaise de 40 ans environ, qui en était à son troisième stage, Donald, un américain, Paul, un Australien et Stefan un Polonais. A l’autre table, Philippe drivait Clarissa, Andrew, Maxime et Jack. Evidemment, tout ça parlait anglais et j’étais la plus jeune.
Comme l’avait dit Philippe, l’ambiance était plutôt sympa. Bien sûr j’ai surtout discuté avec les gens de qui étaient à ma table et au bout de deux heures, j’avais l’impression de bien les connaître. Donald, qui ne voulait pas qu’on l’assimile à Trump, travaille dans une société californienne, Paul lui travaille dans une entreprise de chimie en Australie et Stefan s’occupe de logistique au port de Gdansk. Ann quant à elle travaille dans une banque à Londres et on a beaucoup parlé brexit. Tout ça, vous vous en fichez, mais moi, au bout de deux heures, je me sentais plus intelligente grâce à eux ! Juste un détail, Ann et Donald sont mariés. Philippe m’avait dit :
— Ce soir, tu observes, tu ne dragues pas ! — Je ne drague jamais ! — C’est vrai, tu attends que les hommes tombent dans tes pièges ! — Quels pièges ?
Donc, ce soir je suis une fille sage, je repère les hommes qui pourraient me plaire, mais je ne bouge pas. Pas de sourire appuyé quand un d’entre eux fait de l’humour, pas de clin d’œil, pas d’approbation lourde et appuyée..... Ca n’empêche qu’entre Paul, Stéfan et Maxime, j’avais des hommes qui n’étaient pas trop vilains et paraissaient sympas dans les discussions qui prenaient forme. Mais c’est vrai qu’ils me posaient beaucoup de questions, s’intéressaient à ce que je faisais, à ce que je connaissais de Genève, des environs, de ce qu’il fallait voir ici. Ann m’aidait un peu, c’était son troisième stage, elle connaissait un peu la Suisse.....
A la fin du repas, Philippe qui ne logeait pas à l’hôtel nous a abandonnés. On a continué à discuter un long moment, autour d’un café, d’un deuxième café, d’un alcool... Mais je n’en ai pas pris. Ann et Clarissa nous ont également quittés assez vite et moi je suis restée avec les cinq hommes qui commençaient à dérailler un peu. J’étais censée passer la nuit à l’hôtel et repartir à Paris après le petit-déjeuner, mais tous me disaient que c’était dommage, que j’étais mignonne et que je devrais rester pour leur faire visiter Genève. Moi j’écoutais surtout ce que disait Stefan qui me plaisait bien. Paul me plaisait bien aussi, mais il était marié, alors, pas touche !
Vers vingt-trois heures, je décidais de monter me coucher et de les laisser continuer leurs divagations. Bien sûr, j’ai eu droit à des : »Déjà ! » « Dommage », mais je leur ai fait comprendre qu’on allait se revoir au petit-déjeuner.....
Arrivée dans ma chambre, j’étais un peu lasse, j’ai pris une douche et me suis glissée sous les draps. J’ai regardé la télé quelques minutes et, vers vingt-trois heures trente, dodo !
Je dormais profondément quand une voix douce me susurra au creux de l’oreille :
— T’inquiète, ma belle, c’est moi, Philippe ! Bouge pas ! — Qu’est-ce tu fais là ? T’es pas chez toi ?— Rien, t’inquiète, je venais vérifier que tout allait bien !
Tout allait bien ! Et même il avait une drôle de manière de vérifier que tout allait bien ! En se glissant dans le lit à côté de moi !
— Cool, Cathy, tu as vu ? A ta table, les mecs te dévoraient des yeux ! Toute la soirée ! Non, ne bouge pas, détends-toi !
Pour me détendre, il m’a mise sur le dos, les bras légèrement écartés, la paume vers le haut, les jambes également légèrement, enfin, un peu plus que légèrement, écartées...
— Détends-toi ! — Je suis un peu fatiguée, Philippe ! — Mais ne fais rien, ne bouge surtout pas, d’accord ?
Evidemment, j’avais deviné qu’il avait envie de me faire l’amour et, même si j’étais fatiguée, je comptais bien lui rendre ses caresses, mais il n’en voulait pas. Quand j’ai voulu prendre son sexe en main, il m’a gentiment reposé celle-ci. Et a commencé à me caresser de partout avec ses mains, sa langue, ses lèvres, son nez, son souffle jusqu’à ce que je ne sois plus qu’un soupir gémissant, demandant en silence qu’il me la mette, la mette bien profond et que..... J’ai joui intensément de sa langue avant qu’il ne rampe sur moi...
Et c’est quand il a commencé à me la mettre que j’ai réalisé que je n’avais pas entendu le bruit caractéristique de la capote qu’on met en place et que c’était directement son sexe qui ouvrait ma fente et se glissait sans forcer dans l’antre trempé de mon intimité ! On avait bien sûr évoqué cette possibilité de rapports sans capote, mais maintenant qu’on y était, j’ai eu l’impression d’être dépucelée une deuxième fois, avec des sensations incomparables, une perception détaillée du sexe de Philippe, j’en devinais les formes en détail, les dimensions les grosses veines, son gland, sa longueur, j’aurais pu le décrire en détail et à chaque coup de reins, j’en apprenais un peu plus sur la morphologie de sa queue qui me donnait un plaisir que je ne me croyais pas capable d’avoir un jour. Et puis quand j’ai explosé, il m’a suivie de peu, me remplissant de son foutre chaud qui n’a fait qu’amplifier ma sensation de bien-être inégalé !
.Quand il est sorti de moi, je dois avouer que j’étais un peu groggy et ne demandais rien d’autre que le calme pour savourer ce qui venait de m’arriver. Je me suis vite endormie dans les bras de Philippe.
Au matin, en me réveillant, j’ai tendu ma jambe pour caresser la sienne, mais il n’était plus là. Je me suis levée pour aller prendre mon petit-déjeuner et dire au revoir à tout ce beau monde, si je les croisais. Sur ma table de nuit, Philippe avait laissé un mot : « Si tu veux rester et en promener un ou deux aujourd’hui, appelle-moi, je te dirai comment récupérer une voiture. »
Moi, j’avais éventuellement autre chose à faire ce samedi-là, alors, je suis descendue petit-déjeuner, bien décidée à abandonner les stagiaires à leur triste sort, sachant que je les reverrais, de toute façon, en début de semaine...
Quand je suis descendue, j’ai trouvé Paul et Maxime attablés à une table pour trois qui m’ont fait signe de me joindre à eux... On a commencé à discuter de la soirée précédente... Est-ce que je connaissais les autres stagiaires ? Est-ce que je connaissais Genève ? La Suisse ? La France proche ? Qu’ils aimeraient bien que quelqu’un les accompagne... Au bout d’une demi-heure, j’avais compris qu’ils auraient bien aimé que je reste avec eux pour les piloter... Leur montrer les environs ..... ça ne m’enchantait pas trop, mais mon Australien qui avait un profil de rugbyman, il paraît qu’il y a des rugbymen en Australie, pas que des kangourous, mon rugbyman, il me la jouait faussement triste à l’idée que j’allais le laisser tomber, qu’à la fin, j’ai appelé Philippe pour lui demander comment je récupérais une voiture et lui dire que ce soir je les laissais tomber......
— D’accord, d’accord, pas de soucis, mais on les revoit mardi soir ! — Mardi soir ? Bon, d’accord, je m’organise...
Je suis retournée petit-déjeuner avec Paul et Maxime qui n’ont pas caché qu’ils allaient passer une bien meilleure journée si je les accompagnais, tout ceci avec un petit sourire que je devinais coquin au coin des lèvres.
On s’est donné rendez-vous vers 11h, le temps que je récupère la voiture de Philippe. On s’est d’abord baladé dans Genève et vers midi, on est parti vers Lasanne en s’arrêtant plusieurs fois sur les bords du Lac pour finir par y déjeuner dans un cadre très mignon avec le soleil qui était franchement de la partie. Après déjeuner, on a continué jusqu’à Lausanne où on a passé un long moment et au retour, elles l’ont emmené au col de la Faucille pour avoir une vue sur Genève et le Lac.....
Ils étaient enchantés et n’arrêtaient pas de me demander de rester dîner avec eux, qu’ils m’invitaient, qu’ils ne pouvaient plus se passer de moi, mais quand je leur disais que je ne pouvais pas rester tard, que je n’avais pas de chambre réservée à l’hôtel, ils ont commencé à dire que ce n’était pas grave, qu’ils avaient de grandes chambres avec plusieurs lits et tous les sous-entendus que cela supposait. Mais c’était dit tellement gentiment que j’ai fini par accepter de dîner avec eux. Je leur ai indiqué un restau pas trop cher, mais traditionnel et accueillant où on a passé un bon moment. Au moment de se séparer, Maxime est parti très vite, arguant qu’il avait un coup de téléphone à donner, Paul a repris un café avec moi, j’ai pu alors monter facilement le piège dans lequel je commençais à avoir envie de le faire tomber !
Je lui ai expliqué qu’il pouvait rentrer à son hôtel en traversant comme moi le Parc Barton et que je le laisserai en cours de route... A cette heure-là, le parc offre une luminosité, un éclairage ou une absence d’éclairage propice à toutes les audaces. A un moment donné, je me suis arrêtée contre le parapet pour lui montrer la beauté des lumières du Lac. Je l’ai senti proche dans mon dos, je me me suis retournée brusquement. Si je l’avais laissé faire, je pense que Paul m’aurait illico roulé un patin, mais j’ai juste mis mon doigt sur ses lèvres :
— Chut, Paul ! I’m not sure it’s a good idea ! Not tonight !
J’ai été surprise de l’effet que mes quelques mots ont eu sur cette grande carcasse bloquée dans son élan !
— Cathy ? Not tonight, tomorrow ?
Cela dit avec le sourire.
— Not tomorrow but we’ll meet again next week, don’t we ? But you hav emy phone number ? You can call me when you want...— No ! Sorry, I haven’t ! — I didn’t give my professionnal card to you ?
Je savais pertinemment que je ne la lui avais pas donnée !
— Sorry, here it is ! You can phone me anytime, Paul.— I would be so happy to meet you again and spend some time with you ! — So would I !
C’est vrai que je commençais à le trouver plutôt bien ce mec..... qui devait avoir à peine trente ans. Et il était prévu qu’on se revoie la semaine d’après...
— Now, you should come back to your hotel. It’s not far from here. And don’t forget you can call me when you want ! OK ? — OK !
Je lui ai fait un bisou sur la joue et je l’ai laissé là... indécis... perplexe :)
On était presque dimanche matin. J’avais passé une agréable journée et je n’avais plus qu’à décider du moment où je laisserais Paul me......

A suivre.....
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