Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 117 J'aime
  • 8 Commentaires

Une Rose m'a cueillie

Chapitre 2

Lesbienne
C’est donc d’une façon improbable que débuta notre liaison. Un ami à l’époque la qualifia de tranquillement chaotique.Et c’était là une définition parfaite. La tranquillité, car sans jamais imposer quoi que ce soit, nous vivions à son rythme, partie à cause des horaires de son travail, partie parce qu’elle connaissait la région et m’en faisait découvrir les richesses simples et inestimables.A côté de ça elle était sexy sans ostentation, mêlant tout naturellement la provocation charnelle de Daisy Mae et l’innocence de Betty Boop!
Mon installation à la campagne avait entraîné une réorganisation de mon travail et je puis me vanter d’avoir (à mon corps défendant) été une pionnière du télé-travail (la belle affaire!). Ma présence n’étant réellement  indispensable que pour les réunions, je ne montais que rarement à Paris, sans que cela ne pose le moindre problème. A cet effet, sur les conseils d’un de mes commerciaux me la garantissant sans défaut - ce que je pouvais aisément vérifier puisque réglant les factures d’entretien -,  j’avais racheté à un prix cadeau sa voiture de fonction dont le kilométrage impressionnant aurait rebuté un acheteur lambda. Je n’eus qu’à me louer de l’avoir écouté et par la suite, cette confortable auto se révéla fort pratique...
Ainsi, les jours de semaine vers 16h30 je commençais à guetter son arrivée, immanquablement, le portail passé, elle caressait les chats, qui l’avaient rapidement adoptée et lui faisaient une escorte la queue levée, ensuite j’entendais ses pas nerveux crisser sur la petite allée et enfin le claquement sec des semelles de bois sur le ciment. La fenêtre de mon bureau donnant sur la cour d’entrée, le jeu parfois consistait à faire semblant d’être très affairée.Le verrou de la porte d’entrée tiré, elle se faisait invariablement un café dans la cuisine en m’ignorant et selon son humeur amoureuse trouvait mille moyens d’attirer mon attention, toujours par inadvertance préméditée et avec les meilleurs des prétextes pour m’arracher à ma tâche du moment.Je franchissait alors les quelques mètres, m’asseyais à table près d’elle, la laissais finir sa tasse et l’embrassais avant de l’entraîner vers ma chambre, où aucun regard indiscret ne pourrait nous surprendre.
Le trajet pouvait durer si Madame avait envie l’humeur joueuse, elle adorait faire des langues interminables, faisant traîner le moment ou elle céderait enfin  à mon impatience et me laisserait prendre possession complète de sa bouche et de sa salive.Un jour je lui demandai si elle n’avait jamais eu d’expérience homosexuelle elle me répondit :— Je n’ai jamais été güine! (j’aimais sa façon de le prononcer).— Pourtant, tu es une experte en baisers…— Oui? Et alors? Une bouche c’est une bouche… d’ailleurs tu es souvent aussi pressée qu’un homme!— Que veux-tu! Tu m’agaces tellement avec ta langue que j’ai trop envie de te gameller!Elle n’aimait généralement pas les mots grossiers (sauf parfois en faisant l’amour) mais apprécia ma flatterie car le baiser qu’elle me laissa prendre ensuite fut long et profond, toujours avec le goût de café!

J’aimais la déshabiller assise sur le lit où elle s’allongeait ensuite me regardant d’un air soi-disant détaché ôter mes vêtements, sa lascivité ne me cachant rien de son joli corps.Avant même que je ne sois allongée près d’elle, par ses manœuvres subtiles elle s’arrangeait pour que j’échoue entre ses cuisses grandes ouvertes et que je la prenne avec de grand coups de reins.Elle ne bougeait pas beaucoup mais en aucun cas ne restait inactive. Loin d’être passive, elle était sobrement efficace! Ses jambes croisées,  ses jolis pieds appuyant plus ou moins sur mon dos donnaient la cadence qui  montait jusqu’au saut de carpe final, brutal, qui m’aurait désarçonnée si ses jambes ne m’avaient solidement maintenue!Ensuite, et seulement ensuite, elle m’autorisait à visiter son minou, humide et chaud. Mes tentatives de 69 se virent toutes couronnées d’échec.— Quand on fait deux choses à la fois on n’en fait aucune de bien!En revanche elle apprit bien vite à me faire minette avec brio et ne cachait pas sa fierté de me voir jouir. Si au début elle se bornait à me rendre la réciproque, elle y prit vite goût et y trouva elle aussi un réel plaisir.
Physiquement, en blonde, elle me rappelait Mariangela Melato. La comparaison lui plût d’autant plus après avoir regardé “ Mimi métallo blessé dans son honneur “ et “ la Classe Ouvrière va au Paradis“ que j’avais loués au vidéo-club, qu’elle ne les avait jamais vus et les apprécia.Toutes proportions gardées, comme elle, elle ne laissait pas les hommes indifférents. Je ne pus m’interdire de sourire d’orgueil le jour où dans un bar, la voyant descendre de sa voiture, j’entendis mes voisins de comptoir se dire qu’ils “la bagueraient volontiers “!    Un peu plus tard, n’ayant pourtant pas pu entendre la réflexion des deux lascars, le bar s’étant clairsemé, pleine d’audace, collant discrètement son joli petit derrière contre mon mont de Vénus, elle m’avait avoué dans un murmure :— C’est par là que c’est le mieux pour moi!Ca n’était pas tombé dans l’oreille d’une sourde et le soir même je mis un point d’honneur à ajouter ce menu plaisir avec mes doigts et ma bouche à notre programme nocturne. Je n’insistai pas lorsqu’elle déclina ma proposition d’utiliser un godemichet :— Si j’avais eu envie d’un sexe d’homme, je serais allée avec un homme!Je me le tins pour dit et je rangeais mes joujoux…
Paradoxalement elle me regarda bizarrement et eut presque une réticence lorsqu’à mon tour je lui dis que c’était mon petit vice personnel. Elle constata que cette pratique avait laissé un peu plus d’indices sur mon étoile que sur la sienne, qui était restée remarquablement serrée! Je m’abstins cependant de lui confirmer que la pratique des godes n’y était pas étrangère, puisqu’elle ne les aimait pas! 
Diffuse en direct !
Regarder son live