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Une rousse? Non, deux!

Chapitre unique

Avec plusieurs femmes
Une rousse ? Non ! Deux !
Je travaillais à l’extérieur de chez moi la semaine et je résidais en chambre au sous-sol d’une résidence unifamiliale. Le soir, j’allais souvent regarder les sports sur écran géant en sirotant quelques bières à La brasserie sportive de la ville où j’étais. Tous les jeudis, c’était soirée des dames à la brasserie. Plusieurs jolies femmes s’y donnaient rendez-vous pour profiter des promotions offertes, rencontrer des hommes pour discuter, relaxer, échanger, flirter, etc.
Je m’assoyais toujours au bar pour manger, boire et regarder la télé sur grand écran. Un collègue de travail m’accompagnait ce soir-là et dut quitter tôt pour des raisons personnelles. Aussitôt sa place libérée, une très jolie dame vint prendre sa place à ma gauche. Elle portait un tailleur avec jupe et un blouson qu’elle retira pour mettre sur le dossier de sa chaise surélevée. Les mamelons de ses seins pointaient sous sa blouse blanche et je ne pus m’empêcher de le remarquer. Elle esquissa un sourire en me regardant dans les yeux quand ma tête se releva. De très belles dents blanches bien alignées apparaissaient dans cette bouche où ses lèvres bien maquillées ressortaient de ce visage couvert de taches de rousseur et ses longs cheveux roux remontés au-dessus de sa tête en chignon haut et relax. Elle était resplendissante. Je la saluai d’un mouvement de tête et elle prit place sur sa chaise. Elle commanda une margarita à la serveuse.
Au bout de quelques minutes, elle m’adressa la parole pour me demander si j’étais un habitué de la place. Je lui répondis par l’affirmative lui expliquant la raison de mon passage dans cette ville, soit pour le travail. Je me présentai à elle en lui mentionnant mon prénom. Elle fit de même, elle se prénommait Diane. Elle me raconta qu’elle était infirmière et qu’elle habitait cette ville depuis 5 ans. Elle était originaire de Montréal et elle résidait maintenant en Outaouais pour des raisons professionnelles. Son ex-mari ayant été transféré dans cette région pour occuper un poste de cadre au niveau de la compagnie qui l’embauchait. Elle paraissait plutôt jeune, dans la quarantaine peut-être. Elle m’avoua qu’elle approchait de la retraite et qu’elle avait 57 ans. Je n’en croyais pas mes yeux ni mes oreilles.
Au fur et à mesure que la soirée avançait, je lui offris quelques verres et la discussion allait bon train. À un certain moment, nous étions tournés l’un face à l’autre sur ces chaises de bar pivotantes et elle posait régulièrement ses mains sur mes cuisses quand je la faisais rire. Elle se penchait souvent pour laisser entrevoir ses seins sous sa blouse légèrement entrouverte. Mon pénis apparaissait de plus en plus le long de ma cuisse sous mon pantalon tellement elle m’excitait.
De plus en plus de clients étaient présents dans la brasserie et le bruit devenait infernal. Elle s’approcha de mon oreille et me demanda si j’étais d’accord pour aller ailleurs. Je lui fis un signe de tête pour acquiescer à sa requête. Elle descendit de sa chaise et en tournant les talons vers la sortie elle glissa sa main gauche jusque sur ma verge en érection sous mon pantalon, qu’elle avait vu grossir au fur et à mesure de notre discussion. Je sentis que le liquide préséminal venait de mouiller mes sous-vêtements.
Arrivés à l’extérieur, elle m’invita à la suivre, en voiture, jusque chez elle. Elle s’approcha de moi et me tendit un baiser sur la joue tout en s’assurant de frotter sa poitrine sur mon veston ouvert et sur le gilet que je portais. Elle frôla aussi son pubis sur la cuisse où mon pénis était encore bien bandé. Je sentis que cette soirée allait être mémorable.
Elle habitait un quartier cossu de la ville où nous étions. Une belle grande résidence bien éclairée où de grands arbres matures trônaient devant comme pour garder un peu d’intimité à la famille. Je lui demandai si nous étions seuls. Elle me répondit que sa fille demeurait avec elle depuis qu’elle avait divorcé de son conjoint beaucoup trop jeune et immature pour elle. Que sa fille préférait de loin les hommes plus âgés qu’elle. Elle me rassura en me disant qu’il n’y avait pas de soucis à se faire.
À peine entrés dans la maison, elle me fit signe de prendre place au salon, me dit de relaxer, qu’elle allait revenir dans quelques instants puis disparut. Elle revint cinq minutes plus tard, portant une très jolie robe de chambre de style japonais et pieds nus. Elle avait apporté un peignoir pour homme et m’invita à le mettre pour aller dans le spa situé dans la cour arrière de la maison. Je me dirigeai vers la salle de bain pour me déshabiller et enfiler le peignoir.
Diane avait préparé une bouteille de vin blanc bien froide avec deux coupes et m’indiqua la direction vers le spa. Elle déposa le tout sur la bordure du spa et se tourna vers moi. Elle passa ses bras autour de mon cou et m’embrassa passionnément sur la bouche. Je la serrai contre moi pour bien sentir les courbes de ce corps de femme rousse qui me rendait complètement fou d’excitation.
Elle se retira et enleva la ceinture qui retenait mon peignoir fermé, elle descendit sa bouche sur mon torse en léchant mes mamelons et ensuite plus bas sur mon ventre jusqu’à atteindre ma queue bien dressée sous mes sous-vêtements que j’avais gardés. Elle caressa ma verge tout du long et la mordilla par-dessus mon slip. Elle glissa une main le long de ma cuisse et remonta sous mes boxers pour atteindre mon pénis jusqu’au prépuce et dégagea mon gland déjà bien excité et maintenant hors de mon caleçon. Elle cracha dessus et enfouit cette verge au fond de sa bouche avec un va-et-vient continu et hors du commun. Elle y mettait toute la vigueur d’une femme passionnée de sexe.
Accroupie avec les jambes ouvertes, elle en profitait pour caresser son clitoris de l’autre main et émettait des gémissements à répétition jusqu’à ce qu’elle laisse un jet de jouissance arroser nos pieds sur le sol. Elle venait d’atteindre l’orgasme. Relevée, elle ouvrit sa robe de chambre pour me laisser découvrir ses seins dressés et remplis de taches de rousseur tout comme le reste de son corps. Je me demandais si je rêvais ou non. Toute ma vie j’avais souhaité faire l’amour à une femme comme celle qui était devant moi. Je laissai tomber mon peignoir au sol et elle fit de même. Mes deux mains caressaient ses seins et je l’embrassais partout dans le cou en remontant vers son visage, mordillais ses lobes d’oreilles et revenais vers sa bouche.
Elle prit l’une de mes mains et enjamba la bordure du spa jusque dans l’eau. Je la suivis. Elle démarra les jets et l’eau tourbillonnait autour de nos deux corps submergés jusqu’au cou. Nous étions enlacés et mon pénis se trouvait directement sur son pubis poilu et bien taillé. Elle le prit d’une main et le dirigea vers son clitoris en ouvrant les lèvres de son vagin. Sa chatte était lubrifiée et le mouvement de ses hanches faisait glisser allègrement ma queue sur son organe de jouissance. Elle tenait ma tête entre ses mains et se cambra pour engloutir ma verge au fond de son vagin. Elle accéléra le mouvement et à mon tour je la pris par les hanches pour emboîter le pas. Elle me demanda de jouir en elle, que la chaleur de la semence d’un homme dans son vagin la faisait éjaculer et jouir encore plus fort. Quelques va-et-vient ont suffi pour gonfler mon gland dans cette tanière et je sentis le courant traverser tout mon corps jusqu’à l’orgasme et l’éjaculation dans son vagin.
Diane gémissait de plaisir et laissa échapper tout son liquide de jouissance sur mon dard. La pression de son éjaculation fit en sorte qu’elle expulsa mon pénis hors de son vagin. Les ongles de ses mains étaient ancrés sur chacune de mes épaules et après quelques secondes elle relâcha tout pour apprécier le moment que venions de vivre.
Encore entourés par les jets du spa, elle nous versa chacun un verre de vin et prit place dans une des places du spa. Je me collai un peu sur elle et portai un toast à cette merveilleuse baise. Après une heure dans le spa et la bouteille de vin vide, Diane me dit qu’elle était qualifiée en massothérapie et me proposa un massage à quatre mains. Je ne comprenais pas ce qu’elle voulait dire et elle m’avoua qu’elle et sa fille partagent le même fantasme, soit de baiser le même homme en même temps. Elles en avaient déjà souvent parlé entre elles et attendaient seulement que l’occasion se présente. Je me rappelai qu’elle m’avait dit que sa fille préférait les hommes plus vieux qu’elle.
Asséchés, le lit de la chambre de Diane n’attendait que nous. Diane me dit alors de m’étendre sur le ventre et de relaxer. Elle sortit de la pièce et se dirigea vers la chambre de sa fille qui ne dormait pas et qui lisait un livre d’histoires érotiques avec un vibrateur sur sa chatte. Diane se pencha vers sa fille et lui annonça que leur fantasme commun allait se réaliser ce soir-là. Un large sourire apparut dans leur visage et elles s’embrassèrent généreusement.
Je les entendis s’approcher. Elles ricanaient. Dans ma tête, les idées les plus folles se bousculaient, une aventure à trois avec une mère et sa fille. Diane avait mis une petite musique d’ambiance pour le massage qu’elles allaient m’offrir. Tout à coup, elle déversa un peu d’huile chaude dans mon dos et sur mes fesses. Les mains des deux femmes glissaient sur mon corps avec sensualité et désir profond. L’une d’elles écarta un peu mes cuisses pour aller masser mon entrejambe jusqu’à toucher mes testicules. Maintenant allongée sur moi, Diane frottait ses seins sur mes omoplates et sa bouche me mordillait les oreilles pendant que son bassin se trémoussait avec sa chatte velue à la hauteur de mes reins. Sa respiration dans mon cou me montrait tout le désir sexuel qui l’habitait. Au bout de quelques instants, elle me demanda de me tourner sur le dos.
J’aperçus sa fille qui ressemblait beaucoup à sa mère. Un peu plus grande, le corps et les seins fermes, aussi couverts de taches de rousseur, à faire rêver n’importe quel homme. Aussitôt sur le dos, sa fille commença à me masturber et enfouit mon pénis dans sa bouche jusqu’à le faire disparaître complètement. Elle était visiblement une femme à gorge profonde et semblait de toute évidence adorer le geste.
Diane s’était accroupie, les jambes ouvertes au-dessus de mon visage et mettait de l’huile de massage sur mon torse et mon ventre. Elle balayait ses mains dans tous les sens et moi j’avais sa chatte bien ouverte à la hauteur de ma bouche. Je m’empressai de lui lécher le clitoris, ce qui instantanément provoqua un léger jet de liquide féminin lubrifiant vers ma bouche. C’était chaud et très excitant. Sa fille était maintenant assise sur moi au niveau de mes hanches et laissait dépasser le gland de mon pénis juste en haut de son pubis. Elle bougeait de telle sorte que ma verge bien bandée soit en contact avec son clitoris et la fît se lubrifier totalement. Sa mère lui caressait les seins et descendait ses mains jusque sur mon gland qu’elle massait doucement pour me donner plus de plaisir et maintenir mon érection.

La fille de Diane se pencha vers moi pour diriger ma verge vers l’ouverture de son vagin. Ses seins frôlaient ma poitrine. Ses mamelons se pointaient tellement ils étaient gonflés et excités. Son cul bougeait de bas en haut et de haut en bas sur ma queue maintenant à l’intérieur de son vagin. Sa mère la couvrait de baisers sur la bouche tout en lui demandant de me faire jouir en elle comme je l’avais fait préalablement pour elle dans le spa. Moi je continuais à faire le cunnilingus sur la chatte de Diane qui gémissait de plus en plus fort et atteignit l’orgasme seulement quelques instants avant sa fille et moi. L’épisode était intense et à la limite disproportionné tellement c’était bon. Nos respirations qui étaient haletantes ralentirent peu à peu après ce merveilleux moment d’extase.
La fille de Diane étendit à nouveau sa poitrine sur la mienne et vint m’embrasser passionnément. Comme pour me remercier de lui avoir permis de vivre ce fantasme commun avec sa mère. Elles étaient toutes les deux ravissantes et encore pleines de sensualité après cet acte sexuel dont je me souviendrais longtemps. Ce merveilleux échange à trois se poursuivit une bonne partie de la nuit où les orgasmes se succédèrent l’un après l’autre pour ces deux femmes avides de plaisir charnel.
Diane et moi gardâmes contact depuis ce temps. L’occasion fût moins fréquente de nous éclater de cette manière, mais tout aussi satisfaisante lorsqu’elle se présenta. Sa fille avait rencontré un nouveau partenaire un peu plus vieux et lui aussi à ce que je sache aimait beaucoup sa mère. La chance nous avait souri semble-t-il, à tous les deux !
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