Avec Sophie ma compagne, nous sommes des habitués du club libertin se trouvant dans le Quartier des Halles à Paris... Nous y allons en moyenne une fois tous les deux mois... Nous sommes un couple libéré et cela ne nous gêne pas d’avoir des relations lors de ces soirées... Pour moi, c’est un plaisir chaque fois renouvelé quand je vois Sophie entre les bas d’un ou deux mecs bien membrés ou se livrant aux délices de Sapho avec une autre fille. De mon côté, je suis libre de batifoler avec des nanas de rencontre qui sont là pour se faire baiser par d’autres que leur compagnon régulier...
Ce soir-là, nous étions arrivés assez tard, car nous sortions d’un cinéma où nous avions visionné un film qui venait de sortir... Nous faisions notre tour habituel pour repérer d’éventuels partenaires avant de repasser au bar puis au vestiaire où nous avons déposé nos vêtements et autres choses inutiles dans cet établissement. Nous nous sommes séparés : Sophie avait été prise en main par deux mecs archi body buildés... J’espérais qu’elle ne soit pas déçue... De mon côté, j’avais vu au bar une jeunette qui avait l’air de s’ennuyer, de se demander ce qu’elle faisait là... Nous avons bavardé en échangeant des banalités, puis je lui ai posé la question de savoir ce qui l’avait attirée dans ces lieux. — Oh... c’est tout simple... Ma copine de boulot Annie et son mec voulaient s’encanailler et mon jules savait qu’ici, c’était le lieu idéal...— Tout à fait... Mais que sont-ils devenus ???— Ils doivent être quelque part, c’est tellement vaste...— Et Annie, que cherche-t-elle ???— Depuis quelque temps, je sais qu’elle se prépare à se faire sodomiser, elle ne s’en est pas cachée, mais elle ne veut pas que mon compagnon participe... elle a peur que notre amitié en pâtisse.— Je pense qu’elle a raison... Ma femme est quelque part dans la boîte... Je peux te tenir compagnie ???— Oui... T’as l’air gentil et sympa...— Viens, nous allons aller dans une petite chambre où nous serons tranquilles... C’est la première fois que tu viens dans un club libertin ???— Oui... je suis surprise de voir tous ces gens qui visiblement ne se connaissent pas, se mélangent aussi facilement... Montre-moi le chemin... Puisque c’est parti ainsi, pourquoi ne pas en profiter ???— Tu es bien sûre de ce que tu veux ???— Oui... puisque mon mec va certainement sauter une ou plusieurs nanas, je ne vois pas pourquoi je me priverais d’en faire autant...
C’est ainsi que j’ai fait l’amour à Catherine qui a mis un certain temps à se libérer avant de se donner à fond, acceptant que je la baise deux fois de suite... Lorsque je l’ai raccompagnée au bar, elle m’a avoué que c’était la première fois qu’elle baisait avec un autre homme que son compagnon qui l’avait dépucelée il y a quelques années quand elle était encore mineure !!! Mais ce n’est pas de cela dont je veux vous parler... Si les deux soirées du vendredi et du samedi sont réservées aux couples (de circonstance ou établis), à partir de deux heures du matin, les hommes et les femmes seuls sont admis... Alors que je me trouvais encore au bar en compagnie de Catherine, quelle n’a pas été ma surprise quand j’ai vu arriver la mère de ma copine Sophie !
— Oh Marc... quelle surprise !!! Sophie est là elle aussi ???— Oh... bonsoir Marie... je ne pensais pas vous rencontrer ce soir... Oui, elle doit être quelque part.
Marie n’ignorait rien de nos penchants coquins... Telle mère, telle fille... Si Sophie était une véritable assoiffée de sexe... sa mère ne semblait pas être en reste.Le soir où j’avais rencontré Sophie, elle sortait d’un gang-bang où elle s’était fait prendre tous les trous par une dizaine de mecs auxquels elle avait donné rendez-vous sur la plage du Cap d’Agde... Cette nuit-là, je l’avais ramenée à mon hôtel, mais le lendemain matin, elle s’était donnée à moi comme si rien ne s’était passé la veille, mais en me demandant d’être doux !!! Elle avait juste les yeux un peu cernés et elle m’a expliqué que la séance de la veille avait été programmée pour sa majorité !!!Après quelques rencontres ‘’ très sexe ‘’, nous nous étions mis en ménage et j’avais fait connaissance de sa mère.
Quatre ans s’étaient écoulés. Marie était une jeune quadra, toujours très élégante, genre ‘’ executive woman ‘’ et savait se monter séductrice... Ceux qui avaient à faire avec elle professionnellement devaient céder facilement...Pour une femme, elle était relativement grande – je dirais 1.75 m – et elle était toujours perchée sur des escarpins à talon très haut, ce qui la grandissait encore. Blonde aux cheveux mi-longs, elle avait de magnifiques yeux verts que je retrouvais chez Sophie. Le visage ovale était mis en valeur par une bouche aux lèvres un peu proéminentes (comme si elle avait voulu envoyer un baiser) toujours fardées de mauve. Le nez droit était parfois chaussé de lunette à la fine monture... La poitrine que je n’avais jamais contemplée que couverte d’un chemisier strict ou d’un sweat-shirt semblait remarquable par son ampleur et sa tenue (certes aidée par un soutien-gorge ???). La taille était relativement fine pour une femme de cet âge et s’évasait sur des hanches pleines et mouvantes. Chaque fois que je voyais Marie, j’imaginais Sophie au même âge et je me disais que j’aurais beaucoup de chance d’avoir à mes côtés une aussi jolie femme... Ce soir-là, Marie me dit : — Puisque vous êtes là, on va rentrer tous les trois chez moi... Je pense que Sophie sera heureuse de retrouver la maison de son adolescence... Elle la boude un peu, mais ce serait trop long de raconter pourquoi...— Oh... je sais... Elle m’a raconté...— Alors... allons-y puisqu’elle vient d’arriver... Elle doit être libre maintenant !!!— Oh... Maman... qu’est-ce que tu fais là ???— Ma chérie... on t’attendait... Venez, nous allons chez moi...— Tu sais bien que je ne veux plus y aller !!!— Et alors ??? Tu te fais bien sauter par qui le veut et je n’aurais pas le droit d’en faire autant !!!— Mais... tu es ma mère !!!— Tu crois qu’à quarante balais, je n’ai plus envie de me faire sauter ??? Un régulier, je n’en veux plus... J’ai donné avec ton père qui dès que j’avais le dos tourné, sautait sur tout ce qui bougeait dans notre entourage. Comme cela, j’ai l’embarras du choix... et ce soir, j’ai envie de ton mec et accessoirement de te câliner... ça fait si longtemps...— Bon... c’est comme tu veux ! On y va !!!
Une demi-heure plus tard, nous arrivions Porte Maillot et nous entrions dans l’appartement de Marie... — Mettez-vous à votre aise... comme si nous étions dans le club... Je vous montre l’exemple !!!— Waouh Marie... tu es canon... quelle jolie paire de seins...— Dis donc mon coquin... elle te plaît tant que ça ma mère ???— Un peu... Je t’imagine dans quelques années... Allez... laisse-moi te déshabiller !!!
Moins de cinq minutes ne s’étaient écoulées que nous étions tous les trois en petite tenue : Marie et Sophie en soutien-gorge et mini-string et moi en boxer qui avait bien du mal à contenir une érection naissante... — Allez Sophie, montre-moi ce que ce coquin a dans son boxer... Il bande déjà pas mal...— OK... je te montre, mais pas touche !!!— On verra... ton homme a l’air d’avoir un beau bâton de berger !!! Achève de le faire bander et je pense qu’il ne tardera pas à te sauter ???— Oui... je n’en ai pas eu assez ce soir... Les deux mecs qui m’ont levée étaient des ‘’ bande mou ‘’ !!!
Sophie a pris ma bite en main et a commencé à jouer avec comme elle sait si bien le faire habituellement... Tantôt elle se contentait de sucer le gland et faisait aller la pointe de sa langue sur le méat, tantôt, elle absorbait le maximum de longueur pour me sucer... — Bon... je pense qu’il est prêt à t’enfiler...— Oui... et moi, je suis chaude !!!— Comme moi... Vous voir tous les deux ainsi, ça m’a excitée...— Sophie... Tu connais ma posture préférée ???— OUI... Tu vas me sauter en levrette !!!— T’as deviné !!! Mets-toi en position, le cul levé bien haut !!!
J’avais à peine commencé à baiser Sophie que sa mère s’est arrangée pour mettre sa fourche intime à portée de la bouche de Sophie à laquelle elle a dit de lui faire plaisir... — Oh Maman, tu n’y penses pas...— Imagine simplement que je suis une de tes copines, oublie que je suis ta mère... Je sais que tu es bisexuelle, alors ça ne devrait pas te poser de problème...— Bon... si tu y tiens...
Et Sophie s’est penchée sur la fourche intime de sa mère pendant que moi, j’avais la bite au chaud dans son vagin... — Oh... Coquin... Comme tu m’enfiles bien à fond... C’est de voir ma mère se livrer à nous qui te fait cet effet ???— Tais-toi et fais plaisir à ta mère... Elle ne semble demander que ça !!!— Oh oui... J’ignorais que ma fille avait un tel talent ‘’ de broute minou ‘’.— Cela n’a rien d’étrange... c’est quand elle était en pension qu’elle a découvert le saphisme avec ses copines de chambre !!!— Oh... tu ne vas pas tout dire à Maman...— Tu crois qu’elle ne sait pas quel genre de fille tu es ??? Tu veux que je lui raconte ta soirée des 18 ans ???— Oh non... Pas ça !!!— Assez parlé... Applique-toi maintenant !!!
Sophie s’est alors sérieusement penchée sur la fourche de sa mère pour faire ce qu’elle attendait... De mon côté, je veillais à ne pas trop secouer ma partenaire pour qu’elle s’applique en même temps à subir mon coït et bouffer la chatte de sa mère qui a été la première à jouir !!! Puis ce fut le tour de Sophie au moment où je l’inondais de mon foutre... — Waouh... que c’était bon !!!— Oui... te voir bouffer la chatte de ta mère, c’était excitant !!!— Et moi, me faire bouffer la chatte pendant que mon gendre baisait ma fille, c’était le pied... Mais nous avons toute la nuit devant nous...— On te laisse libre du programme...— Pour l’instant, je vais ôter mon soutif... Comme ça tu pourras voir mes seins... Je sais que tu fantasmes dessus depuis pas mal de temps !!! Vrai ???— Oui... et j’imagine Sophie dans quelques années avec une telle paire...— Fais-lui un gosse qu’elle allaitera et tu verras ses seins se développer... J’étais comme elle à son âge... et dès que j’ai été grosse, ma poitrine a pris du volume tout en restant bien ferme... On a la même morphologie !!!— Génial !!!
Marie avait effectivement des seins de folie... Ronds et implantés, bien haut sur son buste, ils avaient une vaste aréole et au centre un téton très proéminent... On aurait dit qu’un mec venait de les téter tant ils étaient érigés... La mère de ma compagne caressait doucement ses rondeurs et titillait le bout érigé en me lançant des regards lubriques. — Alors... Ils te plaisent ??? Tous les mecs avec qui j’ai baisé depuis mon divorce étaient fans de ma poitrine... Je ne compte plus le nombre de fois où j’ai dû satisfaire l’un ou l’autre en lui faisant une cravate de notaire...— Je men doute...— Mais c’était un peu gaspiller la marchandise... J’aime bien sentir quand le mec m’envoie une bonne salve au fond de la chatte !!! Viens... Je sais que tu meurs d’envie de mettre ta bite dans le sillon... Regarde... Tu y seras bien !!!— On avait dit ‘’ Pas touche ‘’ et là... tu offres à Marc de se branler entre tes seins !!!— Pourquoi pas... Il en a envie... Un homme frustré n’est pas un bon amant !!! Je vais le faire renaître et quand il sera à point, il pourra t’enfiler à nouveau ou t’inonder la poitrine de son foutre...
Je me suis mis à cheval sur le ventre de Marie, qui, en prenant ses seins dans les mains, les a rapprochés pour faire une sorte de fourreau bien doux et chaud dans lequel j’ai glissé ma bite...Oh que c’était bon... je faisais aller et venir mon sexe entre les globes généreux de Marie qui de temps à autre léchait rapidement mon gland quand il arrivait à se portée...Je bandais de plus en plus... Mes mouvements se faisaient désordonnés si bien que Marie s’est écriée : — NON... Ne gicle pas... J’ai envie de te voir baiser ma fille !!!
Cette dernière, pas encore rassasiée de sa soirée à moitié ratée et d’une première copulation avec moi, se rallongea sur le lit de sa mère et, prenant ses jambes sous les genoux, elle les replia le long de son buste... La posture était d’une indécence totale, mais Marie serait aux premières loges pour voir ma bite aller et venir dans le sexe de sa fille... Dès que la posture de Sophie a été stabilisée, j’ai écarté les lèvres vaginales et lentement – très lentement – j’ai introduit mon sexe dans celui de ma compagne...Je voulais qu’elle sente la progression dans son vagin et ressente l’ouverture de ses chairs intimes au fur et à mesure de la progression... J’avais bien du mal à me retenir pour ne pas m’enfoncer brutalement dans ce sexe humide à souhait et dans lequel ma bite entrait comme une lame chaude dans du beurre... Marie s’était relevée et agenouillée à mes côtés, elle regardait la progression de mon sexe dans celui du sa fille. Quand nos pubis ont été en contact, elle a passé sa main entre mes cuisses et dit : — Tu es bien enfoncé... Maintenant, tu la baises à ton rythme... Je continue à vous regarder...
Mais ce que je n’avais pas remarqué, c’est que Marie avait introduit dans ses orifices un gode à double tête et elle faisait rouler doucement son bassin... — Eh oui... à défaut d’une vraie, je dois me contenter ainsi...— Et si je te prêtais Marc quand il aura fini avec moi ???— Oh ma chérie... Depuis ce soir, j’ai envie de sentir sa bite en moi... Elle est longue et relativement fine...— Et ça, il sait s’en servir !!! Même quand il me prend la rondelle, j’éprouve beaucoup de plaisir et lorsque je sens les giclées de foutre au fond de la capote, tu ne peux pas savoir combien je jouis à mon tour !!!— On verra... Pour l’instant, finissez de baiser tous les deux !!!
Je continuai de baiser la fille pendant que la mère nous regardait et s’agitait de plus en plus sur le gode qui habitait ses entrailles jusqu’au moment où j’envoyai quelques belles giclées contre l’utérus de Sophie que j’entraînais dans une jouissance démentielle... Pour mieux me sentir en elle, elle noua ses jambes sur mes reins et agita son bassin pour que mon sexe continue d’aller et venir dans le sien, à la recherche d’une seconde jouissance qui ne tarda pas à venir...Hélas... Pour l’instant, je n’avais plus rien à lui servir !!!Lorsque nous nous sommes désunis, elle se contenta de prendre ma bite dans sa bouche après avoir dit : — Je la nettoie... je te fais bander à nouveau et tu vas baiser ma mère... Je t’en donne la permission !!!— Waouh... et je ne devais pas toucher !!!— Quand il y en a pour une, il doit y en avoir pour deux...— C’est toi qui vois !!! Mais ta mère m’a toujours fait envie... Quand je t’ai recueillie au Cap, j’ignorais que ta mère fut aussi bandante...
Quelques minutes plus tard, Marie achevait de me sucer et de me remettre en forme, aidée en cela par sa fille Sophie qui massait mes bourses... avant de dire à sa génitrice : — Je pense qu’il est prêt !!! — Comment veux-tu qu’il te prenne ???— Je ne vais pas me priver de sentir sa bite longue et fine dans mes entrailles... Il va me sodomiser !!!— Waouh... Tu n’y vas pas par quatre chemins... Mais tu vas quand même le sentir entrer !!!
Marie s’est mise à quatre pattes au centre du lit et je me suis placé derrière elle... Elle avait un fessier rond et plein avec une raie dans laquelle ses orifices palpitaient doucement... Elle savait ce qui l’attendait puisque cela était son souhait... J’ai humecté le préservatif en faisant quelques mouvements dans sa chatte puis j’ai appuyé mon bout contre sa rondelle...Elle s’est déplissée et mon gland a franchi le pertuis avant d’aller lentement jusqu’au fond des entrailles de Marie...J’étais bien... sa séance avec la gode avait facilité les choses... Son cul était ouvert et humide !!! — Vas-y ! Encule-la puisque c’est ce qu’elle veut !!!— Oh oui... je te sens bien... Ramone-moi à fond...— T‘inquiète... baiser la mère après la fille, je n’aurais pas cru avoir cette chance ce soir !!!
Et c‘est ainsi que la nuit s’est poursuivie jusqu’au petit matin où les deux femmes se sont liguées pour me faire une fellation d’anthologie avant que je me vide sur leurs seins...
Quand nous avons regagné notre logement à l’autre bout de Paris, Sophie m’a surpris en me disant qu’elle voulait bien que je baise sa mère, mais elle exigeait d’être présente... ajoutant qu’ainsi, je n’aurais plus besoin de grimper des quadras que je recherchais dans les clubs...
