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Une Saint-Sylvestre pas comme les autres …

Chapitre 12

Voyeur / Exhibition
— «Merci Marc. C’était inattendu mais très fort. Je suppose que j’avais besoin d’évacuer toute la tension accumulée. Et quelle façon d’évacuer!!! ».
Je lui souris, remonte sur son corps jusqu’à sa bouche à laquelle je me connecte pour un baiser d’amoureux. Elle semble heureuse; moi-même je suis concentré sur le moment, et tout le reste n’existe plus.Elle bouge son corps pour prendre appui, me fait basculer sur le côté et passe au-dessus de moi. Toujours en souriant, ses superbes cheveux roux encadrant son visage radieux, elle commence à m’embrasser partout sur le torse, le cou, me mordille les oreilles, le nez, les lèvres …Elle glisse vers mes jambes, sa poitrine se frottant sur tout mon corps, gardant l’excitation assez élevée.Mon sexe passe également entre ses seins, qu’elle resserre pour bien le tenir prisonnier.Dans cette position, Elise monte et descend son buste pour me prodiguer une bonne branlette espagnole. Elle sort sa langue pour laper mon gland à chaque passage.L’excitation est trop forte; je sens que je ne tiendrais pas plus longtemps, et le lui dit.Elle arrête son va et vient, me fait un grand sourire, ouvre la bouche et se lèche les lèvres comme une gourmande.Elle plonge alors sur ma bite, qu’elle prend pratiquement totalement d’un coup. C’est super bon, mais cela me fait penser au spectacle de la nuit dernière … 2 styles différents pour sûr!!Ca me gêne un peu aussi, car avec Fabio, elle avait l’habitude de plus grand … quelle connerie quand même ce complexe masculin!Car elle se dégage et me rassure, me disant qu’elle aimait bien ma taille, et mon goût … comme si elle avait entendu ma pensée!Elle veut que je jouisse dans sa bouche, et recommence à me lécher partout, surtout sous le gland.Je n’en peux plus, lâche un grognement de plaisir tout en lui poussant un peu sur le crâne. Je me laisse aller en plusieurs jets chauds qui tapissent sa bouche. Elle n’en perd pas une goutte, et avale sans sourciller.Après avoir bien nettoyé mon sexe des testicules au bout du gland, elle se jette en arrière sur le dos, l’air satisfaite d’elle.Je me tourne vers elle pour encore l’embrasser. Sa langue et ses lèvres ont bien le goût de mon sperme.Etrangement, je ne suis pas en période réfractaire, ce qu’elle me fait remarquer avec une lueur lubrique dans les yeux.Elise me prend en main, me caresse doucement. J’en fais de même avec elle, lui caressant les seins, le ventre, les hanches.Elle ferme les yeux et tressaille. Clairement, elle en veut plus.Surpris mais heureux de ma bonne forme, je ne veux pas perdre de temps, au risque d’une débandade!Je glisse une main sur son sexe, lui caressant l’extérieur des lèvres du bout des doigts. J’effleure à peine son clitoris, ce qui lui envoie une décharge et la fait gémir assez fort. Mon majeur s’insinue entre les lèvres, et fait son chemin jusqu’à l’entrée de sa grotte d’amour toute chaude, et lubrifiée un maximum.Je fais de petits allers retours avec mon doigt, puis ajoute un autre, puis un troisième.Elle apprécie, lève son bassin pour venir à la rencontre de ma main. Elle prend ses doigts en bouche pour bien les humecter, puis se caresse les tétons bien érigés.
Sa respiration se fait de plus en plus bruyante, saccadée. Ses jambes se tendent (je prends un coup de genou au passage), elle pince ses tétons et les étire, et puis … l’explosion. Elle crie, pleure; ses mains battent l’air autour d’elle. Elle souffle, comme si elle marchait pieds nus sur des braises!Je la regarde se débattre avec elle-même. Finalement, la tension retombe, et son corps aussi. Pour la taquiner, je reprends les caresses, je lèche ses tétons.Elle hurle presque pour accompagner les dernières vagues de plaisir qui l’envahissent, me demande de la laisser récupérer un peu.Je recule, me mets à genou à côté d’elle, et commence à doucement me masturber presqu’au-dessus d’elle.Elle ouvre les yeux, sourit de la situation.Elle me prête une main qui me caresse partout, mais surtout me malaxe délicatement les testicules.Elle revient dans l’ambiance, car son autre main commence à se promener sur ses seins, descend sur son ventre avec le revers, et arrive sur son mont de Vénus, qu’elle survole de haut en bas et de droite à gauche, touchant à peine du bout de ses doigts.Elle augmente la pression sur son clitoris, ce qui la fait se tortiller du bassin sur le lit.2 de ses doigts pénètrent alors son vagin, tout doucement.Elle est chaude, et j’arrête mon onanisme pour aller me placer entre ses jambes.Je prends le temps de les lui caresser, des pieds jusqu’à son entrejambe, m’attardant sur les mollets, l’intérieur des cuisses.Elle me regarde, le regard empli de joie et d’envie. Elle mord sa lèvre inférieure, et me fait « oui » d’un hochement de tête.La verge toujours bien raide et dure, je me présente à l’entrée toute luisante de son vagin, et fais glisser mon gland doucement à l’intérieur. Gourmande et impatiente, Elise donne alors un grand coup de rein pour me faire entrer d’un coup bien profondément. Nous basculons dans le sexe bestial, sans fioritures. J’attrape ses cuisses des 2 mains pour bien la tenir, donne de grands coups de reins pour l’embrocher jusqu’à la garde. A chaque coup, elle lance un grand «Aaaaaahhhhhh, Oooooouuuuuhhh» qui flatte mon égo.A voir la rage qui nous habite, on pourrait penser que nous nous vengeons sur l’autre de ce que nous avons subis cette nuit.Je lâche une des cuisses pour malaxer un de ses seins blanc, juste tacheté de l’aréole brune, de laquelle sort un téton des plus érigé. Elle apprécie le traitement, les yeux fermés, se caressant l’autre sein. Ses cris se font moins profonds, plus stridents.Encore quelques coups de butoir, et elle bascule dans l’orgasme, son bassin faisant des mouvements incontrôlés, ses mains agrippant mes bras, ses jambes tendues sur mes épaules!De la voir jouir ainsi me procure une grande joie, et je me laisse aussi aller à l’orgasme. Sentant mes giclées cogner le fond de son utérus, elle ouvre les yeux, me fait un super sourire: «oui! Viens en moi. Lâches-toi.»L’adrénaline du «combat» est retombée, mes jambes vacillent.Je me laisse tomber à côté d’elle, une main sur son ventre. J’ai chaud, le souffle coupé, mais pour un instant, je profite de ce bonheur.Après quelques minutes, je me dresse sur un coude pour la regarder.Comment peut-on être assez con pour trahir une si belle femme ??!Décidément, certains ne voient pas la chance qu’ils ont.Ou bien, il est tellement imbu de lui-même, tellement sûr de son charme qu’il pense soit pouvoir la garder quoi qu’il arrive, soit pouvoir la remplacer par un autre trophée tout aussi beau.Je ne sais pas pourquoi, mais je me sens de nouveau protecteur; je me penche sur elle pour l’embrasser langoureusement.Elle embrasse super bien; des lèvres pleines sans être trop charnues, une moiteur exquise, une langue très agile et vigoureuse.Bref, du pur bonheur.Je me redresse, lui fais un p’tit clin d’œil et vais chercher nos verres, que je remplis.Nous trinquons à l’instant présent. La cession qui vient de s’achever était très intense. Mais, nous savons tous deux que nous étions dans la vengeance, dans la frustration et la surexcitation qui découlaient de la tromperie dont nous avons été victimes.L’ambiance devient un peu bizarre. Comme il faut passer le temps jusque ce soir, je lui demande ce qu’il y a d’ouvert dans la capitale ce 1er. Janvier.Elle ne sait pas trop, vu qu’elle devait aller au Louvres, réfléchi un peu, puis propose d’aller se balader sur les Champs Elysées, et de voir si la grande roue fonctionne.Nous nous habillons et partons vers les Champs. Il n’y a pas grand monde dans les rues.Nous parlons de tout et de rien, de nos vies, de notre jeunesse.Elle me montre ses magasins et vitrines favoris. Sans s’en rendre compte, nous marchons main dans la main, et c’est très agréable. Pour notre bonheur, la grande roue fonctionne. Nous achetons 2 billets et prenons place dans une nacelle. Il y a juste un autre couple de personnes âgées.Comme il fait assez frisquet, Elise se blottit contre moi. La vue d’en haut est superbe, surtout que la nuit est tombée, et nous pouvons voir les illuminations un peu partout.Grisé par l’ambiance, nous nous embrassons.La dame en face nous regarde, nous fait un grand sourire, et même un clin d’œil. Nous leur sourions en retour.Le temps passe vite en bonne compagnie. Il se fait tard, et j’ai faim. Elise suggère un petit restaurant très sympa où elle a l’habitude d’aller … avec Fabio.
— «Je préfèrerai aller ailleurs. Imagine qu’il emmène ma femme là aussi, cela ruinerai nos plans pour ce soir! Sans parler de notre illégitimité à nous aussi. Il vaut mieux changer de quartier si tu connais d’autres restos»
— «Oui, viens. En effet, je n’y pensai plus. Prenons le métro, je connais un autre restaurant que lui n’aime pas! Ce serait pas de chance qu’on les voie là-bas.»
Nous prenons donc le métro pour quelques stations, et arrivons au restaurant.Il n’y a pas beaucoup de monde, et je peux donc choisir une table vers le fond, qui me donne une vue sur la porte sans être vu tout de suite.Le repas se passe dans le calme. Le restaurant ne paie pas de mine de l’extérieur, mais c’est très cosy à l’intérieur.Sans parler de la nourriture qui est très bonne.Nous passons un bon moment, et le patron nous offre un verre de champagne avec le dessert. Il est temps de mettre en place notre plan d’attaque; il faut avoir un bon timing pour les surprendre en pleine action.Si nous arrivons trop tôt, notre effet tombera à plat, et même si nous avons des preuves de la nuit dernière, trop tôt laisserait trop de place à des discussions, des argumentations de leurs parts.Ca me fait penser à passer à la voiture prendre l’appareil photos, au cas où je pourrais accumuler des preuves.
— «Elise, tu devrais appeler Fabio pour prendre de ses nouvelles, voir s’il est à l’hôtel. Il est presque 22 heures, et s’ils ont été manger à l’extérieur, ils doivent être rentrés.Tu lui confirmes que tu es bloquée à l’hôpital parce que ton collègue est absent; que c’est dommage pour le WE en Bretagne.Demandes-lui si le Louvres c’était bien, s’il a mangé là-bas ou à l’hôtel, à quoi il occupe sa soirée.Est-ce que tu tiendras le coup? Tu ne vas pas craquer?»
— «Non, ça ira. Cet après-midi m’a fait comprendre beaucoup de choses.OK, Je lui dirai que je suis en salle de repos, et que je pensais à lui.»
Elle se recule un peu dans la banquette et compose son numéro.Plusieurs sonneries retentissent avant qu’il ne décroche.Elise le salue, et lui parle. L’échange commence alors entre eux. Elle se débrouille bien. Apparemment, il répond à ses questions. D’après ce que je peux comprendre, il est à l’hôtel. Il a commandé son repas en chambre, et viens de terminer.Je sens que la colère monte un peu chez Elise, et je lui caresse doucement le bras pour la calmer. Elle me regarde avec ses yeux mouillés de larme. Je les lui essuie. Elle me sourit tout en écoutant l’autre lui débiter ses mensonges.Finalement, elle coupe court à la conversation en prétextant l’appel d’une infirmière. Elle tremble en rangeant son portable dans son sac. Son visage est tout rouge de rage, et un peu de honte de s’être fait berner de la sorte.Je lui prends les mains, la tire doucement vers moi, et dépose un baiser sur ses lèvres tellement désirables. Elle craque et se pend à mon cou, en continuant de m’embrasser. Notre étreinte dure un moment.Je sens ses larmes couler sur ma joue, et mon sexe qui durcit à vue d’œil dans mon pantalon.Je coupe court, et commande un dernier verre pour nous donner du courage pour la suite.
— «Au fait Elise; je n’ai pas eu l’occasion de te raconter hier soir …».
— «C’est vrai. J’y pensais moi aussi tout à l’heure. Après être allée au bar pour un remontant, je t’ai cherché près de la réception pour parler avec toi, mais je ne t’ai pas trouvé. Je suis alors rentrée chez moi.»
— «En fait, comme je suis un peu ami avec Pierre le chef réceptionniste, je l’ai supplié de me donner un double de la carte d’accès de votre suite. Comme il a vu ce qui se passait, il m’a aidé sur ce coup, à condition de ne pas le compromettre.Alors, je suis monté au 7ème., suis rentré doucement dans la suite, et ai vu et entendu des trucs auxquels je ne m’attendais pas du tout. C’était à la fois dégueulasse, mais aussi très excitant. Ils ont passé en revue une partie du Kamasutra!Mais, le pire c’était la discussion après leurs ébats. Tu aurais été furieuse si tu avais entendu ce qu’il disait, ce qu’il lui proposait.Avec le recul, de savoir qu’il avait quelqu’un, ça me paraît encore plus monstrueux …Donc, ce soir, si je les confonds avec les preuves que j’ai d’hier soir, si Fabio me demande comment je suis entré dans la suite hier, nous devrons dire que c’est toi qui m’as donné ta carte d’accès!S’il insiste, on éludera la question, au pire on pourra lui dire qu’on s’est rencontré cette nuit au bar, et qu’on s’est rendu compte que nos compagne/compagnon respectif devaient être ensemble, puisque pas avec nous!!! Je ne pense pas qu’il insiste plus avec ses questions. De toute façon, il est en tort … ils sont en tort tous les deux.»
— «Ok. Je me demandais aussi comment tu pouvais être au courant de ce qui s’est passé, et des détails.En tout cas, c’est vraiment un beau salaud. Et, sans vouloir t’offenser, ta femme aussi s’est comportée en belle salope …»
Ca me choque un peu; mais pas tant les paroles d’Elise que les actes de Nathalie.
Je paie la note du restaurant, puis nous nous mettons en route vers le dernier acte.Nous devons repasser par son appartement pour récupérer sa carte d’accès à la chambre, et l’appareil photos dans ma voiture.De là, une petite balade à pieds jusqu’à l’hôtel.
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