Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 195 J'aime
  • 11 Commentaires
  • Corrigée par l'équipe

Une Saint-Valentin au Japon

Chapitre 1

Erotique
Qu’est-ce que je fais ici ?
Tels furent les mots dans la tête d’Hana.Elle se tenait devant cette porte, remplie de questions, stressées, les mains moites, et sans s’en rendre compte, elle venait d’appuyer sur la sonnette.
Mais comment en est-elle arrivée là ? Pour cela, remontons quelques mois en arrière.
***************************

C’est mon premier jour de cours dans ma nouvelle fac de français, après quelques mois pour m’adapter à ce nouveau pays... ah mais oui ! J’en oublie l’essentiel, moi c’est Damien, 22 ans célibataire et libre comme l’air, un Franco-Japonais qui vient tout juste d’arriver dans le pays de naissance de ma mère, pays où je ne passe pas inaperçu, du fait d’avoir en grande partie hérité du physique de mon père, 1m75, 85 kilos, des légères rondeurs, juste mes yeux très (trop ?) légèrement en amande, et mes cheveux noirs pourraient trahir mes origines japonaises.
Me voici donc dans ma nouvelle classe, et comme le veut la tradition, après une rapide intronisation de la part de mon professeur, ainsi que de ma propre présentation, je vais m’asseoir à la seule place encore libre, dans les derniers rangs et près de la fenêtre.Étant nouveau, je reste en retrait sans trop chercher à vouloir m’intégrer avec les groupes déjà présents, mais je réponds volontiers aux questions des quelques curieux qui veulent en savoir plus, mais lorsqu’un moment de calme se présente, je mets mes écouteurs et lance ma playlist pour rester tranquille dans mon coin, le temps de pouvoir prendre mes marques lors de cette première journée.
Les semaines passent, et je commence à connaître une partie de ma classe, partageant mes trajets quotidiens avec une partie d’entre eux, tout en limitant au possible de me faire remarquer, mais c’est surtout une certaine Hana, 21 ans, que je vois le plus souvent, et il se trouve que le hasard fait parfois bien les choses, car cette dernière se trouve habiter à deux maisons de chez moi.
Hana est le genre de fille qui attire tous les regards, surtout des garçons qui aimeraient sortir avec elle, mais aussi des autres filles qui l’envient, car elle même ne ressemble pas à l’image que l’on a des jeunes femmes japonaises ; certes elle est mince et bien proportionnée, mais je devine qu’elle possède sous ses vêtements une poitrine bien plus importante que les autres filles de la classe, un bonnet B, voire C, à première vue. Mais je n’ose pour autant l’aborder, car j’imagine que cette dernière se trouve déjà en couple, et malgré quelques regards, qui semblent appuyés, je n’ai jamais réussi à déterminer si elle me regardait moi, la route ou encore autre chose.
Hors, tout va changer, lorsque, dans le Konbini
Commerce de proximité ouvert 24h/24 et 7j/7
proche de chez moi pour acheter le dernier numéro du Shonen Jump, qui va donner des informations sur le retour de l’adaptation animée d’un de mes manga préférés ; je me rends compte, en me rapprochant du rayon, qu’il ne semble pas rester un grand nombre de magazines, et au moment de l’attraper, je vois une main le prendre avant moi...

— Excuse-moi, c’était le dernier, tu le voulais ?
C’est à ce moment, et sur le doux son de sa voix, que je reconnais Hana.
— Euh !... Oui.
— Oh mais c’est toi Damien ! Je ne savais pas que tu t’intéressais à ce genre de magazine ?—... Oui, j’aime bien les mangas et les animes, comme beaucoup de garçons de notre âge je suppose... mais que toi tu t’y intéresses ?— C’est-à-dire que t’es toujours dans ton coin, et comme tu ne parles pas trop de ce que tu aimes en cours... on te prendrait pour Shinji Ikari, et puis j’ai beau être une fille, j’aime bien lire le Jump ; certainement à cause de mon père qui se comporte comme un geek et qui m’y a donné goût à force de me saouler avec Dragon Ball, Naruto et One piece, mais c’est surtout pour mon petit frère que je suis là.— Shinji Ikari !... Tu me prends pour un personnage d’Evangelion ?— Oui oui, c’est tout à fait toi, surtout quand tu mets tes écouteurs pour t’isoler un peu plus.—... Euh ouais, si tu le dis... et si c’est pour ton petit frère alors, je te le laisse.— T’es sûr ? Ça ne me dérange pas de te le donner ?— T’inquiète, en plus tu l’as déjà en mains, donc je repasserai voir un autre jour s’ils en ont reçu à nouveau.
C’est en la quittant, que j’ai l’impression d’entendre de sa part un timide « merci » presque inaudible.
***************************


Quelle ne fut ma joie de tomber sur Damien au Konbini, et de pouvoir lui parler en dehors de la fac, même si ce fut un court moment.Depuis son arrivée à la fac, j’ai ressenti une grande attirance pour lui, alors que pourtant, il n’a rien des dits canons qui attirent mes copines, mais, je ne saurais expliquer pourquoi. Je pense que c’est ce côté non sûr de lui et son comportement, presque normal, surtout lorsqu’il me regarde, il ne semble pas avoir ce regard pervers qu’ont les autres garçons, mais c’est comme s’il regardait mon âme plus que mon physique.Cela fait quelques semaines que mes sentiments envers lui grandissent de jour en jour, et depuis peu de temps, je ressens également des vagues de chaleur de plus en plus présentes dans mon entrejambe, ce qui me force à me caresser de plus en plus souvent.
— Merci, tel fut le dernier mot que je lui dis, me sentant rougir, serrant le Jump contre ma poitrine comme s’il m’avait fait un cadeau précieux, mais une autre envie me vient au même moment, et je dois vite aller éteindre le feu qui vient de naître en moi.
Les quelques mètres que je dois parcourir à pied me semblent être des kilomètres, je sens ma culotte s’humidifier de plus en plus.Une fois dans ma chambre, je n’en peux plus, et je me débarrasse de mon jeans et de ma culotte dans un même geste, pour aussitôt poser ma main sur mon clitoris en feu qui fait monter un peu plus le plaisir à chaque mouvement, mes doigts rentrent et sortent de mes lèvres grandes ouvertes et complètement trempées de cyprine que je sens couler le long de mes cuisses, je n’arrête pas de penser à Damien, je l’imagine avec moi, qu’il me fait l’amour avec passion.
— Hum... hum... oh oui... huumm... oh Damien !
Je finis par me déshabiller complètement, libérant ma poitrine pour imaginer les mains de ce dernier me caresser entièrement.
— Oh oui, continue... huumm, c’est bon... huuummm !
Mes doigts jouent avec mon clitoris avec vigueur, tout en accélérant les va-et-vient, me pincent un téton de ma main libre.
— Oui !... Ouuiii !... je... je t’aime... ooooh oooouuuuuiiiiiii !!!
Je suis submergée de bonheur comme jamais je ne l’ai été, mon orgasme, libérateur, et d’une intensité jamais ressentie encore.Mon esprit et mon corps reviennent peu à peu à la normale.
— Je t’aime, j’avais enfin dit à voix haute ces mots, ceux que, inconsciemment, je ne voulais pas encore prononcer et encore moins imaginer.
Un rapide coup d’œil sur mon smartphone pour regarder l’heure, la date du jour m’interpelle.
— C’est décidé, dans quelques jours, il le saura !
***************************

Le grand jour est enfin arrivé, nous sommes le 14 février, jour de la Saint-Valentin, c’est aujourd’hui que je vais déclarer ma flamme à Damien. Heureusement, nous sommes samedi, ce qui va me permettre de pouvoir préparer tranquillement les chocolats que je lui offrirai ce soir.Je ne vois pas passer la matinée, trop occupée à cuisiner, ce qui étonne mes parents peu habitués à me voir derrière les fourneaux. Une fois ma cuisine terminée et rangée, je m’occupe de mettre tous les chocolats dans une boîte, que j’entoure d’un tissu représentant un cerisier en fleurs, le tout maintenu par un ruban rose.
Maintenant, il est temps de me préparer, en lingerie devant mon armoire, j’opte donc pour passer une paire de collants noirs, une jupe plissée qui m’arrive juste au genou, un t-shirt blanc qui met en valeur mon 90C et je complète ma tenue d’un pull léger moulant. Je me maquille légèrement, pour un effet naturel, un peu de blush, un léger trais d’eye-liner, un rouge à lèvres rosé, et pour ma coiffure, un chignon que je fais tenir avec deux baguettes, en prenant soin de faire retomber deux fines mèches de chaque côté de mes yeux en amande.
Je me dirige vers la maison de l’homme que j’aime, avec mon cadeau dans les mains, le cœur et la tête pleins d’espoir.Une fois devant sa porte, je commence à douter de mes intentions, des questions me traversent l’esprit.
- M’aime-t-il lui aussi ? Que va-t-il penser de moi ? Fais-je une erreur ? Qu’est-ce que je fais ici ?
Ding-Dong Ding-Dong
Diffuse en direct !
Regarder son live