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Une Saint-Valentin orgiaque

Chapitre unique

Gay
Enfin, la Saint-Valentin. Pour ceux qui ont lu mon histoire ¨Mon gladiateur sexy¨, vous savez que Denis et Sylvain ont donné une soirée pour la Saint-Valentin. Alors, il est temps que je vous raconte, en détail, tout le plaisir que j’ai eu à être l’un des invités. Nous étions tous conviés pour seize heures. Je prends donc la route vers quinze heures, ayant pris grand soin d’apporter mon costume. Eh oui, comme toujours lors des réceptions chez Denis et Sylvain, le costume est de mise. On nous avait demandé de personnifier Cupidon. Je m’étais donc fait confectionner un costume sur mesure, et quel costume. Pour commencer, un jockstrap moulé en cuir sur lequel sont collés de minuscules pics de métal. Rien entre les fesses. Ma queue et mes boules retenues par un élastique. Par-dessus; une large lanière de cuir, agrémentée elle aussi de pics de métal. Au devant, elle contourne par le haut pour laisser voir mon jockstrap et derrière, moulant mon cul à souhait, on y trouve une fermeture éclair. Au devant, deux lanières servant à boucler des jambières et pour terminer, de très belles bottes lacées qui montent jusqu’aux mollets. Le tout, en couleur rouge feu. Et je ne dois pas oublier les énormes ailes rouges attachées aux épaules. A mon arrivée, je remarque aussitôt de superbes mecs, tous parfaits esthétiquement parlant. Ils sont tous vêtus que d’un jockstrap rouge et de petites ailes. Sur l’épaule, un carquois pour y ranger de petites flèches et bien entendu, un petit arc. Je sais que ces mecs ne sont pas des invités mais plutôt des escortes engagées par nos hôtes. Le majordome, tout vêtu de noir, m’invite à le suivre à l’étage, me dirigeant vers une chambre où je pourrais me changer et, si je le désirais, y passer la nuit. Chez Denis et Sylvain, nul ne prend le volant si l’alcool a coulé à souhait. Le majordome quitte donc la chambre, refermant la porte derrière lui. Je pose l’enveloppe de cuir sur le lit dans laquelle s’y trouve mon costume et en sort chaque pièce, déjà fébrile de le porter. Je me disais que la plupart des mecs seraient vêtus d’une simple jupette blanche alors, je sais que je ferai un Cupidon sexy.  Une fois mon costume sur le dos, j’examine dans le miroir si tout est parfait. J’aime bien ce que je vois, je l’avoue. Je dois vous apparaître quelque peu pompeux mais je ne suis pas du genre très modeste quand il s’agit de mon body. Je sais que je plais et jamais je n’ai fait semblant d’en douter. Alors ce n’est certainement pas le temps, lors de cette soirée, de jouer à celui qui ignore qu’on le matera avec, en tête, des idées bien précises. J’ai bien l’intention de me montrer le plus sexy possible et surtout, de profiter des regards qu’on me lancera.  Je quitte donc la chambre, ayant pris soin d’y laisser mon cellulaire, cet objet étant formellement interdit, ni Denis ni Sylvain désirant que des photographies puissent être prises. Lorsque j’arrive face au grand escalier, l’effet se fait aussitôt percevoir par ces mecs qui se retournent pour m’observer. Je descends lentement, juste assez pour leur laisser le temps de me regarder à leur guise. Je vois alors mon ami Jean-Yves et je me dirige aussitôt vers lui. Eh oui, il porte une jupette blanche mais je ne suis nullement surpris car Jean-Yves est du genre plutôt conventionnel. Et s’il se trouve à cet endroit, c’était bien parce que son conjoint, lui, adore ce genre de soirée. Déjà, il en est à sa quatrième coupe de champagne. Je sais bien qu’il profite de l’alcool pour se permettre certaines frivolités, frivolités qui demeureront dans le bon goût alors que Samuel, son conjoint, se fera une joie d’user de sa bite pour tout petit cul qui s’ouvrira devant lui. C’est un drôle de couple, mal assorti mais comme ça ne me regarde nullement, je n’ai jamais rien dit, espérant que Jean-Yves y trouvait tout de même du bonheur.  — Wow, tu es superbe, me dit Jean-Yves, la bouche entrouverte comme un poisson. Tu vois ces mecs qui bavent en te regardant. — Où se trouve Samuel? Dis-je en espérant qu’il n’est pas déjà en train de fourrer un mec quelconque.  — Il est à la salle de bain. Ah, le voilà qui s’en vient.  Je ne me retourne pas pour le voir, n’étant pas très fan de ce gars.  — Allo sexy Cupidon, me dit-il. Tu sais que je pourrais me laisser tenter par ce cul bombé, poursuit-il en plaquant sa main sur mes fesses.  Je le regarde droit dans les yeux, sans aucun sourire — Ne pers pas ton temps, tu sais très bien que je ne baiserai jamais avec le copain de mon ami. Tu vas devoir te contenter de regarder.  — C’est de valeurs, ma queue est déjà prête pour l’action et on sait tous que ton cul est de notoriété publique. Impossible de savoir le nombre exacte de bites qui ont crémé ton popotin. 
 — Tu as raison Samuel, je ne tiens pas de statistique sur mon cul. Mais une chose est certaine, c’est que ton asperge n’y entrera jamais. Je me détourne de lui et regarde Jean-Yves qui, les yeux baissés, ressent un très grand malaise des propos de son conjoint. Je prends donc une coupe de champagne, pour accompagner mon ami, détestant ce vin mousseux mais bon, je sais que ça fait plaisir à Jean-Yves.  Discutant de choses et d’autres, le temps passant, le nombre d’invités augmente toujours. Je tente d’écouter les dires de mon ami mais j’avoue que mes yeux se promènent un peu partout, y découvrant des spécimens assez intéressants. Certains portent de très beaux costumes mais la majorité ne s’est pas donné grand peine et je trouve cela désolant pour Denis et Sylvain qui eux, mettent le paquet pour faire de leur soirée quelque chose de mémorable. Ils ne lésinent jamais sur la dépense et je me dis que les invités auraient pu se forcer un peu plus mais bon, on ne change pas le monde.  Je décide donc de faire un tour d’horizon, m’excusant auprès de Jean-Yves. Il est grand temps que je débute mon examen des lieux ou plutôt mon examen des mecs. Je me dirige vers le grand salon qui est bondé à souhait. Un vrai terrain de jeu. J’y entre, heureux de voir que tous ces mecs me lorgnent. Je remarque Tommy, une connaissance du bar, et vais le retrouver. Il discute avec un mec, un beau black musclé, d’environ quarante ans. Je ne l’ai jamais vu donc il ne vient certes pas de Montréal. Il porte une jupette blanche, eh oui, mais elle lui va à la perfection. Très courte, elle laisse voir ses cuisses musclées et surtout, on remarque bien que dessous, son membre viril est libre de tout mouvement. Il n’est nullement bandé et l’on y voit une bosse assez intéressante. Tommy me présente donc Adam qui me donne la main. Quelle poignée de main. Ce mec est tout en roc et le plus charmant est son sourire qui dit ouvertement qu’il ne sait même pas qu’il est canon. Ce mec est tout à fait charmant.  — Je me sens quelque peu intimidé par ton costume, me dit-il de sa voix grave et chaude. Tu y as mis le paquet et je dois t’avouer que tu es sans doute le mec le plus sexy de la place.  Je le remercie, admirant ses tatouages colorant ses muscles comme une œuvre d’art. Et il se met à faire le tour de moi, m’expliquant qu’il désire tout simplement visualiser sur tous les angles ce costume fabuleux.  — C’est bien cette fermeture éclair. Tu peux me dire elle sert à quoi? Je le regarde droit dans les yeux, sourire en coin, avant de lui répondre. — Sait-on jamais, des fois que sous ta jupette ton boudin s’agiterait et qu’il serait pressé de labourer ce champ qui se trouve sous cette lanière de cuir. Il laisse alors entendre un rire, disant que la soirée était encore jeune.  — Pourquoi, il y a un temps pour ce genre de chose? Lui dis-je en caressant son torse avant de reprendre le pas de marche.  Je me dis que ce mec, je l’aurai tôt ou tard, il suffit tout simplement de le garder à l’œil. Et de toute façon, le salon est rempli de mecs super bandants. Et moi, mon canon se voit compresser dans mon jockstrap, excité comme jamais devant ces bodys en chaleur. Et ma rondelle, humidifiée, est déjà prête à se laisser défoncer. Mais comme l’a dit Adam, la soirée est encore jeune, sauf pour deux gars qui s’embrassent à bouche que veux-tu. Pour eux, l’action vient de commencer. Et l’envie de fumer se fait sentir. Je décide donc de monter à ma chambre pour y griller une cigarette.  En longeant le corridor, je remarque qu’une porte de chambre est entrouverte. Je ralentis le pas et observe un mec, couché sur le ventre, la joue gauche contre l’oreiller, les yeux fermés. Lui aussi porte une jupette blanche, plutôt courte. Le fait que ses cuisses soient écartées laisse bien voir son anatomie, du moins, ses boules bien rondes et brunâtres. Il me semble être latino. La tête rasée, une barbe de quelques jours et sur le long de la colonne, un tatouage de signes chinois. Lentement, je m’avance et délicatement, je soulève la jupette pour y découvrir un cul bombé à souhait, poilu juste un peu, juste assez pour agrémenter le regard. Je n’ai pas le choix, je ne peux pas laisser passer cette occasion.  Je me penche pour me rapprocher de son entrecuisse et commence à glisser ma langue entre ses fesses. Dieu que son trou de balle est savoureux. Je le lèche à grands coups de langue, sachant bien qu’il ne dort pas du fait qu’il bouge doucement, se déhanchant pour me laisser savoir qu’il adore que je lui mange le baba. Sans doute trouve-t-il excitant d’ignorer qui s’est introduit dans sa chambre. De mes mains, j’écarte ses fesses pour y découvrir un troufignon bien rose dans lequel j’y plante le bout de ma langue. J’entends presque ma queue me crier de lui laisser le champ libre mais non, je préfère poursuivre mon léchage baveux. Et lui ne cesse de bouger et j’entends ses légers gémissements qui m’excitent davantage.  — S’il te plaît, plante-moi ta bite dans le cul, chuchote-t-il. Je cesse de le manger, fronce les sourcils et me relève. Je me rapproche de son visage et l’embrasse. Non, je ne le labourerai pas. En l’embrassant, je me suis assuré qu’il voit mon visage de sorte à ne point m’oublier. La soirée est jeune et je sais bien qu’en refusant de le fourrer, il tentera, au cours des heures à venir, à me revoir pour que je termine le travail. Je quitte donc sa chambre pour rejoindre la mienne où une bonne cigarette m’attend, ayant toujours le goût en bouche de ce succulent cul.  A dix-huit heures précises, les petits Cupidons engagés nous avisent de tous se rendre au grand salon où nous attendent Denis et Sylvain. Lorsque je les vois, je souris. Ils ne sont pas vêtus en Cupidon, eux. Denis porte un costume du Dieu tout puissant et Sylvain, lui, personnifie le diable. A savoir maintenant ce qu’ils ont en tête pour la soirée. Ils nous souhaitent la bienvenue et nous présentent leurs petits Cupidons, insistant sur le fait qu’ils ont tous, en leur possession, des fléchettes. Sur chacune d’elles s’y trouve un petit rouleau de papier. Dès qu’une de ces fléchettes nous touchera, il faudra découvrir le message et surtout, exécuter ce qui y sera écrit. Pas de danger, les fléchettes ont, à leur bout, une suce qui colle à la peau.  — Ne craignez rien. Ce ne sont pas les fléchettes qui vous percerons, ajoute Denis en riant.  Il nous explique que pour cette soirée, il n’y aura pas de souper à la salle à manger. La nourriture se trouve partout, dans toutes les pièces, outres les salles de bain.  — Alors, mangez et buvez à volonté car vous aurez besoin de vos forces, termine Sylvain.  Les gens se remettent à parler entre eux. On observe tous les petits Cupidons, se demandant quand nous serions touchés par leurs fléchettes. Ceux qui connaissent bien Denis et Sylvain savent parfaitement qu’ils ne manquent pas d’imagination côté sexe. Lorsqu’on accepte une invitation de leur part, il faut s’attendre à laisser chez soi sa pudeur mais il faut surtout être ouvert d’esprit.  Et soudain, je l’aperçois. Il est là, il me regarde. Ce latino est d’une beauté à faire damner n’importe qui. Et moi qui lui aie mangé le cul. Je savais bien que je le reverrais mais pour l’instant, pas question de répondre tout de suite à son sourire, préférant le laisser courir un peu, juste assez pour l’exciter au maximum. Et en plus, ce manoir grouille de beaux mecs alors, le choix étant d’une importance réelle, si ce n’était pas lui ce serait un autre. Mais j’avoue que j’ai l’intention de lui ramoner le cul bien à fond, mais plus tard. Pour l’instant, je préfère retrouver Jean-Yves car sans nul doute que Samuel lui a fait faux bond et j’ai un petit creux. Un peu de nourriture ne me fera pas de tort. Je trouve donc Jean-Yves dans la cuisine, toujours en train de boire du champagne.  — Vas-y molo avec le champagne. Tu vas te ramasser avec un mal de bloc mon minou, lui dis-je paternellement. Mange un peu avec moi. Où est Samuel encore celui-là? — Je ne sais pas. Sans doute en train de baiser un mec et un autre, me répond-il bêtement.  Et soudain, je sens quelque chose compresser mon cul. Je me retourne et vois un mec qui se tient derrière moi. Je baisse le regard et vois sa main bien planquée contre mes fesses.  — On se connaît? , lui dis-je.  — Martin pour les intimes. — Après m’avoir pogné le cul, j’imagine que je peux t’appeler Martin.  — Tu peux m’appeler comme tu veux, du moment que tu me laisse te toucher. Il est direct ce mec et ne craint pas le rejet. Mais je comprends bien pourquoi. Il doit avoir fin cinquantaine, les cheveux et la barbe blanche et un superbe de beau body. On voit qu’il prend soin de lui. Il a des yeux d’un bleu clair et des lèvres pulpeuses. Il porte un très court jumpsuit spendex rouge, à l’encolure qui se termine à la pointe de son pubis, laissant voir une poitrine et un ventre velus. Ses mamelons sont décorés de deux gros anneaux et il a un large tatouage qui prend racine à l’épaule gauche pour se terminer sur son biceps assez impressionnant. De toutes petites ailes agrémentent son costume. Tandis que je le regarde, il continue à me tâter le cul.  — Que vais-je y trouver si je baisse cette fermeture éclair? Serait-ce quelque chose dans lequel je pourrais y introduire ma queue bien dure?  Je baisse les yeux et vois bien, sous ce spendex, qu’il ne ment pas. Effectivement, je peux parfaitement imaginer ce qui s’y trouve; une belle grosse queue bandée à souhait. Je pose ma main sur son torse pour le caresser, lui pinçant un mamelon d’une bonne pression. « — Tu sais qu’on pourrait avoir beaucoup de plaisir ensemble, me dit-il en baissant ma fermeture éclair pour y introduire son index. Hmmmmm, c’est chaud et déjà juteux, me dit-il en s’approchant le visage pour m’embrasser à pleine bouche. Je sens son index presser ma rosette et tout ce que je veux, c’est qu’il la défonce cette rosette de son doigt. Te contenteras-tu d’un simple doigt quand tu peux avoir mon cylindre au complet? Je veux ce boudin dans mon cul mais pas question que je fasse cela devant Jean-Yves. — Suis-moi, lui dis-je, avant de me diriger vers l’escalier que je gravis, suivi de ce pétard de mec. J’ai l’intention de l’amener à ma chambre mais en haut de l’escalier, il me plaque face contre mur, assez violemment.  — J’aime bien me donner en spectacle, pas toi, dit-il en m’enfonçant sa queue bien profond, accélérant immédiatement ses mouvements. Ouf… C’est si bon de sentir son serpent qui me donne de grands coups, entrant et sortant tandis qu’il gémit son plaisir directement dans mon oreille. Je peux sentir son souffle chaud. Déjà, je transpire tant il me donne des chaleurs. Ce mec sait labourer un cul, c’est une certitude. Mais d’où sort-il?  — Je suis certain que tu aimerais que je te remplisse le popotin de ma crème. Tu aimerais que je vienne en toi. Qu’ai-je à dire à cela? Bien entendu que je souhaite qu’il me remplisse de son yaourt chaud et crémeux. Désolé, pas tout de suite, dit-il en sortant sa bite de mon cul pour la replacer sous son spendex. Tu es trop gourmande ma salope. Tu vas devoir attendre.  Et il part, me laissant là, seul, le cul toujours en grande demande. Mais c’est qui ce mec de merde? Il se prend pour qui? Et là, je suis excité au point que je pourrais me faire sauter par n’importe quoi. Apportez-moi une queue, peu importe laquelle mais une banane bien dure pour me défoncer. Bon, je n’ai qu’une chose à faire, aller me promener pour trouver un mec qui s’empressera de me fourrer bien à fond.  Je descends donc l’escalier et, sur la dernière marche, je sens une toute petite pression sur ma poitrine. Je viens de recevoir l’une de ces fléchettes qui s’est bien collée sur ma peau. Je l’enlève et prends le rouleau de papier que je déroule. Je peux y lire; tu dois te rendre à la salle à manger et monter sur la table pour y faire un strip-tease. Tu ne dois cependant pas montrer ta queue.  Je dois de m’exécuter alors, je marche jusqu’à la salle à manger pour y grimper sur la table. Par chance, on y joue une chanson de LP que j’adore. Sa voix m’aidera à faire ce strip-tease. Je commence à me déhancher, doucement, glissant mes mains le long de mon corps. Tout de suite, les mecs se rapprochent, s’entassant pour me regarder me balancer le body. L’une après l’autre, je détache les deux lanières de mes jambières. Je me rapproche d’un mec en lui signalant de faire descendre ma jambière droite, ce qu’il fait sans se faire prier. Et sans que je le lui demande, il baisse l’autre immédiatement, en profitant pour me caresser les cuisses. Je m’agenouille, écarte les jambes pour leur montrer mon cul dont je n’ai point remonté la fermeture éclair. Un mec en profite, m’introduisant son doigt entre les fesses avant de le retirer pour le porter à sa bouche. Je suis là, à moitié nu, me laissant bercer par la chanson. Je m’allonge sur le ventre pour me déhancher de haut en bas. Un mec monte sur la table et me présente sa verge. Sans me faire prier, j’ouvre la bouche pour le sucer avec entrain. Le bal vient de commencer. Un mec relève ma large lanière de cuir et se met à me bouffer la rondelle, et un autre, un autre un autre. Ils se partagent mon cul, y glissant leurs langues pour mon grand plaisir. Toute cette bave qui coule entre mes fesses. Un autre se place devant moi. Deux queues à sucer et deux de belle taille. Je ne sais pas de quoi ont l’air les deux mecs mais ça m’importe peu car seules leurs queues m’intéressent. Et l’un d’eux s’éclate dans ma bouche, son sperme coulant le long de ma gorge. Je la lèche comme il le faut et je retrouve l’autre bite qui, elle aussi, ne tarde pas à me remplir la bouche de son foutre crémeux. Et là, les langues s’éloignent de mon trou de cul pour laisser toute la place à une baïonnette qui m’empale bien droit pour me juter sur les miches après seulement quelques coups. Et la chanson se termine. Mon strip-tease devait se terminer. Je me relève, descends de la table, le bas des reins toujours mouillé de ce sperme mais je n’ai pas à rien faire pour me nettoyer, un gentil mec s’offrant pour lécher le tout. Pourquoi pas après tout?  Maintenant, j’ai vraiment faim. Je dois retrouver Jean-Yves qui se trouve sûrement encore seul, un verre à la main. Et effectivement, je le retrouve dans un coin de la bibliothèque, en train de boire du cognac. Mais pourquoi avait-il accepté de suivre Samuel?  — Tu as mangé, lui dis-je en regardant son verre de cognac presque vide. Je vais aller te chercher quelque chose », poursuis-je avant de marcher vers les plats présentés. Je lui prépare une assiette, ainsi qu’à moi, et l’oblige à manger un peu. Je veux bien l’aider mais je ne peux pas passer ma soirée à jouer le paternel non plus. Il ne sait pas lui à quel point mon cul exige de se faire à nouveau enculer. Il n’y a rien de pire que de se faire popoter le derrière par une belle grosse queue et de se la faire enlever avant d’avoir joui. Je ressens ses spasmes qui me disent; eh le débile, occupe-toi de moi. Trouve-nous une belle grosse godille pour nous satisfaire.  Je me dépêche donc à manger et monte à nouveau dans ma chambre pour y fumer une cigarette et en profiter pour regarder mes messages sur mon cellulaire. Je me débarrasse aussi de mes jambières et des mes ailes qui commencent à me taper sur les nerfs. C’est bien beau mais ça prend de la place. Et là, je me dois de pouvoir bouger librement.  En sortant de ma chambre, je vois Martin dans la chambre voisine de la mienne. Je m’arrête pour le regarder. Il est assis sur le bord du lit. En me souriant, il sort sa queue de son spendex et se met à se masturber.  — C’est ça que tu veux, dis-le donc. Approche, approche » me dit-il toujours avec son sourire narquois.  Cette queue est tellement fabuleuse qu’elle m’attire comme un aimant. Je me rapproche et sans attendre, je lui tourne le dos et prends place sur son joyau. Cette fois-ci, c’est moi qui contrôle le tout. Je descends et monte lentement, me donnant le choix de bien sentir cette asperge se glisser en moi. Martin place ses mains sur mes hanches pour m’inciter à accélérer la cadence, ce que je fais immédiatement. Il se couche sur le dos de sorte à parvenir à prendre le contrôle, me donnant de grands coups de hanche. Rien à faire, ce mec aime ça avec plus de fougue. Alors, il va en avoir de la fougue. J’accélère encore plus, me disant qu’il n’aura pas le choix cette fois-ci de me remplir de son jus. Mais non, je me trompe. Il me pousse tellement fort que je tombe à genou et il s’empresse de se placer derrière moi et de m’enfoncer à nouveau son dard. Le salaud, il a repris le contrôle. Mais je dois avouer que je ne déteste pas cela. Il a une façon bien à lui d’enculer et qui est très agréable.  — Tu es vraiment une salope et j’aime ça. Tu sais que tu m’excites au max avec ton cul bombé, dit-il en y allant fortement. J’aime ce genre de cul qui en redemande toujours. J’aimerais bien t’avoir comme pitou. Tu aimerais ça je suis certain ». Pardon? Il voulait que je devienne sa chose? Remarque que s’il me labourait toujours comme cela, je pourrais peut-être y penser… Mais là, je suis sur le point de jouir et il le sait par mes gémissements alors, il se retire immédiatement. Tu ne peux pas venir tout de suite pitou. Ma queue a besoin de ton cul pour s’amuser et elle veut un cul en chaleur. A tout à l’heure, dit-il en se relevant, replaçant sa bite sous son spendex avant de quitter sa chambre. Encore une fois, il me laisse seul avec toute mon excitation. Non, je ne veux pas être son pitou car d’’autres queues m’attendent. Je redescends donc, dans l’intention de tomber sur mon beau latino. J’ai le goût tout à coup de tremper mon pinceau à mon tour. Je marche donc dans différentes pièces, à sa recherche, sans le trouver. Par contre, je me retrouve face à face avec Adam, ce beau black bâti à souhait.  — Tu as donné un beau show tout à l’heure, me dit-il. J’ai bien aimé te manger le cul. C’était donc l’un des mecs.  — Tu en as profité pendant que je ne te voyais pas, dis-je en riant.  — Je suis un grand timide.  — Me semble oui. Tu peux avoir qui tu veux ici.  Il s’approche et m’embrasse tendrement, ce qui m’apparait bizarre, l’endroit n’étant pas vraiment au romantisme. Par contre, il ne peut pas cacher son excitation car je peux très bien sentir au max son boudin noir que je prends en main pour le caresser. Et c’est là qu’il reçoit une fléchette dans le dos. Il la prend, déroule le papier et se met à rire. Le mec le plus proche de lui doit lui faire une pipe mais il n’a pas le droit de jouir. Il lance des regards autour de lui.  — Il me semble bien que le mec le plus proche de moi soit toi.  — Pas le choix, dis-je en m’agenouillant, heureux de voir enfin ce monstre de bite noire.  J’écarte les lèvres et la prends en entier, glissant ma langue doucement pour goûter à chaque pore. Son gros gland bien dur est une joie à manger. A mon grand malheur, il s’écarte, me signalant qu’il allait venir si je poursuivais.  — Tu suces trop bien. Je n’aurais pas été capable de me retenir.  Je me relève et, à mon tour, l’embrasse.  — Tu sais quoi, me dit-il. Il me semble que passer la nuit dans le même lit que toi serait un grand bonheur. Je m’endormirais collé contre toi, te serrant dans mes bras. Il est vraiment le dernier amant romantique ce mec. J’ai le choix de passer le reste de la soirée et la nuit entière avec lui seul ou de participer à cette soirée en me tapant plusieurs mecs. La question est de savoir pourquoi j’avais accepté cette invitation. La réponse étant bien entendu de me taper plusieurs mecs.  — Je suis désolé Adam mais je ne suis pas trop monogame. Tu me plais beaucoup mais il y a trop de mecs ici pour que je me consacre qu’à toi.  — Je comprends très bien. Par contre, après la soirée, si tu as besoin de chaleur humaine, je serai là. J’aimerais bien dormir avec toi.  Je ne dis rien, lui souriant tout simplement, ne pouvant rien promettre alors que j’ignore comment se passerait le reste de la soirée. Par contre, je dois m’en éloigner car l’envie de me faire baiser par ce mec est trop présente pour que je demeure à ses côtés. Je prends donc le pas de marche, regardant ici et là ce qui se passe autour de moi. Je constate que plusieurs ont déjà été touchés par des fléchettes, de par les actes que je vois autour de moi. Un mec suce cinq queues, un autre se fait enfiler par trois bites à tour de rôle mais le plus intéressant est de constater que tous ces hommes prennent un grand plaisir à être touchés par ces fléchettes. Encore une fois, Denis et Sylvain ont réussi à captiver leurs invités.  C’est alors que je vois Samuel, le conjoint de Jean-Yves, étendu sur la table de la salle à manger, jambes en l’air, prenant un fun fou à se faire enculer par qui le veut bien. Je dois l’avouer, j’ai toujours trouvé que ce mec avait un cul d’enfer et là, de le voir en pleine action, d’observer tous ces attributs virils lui enfoncer la chevalière, je me dis que s’il n’avait pas été le copain de mon ami, sans doute le sauterais-je mais bon, ce n’est pas touche. En me retournant, j’aperçois ce fameux Martin, appuyé contre le mur, qui me regarde, petit sourire en coin. Oh que non que monsieur ne se servira pas de mon cul pour son plaisir pour ensuite me laisser en plan encore une fois. Je fais mine de ne pas le voir et quitte la pièce pour me rendre dans la bibliothèque où un type, agenouillé sur un sofa, offre son arrière-train à qui veut bien lui enfoncer des dildos de différentes tailles. Je me dis que ça pourrait être amusant d’y participer. Je m’avance donc et, voyant un énorme dildo, je le prends en main et l’appuie contre sa rondelle pour l’enfoncer tranquillement. C’est alors qu’il se retourne et me dit : — Tu peux y aller, ne crains rien, il est capable d’en prendre. Je m’exécute donc, le lui enfonçant d’un seul coup. Il laisse entendre un gémissement qui est sûrement entendu dans tout le manoir. Mais non, ça ne m’excite pas de lui baratter le cul avec un dildo alors, je l’offre à quelqu’un d’autre qui prend la relève et poursuis ma quête. Et vlan, encore l’une de ces fléchettes dans le dos. A croire que je suis la cible principale. Je déroule le rouleau de papier pour y lire; ¨Tu dois te rendre au sous-sol et entrer dans la pièce au fond du corridor. Quelqu’un t’attend¨. Je me souviens très bien de cette pièce. Il s’agit du donjon. J’emprunte donc l’escalier qui me mène au sous-sol et ouvre la fameuse porte. Un colosse m’invite à entrer. Il est vêtu de latex et porte une cagoule et il est bâti comme un bœuf donc assez imposant pour que je me dise que je ferai ce qu’il exigera, sachant bien par contre que Denis et Sylvain ne dépasseraient pas les limites permises. Il m’oblige à lui tourna le dos et pose une large lanière de cuir sur mes yeux. Posant une main sur mon épaule, il me dirige je ne sais trop où jusqu’à ce que je sente, sur mes poignets, des menottes. J’allais donc être attaché et brusquement, le colosse fait ce qu’il a à faire. Je me retrouve donc les bras en l’air, attachés et il en fait de même pour mes chevilles, ayant pris soin d’écarter mes jambes. Je suis donc à la merci de je ne sais trop qui mais je n’ignore point qu’on peut maintenant me faire n’importe quoi sans que je puisse répliquer. Et vlan… Premier coup de baguette dans le dos. Pas trop pire. Facilement endurable mais le suivant est plus brusque et le suivant encore plus. Je sens quelqu’un tout près de moi et sans doute est-ce lui qui remonte ma lanière de cuir pour offrir mon cul à celui qui prend plaisir à me flageller. Et vlan, un bon coup sur les fesses. J’avoue que je ne déteste pas la douleur dans ce genre de pratique tant que le sadique sait quand cesser. Après quelques coups de baguette, on relâche la rigidité des cordes au niveau des mains et on m’oblige à me pencher, posant le haut du corps sur une sorte de table de bois. Penché de la sorte, on a plus facilement accès à mon popotin qui doit être sûrement rouge de ces coups de baguettes. J’imagine qu’on va donc se concentrer sur mon arrière-boutique et effectivement, c’est le cas. On m’introduit des boules, les premières étant tout de même de grosseur acceptable mais plus ça va et plus les boules sont grosses. Je me ramasse avec le pot rempli bien à souhait de ces boules qu’un mec s’amuse à entrer et sortir et je dois dire que j’ai une hâte que ce soit terminé,  les boules n’ayant jamais été mon jouet favori. Le hasard faisant bien les choses, il m’en débarrasse. Et, bien entendu, sans m’aviser, on m’introduit un dildo d’une longueur considérable qui se plaque immédiatement contre ma prostate. Je laisse entendre un petit cri, non pas de douleur mais plutôt de surprise. Depuis le temps, vous savez que je suis capable d’en prendre alors, ce n’est pas un dildo qui va me faire peur. Il a beau le remuer comme il le veut, il n’y a aucun problème. S’il croit que ça me fait souffrir… Il le retire et plus rien. Il ne se passe plus rien. Je suis là et personne ne s’occupe de moi. On me laisse à moi-même, sans que je puisse voir quoi que ce soit, entendant par contre les gémissements des autres mecs autour de moi, ce qui est super excitant. Mais bon, je ne suis pas ici pour rêvasser. Le temps commence à être long. Je demeure comme cela pendant environ dix minutes lorsque j’entends un bruit qui ressemble à celui d’une perceuse électrique et ce bruit est très près de moi. Eh oui, cette machine est pour moi. Vous savez ce genre de machine à dildo qui exécute des mouvements de va et vient et qui peut tout aussi faire tournoyer le jouet. En une seconde, le dildo a défoncé mon troufion et il glisse lentement en moi jusqu’à ce que la vitesse augmente considérablement. Aucun mec ne peut parvenir à fourrer de la sorte, du moins à cette vitesse. C’est bon mais encore là, rien ne surpasse une vraie queue, du moins pour moi. Mais je dois dire que ma respiration suit la cadence du dildo qui s’arrête après seulement deux ou trois minutes. Et là, c’est la surprise totale. On me chuchote à l’oreille;  — Tu vois que lorsque je veux, j’ai le contrôle absolu sur toi.  Je reconnais tout de suite la voix de Martin qui n’attend pas mon consentement avant de m’enfiler sa bite dans le cul. Que puis-je faire d’autre que de me laisser enfourailler par ce mec qui doit prendre un énorme plaisir à me voir dans cette position, pieds et mains liés.  — Je savais bien que j’allais retrouver ma petite salope. Tu la sens ma queue dans ton beigne. Dis-moi que tu aimes ça. Bien entendu, je garde le silence. Pas question de lui donner satisfaction. C’est alors qu’il ne flanque une fessée avec toute sa force. Alors, tu vas le dire que tu raffoles de ma bite ou je dois encore te donner la fessée? Je garde toujours le silence et il recommence à me taper les miches. Ce qu’il ne sait pas, c’est que j’aime bien ce qui se passe au moment présent. Ça m’excite de penser qu’il croit qu’il a le contrôle alors qu’au fond, c’est moi qui l’ai ce contrôle par mon silence. Et les fessées, ça me va parfaitement. Pauvre idiot. Il a beau usé de mon cul comme il le désire tant que j’en ressens du plaisir.  — Tu vas me le dire salope que tu veux ma queue dans ton cul sinon tu pourrais le regretter. Il commence à perdre patience. A moins que tu préfères mon avant bras en entier. Oh que non. J’ai toujours détesté le fisting et ce n’est pas lui qui me fera cela. Mais si je ne dis rien, il a la possibilité de le faire mais s’exécutera-t-il? Je vois que tu aimerais car tu ne dis rien, dit-il en introduisant ses doigts. Pas question. D’une voix assez forte, je lui dis — Si tu oses faire cela, je te jure que tu le regretteras. Il retire aussitôt ses doigts, me flanqua une autre fessée avant de me chuchoter — Ok pour cette fois-ci. Mais tu restes ma salope, ne l’oublies pas. Je vais te laisser, ayant d’autres culs à labourer mais on va se revoir. S’en est assez là et je demande de me détacher mais on me répond que je n’ai pas à exiger quoi que ce soit. C’est alors qu’on me plante une autre queue dans le cul, ne sachant nullement qui se trouve derrière moi. Et le mec dégorge sa sangsue en moi. Alors là, après cela, on me détache et je quitte immédiatement ce donjon pour remonter à l’étage. J’ai deux mots à dire à Martin mais bien entendu, il a disparu, ne le trouvant nulle part. Il était grand temps que je fume une cloque et je me rends à ma chambre. Un peu de solitude me fera le plus grand bien.  Assis sur le canapé, mes seules pensées se dirigent sur Martin. Je ne sais trop pourquoi mais ce mec, autant qu’il m’exaspère, autant qu’il m’attire et je ne parle pas de son physique car il est tout à fait bandant. Non, quelque chose vient me chercher. Il sait ce qu’il veut et s’arrange pour le prendre, à sa manière, sans se demander ce qu’en pense l’autre. Et pourtant ce genre de mec m’horripile mais lui, il vient vraiment me chercher.  Je termine ma cigarette et retourne au réez de chaussée. Il est temps de savoir où en est rendu Jean-Yves dans sa beuverie et je le trouve, toujours dans la bibliothèque. Il est étendu sur le canapé et dort paisiblement tandis que trois mecs le sucent à tour de rôle. Ils semblent trouver très drôle de pouvoir profiter de lui et ça me met dans une telle colère que je les sermonne en leur ordonnant de quitter la pièce. Et Samuel, où est-il? Je réveille donc Jean-Yves et l’aide à gravir le long escalier pour le mener à sa chambre. Je le déshabille et le couche, m’assurant qu’il n’a besoin de rien. Je referme la porte derrière moi en sortant, satisfait qu’il soit dans son lit, bien au chaud. Je redescends et me retrouve face à face avec Adam.  — Alors, cette soirée, elle te satisfait, me demande-t-il avec son si joli sourire.  — Ça me va et toi?  — Outre le fait que tu ne veuilles pas passer la nuit avec moi, j’y trouve mon compte.  Je l’embrasse et le quitte, commençant à trouver qu’il insiste un peu trop à mon goût. Je me dirige vers le salon où l’action est à son extase. C’est l’orgie totale. On entend les gémissements en stéréophonie. D’habitude, j’aime bien participer aux orgies mais là, je n’en ai aucun goût. Je rebrousse chemin et me dirige vers la salle à manger. Là aussi c’est l’orgie totale. Je me dis que ce doit être partout dans toutes les pièces. Peut-être suis-je fatigué mais je commence à m’emmerder. Il est temps pour moi de tirer ma révérence. Une bonne nuit de sommeil ne me fera pas de tort. Et pourquoi ne pas me rhabiller et quitter les lieus? Je ne suis qu’à une heure de route et ce n’est pas les deux coupes de champagne qui vont m’empêcher de conduire. Jean-Yves se débrouillera bien seul le lendemain matin. Il faut par contre que je trouve Denis et Sylvain pour les remercier alors, je pars à leur recherche. C’est en retournant à la salle à manger que je retrouve Martin qui s’empresse de me plaquer contre le mur, assez durement je dirais.  — Que dirais-tu d’une finale spectaculaire ma petite salope? — A quel genre de finale penses-tu? — Premièrement, il est temps de te débarrasser de cet attirail, dit-il en m’enlevant la large lanière de cuir, le jockstrap suivant par de même, me retrouvant complètement nu. Enfin, je peux voir cette belle queue que tu cachais. Je sais que tu es attiré par moi, je le vois dans ton regard. En fin de compte, tu aimes que j’aie le contrôle alors tu vas faire ce que je te dis. — Tu crois?  — J’en suis certain ma petite salope et là, tu vas me montrer que tu es bien une salope en allant t’étendre sur la table.  Je le regarde quelques instants avant de m’exécuter, me couchant sur le dos. Il m’attire vers lui, m’écartant les cuisses avant d’ordonner à deux mecs de me retenir par les bras et à deux autres de me relever les jambes. Je suis pris à une sorte de piège qui m’excite réellement. Ce Martin sait exactement ce que j’aime. Il me défonce à nouveau la rondelle, y allant de quelques coups de va et vient avant de se retirer pour offrir la place à un mec qui nous regardait en se masturbant. Ce dernier ne se fait pas prier pour m’enfoncer sa verge. J’entends Martin lui dire qu’il doit cracher dans le bénitier, que c’est ce que je désire le plus au monde.  — Venez tous, approchez-vous, crie-t-il, cette salope veut que vous l’enculiez tous et surtout, elle veut sentir votre foutre bien chaud dans sa tirelire.  Il a bien dit cela et je vois bien que les mecs s’approchent dans l’intention de tous me labourer mais moi, au fond, ce que je désire, c’est que Martin vienne en moi mais à la place, il grimpe sur la table et s’accroupit sur mon visage pour que je lui mange le cadran solaire. Son cul est encore meilleur que celui du latino. Peut-être est-ce parce que je suis au max de l’excitation. Je ne peux pas être plus extasié qu’au moment présent alors que les mecs me passent dessus les uns après les autres. Je sais, ça fait pute de dire cela mais lorsqu’on le vit, je vous jure qu’on oublie tout cela. Je vis le plaisir apporté par toutes ces queues qui grouillent en moi et qui lâchent leur bordée en moi. J’entends Martin qui dirige l’action, exigeant des mecs qu’ils m’enculent avec force.  — Vous voyez bien que cette salope a besoin de se faire défoncer le cul avec force et bien à fond. Allez-y, donnez-lui ce qu’elle veut. Je ne compte plus les boudins qui m’empalent, mon cul se remplissant toujours plus de foutre que j’ai de la misère à retenir à l’intérieur tant il y en a. Ce n’est pas la première dois que je fais office d’un gang bang mais celui-ci est ce que j’ai vécu de plus capotant. Je sens le liquide couler entre mes miches, n’étant plus capable de le retenir. J’ai peine à respirer tant les mecs y mettent de l’ardeur et le cul de Martin en plein visage ne m’aidant pas du tout à reprendre une respiration normale. Et il se lève et quitte la table, se plaçant de sorte à reprendre sa place, la queue bien droite. Il me regarde quelques secondes, large sourire aux lèvres.  — Tu es la salope la plus excitante que j’ai jamais eu, dit-il en m’enfonçant sa queue d’un seul coup, et quel coup. Je vais décharger en toi, comme tu le désires depuis le début de la soirée. Dis-moi que c’est ce que tu veux.  — Oui, c’est ce que je veux », dis-je.  Oh que oui que c’est ce que je désire. Il prend ma queue en main et se met à la crosser. Je comprends qu’il veut que je vienne en même temps que lui et ce ne prend que quelques secondes pour que je crache mon yaourt pendant que lui me remplisse de son jus. Nous jouissons en même temps, dans une extase totale. Et il s’agenouille, plaçant sa bouche grande ouverte sur ma rosette. Je pousse un peu, juste assez pour lui donner tout ce foutre mélangé qu’il avale goulûment. Je l’entends gémir pendant qu’il me lèche. Je vous jure qu’il en a pour son argent avec tous ces mecs qui m’ont rempli le panier. Il se relève et me tend la main pour me dire qu’il est temps que je quitte cette table.  — Si un jour tu viens à New York, fais-moi signe petite salope. J’ai des amis qui adoreraient s’amuser avec toi. Denis et Sylvain ont mes coordonnées, me dit-il avant de s’éloigner.  Je ramasse ma lanière de cuir et la replace autour de mes hanches. Là, il est vraiment temps que je monte me coucher, trop fatigué pour prendre la route. Je passe près du latino qui me dit — C’était super. J’ai adoré te défoncer. Je lui souris et quitte la pièce.  Je gravis l’escalier et emprunte le corridor, marchant jusqu’à ma chambre. Comme je referme la porte derrière moi, quelque chose bloque mon mouvement. Je tire la porte vers moi pour apercevoir Adam qui se tient là.  — Tu peux entrer, lui dis-je, ce qu’il fait sans se faire prier. Je vais prendre une douche, j’en ai bien besoin. Tu viens?  Une fois sous la douche, il se met à m’embrasser, tendrement, glissant ses mains sur mon torse, surpris de constater que ma queue prend de l’ampleur.  — Tu es énergique.  Que croit-il? Je me retrouve avec un superbe de beau black shapé. Bien entendu que je bande à nouveau mais honnêtement, la fatigue me dit de rester calme. Nous nous rendons au lit et aussitôt allongés, il me pend dans ses bras, me caressant le visage doucement de la paume de sa main.  — Tu crois que je pourrais m’endormir avec ma queue dans ton cul? Me demande-t-il. Juste sentir la chaleur sur ma queue, rien de plus. Je ne te labourerai pas. Je crois que tu as eu ton compte. Je me tourne, dos à lui, et il me pénètre. Voilà, c’est parfait, dit-il en serrant ses bras autour de moi. Passe une excellente nuit. Ce mec est tout à fait génial niveau tendresse. Et je m’endors, à la chaleur de sa peau, sentant parfaitement sa bite en moi.  Le lendemain matin, à mon réveil, Adam est toujours là, ses bras autour de moi mais sa queue n’étant plus en moi. Je me retourne et il est là, me regardant et me souriant.  — Tu as passé une bonne nuit, demande-t-il avant de m’embrasser.  — Une excellente nuit. Commet aurais-je pu faire autrement avec toi dans mon lit?  — C’est gentil. Si je t’invitais à venir passer un week-end à Ottawa, tu accepterais? J’aimerais bien passer plus qu’une nuit avec toi. — C’est fort possible que si tu m’y invites, j’accepte ton invitation, lui dis-je, me disant qu’un petit week-end charmant, seul avec lui, serait très agréable.  —  Alors, le week-end prochain peut-être? Je me mets à rire, me disant qu’il ne perdait pas de temps.  Après avoir remercié Denis et Sylvain, je monte dans ma voiture, heureux de retourner chez moi. Ce week-end de la Saint-Valentin a été des plus jouissifs et en plus, je n’ai pas oublié de demander les coordonnées de Martin à Sylvain. Un petit tour à New York est toujours agréable. Et demain soir, sachant qu’Adam me téléphonera, je pars le cœur content. J’ai déjà hâte que la semaine s’écoule pour me retrouver, pendant deux jours, dans ses bras. Un peu de romantisme n’a jamais tué personne
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