Tout juste majeure, j’avais trouvé un emploi saisonnier dans un camping près de la mer. Le job était fatiguant mais sympathique. J’accueillais les clients à la réception et faisais un peu de ménage. Comme d’habitude, j’arrivai à 9h ce jour là à la réception et rejoignis Didier, le patron. Didier était très gentil. Même s’il n’avait jamais eu de gestes déplacés envers moi, je sentais entre nous une certaine tension sexuelle. Il faut dire qu’à tout juste 18 ans, ma libido était à son maximum. Didier devait le sentir. D’ailleurs, dès qu’il était derrière le comptoir avec moi, je ne me gênais pas pour bien me pencher en avant vers le client, présentant mes fesses bien modelées à Didier et l’effleurant parfois lorsqu’il devait passer derrière moi. Il ne réagissait cependant jamais. "Dis-moi Louise, une des serveuses est malade, il nous manque quelqu’un pour la soirée créole ce soir.. Ça te dérangerait de faire quelques heures en plus ? Je te paierai en cash.." me dit-il en s’asseyant. J’étais étudiante et j’avais besoin d’argent alors je ne pouvais pas refuser. J’acceptais volontiers. Tous les samedis soirs, le camping organisait une soirée à thème et les employés se déguisaient. D’ailleurs, la femme de Didier m’emmena ma tenue pour la soirée. Une jupe assez courte, un débardeur et un collier de fleurs. C’est donc avec cette tenue que je passais la soirée à courir entre le bar et la salle. J’étais penchée pour ramasser un tas de poussière lorsque Didier vint me trouver. Vue la position dans laquelle j’étais, il avait dû apercevoir toute ma petite culotte. "Sympa cette vue." dit-il. Je me redressai et rougis un peu puis prit la pelle pour la vider dans la poubelle. Je me penchai une nouvelle fois pour ramasser quelques bouteilles au sol. "Très sympa cette vue. Tu peux y aller, les autres vont finir. Passe chercher ton cash à la réception." Je ramassai ce que j’étais en train de faire puis le suivis jusqu’à la réception. Elle était fermée la nuit. Il ouvrit la porte et la referma derrière nous. "Alors." dit-il en partant vers la pièce du fond. "10h de l’heure, t’as fait 3h. Tiens." Il me tendit 40 euros. "Et 10 euros de plus pour le joli string. Le soutien gorge est assorti ?" "Non.." Je retirai mon collier de fleurs et remontai le débardeur pour lui laisser voir mon soutien gorge. "Allez 10 euros de plus pour la jolie poitrine." En lui dévoilant mon soutien gorge, j’avais senti comme une boule d’excitation gonfler dans mon ventre. Je retirai carrément mon débardeur pour voir sa réaction. Il avait toujours été très correct avec moi alors je me demandais ce qui lui arrivait ce soir. Il s’approchai de moi. "Tu me fais envie depuis le premier jour." Il posa une main sur ma hanche et me rapprocha de lui pour m’embrasser. Je le laissai faire. Didier m’excitait beaucoup. Il devait avoir plus de 50 ans, les cheveux blancs. Il aurait pu être mon père mais cette différence d’âge me rendait folle. Il devait avoir de l’expérience, savoir ce qu’il faisait. Je le sentis lorsqu’il passa sa main sur mes fesses tout en m’embrassant. Je collai mon bassin à lui. Il me poussa jusqu’à une table et me mit dessus. Rapidement, il me retira mon soutien gorge et embrassa mes tétons. Ils étaient plutôt gros, roses et surtout tout durs. Il descendit ses baisers sur mon ventre et me retira ma jupe. J’étais évidemment déjà trempée. Je mouillais généralement beaucoup et savoir que Didier allait me baiser ici dans la réception m’excitait à un point fou. Il caressa ma chatte avec ses doigts, passant un doigt délicatement entre mes lèvres humides et béantes. Il se pencha ensuite et mit un coup de langue sur mon clito. Je ne pus retenir un petit gémissement. "C’est sensible.." dit-il. Sentir l’air sur mon clito me fit gémir encore. J’étais beaucoup trop excitée pour résister. Je me tortillai sur la table pour qu’il me prenne. Il enfouit son visage dans ma chatte, je sentais son nez me caresser et sa salive se mélanger à ma mouille. Il se redressa ensuite puis retira sa ceinture et fit sortir sa bite. Elle n’était pas énorme. Une bite normale. Je n’en avais pas vu des dizaines mais elle n’avait rien d’extraordinaire. Il m’agrippa les cuisses pour me rapprocher puis me pénétra lentement. Je sentis chaque centimètre glisser en moi. Il resta en moi un instant. "Mh bien serrée comme je l’imaginais." dit-il. Il commença ensuite lentement ses va et vient. Je gémis doucement, bien trop excitée de le voir et de le sentir en moi. Il me baisa tout d’abord lentement, comme pour savourer ma chatte. Sans prévenir, il accéléra la cadence et s’enfonca à chaque fois un peu plus loin en moi. La table grinçait sous ses assaults et je gémissais comme une salope.Mes petits seins ballotaient de haut en bas. Ce vieux n’allait pas tarder à me faire jouir. Je l’entendais également gémir à chaque coup qu’il me donnait et cela m’excitait encore plus. Je sentais l’orgasme monter en moi. Mon vagin se contacta autour de lui et je fus prise de spasmes violents tandis qu’il me baisait toujours avec ses grosses mains m’agrippant les cuisses. Je lachai un cri de soulagement en me contractant autour se lui. C’était si bon, si excitant. Quelques va et vient plus tard, je le sentis gonfler en moi. Ses gémissements bestiaux me firent comprendre qu’il allait jouir à son tour. Et en effet, il lâcha son jus chaud en moi puis se retira. Il vint ensuite m’embrasser la poitrine, le cou puis la bouche. "T’es trop bonne." me murmura-t-il alors que je sentais son sperme dégouliner de ma chatte. Il caressa mon petit clito toujours gonfler d’excitation tout en m’embrassant puis se redressa. Je me redressai de la tête et me rhabillai tandis qu’il remettait la table en place. Je récupérai mon argent et le mis dans mon sac. Avant que je parte, il m’attira vers lui et posa l’une de ses mains sur mes fesses. "Ca reste entre nous."dit-il à mon oreille. Il m’embrassa le cou et me laissa partir avec la chatte dégoulinante de son jus chaud et les tétons toujours gonflés d’excitation.
