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Une salope mâle pour un après-midi.

Chapitre 1

Jeux entre deux mecs gay

SM / Fétichisme
Histoire imaginaire. Fiction, née d’un fantasme.
Une salope mâle pour un après-midi.
Fin de matinée ce samedi, je traîne sur ce site de rencontre gay, sans grand espoir d’occuper ma journée autrement que par une promenade jusqu’au parc. Pourtant, Paul, un contact que j’ai déjà rencontré, me salue et s’inquiète de mon emploi du temps cet après-midi,
— Tu es dispo ?
Pour lui, après l’excellence de nos premières rencontres : évidemment ! Ouiiii !!!
Pour ce rendez-vous, nous nous connaissons un peu. Il me propose un scénario, il veut une salope à son service. J’accepte sans hésiter.
— Tu seras en string sous ton pantalon et un plug dans les fesses pour le trajet. — Ma porte sera entrouverte. Tu rentres, tu te déshabilles dans l’entrée, tu ne gardes que le string et le plug. Tu te mets à 4 pattes au milieu du hall et tu m’attendras la bouche ouverte, en bonne salope.— Aujourd’hui, je n’ai rien de prévu, on aura tout le temps qu’il faudra.
Ca promet... En plus, il précise que de tout l’après-midi, je n’aurais pas le droit de le toucher, sauf avec la bouche. Et il ne veut pas de bisous.
Tout excité, je me prépare soigneusement. Je sors mon plus beau string, enfile un lourd rosebud en bonne place. Ainsi paré, je traverse la ville en transports publics. J’hésite avant de m’asseoir sur le siège dur du bus...Pile à l’heure convenue, je toque légèrement à la porte, ouverte comme prévu. J’entre sans bruit. J’exécute rapidement la consigne, prends la bonne position et attends dans le hall...
J’entends la télé dans le salon... Il prend son temps... Il ne se manifeste pas, je ne sais même pas s’il m’a entendu, s’il sait que je suis là ?
J’ignore ce qu’il va faire, et quand. Je kiffe trop ce moment, je savoure... L’excitation est au maximum, c’est trop bon d’être là, dans cette position d’acceptation, à la merci de ce mec, à attendre son bon vouloir. De toute façon, je sais qu’il est sérieux et que je ne vais pas regretter.
La télé s’éteint et je le vois arriver. Je ne sais pas depuis combien de temps je suis là. Plongé dans des rêveries voluptueuses, laissant divaguer mon imagination, je n’ai pas vu le temps passer.Son short pourtant ample a du mal à contenir son braquemart dressé, qui pointe en avant dans le tissu. Je le connais ce sexe, je l’ai déjà goûté, je n’ai pas peur. Mais je pense quand même que mes amygdales vont déguster et ma caverne anale aussi...
Je ne bouge pas, me cale dans la position demandée. Sans un mot, il passe derrière moi. Je ne le vois plus et ne peux rien savoir de la suite.Il commence par évaluer la marchandise que je viens de lui livrer. Je frissonne quand ses mains caressent mes fesses, mon dos, reviennent sur mes fesses, descendent sur les cuisses puis massent l’avant du string... Il a opté pour la douceur, longuement il me caresse, ma peau se hérisse de plaisir dans d’agréables frissons.
Sans prévenir, il change de tactique. Une rafale de claques s’abat sur mes fesses, je frémis. Après cette attente de mise en condition, et ses caresses, mon Dieu que c’est bon... Puis, passant une main sous le string, il prend fermement possession de mes boules.Je ne peux retenir un mouvement de retrait, mais il tient bon... et sans lâcher prise, de l’autre main, encore une fessée : "Bouge pas petite pute", en accentuant la pression. Le ton est donné.De sa main libre, il décide de jouer avec la ficelle du string et le rosebud, en alternance avec des claques bien appuyées. Waouh ! Mes fesses tremblent de plaisir. Toujours il prend le temps, il prolonge son jeu à son gré.
Le revoici devant ma bouche ouverte,
— À genoux, main dans le dos.
Son sexe est sorti par la jambe du short. Direct, il l’engage dans ma gueule,
— Suce, salope, ai-je le choix ?
Qu’il est bon ce sexe, qui m’est donné maintenant de cajoler. Je m’active avec application sur toute la longueur. Paul semble apprécier mon travail, sa main caresse ma tête. Il bouge légèrement les hanches dans un petit va-et-vient, je l’entends soupirer de plaisir.
Soudain, il pousse un grand coup et maintient ma tête en avant, le gland au fond. Je tousse, crache, bave. J’étouffe, mais il ne lâche pas, l’ordre claque— Garde-la, c’est moi qui décide,— Tu voulais ma queue, hé bien tu l’as !— Tu devrais être content bouche à pipes.
Il relâche la pression
— Suce le gland.
Et ça a duré tant qu’il a voulu. Tantôt appuyant, tantôt relâchant, selon le rythme qu’il choisit. Le gland sur la langue, puis au fond de la gorge, sans que je puisse fermer la bouche et avaler autre chose que son pieu, ma bave coule sur le sol. Son sexe est de plus en plus dur. Il libère ma mâchoire.
— A 4 pattes, chienne,— Suis-moi. Nous traversons l’appartement. Il se penche sur le canapé devant moi.
— Bouffe-moi le cul.— Et applique-toi, nettoie bien la raie jusqu’au fond pétasse.
Sans les mains, comme je peux, je prends possession de ses fesses, le nez dans sa raie odorante serrée. Je savoure son cul. Je lèche, aspire, suce, ouvre la rondelle avec la langue, la pénètre bien au fond comme il a demandé.Il fait durer le plaisir... Son souffle s’accélère, lui aussi savoure.Il se relève, d’un pied sur la tête, il m’oblige à mettre le nez dans le tapis,
— Monte les fesses.
Deux claques sur chaque fesse,
— Bouge pas, c’est la place de larve que tu mérites, et il disparaît derrière moi.
Encore l’attente, l’incertitude sur ce qui va se passer. Et j’aime ça.Je ne l’entends pas revenir. Quelques claques sur les fesses pour me prévenir de sa présence. Il a trouvé un objet contondant pour rougir mes fesses à la place de sa main. Parfois il manque son coup et atteint mes boules (Je crois plutôt qu’il le calcule bien). — Bouge pas connasse.
Je souffle de plaisir.
— Tu en veux encore, tu aimes ça ?
Et pan. Et pan.
— Réponds salope.
Il sait me mettre en condition pour que je sois totalement à lui.
— Oui Paul.— Encore Paul.
Les coups finissent par s’arrêter. Il prend le temps de contempler son œuvre,
— Humm elles sont bien belles ces fesses roses, bien colorées, dit-il satisfait.
— Merci Paul.
Il écarte la ficelle du string, fait mine de retirer le rosebud, puis le replace sans égard bien au fond plusieurs fois. Je tremble de tout mon corps.Finalement il retire le jouet.
— Tu voudrais bien que je mette ma grosse queue à la place, espèce d’enculé.
Je soupire des s’il te plaît Paul, des encore Paul, des merci Paul.
Mais ce n’est pas encore son envie.Ses doigts prennent la place, ils m’ouvrent en grand avec du gel. Il prend soin de son jouet. Mon trou à bite est à sa merci.Il m’attrape par les épaules, et me pénètre d’un coup, se cale au fond, son ventre claque sur mes fesses, ses couilles contre les miennes. Complètement sous son emprise, je n’ai rien vu venir. Bouche ouverte, cul bourré, j’explose de plaisir,
— Aaaaah !
Il me défonce à grands coups, tirant sur mes épaules quand il pousse son ventre en avant. Je suis son jouet.
Je suis rapidement en transe, dans un nuage, tout mon corps tremble dans un grand orgasme intérieur. Lui râlant, criant, continue encore sans ralentir, puis s’extrait, me jette au sol, et je reçois sa crème en pleine figure.Il me barbouille les joues, le front, les lèvres avec,
— C’est tout ce que tu mérites, grosse truie.— Lèche mes doigts.
Je suis totalement engourdi, je m’écroule à plat ventre sur le sol, je vibre encore, l’orgasme est toujours là.Nous refaisons lentement surface. Moi, sans bouger, paillasson étalé à ses pieds, essayant de reprendre pied, attendant un ordre. Lui pacha, assis sur le canapé, jambes tendues posées sur mon dos.
Encore il prend son temps, fais durer...Puis,
— Reprends ta position de chienne et ne bouge pas.
À nouveau le nez dans le tapis, les fesses en l’air, bien exposé au milieu de la pièce, dans cette pose indécente, j’attends.
Il s’active dans l’appartement un TRÈS long moment. Je ne bouge pas. Mais cette attente me plaît, je suis à lui, à sa disposition. Il m’a déjà donné beaucoup de plaisir. S’il exige que je tienne cette position de soumission, c’est qu’il a encore envie de profiter de moi.Encore sous le coup de l’orgasme qui n’en finit pas de régresser, je plonge dans une espèce de douce léthargie, m’abandonnant complètement. Je perds le fil de ses activités, ne perçois plus rien autour de moi. Combien de temps ? Aucune idée ! Il avait précisé qu’il avait tout son temps.
Ses pieds réapparaissent devant moi. Il me relève la tête et me tend un verre de liquide.
— Tiens bois, tu l’as bien mérité.
Je porte le verre à mes lèvres. Ouf ! C’est de l’eau fraîche. Paul n’est pas un bourrin.
— Enlève le string, écarte tes fesses à deux mains, montre ton garage à bite grand ouvert, maintenant que je l’ai bien limé.
Je m’exhibe dans cette pose humiliante, heureux de lui donner du plaisir.
— Ben dis donc ! Tu as trempé le tissu, tellement tu mouilles, tu es vraiment une grosse cochonne.
— Va dans la chambre.
J’obéis, toujours à 4 pattes (j’ai compris ce qu’il attend de moi aujourd’hui). Certainement pour profiter du spectacle, il reste derrière moi. Mais ne résiste pas, au milieu du parcours, à m’envoyer son pied entre les cuisses.
— Avance clébard, je suis sa chose.
Il s’étend sur le lit et m’ordonne de le sucer, les fesses tournées vers son visage. : — Non ! Pas en 69.— Tu ne me touches pas !— À côté de moi, et écarte les pattes.
La tête en haut de ses cuisses, j’embouche sa bite encore molle, mais déjà bien longue. Il relève les jambes et me bloque la tête avec. La bouche pleine, je ne peux pas me dégager, juste m’appliquer à le sucer. Il fouille mes fesses avec les doigts. Ça a l’air de l’amuser un peu, mais pas assez apparemment.
Il entreprend un nouveau jeu... Une main appuie sur ma tête toujours coincée, son gland au fond de ma gorge. L’autre main serre mes boules quand j’essaye de repousser son braquemart. La bouche pleine, je ne peux pas parler non plus.Une situation nouvelle qui me met rapidement en extase. Évidemment je tousse, bave, étouffe, mais il gère parfaitement la pression sur la tête. Sans négliger, si je défaille, de me motiver par de fortes pressions sur mes boules. Ou même pour rien, juste pour son plaisir de me voir tordre les fesses pour tenter de me dégager. Je suis son sex-toy. Complètement hypnotisé par cette fellation profonde, je suis au comble du bonheur. L’extase est au summum pour moi comme pour lui. Trop excité, il a de plus en plus de mal à synchroniser ses mains. Dans ma bouche, le cierge est maintenant bien dur.
Sa main libère mon entrejambe, ses jambes s’ouvrent. Il vient derrière moi, m’étale à plat ventre sur le lit, jambes ouvertes. Son sexe dur envahit mon cul d’une seule fois de toute sa longueur, il m’écrase de tout son poids. Je couine comme une pouffiasse, quand le gland bute au fond.
Et c’est reparti pour la chevauchée sauvage. Sans ménagement, il me pilonne profondément à grands coups vigoureux. Rapidement, je suis sur une autre planète, complètement étourdi par un terrible orgasme de fille. Lui aussi est au bord du plaisir, encore quelques coups, puis il s’arrête, reste enfoncé entièrement, et se libère au fond de mon antre dans un grand gémissement. Toujours couché sur moi, il féconde sa femelle.Le temps de revenir sur terre, épuisés tous les deux, nous restons là sans bouger, en sueur, son bâton de plaisir dans ma caverne.Je suis rassasié de plaisir. Et à sentir son souffle dans mes cheveux, Paul aussi.
Je ne sais pas depuis combien de temps nos ébats durent. Ni quelle heure il est ? Je n’ai pas vu passer le temps. Tout juste il me semble que dehors il y a moins de lumière. Il se redresse, quitte le lit.
— A propos, tu es disponible jusqu’à quand, moi j’ai tout mon temps, demande Paul.— Je n’ai rien de prévu ce soir ni demain matin, répondis-je enthousiaste— D’accord, acquiesce Paul
L’ordre tombe,
— Positon de chienne au pied du lit,— Et tu attends.Il sort de la chambre, ferme la porte.
Je suis bien, heureux d’être ici, avec Paul, à ses ordres, à sa disposition pour son plaisir. Il me domine complètement, il a pris l’ascendant, sans violence, juste par son intelligence, son charisme. Alternant fermeté et délicatesse, sachant m’accorder de bons moments de repos seul, certes dans des positions vulgaires. Mais tout ceci participe pleinement à la parfaite réussite mutuelle de cette rencontre qui va certainement s’éterniser (ce qui n’est pas pour me déplaire) compte tenu que tous les deux avons tout notre temps.
La porte s’ouvre,
— Tu es une bonne chienne obéissante, tu n’as pas bougé. Il me caresse le dos comme il le ferait pour complimenter un chien.
— À la cuisine, à quatre pattes, bouge tes fesses.

Je le suis. Arrivé à la cuisine un nouvel ordre,
— Position de chienne sous la table.
Je me faufile entre les chaises et me mets en position, le nez sur le carreau.Ses pieds s’approchent, il dispose deux écuelles près de moi,
— Tiens ta pitance, dépêche-toi d’avaler ça, j’ai besoin de ta gueule dans pas longtemps.
Il y a des nouilles dans la première gamelle et de l’eau dans la seconde.Tant bien que mal, sans les mains, j’attrape les macaronis avec les dents, jusqu’au dernier. Je suce l’eau fraîche comme je peux. Je sens une douce excitation monter en moi. Je ne pensais pas que ce repas me donnerait du plaisir.Je repousse les gamelles vides avec le nez et attends.
La réplique cinglante ne se fait pas attendre,
— Ta bouche est à moi, elle n’est pas faite pour manger. — Ce n’est qu’une bouche à pipes, viens me sucer.
Paul est assis, les jambes écartées sous la table. Je me glisse entre ses cuisses. Je constate que cette situation l’excite au plus haut point. Sa queue est bien dressée, plaquée contre son ventre. Je lui offre un asile entre mes lèvres. Je m’applique consciencieusement à la cajoler sur toute la longueur, je lèche les boules, reviens sur le gland. Bouche ouverte, je descends le long de cette hampe fièrement dressée qui frémit sous mes caresses. Tout le temps que, sur le plateau de la table, au-dessus de ma tête, Paul prend tranquillement son repas. Seul son bassin se trémousse sous mes caresses. J’entends qu’il repose ses couverts, boit un coup. Son verre claque quand il le pose. Il me repousse, se lève.
— File au salon salope.
Je l’attends à quatre pattes devant la table basse sur laquelle traîne une cuillère en bois. (mes fesses se souviennent de son rôle).Il me rejoint, une bière et un verre dans les mains, qu’il pose sur la table de salon.
— Viens là, je veux un paillasson pour mes pieds pendant que je regarde le match.
Je me couche sur le tapis devant le canapé.
— Sur le dos, les bras le long du corps, tu écartes bien les pattes.— Tu ne bouges plus, et je ne veux pas t’entendre.
Il verse la bière dans son verre, s’installe confortablement dans les coussins moelleux, les pieds sur moi, allume la télé qui retransmet un match de rugby.
— S’ils perdent, tes fesses vont rougir pour calmer ma déception. — S’ils gagnent, pour exprimer ma joie, pareil pour tes fesses. Mais en plus je te baise pour fêter la victoire.
J’ai déjà bien donné et reçu, je ne suis pas capable de suivre le match, enfin le son, car placé comme je suis, je ne vois pas l’écran.Quand une équipe marque, il est soit heureux, soit malheureux, peu importe pour son paillasson.Il saute, trépigne en remuant ses pieds. Au hasard, ils atteignent mes seins, mon ventre, mes cuisses, mes boules. Je remarque quand même que certaines actions m’attirent plus de coups plus forts, sur le bas-ventre, en haut de mes cuisses ouvertes. Quelle équipe : Celle qu’il supporte ? Ou l’autre ?Le temps passe au rythme des actions dans le match, il profite largement de son paillasson. Juste s’est-il levé pour se servir un autre verre à la mi-temps,
— Toi tu boiras plus tard.
Je suis bien. J’aime cette situation de laisser-aller, de soumission. Au gré des mouvements de ses pieds, je laisse divaguer mon cerveau sur un nuage de bien-être délicieux. À peine dérangé par les appuis mieux ciblés à l’aine. À un point tel que je ne perçois pas la fin du match ni le score final.
— Tu as de la chance, ils ont gagné.— Je vais fêter ça pendant la pub.— Mets-toi en position de chienne, le museau sur le tapis et lève les fesses.
Comme promis, une longue volée de claques s’abat sur mon postérieur.
— J’aime bien tes fesses qui colorent bien, rose foncé, ça devient joli. — Plus rouge ce devrait être encore mieux.
La fessée reprend et se prolonge. Mes fesses deviennent chaudes et cuisantes dans une raisonnable douleur exquise.Avant que la douleur ne devienne souffrance, les claques se transforment en douces caresses.
— Voilà ! Parfait !— Là c’est beau.
Peut-être encore émoustillé par le score final du match et la perspective de tenir sa promesse, excité par le spectacle de mes fesses rougies et offertes, il s’agenouille derrière moi, le mât bien raide en avant.Il m’enfile bien profond sans hésiter, sans forcer.Et c’est reparti pour une chevauchée sauvage.
Sous l’effet de l’addition des bons traitements (attente, repas, paillasson, fessée, caresses) administrés à la juste dose par Paul, et sous l’assaut de son membre viril, qui enfièvre mon anus, j’explose de tous mes sens. Son chibre vigoureux me fait crier de bonheur quand je suis terrassé par un immense orgasme du cul, sans jus, hormis une grosse coulée de cyprine.Paul se retient, pilonne encore un peu, puis se retire d’un coup sec.
— Tourne-toi, ouvre la bouche.
Sa tige gonflée trouve le chemin entre mes lèvres.Il jouit violemment, bruyamment, se lâche dans un cri sur ma langue. Patiente un peu, expulsant les dernières giclées,
— Je t’avais bien dit que je te donnerais à boire.
Quand il se retire, je savoure sa liqueur.
— Nettoie comme il, faut, n’en perds pas une goutte.
Encore frémissant dans ma jouissance, je lèche consciencieusement sa hampe, récupère tout son jus.Paul retourne s’asseoir. Je ne bouge pas.
— Hey dis donc ? Tu crois que je vais me passer de mon paillasson ?— Reprends ta place.
Bien vidé, il regarde calmement l’émission d’après match, les pieds sur mes cuisses.J’ai mon compte, l’orgasme prend son temps pour redescendre, parcouru de frissons de plaisir, je m’endors, submergé de bonheur.
Dans mon sommeil, deux mains soulèvent mes jambes à l’équerre. Un objet dur et soyeux me défonce les fesses. Entrouvrant les yeux, je perçois le visage de Paul entre mes jambes. Certainement réveillé par une érection nocturne, il la soulage dans mes fesses. Une nouvelle fois il se vide dans mon cul pour son seul confort.Il repose mes pieds sur le tapis, réajuste la couverture sur moi, et retourne dans sa chambre. Pas un mot n’a été prononcé. Je suis vraiment son vide- couilles.Je finis par me rendormir.
C’est une claque sur les fesses qui me réveille, j’ai dû bouger dans mon sommeil. Il fait jour.
— C’est quoi cette position pour m’accueillir.— Allez fissa ! En position de chienne.
Il se place derrière moi, présente son gland dans ma raie et assaille mon antre par des va-et-vient de plus en plus rapides. Il explose rapidement, vide ses couilles, calmant ainsi sa bandaison du matin, satisfait d’avoir un sex-toy à disposition.
— Ha ! Ça fait du bien.— Comme ça, maintenant je vais pouvoir aller pisser.— Suis-moi, citerne à foutre.
Il s’installe un pied de chaque côté de la cuvette,
— À genoux à côté de moi, bouche ouverte, truie.
Je me place contre sa cuisse. Je suis obligé de serrer les fesses pour garder tout le jus d’homme contenu dans ma caverne.Dans un long bruit de cascade, il vide sa vessie, puis tourne sa bite molle vers mes lèvres.
— Essuie ma queue, que les dernières gouttes ne salissent pas le carrelage.
Complètement sous son emprise, j’avance la tête, gobe son membre, et l’essore soigneusement, lapant son champagne doré au goût âcre. En sortant, il précise,
— Si tu veux pisser, profite que tu es aux toilettes et rejoins-moi à la cuisine.
Je m’assois sur le siège. Tandis que j’urine, sans que je puisse le contrôler, mon cul se vide de tout le sperme que la bite de Paul m’a généreusement gratifié.
Quand j’arrive à la cuisine, Paul est en train de préparer du café,
— On a bien mérité un p’tit dèj.
Il y a des biscottes, du miel, du jus de fruit, deux tasses sur la table.
— Assieds-toi, sers-toi, prends des tartines.— Tu veux du café ?
Quel merveilleux après-midi, avec prolongations, que je viens de passer ! Je suis un peu groggy par tous les bons soins que Paul m’a accordés. Mais très heureux de ce que j’ai vécu. Je ne savais pas que de s’abandonner totalement à un homme, se laisser aller entre ses mains pouvait être aussi jouissif. En plus, Paul s’est montré un excellent pilote (un Maître). Très attentif à son partenaire, il avait même eu la délicatesse de me mettre une couverture avant d’aller se coucher. J’espère avoir été à la hauteur de ses espérances et qu’il y a trouvé autant de plaisir que moi.
— Tu es parfait en salope mâle, convient Paul.— J’ai adoré ta façon de te donner, ton abandon pour moi.— C’était trop jouissif, que de t’avoir à disposition, j’ai bien profité, j’ai bien pris mon pied, aussi bien dans la tête qu’avec ma queue.— Et je suis lessivé.
— Merci à toi surtout, répondis-je— Tu m’as rassasié, j’en tremble encore de plaisir. Ce séjour entre tes mains a été merveilleux.— Je suis très heureux de t’avoir lessivé de cette façon. — Je reviens quand tu veux, m’abandonner à toi, pour toi.— Je suis à ton service tellement ça a été bon.
— T’inquiète, je te rappellerai, je sais où te trouver, acquiesce Paul ...
Fin.

Ceci est une fiction, une histoire fantasmée dans un monde idéal de rêve, fictif.Dans la réalité, n’oubliez pas d’utiliser des préservatifs. Protégez-vous toujours.Et aussi excluez la violence dans vos relations, ayez toujours un complet respect pour vos partenaires, assurez-vous d’avoir son consentement. S’il ou elle vous dit NON, c’est NON. Le harcèlement, les agressions sexuelles, le viol sont des délits punis par la loi.
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