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Une séance de photos érotiques

Chapitre 1

Erotique
Cela commence en 1989,Françoise acceptait pour me faire plaisir (et aussi pour le sien, je pense) que je la prenne en photo, en tenue sexy, érotique, déshabillé avec des poses suggestives, parfois plus, montrant sa vulve et même avec des vibromasseurs et autres objets dans son vagin.Lors de ces séances de poses, je ne la guide pas laissant sa créativité érotique, voire pornographique s’exprimer.A cette époque-là il n’y avait que des appareils photos avec pellicule et donc obligé de les porter à développer chez un photographe.Quelques temps après la naissance de notre 3ème enfant, à ma demande, elle acceptait de faire une série de photos érotiques. Elle avait alors une robe portefeuille bleue que j’aimais tout particulièrement, car je la trouvais très érotique, puisqu’en modifiant la disposition de la ceinture elle passait de très cadre BCBG à femme très érotique. J’avais constaté lorsqu’elle la portait que les hommes n’étaient pas indifférents, ses collègues certainement encore plus.Un soir les enfants sont couchés, la jolie jeune maman, maquillée, prend la pose pour moi. Elle commence par poser sa jambe sur une chaise, ce qui fait apparaitre une belle cuisse, gainée de bas noir. Aguicheuse, elle relève sa robe d’un côté jusqu’ la ceinture, montrant l’autre cuisse, les bas et son slip brésilien, blanc avec des petits points bleus foncés. Une invitation au voyage.Puis de face en ouvrant sa robe et l’entrebâillant sur sa poitrine.Elle l’ouvre pour montrer son bustier.Pour continuer elle remonte la jupe devant au-dessus du nombril et offre la vue de ses deux ravissantes jambes avec les bas, de son slip et de son bas ventre.Elle se tourne et me montre ses fesses, robes relevées, « vous les aimez, vous les hommes »Elle sait ce que tous nous aimons ses fesses qu’elle découvre en me tournant le dos. J’ai chaud et cela l’amuse. « Cela va me demande-t-elle ? »Elle ôte sa robe et la pose sur le landau de notre fils. Je découvre un bustier sympa. Pose sexy un peu provocatrice, La voici dans le style bon élève les mains dans le dos dans ses sous-vêtements de soie presque trop sage. « Coquine non ? »La voici, tenant son bas ventre, un doigt de chaque main dans le slip, on devine ses doigts dans sa toison. J’adore dans ses moments son regard provocateur, excitant. Je n’y résiste pas, les autres non plus.Elle me tourne le dos, son slip rentre dans les fesses et disparait dans le bas de la raie culière.Elle est assise maintenant sur la chaise disposée à cet effet, pour les photos. Elle croise ses jambes, elle se cambré pour faire ressortir ses seins, elle prend la pose.Elle est assise de face, cuisse écartées, main sur les hanches, provocatrice. Le slip disparait en bas dans sa fente. Sur un bord une de ses lèvres apparait.« je te fais bander ? »De face maintenant, « un peu plus ? » et elle tire sur son slip le faisant ainsi disparaître dans sa vulve.J’adore cette vision.Elle continue en sortant ses seins du bustier. Plaisir de montrer ses petits seins, l’un différent de l’autre plus petit. Les aréoles sont bien dessinées. Les tétons sont dressés. Elle aussi est excitée. En bas le slip est dans sa fente disparaissant dans cette humidité certaine.Pose suivante elle remonte ses seins et les fait saillir. Que va-t-elle encore faire pour exciter le photographe que je suis et tous ceux qui regarderons ces photos.A ma demande elle se lève pour me permettre de prendre une photo de près du slip bien tiré disparaissant dans sa fente et ressortissant dans le haut de son cul. Sa toison taillée accueille sans difficulté ce petit morceau de tissus.Elle me tourne le dos « puisse que tu aimes » penchée en avant elle tire sur le slip. La vue est splendide lui dis-je. Sa vulve est bien visible dessinée, séparée encore plus par l’étoffe.Maintenant elle baisse son slip toujours dans la même position ses fesses mises en valeur, sa vulve offerte.Elle enlève son bustier, reprend la pose, prenant appui sur la chaise, debout, jambes écartées.Ses petits seins pointent vers le bas.Je la félicite Elle s’amuse, avec les doigts de sa main droite elle écarte sa vulve comme pour faciliter l’entrée d’un pénis. J’ai eu du mal à ne pas poser la mon appareil photo et lui mettre ma bite dans son trou offert.Elle se relève nue, nouvelle photo, une main sur son clitoris, l’autre sur sa hanche, sa fente bien écartée.Elle s’assoit et prend une pose où le bassin tournée la jambe croisée haut, elle met en valeur ses fesses.Puis comme tout à l’heure, face à moi, elle écarte les cuisses en grand. J’ai la chance de pouvoir la photographier, cuisse et lèvres écartées, vulve offerte.Je m’approche pour prendre quelques gros plans.Elle se caresse le clitoris, les grandes lèvres ouvertes, les petites se frottent l’une contre l’autre.Enfin un doigt, le majeur, rentre dans le vagin et l’autre vient appuyer sur la rondelle de son cul.Elle avance son bassin sur le bord de la chaise, main sur les hanches et montre sa vulve qui est maintenant bien ouverte, ses grandes lèvres et petites lèvres écartées. « Envie d’y mettre quelque chose ?»Dernière pose, toujours écartée, un doigt caresse le clitoris.Après j’ai posé l’appareil photo et je l’ai pénétré sans difficulté. Elle était bien excitée, sa vulve mouillée, son vagin trempé.Le lendemain je travaillais alors dans le secteur de la Gare du Nord, je portais ma pellicule à développer, chez un photographe qui assurait le développement avec ses propres machines.Je devais les récupérer le lendemain.L’après-midi au retour d’une course je passai devant et constatait trois hommes qui regardait avec insistance la vitrine du photographe. Je traversais et m’approchais.Je n’avais pas fait attention à cette vitrine où une machine à développer travaillait mais où l’on pouvait voir les photos en cours de traitement. Et voilà ce que regardais ces messieurs : les photos prises la veille où l’on voyait ma femme en train de poser.J’écoutais quelques secondes ces personnes. L’un me regardant me dit « y en qui n’ont pas froid aux yeux » l’autre rajoutât « oui, une vraie salope », « tu la baiserais bien répondit l’autre ». Je m’éclipsais discrètement…Le lendemain lors de la pose déjeuner, j’allais chercher mes photos. Le vendeur me remis la pochette, en me disant avec un grand sourire « vos photos sont toutes bonnes, pas une de raté. »Je rentrai au bureau impatient de regarder les œuvres.Dans mon bureau je les regardais toutes très content du résultat. Absorbé par cette découverte je n’avais pas entendu mon collègue approcher qui regardait par-dessus mon épaule les photos de Françoise. J’en étais à celle ou penchée en avant elle présente sa vulve. « Ta femme est sympa, mais je me vois bien en train de l’enfiler ». Il prit l’ensemble du paquet, j’étais sans réaction, et fit comme moi à la mater.Pendant quelques mois il m’en parlait de temps en temps me demandant si j’avais réalisé de nouvelles photos.
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