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Une secrétaire de braise

Chapitre 2

Erotique
Le lendemain matin, quand elle arrive au bureau, je remarque qu’elle est parfumée et qu’elle s’est habillée différemment, elle porte un chemisier léger et translucide qui laisse deviner un soutien-gorge à fleurs très pigeonnant, et une jupe légère, très froncée autour de la taille et qu’elle n’a pas mis de collants. Je la regarde dans les yeux pour savoir si elle pense à ce qui s’est passé hier soir entre nous, et quand elle vient me donner discrètement un petit baiser sur le coin des lèvres, je sais que rien n’est fini et que je vais avoir beaucoup de mal à attendre la fin du travail. Il ne faut pas que quiconque se rende compte du fait que nous avons une relation, ni que son mari apprenne quoi que ce soit. Je vais donc rester zen comme si de rien n’était.Mais en fin de matinée je vois rentrer un employé chargé de la maintenance des locaux avec un énorme tapis roulé sur l’épaule, et qui se dirige vers son bureau, pousse un peu les meubles, déroule le tapis sur le sol et qui le bloque avec l’angle du bureau: c’est un tapis qui a la couleur d’une fourrure d’ours blanc et qui en a l’épaisseur, aussi large qu’un lit à deux places, et je ne peux m’empêcher de penser qu’elle pense à tout. Aussitôt, je me mets à bander comme un âne et je ne dois rien laisser voir, mais mes fantasmes se bousculent dans la tête: elle est rusée comme une renarde et elle prépare un endroit pour s’allonger, ça promet d’être chaud ce soir.Arrive enfin l’heure de la signature du courrier, elle se présente à mon bureau, se place devant moi, puis se ravise et vient se mettre à ma droite pour qu’elle puisse mieux me montrer ce que je dois signer, me dit-elle avec un sourire coquin. Elle se serre contre moi et je sens sa hanche gauche qui vient s’appuyer sur mon bras, je rebande instanément, et comme elle est debout et moi assis, je laisse tomber la main droite contre sa jambe et je commence à lui caresser le mollet, sa jupe ample me facilite les choses, ma main remonte vers sa cuisse sans que personne ne puisse voir quoi que ce soit, et je continue mon exploration à l’intérieur de ses jambes, elle est chaude et douce, elle a encore envie et moi aussi.Ma main remonte vers sa culotte et au toucher, je ne sens aucun élastique, la culotte est aussi ample que sa jupe. Je continue lentement mon exploration en passant la main dessous et j’atteins son sexe. Je fais semblant de lire mais je touche sa toison et mets un doigt dans sa vulve, elle est aussi mouillée que la veille, je fais quelques aller-retour dans son sexe et je sens que son corps tremble, elle écarte les jambes pour mieux sentir les doigts qui la pénètrent et commence à bouger le bassin pour mieux s’empaler, je la regarde, elle ferme à moitié les yeux, pousse des soupirs qui me font penser que quelqu’un pourrait entrer à tout moment et nous surprendre, imaginez un peu le chef de service pris en train de doigter sa secrétaire dans son bureau... Je bande tellement que j’ai mal au gland, alors mes doigts la fouillent au plus profond, son vagin se dilate, elle mouille comme jamais, mais la crainte d’être surpris me pousse à lui dire de retourner dans son bureau, je vais signer tout ça après et je le lui apporterai plus tard.Quand elle est partie, la porte refermée, je mets mes doigts sur la bouche, je sens son parfum intime, je suce mes doigts pour me donner un avant-goût de ce que je vais lui faire après le travail, et je suis au bord de l’explosion, je n’arrive plus à bosser, et je ne vois que son sexe ouvert, enfin, celui que j’imagine car je n’ai encore rien vu.Je ne m’essuie pas les doigts, je prends le stylo et signe sans regarder tout le courrier, je renifle fréquemment l’index et le majeur qui l’ont masturbée ici même et mon cerveau est en ébullition. Mais je n’en peux plus, je me dis que si je ne décharge pas maintenant, je vais être incapable de l’honorer comme il se doit ce soir, alors je pars aux toilettes et après quelques va-et-vient, j’éjacule le trop plein, je m’essuie avec du papier, remets tout à l’intérieur du pantalon, et retourne m’asseoir comme si de rien n’était.A 18 heures, tout le monde s’en va, elle aussi, elle met son manteau et me dit à demain, mais devant mon air déçu, elle me fait un clin d’oeil complice. Je me dis qu’il faut attendre un peu, et en effet, après avoir fait semblant de partir pour les autres, elle revient en leur disant qu’elle a oublié quelque chose sur son bureau. J’entends la porte s’ouvrir, le verrou se fermer, je la vois quitter son manteau, puis elle se jette sur moi en me roulant une pelle d’enfer, éteint la lumière de mon bureau et elle m’entraîne dans le sien, de bureau. Elle veut inaugurer le tapis car on ne voit pas la lumière de l’extérieur, et elle commence à se déshabiller rapidement. Je vois tomber son chemisier, le soutien-gorge, et je vois qu’elle a des seins superbes pour une femme de son âge, puis elle enjambe sa jupe qu’elle fait descendre et je vois enfin l’objet de tous mes désirs, sa culotte flottante qui laisse deviner sa raie des fesses et sa toison pubienne, ses fesses sont pleines, pas une ride, pas de peau d’orange, un corps plus que sexy. Enfin elle enlève sa culotte et s’allonge de suite sur le tapis et me demande de venir, de ne pas perdre de temps. Je finis de quitter mon pantalon en regardant son sexe, et quand je veux quitter la chemise, elle me dit non, viens maintenant. Je m’allonge à côté d’elle et commence à l’embrasser, la caresser partout sans oublier les oreilles, les seins et le ventre. Pendant que je lui passe la langue sur le ventre, je regarde ma main qui s’approche de son sexe, lui caresse les poils qui sont courts et bouclés, mais épais, je lui introduis un doigt dans la fente mais j’ai tellement envie de son sexe que je viens me placer entre ses jambes, je les remonte sur mes épaules pour mieux l’ouvrir et je vois enfin de près cette fente qui se contracte et se relâche, puis je glisse les mains sous ses fesses en gardant les pouces de part et d’autre de sa vulve et j’ouvre cette bouche d’amour pour y appliquer mes lèvres, je lèche, je suce, j’embrasse, j’insiste sur son clitoris dressé, il n’est pas gros mais il est hypersensible et je la regarde en même temps, ses yeux sont fermés et sa tête balance de gauche et de droite, elle pousse des râles de bonheur et maintient ma bouche sur sa vulve, alors je m’enhardis à passer la langue plus bas à l’intérieur, la pointe de ma langue passe autour de l’anus et je vois son vagin se contracter et se relâcher, elle commence à jouir et quand mon majeur humide pénètre son anus, elle a un orgasme très bruyant qui me pétrifie tellement elle hurle, son bassin est agité de soubresauts que je ne peux contenir, ma langue sort de son vagin qui coule abondamment, puis elle retombe sur le tapis comme épuisée.Mon sexe était tendu, gonflé et douloureux, je ne peux plus attendre.-Je veux te prendre maintenant, lui dis-je.-Oui, viens.Alors je m’allonge sur elle, et c’est moi qui guide mon sexe dans le sien, je vois ce que je fais, je le pénètre doucement, complètement, puis je prends sa bouche et commence à limer consciencieusement, je m’arrête de temps en temps pour profiter pleinement de l’instant, en retenant mon éjaculation, elle me saisit les fesses et plante ses ongles dans la peau pour me faire comprendre que je dois y aller plus fort. Alors je martèle son ventre avec ma bite de plus en plus fort jusqu’à ce que l’orgasme vienne, il me submerge, tout mon sperme gicle contre son utérus et le choc lui provoque un autre orgasme qui m’aspire encore en elle et j’ai l’impression d’être son prisonnier. Je reste encore longtemps sur elle, les dernières gouttes de sperme sont sorties et mon sexe ramollit.Alors je lui demande si elle veut passer une nuit à l’hôtel avec moi, nous serions plus libres de faire tout ce que nous voulons, car je pensais à sa sensibilité anale et je me disais qu’elle était vierge de ce côté là et que ce serait super de lui faire découvrir la sodomie. Elle me dit que non, c’est pas possible à cause de son mari qui est jaloux comme un tigre. J’essaye alors de la décider autrement, je me retire de son ventre et descends ma bouche vers son sexe qui dégouline de mon sperme, je plaque ma bouche dessus et commence à la lécher partout, en prenant soin de visiter son anus qui lui aussi est humide de mon sperme. Je lui passe la langue partout du sexe jusqu’en haut de la raie et quand elle passe sur son petit trou, je vois son vagin se contracter à nouveau et recracher un peu de mon sperme, alors je pousse mon doigt à l’intérieur de l’anus et commence à la branler en le faisant tourner , sortir et entrer, mais je sens qu’elle se contracte sur mon doigt, elle me serre avec son muscle et recommence à se pâmer, elle est prête à repartir quand soudain elle me dit d’arrêter, c’est trop pour elle, alors je retire lentement le doigt, lui embrasse encore les lèvres couvertes de sperme, lui aspire son clitoris comme pour lui dire au revoir, et nos corps se séparent.Je la regarde se rhabiller et je lui demande de réfléchir à ma proposition.Elle me répond qu’elle verra, mais que son mari est le principal obstacle et qu’il ne faut pas trop compter dessus.Les jours qui ont suivi, nous avons pu refaire l’amour de temps en temps et de façon tout aussi torride, mais la vie nous a séparés, j’ai quitté la région pour des raisons professionnelles, mais je ne peux m’empêcher de penser à elle, et en ce moment alors que je suis en train d’écrire sur le clavier, je bande comme si j’avais encore 20 ans.J’aimerai bien la revoir pour savoir si elle me ferait toujours autant d’effet et se remémorer les instants passés ensemble quand elle me mettait le feu à la braguette...
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