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Une semaine avec ma princesse

Chapitre 1

SM / Fétichisme
En hommage à I., celle qui m’a fait découvrir le monde qui m’attirait depuis tant d’années...
Tout commence un lundi matin, et pour une fois je me lève tôt et avec un grand sourire aux lèvres. Pourquoi me direz-vous ? Parce que ce soir je retrouve mon incroyable princesse pour une semaine de jeux. En effet je fais fait partis d’un petit cercle de privilégiés qui ont la chance de connaitre princesse I. Et je suis encore plus privilégié car elle me fait le bonheur de partager ses séjours sur Paris avec moi. Ce qui fait une vraie bonne raison de se sentir si exalté et heureux. Il est encore tôt, 5h30, mais ce n’est pas le réveil qui me sort du lit, mais bien une douloureuse érection nocturne. Cela fait 30 jours exactement que ma princesse m’a encagé dans une mini cage pour pouvoir me frustrer puis me délivrer pour fêter nos retrouvailles. Un mois que je souffre autant physiquement que mentalement de cette restriction qui en même temps est un délice. Je file donc sous la douche pour m’asperger le pubis et mon sexe encagé d’un jet d’eau glaciale afin de calmer mes douleurs. Je finis de me laver et enfile mes vêtements pour la journée. Sous mon costume j’enfile un tanga en dentelle rose qu’elle a déjà porté et qu’elle m’a fait parvenir par la poste. J’ai l’air ridicule mais je trouve ça diablement excitant. Je rassemble mes affaires, attrape mon petit sac à « jouets » et prends la route pour la ville lumière. Une longue journée de travail m’attend, elle sera interminable et chaque heure compte double avant qu’on retrouve une personne qui nous a autant manqué.
Il est 18 heures, je quitte enfin le bureau pour notre petit nid, qui accueillera notre perversité pour la semaine. Je franchis le hall de l’immeuble, rejoins l’appartement et sonne à la porte. Je suis tellement content. Aucune réponse, je m’apprête à sonner une deuxième fois lorsque mon téléphone vibre. Princesse vient de m’envoyer un message : Laisse tes valises devant la porte, retourne dans la cage d’escalier et reviens avec tes vêtements à la main. Si je suis satisfaite, je t’ouvrirais ! Mon cœur s’emballe, que dois-je faire, est-ce une farce ? Mais très vite, la réalité me rattrape. Depuis plus deux ans que nous nous connaissons je n’ai jamais pu lui refuser quelque chose et elle le sait. Je fais donc demi-tour, et me déshabille dans l’escalier. Mes affaires à la main, je remonte les 30 mètres du couloir avec pour seul apparat les dessous féminins qu’elle m’a demandé de porter. Je tremble comme une feuille et j’arrive devant la porte après les 30 mètres les plus longs de toute ma vie. Mes valises ont disparu. Je frappe de nouveau. Cette fois-ci je vois une ombre de l’autre côté de l’œil de bœuf. Et la porte s’ouvre enfin...

I : Aller entre ! Je vois que tu as été un gentil garçon et que tu portes mon petit cadeau...Tourne-toi, fais-moi voir comme tu es beau comme ça.
Elle me fait rougir. Puis je reçois une claque sur les fesses, pas très forte, elle fait juste cela pour reprendre possession de ce qui lui appartient.
I : Tout nu maintenant, je veux voir l’état de ton sexe après 30 jours de cage.
Je m’exécute donc. Elle empoigne ma cage et commence à soupeser mes testicules.
I : Ta bite est toujours aussi petite, mais par contre tes couilles ont au moins doublé de volumes.Elle sait que j’aime quand elle me parle crument, et je commence déjà à me sentir à l’étroit dans ma prison. Et elle s’en rend bien compte, elle connait tout ce qu’elle provoque sur moi. Il faut dire qu’elle est splendide. Un corps de rêve, un regard pétillant et un sourire ravageur. Une déesse...
I : Viens ! Suis-moi dans la chambre. Et prends ta petite culotte...
En me disant, cella elle m’attrape par la main et m’entraine avec elle. I en profite pour faire glisser le petit peignoir en soie qu’elle portait pour m’accueillir. Elle se dévoile ainsi à moi. Sa tenue est un magnifique ensemble. Soutien-gorge, string et porte-jarretelle en dentelle noire. Au pied elle est juchée sur de beaux escarpins Louboutin qui complètent ses bas coutures. Et c’est ainsi que je bascule dans un autre univers.

Je suis maintenant face au grand lit que je trouve équipé de quatre paires de menottes réparties aux extrémités. Elle n’a visiblement pas prévu de temps morts ! Princesse I, s’approche maintenant de moi et fais glisser ses mains sur mon torse, pose ses lèvres dans mon cou et remonte lentement vers mon oreille. Et commence à redescendre vers mon épaule en me mordant de plus en plus forte. Puis I décide de m’attacher au lit. Je me retrouve donc écartelé et sans la possibilité de bouger. Seule ma cage qui pointe vers le plafond fait de légers mouvements quand j’essaie de me débattre.
I : Il est temps de faire une inspection plus approfondie.
Et c’est ainsi que ma cage quitte mon entrejambe. Mon sexe durcit complètement pour la première fois depuis un mois. I. Laisse couler de ses lèvres une belle dose de salive qui atteint directement mon gland et le caresse délicatement avec son pouce. Mon gland est luisant et ma verge se dresse fièrement. Puis ma princesse empoigne tout à coup mon sexe et commence à me masturber très vite et très fort. Peut-être trop fort après autant d’attente. Je me mets à trembler et sens déjà l’orgasme monter après moins d’une minute, mais elle s’en rend très vite compte et claque très fort mon gland. Je crois un instant que cela va déclencher l’orgasme le plus rapide de toute ma vie mais avant même que cela puisse arriver une seconde claque atteint cette fois-ci mes bourses. Cela coupe immédiatement ma montée de plaisir...I : Qu’est-ce que tu aller faire là ? Jouir sans ma permission ?? Je crois que tu as oublié les bonnes manières... C’est moi qui décide quand, où et de quelle manière tes couilles inutiles peuvent se vider !Et sur ce elle quitte la chambre, me laissant attaché sur le lit.
Au moins cinq minutes plus tard, je l’aperçois de nouveau dans l’encadrement de la porte. Elle a à la main un petit étui en cuir noir et dans l’autre un tube de lubrifiant. Mon érection n’est pas retombée.
I : Bien, très bien, je vois que tu es toujours en pleine forme. Nous allons donc pouvoir continuer.
Elle me lance un clin d’œil et reprend sa position entre mes jambes toujours écartées par les contraintes. Elle ouvre le petit étui et en sort une longue sonde métallique qu’elle lubrifie soigneusement. Puis une fois terminé elle reprend ma virilité dans ses mains et me décalotte complètement. Elle fait glisser le bout de la tige tout autour de mon gland pendant de longs instants, puis la plonge enfin dans mon urètre. Elle commence par de petits va et viens très doux. Puis au fur et à mesure elle enfonce la sonde jusqu’à ce qu’elle ne sorte de mon sexe que d’un petit centimètre. Je suis totalement pénétré. Les mouvements deviennent alors moins rapides mais beaucoup plus appuyés. Elle y prend beaucoup de plaisir, je la sens heureuse de me retrouver ainsi. Son merveilleux visage me gratifie du plus beau des sourires. Notre petit manège dur ainsi quelques minutes, puis elle entreprend de me masturber en laissant enfoncée la tige au plus profond de mon sexe. Je sens de nouveau l’orgasme arriver, mais dès qu’elle me sent monter elle stoppe toute stimulation. Elle répète cette douce torture, une dizaine de fois et je finis par la supplier de me laisser exploser. Pour me faire taire elle enfonce le tanga qu’elle m’a fait porter dans la bouche et me susurre à l’oreille
I : Je ne veux plus t’entendre petit pervers !
Ma langue découvre alors un mélange de son odeur et de ses sécrétions ainsi que des miennes. I quant à elle, continue encore et encore ces allers retour, en alternant entre masturbation de mon sexe et pénétration de la sonde. Je n’en peux plus, je dois jouir ! Et c’est à ce moment-là qu’elle choisit de sortir la sonde. Elle m’abandonne ainsi et quitte à nouveau la chambre...

Je la vois arriver avec un petit paquet à la main.
I : J’ai un cadeau pour toi ! Ta nouvelle cage est enfin arrivée.
Je la vois ouvrir le paquet et en sortir la cage sur mesure qu’elle m’avait commandé et que nous n’avions pas pu encore essayer. Elle l’approche alors de mon sexe qui commence à retrouver une taille plus que modeste.J’essaie de m’agiter et de protester mais mon bâillon toujours en place m’empêche de lui dire qu’elle ne peut pas me laisser ainsi et que c’est beaucoup trop cruel. Deux minutes plus tard je suis de nouveau en cage et elle me lance une expression des plus satisfaite. Puis elle s’approche de moi et enlève la culotte sale de ma bouche. Avant que je puisse me plaindre elle me coupa la parole et dit...
I : je ne veux pas t’entendre ! Et maintenant remercie moi comme un bon toutou remercie ça maitresse.
Elle se met donc à califourchon sur mon visage, écarte sa magnifique lingerie et se cambre pour me laisser accès a son anus. Puis elle en approche ma tête et m’ordonne :
I : Lape mon petit toutou, lape-moi et montre-moi ton désir
Je fais donc tourner ma langue autour, et commence à atteindre cette zone de plaisir sur laquelle j’insiste de plus en plus. Mon petit manège dure quelques minutes... Puis elle se relève, se retourne vers moi, m’embrasse sur le front et me dit...
I : Je vais te détacher. Je me sens bien détendue maintenant et j’ai envie qu’on se fasse un ciné.
Habilles toi, et pas la peine de mettre de sous-vêtements tu n’en auras pas besoin ce soir.J’enfile donc mon costume et lui dépose un baiser affectueux sur la joue et lui dit :
M : Tes désirs sont des ordres ma princesse.
Elle fait les cinq minutes de marche qui nous sépare du Gaumont à mon bras, tout en discutant et riant. Nous sommes tellement contents de nous retrouver...Je lui laisse choisir le film et pars payer les tickets. Nous nous installons sur une rangée de sièges libres juste avant que le film commence.

A la moitié de la séance, je sens sa main se poser sur mes genoux et remonter vers mon entrejambe. Elle caresse doucement ma cage à travers mon pantalon de costume. Puis au bout d’un moment, elle devient de plus en plus entreprenante et commence à dé-zipper ma braguette. Elle me glisse alors entre deux répliques :
I : Sors ta cage je veux que tu sois à l’aise.
Et c’est ainsi que je me retrouve en pleine projection avec ma cage sortie par l’ouverture de ma braguette et I. En train de me donner un teasing dans une salle certes obscure mais pleine de gens. A force de me faire caresser ainsi, je suis en train de couler comme une petite fille en chaleur. Contre toute attente je la vois récupérer le plus possible de mon liquide préséminal avec les deux doigts de la main droite et écarte en même temps ses cuisses. Ses doigts prennent ainsi la direction de son bas ventre et disparaissent sous sa jupe. Elle commence à faire de long va-et-vient et poursuit sa masturbation jusqu’au début du générique. Une fois les lumières des sorties allumées elle me dit :
I : Je me suis bien excitée, mais je veux que ce soit ta langue qui me finisse.
Elle approche ces deux doigts complètement trempés de ma bouche et m’ordonne de les nettoyer en les léchant nous croyant les derniers dans la salle. C’est à ce moment qu’un couple de jeunes quarantenaire passe derrière nous. Une fois qu’ils ont quitté la salle, elle éclate de rire et me dit « Rentrons à la maison ! »Une fois à l’appartement, je me rends compte que je suis trempé à l’entrejambe et que cela se voit plus que nettement à travers mon pantalon clair. J’ai honte d’avoir marché ainsi...Elle au contraire, ça la fait rire et part dans la chambre en me prenant par la main. Elle se déshabille et s’allonge sur le lit sur le dos.
I : Fais-moi jouir maintenant et attention si tu ne me donnes pas six orgasmes avant la fin de la semaine tu n’auras pas le droit au tien.
Je me lance donc à l’assaut de son mont de vénus et déploie toute ma technique de langue pour lui donner son plaisir. Au bout d’une vingtaine de minutes, elle atteint le climax et se laisse aller dans un bruyant orgasme libérateur qu’elle a bien mérité !

Après quelques instants à caresser son corps avec ma main, je la laisse redescendre et pars à la salle de bain me nettoyer le visage plein de ses sécrétions. A mon retour elle est paisiblement endormie sur le lit. Je tire alors les draps sur elle pour la protéger de la fraicheur de la nuit et m’allonge à ses côtés. J’en profite pour me coller à elle en cuillère. Je sens son fessier à travers ma cage, je respire son odeur et essaie de m’endormir au côté de la plus belle et perverse femme du monde. Je suis heureux...
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