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Une Semaine à la neige

Chapitre 1

Travesti / Trans
Cette histoire vraie s’est déroulée cet hiver et est pour moi la meilleure expérience de ma vie

Je suis Estelle, 25ans, vivant dans une grande ville du sud de la France, travesti depuis mon adolescence, fan absolu des rencontres extrêmes et plutôt hard, je prévois essentiellement mes plans sur un t’chat ce qui me permet d’aller vite et de trouver ce dont j’ai envie, mais ce soir là il y a peu de monde et un homme d’une cinquantaine d’année localisé en Savoie vient me parler :

— Ca va ? T’es bien bonne sur ton avatar tu cherches quoi ?— Merci, je cherche un mâle mur très dominant et pervers, et toi ?— Moi une jolie trav soumise, tu me plais bien...— Peut-être mais tu sembles être assez loin de moi et je ne reçois pas car je vis en colocation...— Moi je reçois.— Faudrait m’enlever pour me faire monter en Savoie.— Deal. 

Je reste un instant sans réponse puis : 

— Ca te chauffe ? M’enlever ? — Ca me plait bien comme idée mais pas pour 2 jours, je te garde 1 semaine avec moi. — Pourquoi pas, quelles conditions ? — Tu seras ligotée dans la cave, je t’utiliserai pour me vider et tu auras deux gamelles par jour pour manger et 20min de liberté pour ta douche et toilette intime. — OK ! — Sérieux ? Tu acceptes ? — Evidemment, le plan me plait bien, je suis de Marseille, tu viens me chercher ? 
— Donne moi ton numéro je t’appelle !

La suite de la discussion se fit au téléphone, il me dit qu’il descendrait le lundi suivant avec sa voiture et qu’il me donnait rendez vous à 18h30 sur le parking d’une grande surface en dehors de la ville, que si j’y allais, j’étais à lui pour 1 semaine, j’acceptais et avais donc 3 jours avant mon rendez vous... Le weekend passait super vite et le dimanche soir au moment de me coucher je prévoyais déjà ma tenue du lendemain, étant en repos pendant encore 2 semaines, je prévenais mes colocs de mon absence prétextant une retraite spirituelle dans un monastère bouddhiste, ce qui déclencha une série de blagues et vacheries à mon encontre, dans ma chambre je préparais une robe, des collants, ma perruque, un peu de maquillage, je me roulais ensuite un joint et me mettais au lit devant un film. 

Au réveil, Jour J , 11h du matin, j’ai encore 7h, je suis à la fois excité mais pas stressé, ce n’est pas mon premier rendez-vous mais c’est la première fois que je vais devoir être Estelle pendant 1 semaine, je réalise que je n’ai pas assez de tenues pour ma semaine et je reprend tout à zéro, j’embarque 3 robes, deux hauts, un short, un legging, toutes mes culottes, 4 paires de collants et une paire de bas, une paire de bottines, une paire de talons et une paire de baskets pour être confortable dans la neige, nous sommes en Février et la Savoie semble être plutôt enneigée, et enfin ma perruque que j’emballe soigneusement ainsi que tout mon maquillage, j’embarque ma veste en cuir et commence à me faire à manger, il est 13h. 

Après manger, j’en profite pour me faire un petit lavement histoire d’arriver propre à mon rendez vous avant d’être utilisée et usée, puis je fais une petite sieste, 17h mes colocs ne sont pas encore là, je reçois un texto signalant qu’ils seront pas là avant que je ne parte, l’occasion pour moi de me faire un petit plaisir et de partir de chez moi déjà prête, dans la minute je suis nue dans ma chambre, ma valise ouverte, j’enfile une culotte tanga noire en dentelles, des collants noirs très fins, un body noir en tulle et un petit short noir que je n’avais pas emporté, j’enfile mes bottines et je file me maquiller, petit coup de fond de teint, crayon léger, mascara, rouge à lèvres et je suis prête, J’ouvre la porte de la maison et je sens le vent froid sur mes jambes, il fait froid mais j’adore me trouver dans cette situation, je marche vite jusqu’à ma voiture pour que personne ne me voit et je prend la direction de la "banlieue" de Marseille,  Je suis très excitée de me retrouver dans cette situation, travesti dans le trafic et dans ma petite voiture féminine, je roule doucement et arrive finalement sur le lieu du rendez-vous à 18h25, comme prévu je sortais de ma voiture et allumais une cigarette , je devais m’éloigner du parking en longeant une petite route, il devait me prendre un peu plus haut sur la route, je marchais à la lumière des phares, le jour étant tombé tôt et le gris du ciel aidait à rendre le décor toujours plus sombre, je rêvais tout en marchant quand un gros 4x4 s’arrêtait à côté de moi...

— Estelle, monte ! Dit une voix 
Je m’approchais coté passager mais la voix reprit : 

— NON ! DERRIERE SALOPE ! 

Je m’exécutais et montais à l’arrière, sans un mot il redémarra et il roula pendant 10 minutes avant de s’engager sur un petit chemin de terre, puis un autre et nous nous sommes vites isolés des sentiers je n’osais pas parler, seul le son de sa radio était audible, l’ambiance était électrique, inquiétante mais aussi très excitante , la route devenait plus difficile, quand il trouva un coin il s’arrêta et toujours sans un mot il sortit de sa voiture, se dirigea vers le coffre et je le vis en sortir un rouleau de scotch, de la corde et un sac de couchage, il ouvrit la porte arrière et me dit : 

— Petite salope, 25ans, tu me plais, tu vas vivre l’enfer, tu as encore 3min pour me dire si tu veux rentrer chez toi, sinon tu es à moi jusqu’à Lundi prochain je te déposerai à ta voiture, si tu ne me conviens pas, je te paierai un train pour rentrer avant, en attendant, tu vas me donner ton porte-feuille, ton téléphone et tes clés de voiture, tu n’existes qu’en tant qu’Estelle, ma petite chienne.

— J’accepte, je ne me suis pas engagé pour rien, je ne recule pas ! Rétorquais-je avec aplomb 

Choqué par l’assurance de ma réponse il resta silencieux ce qui me permit l’observer par la même occasion, il faisait facilement 2 mètres mais n’était pas gros, costaud était le bon mot, cheveux bruns très noirs, très masculin, il aurait été bucheron que ça m’aurait pas étonné, il me regarda fixement, puis sourit avant de me dire : 

— Bien, tourne toi. 

Je me tournais et il commença a me lier les poignets, très serré, je réagis mais il me ramena à la réalité : 

Tu as dis oui c’est pas pour chialer si une corde est trop serrée sinon je t’abandonne ligotée ici pétasse ! 

J’arrêtais de me plaindre et il continua son travail , chevilles, tibias, cuisses, il me serrait assez fort, je pouvais à peine bouger, quand il eut fini il me regarda fixement, puis me fit basculer sur les sièges, il se trouva face à mes fesses avec ma robe soulevée devant lui, il pris son temps mais il commença à me caresser, intensément, à me titiller le trou, je commençais à gémir j’allais commencer à vraiment me lâcher quand il s’arrêta, il ferma la porte et il revint par l’autre côté, il monta sur la banquette arrière et me dit : 

— Tes petits gémissements de chienne là ça m’a mis le barreau tu vas me détendre, les 5h de route vont être longues te sachant à coté de moi... 

Tout en parlant il se déshabillait et je découvris un sexe d’une taille respectable mais pas énorme, je le regardai et compris où il voulait en venir, je tentais de ramper pour m’approcher, il rigolait de me voir dans cette situation et se tourna pour me présenter son sexe, il le balada sur mon visage un instant et il durcit aussi rapidement, puis à peine la bouche ouverte qu’il m’enfonça, et je commençais mon travail, je m’appliquais à bien le prendre en bouche, lécher autour, aspirer son gland, j’avais envie de lui montrer qu’il ne s’était pas trompé en me choisissant comme petite chienne, je n’eu pas trop de boulot à faire qu’il se lâcha dans ma bouche, il éjacula avec abondance, j’eue des difficultés à tout garder en bouche en attendant ses directives, il me fixait et il dit : 

— Si tu craches, je te défonce le cul, tu vas avaler ton maitre, le savourer, et je vais veiller à ce que tu gardes tout , il s’empara du rouleau de chatterton et il me fixa une large tranche sur les lèvres avant de renforcer en tournant autour de ma tête une dizaine de tour, le scotch recouvrait la moitié de mon visage, j’avais la bouche pleine, impossible de recracher, j’avalai tout d’un coup et devrais attendre les 5 prochaines heures sans la possibilité de bouger ou parler, pendant ce temps là, mon Maitre n’avait pas encore fini, il me fit me glisser dans un sac de couchage qu’il ferma jusqu’en haut, seul ma tête sortait, il me fit m’allonger et il mit une couverture sur les sièges arrières, personne n’aurait pu se douter que j’étais dessus, puis soudain je réfléchis , personne ne savait que j’étais avec ce mec, d’habitude je préviens toujours ma meilleure amie et là, il a déjà mon téléphone, je commence à me débattre à vouloir parler, mais personne ne répond et la voiture roule, je suis parti pour une semaine en enfer...

La suite très vite si ca vous plait ! 
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