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Une séparation surprenante

Chapitre 3

Hétéro
Le lendemain de cette aventure, à 6h30 du matin, le réveil n’avait pas encore sonné que j’émergeais lentement de mon sommeil, réveillé par une sorte d’excitation qui m’avait soudain tiré de mes rêves.
Les yeux embués, je constatai alors que cette excitation n’était pas le fruit du hasard.Tiphaine était entre mes cuisses, s’évertuant sans mal à faire grossir mon sexe dans sa bouche, je sentais ses coups de langue humides laper l’arrière de mon gland, me sentant réveillé, elle s’enhardit, et alors que ma main se posait sur le sommet de son crâne, accompagnant ses mouvements de plus en plus rapides, sa main glissa sous mes fesses et titilla mon anus, chose qu’elle avait toujours voulu faire sans que je cède jusqu’alors. La surprise laissa place au désir intense alors que le bout de son doigt se frayait un chemin dans mon orifice. Sentant mon désir monter, elle s’arrêta sans autre forme de jugement et vint placer sa chatte en dessus de mon visage.
— Lèche-moi ! ordonna-t-elle.
Je ne me fis pas prier et glissai ma langue le long de sa fente jusqu’à trouver son bourgeon, son goût reflétait le plaisir qu’elle ressentait, fort, puissant, une odeur de sexe à l’état pur ; elle écrasa littéralement sa chatte sur ma bouche, prenant mes cheveux dans ses mains pour imprimer le rythme, mes mains vinrent se placer sur ses fesses et mon index se fraya un passage pour, tout comme elle venait de le faire avec moi, lui exciter l’anus.
Elle mit alors fin à ce traitement et inséra ma verge au fond de sa chatte. Elle plaça ses mains en arrière alors que son bassin commençait sa danse lascive sur ma queue. Ma tige était bien dure au fond de ses entrailles, pour autant je ne sentais pas grand-chose tellement elle mouillait, je voyais ses sécrétions imprégner peu à peu la peau lisse de ma queue alors que ses mouvements s’accéléraient, son bouton gonflé venant frotter mon pubis. Je pris ses tétons dans mes mains pour les faire rouler entre mes doigts et alors qu’elle plantait son regard dans le mien, elle s’écria :
— Regarde-moi jouir !
Ses yeux se révulsèrent tandis que les secousses de plaisir remplissaient son être et son âme. Elle jouit comme ça de longues secondes, criant son bonheur que je prolongeai en agitant ma queue dans son ventre.
L’extase passée, elle partit de la chambre pour prendre son café.Je la suivis, la queue à l’air, toujours en érection.
— Tu me laisses comme ça ?— Quoi ? Qu’est-ce que tu veux ? dit-elle avec un sourire en coin.— Tu ne peux pas me laisser les couilles pleines après ce que tu viens de faire.— Et je suis censée faire quoi ? répondit-elle alors que j’approchais.— Tu es censée la prendre dans ta bouche.
Je plaçai alors mon sexe sur sa langue, elle l’accepta sans problème et s’affaira sur mon gland. J’avais déjà envie de jouir.
— Lève-toi, je veux jouir sur ton cul.
Elle se leva et me présenta ses fesses, appuyée contre la tableJe descendis son short et alors que je me masturbais contre elle pour faire monter mon plaisir, j’eus soudain envie de la prendre sur la table. Je plantai alors mon sexe dans son antre sans aucun ménagement, puis je basculai son torse contre la table, maintenant également son visage fermement appuyé contre la nappe.
— C’est ça que tu veux ! Dis-le ! C’est ça que tu voulais que je fasse en me laissant comme tu l’as fait, tu voulais que je te prenne comme une chienne ?— O... Oui... balbutia-t-elle tandis qu’elle était secouée par mes coups de reins profonds et bestiaux.

Il ne fallut pas très longtemps à ce rythme avant que je ne sente monter mon plaisir, restant sur mon idée de base, je sortis ma tige de sa chatte et vins me vider sur ses fesses, la première giclée alla s’écraser en haut de son dos, les suivantes arrosèrent abondamment ses fesses, ma semence liquide coulant le long de son sillon fessier jusqu’à sa moule luisante, avant que quelques gouttes ne s’écrasent sur le carrelage. Elle avait tourné son regard pour observer le spectacle et semblait satisfaite de son effet.
Je la maintins sur la table quelques instants, observant son corps souillé de sperme, alors que ma queue ramollissait, je passai lentement mon gland sur ses fesses, étalant un maximum de semence sur son corps. Je voulais garder longtemps le souvenir de cette baise animale où chacun d’entre nous avait fait en sorte de prendre un plaisir égoïste et puissant.
A suivre
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