Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 222 J'aime
  • 1 Commentaire

Une séparation surprenante

Chapitre 5

Hétéro
Entre-temps, j’avais commencé une liaison avec une belle blonde aux yeux bleus, rencontrée dans le cadre de mon travail, j’étais en train de tomber fou amoureux de cette fille, et l’histoire voudra que nous restions trois ans et demi ensemble avant de finalement nous séparer. Sexuellement, c’était pourtant une véritable catastrophe, elle faisait partie de ces femmes qui doivent considérer que leur beauté suffit à nous faire prendre notre pied, elle restait donc souvent inerte à se laisser caresser, ses fellations ne duraient que trente secondes sous prétexte que ça lui faisait mal à la mâchoire. Bref, elle restera comme le plus mauvais coup de ma vie.
En parallèle de ce début de relation, je vivais mes dernières semaines au sein de notre domicile commun avec Tiphaine qui de son côté adoptait un comportement qui suscitait chez moi une excitation jamais ressentie encore.
Cette après-midi-là, je me trouvais dans ma chambre à bouquiner, porte fermée, Tiphaine quant à elle était à l’extérieur en train de jardiner devant notre maison. Je l’entendis commencer une conversation avec notre voisin, un homme marié d’une cinquantaine d’années, au chômage depuis peu, et qui avait donc la fâcheuse tendance à se chercher de bonnes âmes pour discuter avec lui. Tiphaine se prêtait souvent au jeu, au plus grand plaisir de notre voisin que je sentais assez sensible aux charmes d’une jeune trentenaire tranchant nettement avec sa femme désagréable au possible.
Je n’entendais pas ce qu’ils se disaient, mais ils semblaient passer un bon moment, car les deux riaient régulièrement de leurs propos.
Après quelques minutes, je les entendis rentrer dans la maison, à ma grande surprise, car nous ne les avions jamais conviés chez nous, sauf sa femme quand elle nous avait accusés d’être à l’origine d’une fuite dans le mur de son sous-sol.
— Que voulez-vous boire ? lui demanda Tiphaine.— Ce que vous avez, une bière m’ira très bien. Votre compagnon n’est pas là?— Mon ex-compagnon et actuel colocataire ? Non il est sorti.— Ah, mais je ne savais pas je suis désolé.— Ne le soyez pas, je revis depuis la séparation et c’est une redécouverte pour moi, lui assura-t-elle en lui tendant la bière.— Une redécouverte ? C’est-à-dire ?— Je redécouvre mes capacités de séduction, et ça fait beaucoup de bien au moral.— Je comprends, dit-il en souriant. Mais vous n’aviez pas de doutes sur vos capacités de séduction quand même, une belle femme comme vous ?
J’écoutais cet homme au travers la porte commencer à faire du rentre-dedans à mon ex, le trouvant culotté. Et comme un vulgaire voyeur, je m’approchai à pas de loup de la serrure de ma porte pour regarder au travers du trou, la porte de ma chambre donnant sur le séjour.
— Vous me trouvez séduisante ? gloussa-t-elle.— Plus que ça encore, si j’avais vingt ans de moins...— Si vous aviez vingt ans de moins quoi ? Que feriez-vous ?— Je crois que j’aurais très envie de coucher avec vous... Désolé, c’est un peu abrupt, mais je vous dis les choses telles quelles.
— Merci je prends ça comme un compliment. Mais avec vingt ans de plus du coup cette envie passe ?— Non, rit-il. Elle s’accentue même.
Disant cela, il s’approcha d’elle et passa sa main le long de sa hanche, leurs visages à quelques centimètres l’un de l’autre.Tiphaine approcha alors sa bouche de la sienne et commença à l’embrasser langoureusement, je voyais leurs langues s’entrelacer. Ils mélangeaient leurs salives avec envie et Tiphaine passa sa main sur le pantalon du voisin qui enflait à vue d’œil. Ce dernier changea alors de comportement, plus de barrière ni de politesse. Il appuya sur la tête de Tiphaine pour la contraindre à s’agenouiller.
— Sors ma queue et suce-moi.
Tiphaine défit le bouton du jean de monsieur et fit glisser sa fermeture éclair. Elle descendit ensuite le pantalon jusqu’aux chevilles puis fit de même avec son caleçon, dévoilant une bite énorme, longue et épaisse, sertie de longues veines puissantes qui la faisaient se dresser puissamment devant la bouche de mon ex. Cette dernière avait les yeux qui brillaient. Elle passa sa langue sur les couilles de notre voisin, puis elle remontait le long de sa hampe avant de redescendre encore, humidifiant l’intégralité de la verge gigantesque qui semblait encore gonfler devant son visage. N’y tenant plus, il lui saisit le visage, lui ordonnant d’ouvrir la bouche, et engouffra son gland au fond de sa gorge.
— Suce-moi je t’ai dit ! Bouffe mon gland ! Fais-moi juter petite salope ! Comment tu la trouves ma queue ?— Elle est grosse, répondit Tiphaine en s’étouffant.— Elle est grosse oui parce que ça fait des mois que je rêve que tu l’avales, et tu vas tout avaler sagement, tu m’entends ?— Ou... oui, déglutit-elle tout en pratiquant ses va-et-vient sur son sexe.
Le type lui prit alors les cheveux pour accompagner ses mouvements et introduire encore plus loin sa verge dans cette bouche qu’il baisait comme une chatte.J’avoue que la vision provoqua chez moi une érection incontrôlable qui me poussa à sortir ma queue et à me branler pendant que Tiphaine s’évertuait sur cette queue, mettant toute son âme dans cette pipe malgré les haut-le-cœur réguliers qui venaient ponctuellement casser le rythme de ses mouvements de bouche.Il se passa quelques minutes de ce traitement avant que le souffle saccadé de notre voisin ne vint annoncer une explosion imminente.
— Je viens, fais-moi gicler !
Tiphaine continua sur le même rythme et le voisin sortit subitement sa queue de sa bouche, puis se masturba au-dessus du visage de mon ex, dans un râle extraordinaire, il vida ses couilles de leur jus dans de puissantes giclées expulsées par de fortes contractions de sa tige. Je comptai six jets de sperme qui vinrent s’écraser sur le visage de Tiphaine. Elle en avait partout sur les joues, le nez, les yeux, ça dégoulinait le long de son menton. Il lui fit ouvrir la bouche pour enfiler une nouvelle fois sa bite à l’intérieur et lui faire récolter les dernières parcelles de semences chaudes.
— Je suis désolé, j’avais trop envie de jouir. Mais la prochaine fois, je m’occupe aussi de toi, et notamment de ton petit cul que j’ai très envie d’explorer. Je suis à peu près sûr que tu n’en as jamais rien fait.
Puis il sortit de notre domicile, laissant Tiphaine agenouillée, le visage maculé de foutre, qui reprenait lentement son souffle après cette pipe endiablée.
— Ça t’a plu j’espère ? me lança-t-elle au travers de la porte alors que j’astiquais toujours mon manche.
Je sortis alors de la chambre, verge à la main, et je me jetai sur elle pour lui fourrer dans la bouche. J’étais comme fou.
— Tu vas te laisser sodomiser par ce vieux con ?— Pourquoi pas ?— On ne l’a jamais fait ensemble.— Il faut une première fois à tout.— La première fois, c’est moi qui vais l’avoir, redresse-toi et penche-toi sur la table.
Tiphaine s’exécuta et je remontai alors sa robe blanche, laissant apparaître sa culotte que j’arrachai sèchement. Je passai mon pouce le long de sa fente qui suintait de mouille, l’ayant bien humidifiée, je le positionnai contre son anus et lentement je créai les conditions nécessaires à la sodomie que je comptais lui faire. Une fois le trou suffisamment ouvert et humidifié, et alors qu’elle se laissait faire, gémissant, mais laissant tout de même transparaître une certaine inquiétude, je présentai mon gland mouillé à l’entrée de ce trou inconnu, j’appuyai lentement sur ma verge pour pousser mon gland lentement à l’intérieur.
— Ça fait mal.— Ça te fera encore plus mal avec l’autre.
Je poussai une dernière fois d’un coup et me retrouvai bien au chaud dans ses entrailles, enfoncé jusqu’aux couilles. Je commençai alors mes va-et-vient, découvrant de nouvelles sensations très agréables. Ma tige était serrée, amplifiant le plaisir de chacun de mes mouvements. Tiphaine soufflait fort, la douleur étant présente, mais elle commença à être de plus en plus à l’aise au fur et à mesure que sa grotte se faisait au diamètre de ma tige qui allait et venait. Poussé par le désir, je la pilonnai de plus en plus vite.
— Ah oui je t’encule, c’est trop bon, je vais te remplir.
Mon sexe se contracta alors et je giclai intensément dans son intestin, poussant de longs gémissements de plaisir. C’était exceptionnel, je regardai ma tige serrée dans son cul tandis que je lui injectai mes derniers millilitres de sperme. J’étais tétanisé par le plaisir, restant ainsi de longues secondes avant de me retirer, littéralement vidé.
— Ça t’a plu ? me fit-elle, se tournant vers moi, son visage toujours couvert du sperme du voisin.— C’était extra, tu mérites une récompense qu’il n’a pas su te donner.
Je la plaçai alors couchée sur le canapé et, ôtant sa robe, je fis glisser ma langue sur ses tétons qui pointaient, mon index chercha sa fente toujours humide et je trouvais facilement son bouton de plaisir qui bourgeonnait entre ses cuisses. Je tournai mon doigt dessus avec agilité, ressentant son plaisir qui montait peu à peu au rythme de sa respiration, ma langue jouant toujours avec ses mamelons. Puis je descendis peu à peu, caressant son ventre du bout de ma langue, jusqu’à me retrouver entre ses cuisses, je passais de longues secondes à lui lécher le bas du ventre et le haut des cuisses, évitant volontairement sa fente trempée, passant quelques fois simplement le bout de ma langue, subrepticement sur son clito. Elle devenait folle de désir, je le sentais. Elle me prit alors les cheveux, les arrachant presque, pour me placer la bouche sur son sexe.
— Lèche-moi putain !
Je pratiquai alors un cunnilingus prodigieux, jouant avec son clito, le faisant rouler sous ma langue avant de le titiller avec mes lèvres, un doigt vint se positionner dans sa chatte, investissant son vagin qui commençait à se contracter, je recourbai mon doigt à l’intérieur, glissant le long de sa paroi interne, ma langue s’agitant toujours sur son bouton dont le goût m’enivrait.
— Je... Je vais jouir ! Fais-moi jouir !
Elle hurla soudain, évacuant toute la tension sexuelle de son être. Son vagin se contractait au rythme de son orgasme, et j’utilisai mes doigts à l’intérieur pour la maintenir contre ma langue qui n’arrêtait pas, alors qu’elle donnait des coups de hanche, submergée par la jouissance. Quand j’arrêtai, je regardai son visage sur lequel perlaient des larmes de plaisir, venant se mélanger au sperme qui commençait à sécher. J’étais excité de nouveau à cette vision.
Je vins positionner ma queue qui avait repris de l’ampleur au-dessus de son visage puis je me branlai, il me fallut moins d’une minute pour éjaculer de nouveau quelques jets de sperme qui vinrent se mélanger au reste sur ses joues, elle ne dit rien pendant ce temps, ses yeux semblaient dans un autre monde. Je partis me laver, la laissant reprendre ses esprits, cuisses ouvertes, et souillée de sperme sur le canapé.
Diffuse en direct !
Regarder son live