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Une sissy malgré lui

Chapitre 1

Une soirée qui tourne mal

SM / Fétichisme
Je m’appelle Mat, j’ai 20 ans et je suis un garçon très ouvert d’esprit, passionné d’Histoire et de sport. À côté de moi, devant le miroir, c’est Coline, ma petite copine. Cela fait déjà 4 ans que nous sommes en couple. Nous nous sommes connus au lycée et depuis 3 ans, nous partageons un appartement ensemble. Ce soir, nous nous rendons ensemble à une soirée étudiante, la première du semestre, pour rencontrer du monde et surtout pour faire la fête. Pour l’occasion, nous avons sorti les habits des grands soirs. Je porte une superbe chemise blanche tandis que Coline est ravissante dans sa belle robe moulante noire, quoiqu’un peu courte à mon goût. Je lui fais d’ailleurs remarquer avec un peu de lourdeur : « Putain, pas mal ta robe, c’est sexy. Ça te fait un sacré cul, mais ça fait un peu pute...
— Mais n’importe quoi, t’es vraiment un connard. »
Je n’ai même pas le temps de répondre que Coline quitte la salle de bain en claquant la porte, je sens que je l’ai un peu énervée. La suite de l’après-midi se poursuit dans un climat glacial, Coline est vexée et compte clairement me faire la gueule toute la journée. Il faut dire aussi que notre petite altercation n’a fait qu’envenimer les tensions déjà bien vives entre nous depuis quelques semaines. En effet, cela fait un moment que notre vie sexuelle n’est plus très pimentée. Alors qu’au début de notre relation, nos moments de baise étaient intenses et passionnés, ils sont bien loin de l’être, ces derniers temps. Coline est pourtant une fille très ouverte d’esprit sur la sexualité. Petite, blonde, avec de gros seins et un superbe cul, elle a un vrai corps de bombasse. De mon côté, je m’en sors plutôt bien également. Je suis brun, de taille normale, avec une allure assez sportive, mais le problème vient de mon sexe. Il ne fait que 12 centimètres.
Malgré mes nombreux efforts pour compenser, je sens bien depuis quelque temps que cela affecte notre relation et que Coline prend de moins en moins de plaisir au lit. Je suis aussi un grand fétichiste des pieds. Depuis que je connais Coline, je suis fan de ses pieds. Ils sont tout petits, très mignons, bref, je les adore. Au début, ça ne la gênait pas, mais quand ma langue et mon nez ont commencé à se balader davantage sous ses pieds que sur sa chatte, c’est là qu’elle a commencé à se lasser de plus en plus. Enfin bref, il va déjà bientôt être l’heure de partir, sinon nous allons arriver en retard. On mange en vitesse, on s’échange à peine quelques mots, puis on quitte l’appartement pour monter dans la voiture de Coline. Comme je n’ai pas encore le permis, c’est elle qui nous conduit jusqu’au lieu de la soirée. Sur le trajet, le dialogue reprend peu à peu, mais il reste très froid. Une fois arrivés sur place, on se met à l’aise, on discute avec quelques étudiants, on se prend à boire.
La soirée s’annonce plutôt bien, la musique est bonne et les gens sont très sympas. On danse, on boit, on s’amuse. Puis vers 1h du matin, je vois Coline s’éloigner du petit groupe avec lequel nous avions sympathisé. Je lui crie : « Tu vas où ? Mieux vaut rester ensemble, on va se perdre après !
— Laisse-moi m’amuser comme j’en ai envie, on est là pour ça !— Oui, mais atten... »
Trop tard ! Je n’ai même pas le temps de finir ma phrase qu’elle s’éloigne déjà. Je décide donc de faire avec puis je continue à discuter dans mon coin et à danser. Avec l’alcool et l’ivresse de la fête, je ne vois pas le temps passer. Sur les coups de 3h, je m’écrie soudainement intérieurement : « Merde, j’ai oublié Coline ! Où est-ce qu’elle est passée ? »
Je pars donc à sa recherche entre les étudiants enivrés et les cadavres de bouteilles qui jonchent le sol. Je demande partout si quelqu’un a vu une petite blonde habillée en noir, mais personne ne semble l’avoir vue. Je décide donc de monter discrètement à l’étage. Comme c’est un étudiant qui organise la soirée chez lui, je vais tacher d’être respectueux et surtout de rester discret pour ne pas attirer l’attention. À l’étage, j’entends du bruit. On dirait bien que ça baise et pas qu’un peu. Visiblement, certains ne sont pas gênés pour s’approprier les chambres. L’une des portes est légèrement entrouverte. Par curiosité, je m’approche et là, je découvre avec stupeur quelque chose que je n’aurais jamais voulu voir. Mon sang ne fait qu’un tour, j’ouvre la porte et je fonce dans la chambre. Coline est en string, à quatre pattes, avec un grand gaillard black, lui aussi nu, à ses côtés. Elle a son sexe dans la bouche et me fixe droit les yeux. Je hurle : « Bordel, t’es sérieuse ?
T’es vraiment une salope ! »Pas de réaction. Le mec me regarde et s’apprête à m’adresser la parole, mais je lui lance : « Et toi, espèce de merde, je vais te défoncer la gueule ! »Je me dirige tout droit vers lui, mais il se lève et se dresse devant moi, le sexe dégoulinant de bave encore chaude de ma copine. Il m’avait paru plus vieux de loin, je pense qu’il doit avoir notre âge ou juste un petit peu plus. Il est très imposant et surtout hyper-baraqué. Pour le cassage de gueule, je sens que ça va être compliqué. Il me regarde et me dit : « Ta copine voulait juste s’amuser, j’y peux rien moi. Reste tranquille, sinon c’est moi qui vais te casser la gueule.
— Rhabille-toi et dégage d’ici ! — Oh que non, je compte bien terminer ce que j’ai commencé. D’ailleurs toi, tu vas t’asseoir bien sagement et tu vas la fermer. »
Il m’attrape par le bras et me jette violemment à genoux, au pied du lit. De là, j’ai une vue splendide sur les fesses et les pieds de Coline, qui se dresse toujours à quatre pattes sur le lit, sans dire un mot. Il prend sa ceinture, puis vient derrière moi et m’attache les deux mains en serrant très fort. Mis à part protester, je ne peux rien faire. Coline reste absolument insensible à la situation et à mes appels de détresse. Le grand black retourne alors vers elle et elle se remet à le sucer allègrement sous mes yeux. Il fait des aller-retour dans sa bouche. D’un seul coup, elle retourne sa tête vers moi et me dis : « Occupe-toi de mes pieds, au lieu de rester là à pleurnicher ! »
Je refuse, mais le grand black m’attrape par le cou et enfonce mon visage sur les plantes de pied de ma copine. Elle rigole et dit : « Je croyais que tu adorais ça, les pieds. Profites-en pendant que moi, je profite enfin d’une vraie queue. »
Même si je bouillonne intérieurement, je dois avouer que ma position est assez excitante. Je renifle les pieds de Coline. Comme elle a porté ses talons en faux cuir toute la soirée, ils sentent assez fort. Je suce ses orteils, je lèche ses plantes de pieds, mais dès que je relève un petit peu la tête, je la vois en train de gober une grosse queue noire et raide, et cette vision me met en rage. Je les entends tous les deux rire de moi et se moquer. Après quelques minutes, le grand black se lève du lit, se dirige vers la poche de son manteau et en ressort une capote qu’il s’empresse d’enfiler. Immédiatement, je comprends ce qui risque d’arriver et je crie : « Non, c’est mort, pas ça, pas question ! »
Coline vient alors vers moi, retire son string, l’enfonce dans ma bouche puis me fait signe avec son doigt de me taire. Je ne peux plus parler, je suis totalement impuissant. Il s’installe sur le lit et la fait asseoir sur lui, face à moi. Puis, il commence à lui pénétrer la chatte en lui attrapant les deux jambes. Je ne sais pas quoi faire, je suis totalement nerveux, je gesticule dans tous les sens. Coline gémit pendant qu’il la pilonne. Il multiplie les va-et-vient dans sa chatte et semble y prendre un plaisir fou qu’il exprime lui aussi par des petits gémissements. Coline me regarde droit dans les yeux et semble me narguer. Elle le fait exprès. Après de longues minutes qui me semblent interminables, il jouit en elle et se retire. Puis il vient vers moi et me détache les mains. Choqué, je suis incapable de bouger. Coline le rejoint et ils s’embrassent juste au-dessus de moi.
J’ai le sexe du grand black qui pendant juste au-dessus de mon visage, avec la capote pleine de sperme bien collée dessus. Entre deux baisers, il me regarde et me lance : « S’il te plaît, retire la capote et va la jeter à la poubelle, j’ai les mains prises. »
Coline récupère son string dans ma bouche, puis je m’exécute timidement. Je n’ai vraiment pas envie de mettre ma main sur son sexe. Il la prend alors de force et la pose sur son sexe. Il me dit : « Allez, on a pas toute la nuit, retire cette capote.
— Mais c’est dégueulasse !— Je m’en branle, dépêche-toi ! »
Je finis par obéir à contrecœur. Je récupère la capote et je me dirige vers la poubelle pendant qu’ils se rhabillent en rigolant. Je n’y crois pas, je suis vraiment en train d’aller jeter à la poubelle la capote d’un mec qui vient de baiser ma copine ? Je préfère ne même pas y penser, je suis toujours sous le choc. Je ne sais même pas si tout ça est réel. Je retourne vers le lit, Coline et le grand black s’embrassent, elle s’avance vers moi et me fait un bisou sur la joue. Je ne comprends plus rien et je ne sais pas quoi dire. Il est déjà 4h30 du matin. Elle me prend par la main, on descend les escaliers, on quitte la maison et on monte dans sa voiture. Mes sentiments sont partagés, je suis choqué, en colère, déçu, excité... Bref, j’attends des explications et elles ont intérêt à être bonnes.
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