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Une soif incontrôlée

Chapitre 1

Gay
Je fréquente les sex-shop depuis plus d’une quinzaine d’années, et bien avant cela j’allais dans les cinéma X. C’est là que j’ai rencontré mon premier homme. J’avais 21 ans, lui la cinquantaine, et je l’ai vu au dernier rang qui se branlait. J’ai de suite été fasciné par l’énormité de son engin que je devinais dans la pénombre. Un sexe impressionnant, incomparable à aucun autre puisque c’était le premier que je voyais en réel, mais bien plus gros que le mien, et que tous ceux que j’avais vu dans les films. Sa bite m’attirait comme un aimant et je suis venu m’assoir au bout de son rang pour mieux le mâter. Il a deviné mon intérêt pour sa queue, et est venu contre moi. J’avais le feu aux joues, le souffle haletant, le cœur qui battait à tout va. Je ne suis plus puceau, mais n’ai connu que des putes, onéreuses pour un court moment. Je rêvais d’une copine de mon âge, et voilà que je me sens des pulsions pour un vieux mec, un homme bien viril que j’aimerais satisfaire. Je me saisis da sa queue et réalise le calibre de son engin. Je n’arrive à refermer ma main dessus, alors que j’enserre la mienne sans problème lors de mes plaisirs solitaires. Je me penche sur son sexe, avec l’intention de le sucer tout entier, comme dans les films, ou avec les filles faciles que je paye. J’ouvre grand la bouche pour l’engloutir, et je dois revoir mes prévisions à la baisse. Son gland gros comme un œuf remplit ma bouche et je ne peux aller au delà. J’essaie de le sucer, sans aucune expérience, mais il me repousse et s’en va. Il disparait derrière une porte, sans doute les toilettes, pour se masturber, enfin je suppose. Il ressort, s’installe dans une rangée du milieu; je ne le reverrai plus.Il reste pour moi un de mes meilleurs souvenirs, et aussi mon plus grand regret. Je ne le savais à l’époque, mais avec l’expérience il reste la plus grosse queue que je n’ai jamais vue, et je regrette de ne pas avoir su en profiter.
Un deuxième a été longtemps aussi dans mes pensées. Les cinémas X ont disparu, et je connais mes premiers sex-shop. Il y a des cabines individuelles, mais aussi et surtout une salle cinéma. Il n’y a que des hommes, éparpillés dans les fauteuils, certains sages, d’autres plus entreprenants et qui n’hésitent pas à se masturber. Cela fait deux fois que j’y vais, que je me branle en regardant des films très chauds, et à la troisième fois je fais une découverte. Je vois des mouvements au fonds de la salle, entre le dernier rang et le mur, et je me hasarde à y aller. Je me suis habitué à l’obscurité et je distingue le spectacle: des hommes qui se caressent, s’embrassent et se branlent réciproquement; aussi un mec qui suce; encore un mec qui se fait enculer.Je ne fais que regarder et rentre chez moi avec des envies indécentes. J’hésite quelques jours avant d’y repartir, mais ne résiste pas longtemps. Je vais direct au fonds de la salle. Il y a quatre mecs: un qui suce, un autre qui se branle en les regardant, et un quatrième, qui hantera longtemps mes nuits. Il est appuyé contre un fauteuil du fonds, de dos au couloir, entièrement nu, offert. Je bande, m’approche de lui, lui caresse les fesses:— Tu te fais mettre?— Oui, tu as une capote?-Oui, je ne baise jamais sans. On cesse de parler et je me couvre tandis qu’il tourne la tête pour s’assurer de ma protection.Je frotte ma queue bien raide dans sa raie à la recherche de son petit trou. Je l’ai trouvé et je m’enfonce comme dans du beurre. Je le lime doucement et il m’encourage à le matraquer plus fort. Je le défonce puis fait une petite pause. Je suis entièrement en lui et passe ma main sous son ventre, jusqu’entre ses cuisses. Je suis alors impressionné par ce que je découvre:— Ces couilles! Ces couilles que tu as!— Elles te plaisent?— Oui, elles sont énormes.— Et encore je viens de jouir. Tu serais venu plus tôt elles étaient encore plus grosses.— J’ai envie de les bouffer, tu veux bien?— Oui, pas de problème, mais d’abord tu finis de m’enculer. Elle est bonne ta queue.Je me remets en route et je décharge avant de me retirer. Il se retourne, me suce à travers ma capote, puis l’enlève, la jette dans une poubelle qui est là à cet effet, et me nettoie la bite. Puis il se relève et je le suis à l’angle du fonds. Il y a une chaise (je saurais plus tard que s’y assoient tous ceux qui veulent sucer des queues et boire du sperme) et monte dessus. Il relève sa grosse tige molle pour mieux m’offrir son paquet. Je me jette dessus ses boules comme un affamé, je voudrais les engloutir les deux à la fois mais elles sont trop volumineuses, on dirait des prunes d’Ente, celles qui servent à faire des pruneaux. Je les gobe à tour de rôle, les mâchouille avec amour et délicatesse. Le mec qui se branlait nous rejoint et suce sa queue, puisque je ne m’en sers pas. On passe un long moment à dévorer son service trois pièces, jusqu’à ce qu’il jouisse dans la bouche de notre complice qui avale tout. Je lui propose de se revoir, mais il me dit qu’il n’est que de passage et s’en va.
Cela remonte à douze ans, j’avais alors 48 ans et lui la quarantaine. Le sex-shop a déménagé deux fois, s’est renouvelé, et c’est aujourd’hui un vrai baisodrome , avec une grande salle ciné, compartimentée en plusieurs pièces, et où les hommes viennent forniquer entre eux. J’ai aujourd’hui 60 ans, et si j’aime encore les femmes, j’aime de plus en plus les hommes, de plus en plus la queue, et je vais régulièrement dans ce lieu de débauche. On est samedi, le jour le plus chaud, et j’y vais vers 15h. Je fais le tour des salles pour voir la faune, puis m’arrête à la vue d’un homme. Il a enlevé le bas et se branle dans la pièce principale, près de l’écran pour être en lumière et mieux se montrer. Je m’approche et il me semble le reconnaître, c’est lui, même après tant d’années il est reconnaissable avec son visage un peu ingrat, sa face aplatie, son nez tordu et écrasé. Je suis maintenant face à lui et je me saisis de ses couilles pour avoir confirmation: aucun doute c’est bien lui, des couilles à nulle autres pareilles, encore plus grosses que dans mes souvenirs. Il ne se souvient pas de moi et je lui rafraîchis la mémoire. Je l’invite à venir dans un coin plus discret pour m’occuper de sa paire, mais il refuse. Il veut bien m’offrir son paquet, mais ici, à la vue de tous, il adore s’exhiber. J’en ai trop envie pour refuser, douze ans que j’en rêve. Il n’y a plus de fauteuils, remplacés par des banquettes, et je l’aide à en déplacer une pour la mettre à la lumière, face à la salle. Il s’allonge dessus, récupère un coussin qu’il place sous ses reins, et relève une jambe par dessus le dossier. Il est bien rasé, et je salive à la vue de ce repas qui m’est offert.Je m’agenouille au pied de la banquette et je frotte mon visage entre ses cuisses, je renifle son odeur, je transpire sous sa chaleur, je gémis , j’halète devant tant de bonheur. J’embrasse ses super belles couilles, bien grosses, bien lourdes, et sans doute bien pleines. Je les lèche, les gobe, les aspire, les boulotte avec soin. Je lève les yeux pour le regarder, et le vois qui se branle et qui expose sa queue à deux clients qui se sont approchés.Ils se branlent eux aussi et discutent de moi en m’ignorant:— Cette salope, con, regarde comme il bouffe les couilles.— Oui, ça m’a l’air d’un bon celui la.— Il m’excite ce salaud, il va me faire jouir. Je les entend, je ne sais ce qui me passe par la tête, mais je me dégage et l’invite à éjaculer sur les couilles de mon pote retrouvé. Il accélère le mouvement, et se répand sur les boules de mon partenaire. Je le laisse terminer et je me précipite sur ce dessert amélioré. Je dévore tout à grand coups de sslluup bruyants. Les commentaires reprennent puis celui qui n’a pas jouis me demande de le sucer. Je décline son offre, j’ai trop faim de couilles, mais lui dit qu’il peut jouir lui aussi, comme l’autre. Il me propose alors de m’enculer d’abord, et j’accepte.Je me lève, me déshabille, crache dans ma main et me prépare je fion pour ne pas être pris à sec. Je me réinstalle devant mon plat, entièrement à poil, offert. Je sens aussitôt sa queue qui me pénètre au plus profond. Il me défonce, m’insulte, s’excite, et va vite jouir. Je relève la tête pour le laisser décharger sur les boules de mon homme, et il fourre sa bite dans ma bouche en m’ordonnant de le nettoyer. Le mec allongé n’intervient pas et se branle toujours en observant. Je reprends sa paire en bouche. Le mec qui m’a sodomisé s’adresse à moi:— Tu es une bonne salope toi, tu veux encore du sperme?Je fais signe que oui, et il récupère une poubelle près de lui. Il a une petite lampe de poche, éclaire la poubelle et en ressort une capote usagée. Il me la tend pour que récupère le contenu. Je la retourne, déverse le maximum sur la virilité de mon partenaire, et il me demande de sucer le préservatif pour ne rien perdre. Je m’exécute et nettoie encore mes couilles préférées. Il y a deux autres capotes qu’il me donne, puis il me dit de na pas bouger, qu’il va chercher du ravitaillement. Il y a des poubelles dans toutes les salles, et si quelques uns sucent et baisent sans protection, ce n’est pas la majorité. Il a fait sa récolte, et revient avec un plein fonds de poubelle. J’en vide plusieurs, jusqu’à ce que les couilles disparaissent sous l’épaisseur de foutre, et je dévore tout. Je recommence plusieurs fois tellement il y en a. Un autre homme nous a rejoint, et le salaud qui dirige et me commande lui demande de m’enculer avant de donner sa contribution. Il baise bien ce salaud et ne semble pas pressé de jouir. Il attend que j’ai vidé la dernière capote pour enfin se retirer et gicler sous mon nez, une bonne quantité de foutre. Il s’en va, et celui que je broute depuis un long moment doit aussi partir. Il veut que je le pompe vite fait, et je m’applique à bien le sucer, le branler, pour le faire jouir dans ma bouche et tout engloutir.
Je pensais avoir fini, mais mon dominateur ne l’entend pas ainsi. Je dois le suivre dans les autres pièces, à quatre pattes, comme un chien. Ca m’excite et du coup j’en oublie de demander à monsieur grosses couilles si l’on peut se revoir. Il éclaire les poubelles, il y a encore quelques rares nouvelles capotes, et je dois les retourner dans ma bouche et tout aspirer. Il n’y en a plus, mais il a une idée. Il y a un mec qui se fait mettre, avec préservatif, et il discute à voix basse avec son partenaire. Celui ci encule son amant d’un jour jusqu’à se libérer, puis il se retire et m’offre sa queue. Je le suce à travers sa protection, nettoie l’extérieur de la capote. Puis je le prends profond, mes lèvres vont au delà du caoutchouc, et je le roule pour le ramener dans ma bouche. Je le mâche comme un chewing gum, puis le retire et finis de le sucer. Mon maître ne veut pas me lâcher encore et s’enfonce dans un recoin noir, toujours avec sa lampe. Il est tout heureux de sa découverte, et me dis que je vais me régaler. Il récupère une poubelle vide, et repart pour l’échanger contre celle qui y est. Il me la montre, il n’y a aucune capote, mais une flaque de sperme qui couvre le fonds. L’endroit noir où il a récupéré tout ce bon jus est derrière un glory hole qui donne sur un couloir. Il y a un mec installé, presque toujours le même, et qui passe des heures à sucer tout ce qui se présente. Je pensais qu’il avalait, c’est d’ailleurs lui qui m’a donné l’envie de sperme, mais non; il pompe à fonds et recrache tout. Mon complice enlève le sac plastique de la poubelle, retrousse les bords, et l’étale au sol. Il n’a pas chômé ce salaud de suceur, et j’ai autant à boire que tout ce que j’ai déjà bu. Je commence à lécher et mon partenaire vient derrière moi et m’embroche sauvagement:— Ce chien, ce chien que tu es. Tu es à gerber tellement tu es immonde. Bouffe, bouffe tout, ensuite on va aller finir aux toilettes.Il me ramone pendant tout le temps que je lape ma gamelle, il se retire et je le suis. La pièce est assez large et on peut se mettre de chaque côté de la cuvette, lui debout, et moi à genoux. Il a laissé la porte ouverte pour que les voyeurs puissent se rincer l’œil, bien éclairé que l’on est par la lumière. Il me baise la gueule, s’enfonce dans ma gorge, et finis par décharger. J’avale tout et il reste en moi.Il débande lentement et m’informe de la suite:— Je vais pisser salaud, je vais pisser dans ta bouche. Avec tout ce que tu as bouffé tu vas avoir besoin de boire pour mieux digérer. Tu vois, je suis sympa, je pense à toi.Il pisse tout doucement, à petite dose, pour que je puisse tout avaler au fur et à mesure. Il y a un client qui ne veut pas croire qu’il pisse, qui veut vraiment voir. Mon mec me repousse , j’ai la gueule grande ouverte, et il pisse à nouveau son gland à quelques centimètre de ma bouche. Il stoppe à chaque fois que ma bouche est pleine pour ne pas m’éclabousser le visage lorsque je referme mes lèvres pour tout engloutir. Ils m’insultent maintenant tous les deux, lui et le voyeur. Ce dernier se branle comme un malade, et il éjacule sur mon visage. Il s’en va.Mon mec a fini lui aussi de se soulager, et s’en va à son tour, espérant bien me retrouver.
Je sens le sperme s’écouler lentement sur mon visage, et je l’étale pour me faire un masque (il paraît que Cléopâtre était adepte de ce soin de beauté). Il y a deux salles avec un lit, la première est occupée mais pas la seconde. Je m’allonge, toujours à poil, et je repense à ces heures folles que je viens de vivre. Mon partenaire a raison, je suis une salope, un chien, une ordure, mais j’assume. Je n’ai aucune honte, aucun remord, et je recommencerais à l’occasion. Je me suis souvent imaginé avaler du foutre à la pelle, et je viens de réaliser mon fantasme, au delà de mes espérances.Il y a deux ou trois mecs qui entrent dans la salle et repartent desuite. Le suivant s’assied sur le lit et se penche sur moi pour me chuchoter à l’oreille sa demande d’autorisation de me sucer. Il est jeune, il est mignon: permission accordée.Il est entre mes jambes et commence une délicieuse fellation. On s’habitue à l’obscurité et on se regarde dans les yeux:— Humm, tu suces bien! Tu as quel âge?— 19, et toi?— 60. Ca ne te gênes pas de sucer un vieux?— On s’en fout de l’âge, cet été j’ai baisé à trois, avec un jeune et un vieux. Il a une grosse queue comme la tienne, et un regard vicieux comme le tien. Tu me fais penser à lui, ça m’excite.— Très heureux. Raconte moi votre partie à trois.— Tu ne préfères pas une bonne pipe?— On peut faire les deux. Tu es pressé?— Non, j’ai tout mon temps.— Moi aussi, on peut rester jusqu’à la fermeture si tu veux.Il est d’accord et je le lui propose de me raconter son aventure. Ensuite on pourra se turlutter chacun son tour, et aussi s’enculer s’il aime ça. Il est partant, et vient s’allonger contre moi pour me faire ses confidences coquines.
A suivre..................
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