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Une soirée qui part en vrille

Chapitre 8

Événement inattendu

Inceste
Cela faisait cinq mois que les soirées avaient cessé. Et même si parfois il m’arrivait d’avoir envie de profiter plus souvent de Mélanie, j’en parlais à chaque fois à Chloé. Soit elle acceptait de me laisser une soirée de plus avec ma grande sœur, soit elle refusait. Quoi qu’il en soit, je ne cherchais jamais à m’opposer à son refus.
Un samedi matin, alors que nous n’avions pas prévu de passer le week-end ensemble Mélanie et moi, elle sonna à la porte de notre appartement. Elle fut accueillie chaleureusement par Chloé et sa langue finit dans ma bouche pour la saluer. Elle sembla toutefois perturbée et tint à avoir une conversation avec nous.— Quelque chose ne va pas ? lui demanda Chloé qui avait également remarqué son étrange comportement.— Oui et non. J’ai quelque chose à annoncer qui risque de chambouler toute notre façon de vivre.
Elle prit une grande inspiration, nous regarda tous les deux puis osa se lancer.— Avant toute chose, sachez que j’ai longuement réfléchi à ce que j’allais faire.— Tu comptes partir loin d’ici ? demandais-je.— Non, absolument pas. En fait, ça fait bientôt deux mois que j’ai appris que je suis enceinte. Et c’est Maxime le père. Et même si je n’avais jamais envisagé d’avoir un enfant avec lui, j’ai décidé de le garder.
Je n’en revenais pas, j’avais mis ma grande sœur enceinte. Pourtant, elle semblait prendre régulièrement la pilule. Je regardais ensuite Chloé qui sembla réfléchir à ce qu’elle allait pouvoir dire.— As-tu des sentiments amoureux envers Maxime ? lui demanda-t-elle.— Je ne pense pas que ce soit la question, répond-elle.— Au contraire. Est-ce que tu es tombée enceinte de lui parce que tu l’aimes et que tu voulais finalement avoir un enfant avec lui.— Je viens de dire que je n’avais jamais envisagé d’avoir un enfant avec lui.— Avant, peut-être. Mais tes sentiments pour lui ont peut-être évolué et tes désirs aussi.— Jamais je ne te piquerais Maxime, dit Mélanie.— Ça ne répond pas à la question. Est-ce que tu l’aimes ?— Oui ! dit-elle en baissant les yeux.
J’étais pris entre deux feux. En couple avec une sœur pour laquelle mes sentiments s’étaient développés au fur et à mesure, et d’un autre côté, une sœur qui m’a toujours attiré mais qui n’avait pas de sentiments pour moi au début et qui en a maintenant. J’avais besoin de faire un choix.— Je comprends la situation, dis-je. Et sache que jamais je ne t’obligerai à avorter. C’est ton corps, ton choix. Mais j’ai besoin de faire un peu de tri dans ma tête. Chloé, ce n’est pas un secret de te dire que mes sentiments se sont construits à mesure que notre histoire avançait. Et toi Mélanie, tu sais que tu m’as toujours attiré. Mais là, même si je vous aime sincèrement toutes les deux, j’ai besoin de m’isoler quelques jours pour réfléchir à tout ça.
J’ai embrassé amoureusement chacune de mes sœurs puis j’ai pris quelques vêtements avant de quitter l’appartement quelques jours, laissant volontairement mon téléphone pour éviter toute forme de tentation. Je pris la route sans but précis, cherchant simplement un hôtel où passer quelques nuits seul. Après plus d’une heure de route m’ayant amené plus loin que je le pensais, je finis par m’arrêter dans un petit village de campagne. Au bord de la route, un bâtiment sur lequel il était affiché "hôtel-restaurant". Il ne comportait que trois chambres, mais j’avais besoin d’une seule de libre.

Perdu au milieu de nulle part, j’avais beaucoup de temps pour réfléchir. Mais dès les premiers instants, je réalisais que Chloé me manquait et que j’avais envie de la sentir dans mes bras. Je n’en oubliais pas non plus Mélanie que j’aimais tout autant mais que je voyais moins souvent. Pourtant, elle portait mon bébé.
Le premier jour, j’eus beaucoup de mal à trouver le sommeil et je ne savais pas ce que je devais faire avec mes sœurs.
Le lendemain matin, je fus réveillé par le bruit de la pluie qui tapait contre la vitre de la chambre. Je pris une douche et la présence d’une femme me manquait. Depuis que je suis en couple avec Chloé, c’était la première fois que je prenais une douche seul. Même si je m’étais isolé pour réfléchir, je savais déjà qu’être en couple avec l’une de mes sœurs n’était plus simplement une envie, mais un réel besoin vital à mon bonheur. Le restant de la journée, je ne sortis de la chambre que le temps durant lequel le ménage y était fait. Je profitais de la pluie pour prétendre ne pas vouloir sortir. Mais en réalité, je n’en avais aucune envie même s’il avait fait beau.
Le jour suivant, je repris le travail et je retrouvais mon collègue. Je lui expliquais mon cas.— Je ne peux pas vraiment t’aider, me dit-il. Nous ne sommes que deux enfants dans notre famille, donc je n’ai pas eu besoin de choisir entre Delphine et une autre sœur. Tout comme Delphine n’a pas eu besoin de choisir entre moi et un autre frère.— Je sais. Mais j’aime les deux et les deux sont amoureuses de moi. Avant que cette situation n’arrive, j’aurais tout fait pour connaître ça. Mais maintenant, je me rends compte que ce n’est pas aussi simple que dans nos rêves. Là c’est la vraie vie.— Rien ne t’empêche de subvenir à tous les besoins liés à la grossesse de Mélanie si tu préfères rester avec Chloé.— Je sais. J’avais bien l’intention de faire en sorte qu’elle ne manque de rien. Je ne suis pas un salaud qui va laisser tomber une fille qui est enceinte de moi.
Nous discutâmes encore un peu et une fois la journée de travail terminée, je retournai à l’hôtel. Je restai encore quelques heures, puis après avoir pris le repas du soir, je pris mes affaires et je rentrai chez moi.
À ma grande surprise, en ouvrant la porte de l’appartement, je vis Mélanie et Chloé. Après mon départ pour réfléchir, elles avaient décidé de rester ensemble jusqu’à mon retour. Même si j’étais en couple avec Chloé, c’est Mélanie que j’embrassai en premier.— Bébé, avant que tu ne dise quelque chose, nous aimerions te parler, dit Chloé.— Tu n’as pas peur que ce que tu vas me dire ne m’embrouille davantage ?— Nous espérons toutes les deux que non.— Alors je vous écoute.— Ton départ sans que nous puissions savoir où tu étais et sans pouvoir te contacter nous a fait prendre conscience que nous t’aimons aussi fort toutes les deux, dit Chloé. Et crois-moi que cela me déchire le cœur de te l’annoncer, mais par amour pour toi, je suis prête à m’éclipser et à vous laisser vivre ensemble Mel et toi. Vous pourrez être heureux vous deux et le bébé. Ma valise est prête et je reprends l’appartement de Mélanie. Il est plus adapté aux personnes sans enfant. Je t’aime, mais je te quitte.
Chloé m’embrassa langoureusement avant d’aller prendre sa valise. Sans un mot, je la regardai partir, mettant ainsi fin à notre relation malgré des sentiments toujours présents et partagés.— Attends, lui dis-je avant qu’elle franchisse la porte. Je refuse cette séparation. Je sais que je serai heureux avec Mel et le bébé, mais je ne serai jamais comblé si l’une de vous deux partait.— Tu ne peux pas refuser la séparation, dit Chloé. Je ne te laisse pas le choix.— Laisse-moi au moins vous exposer ma réflexion. Après, si tu es toujours décidée à partir, je ne te retiendrai pas.— D’accord, accepta-t-elle. Je reste pour écouter ce que tu as à dire.— Pour commencer, j’aimerais que vous restiez toutes les deux jusqu’au bout. Tu as raison Chloé, même si je vous aime toutes les deux, dans un premier temps, j’aurais choisi Mélanie. Si sentimentalement, je vous aime autant toutes les deux, j’aurais choisi de rester avec Mélanie en raison du bébé. Et j’étais prêt à t’annoncer ça en rentrant.— D’accord. Merci pour ta franchise, dit Chloé en se relevant.— Attends, je n’ai pas fini. J’étais prêt à vivre heureux sans être totalement comblé. Mais pendant que je suis parti, vous êtes restées ensemble et vous avez parlé de moi. Ce qui signifie que même si tu sais que j’ai mis une autre femme que toi enceinte, tu peux vivre avec elle sans être jalouse qu’elle ait ce que tu n’as pas, à savoir un bébé de moi. Maintenant, je sais que même si Mélanie et moi avons d’autres bébés et que nous sommes heureux ensemble, il me manquera toujours quelque chose. Il me manquera toi. Alors soit vous acceptez toutes les deux que nous vivions tous ensemble et que je partage votre lit un jour sur deux, soit nous nous séparons tous les trois et je ne me mets en couple avec personne.
Mes sœurs se regardèrent et tentèrent de trouver un accord.— Mélanie étant enceinte, tu devrais passer plus de temps avec elle qu’avec moi, dit Chloé.— Vous étiez déjà ensemble avant, répond Mélanie. Autant que vous continuiez à passer le plus de temps ensemble. J’ai surtout besoin de savoir que tu seras là pour moi et le bébé.— Vous voulez toutes les deux vous mettre en retrait pour laisser l’autre être heureuse, fis-je remarquer. Donc coupons la poire en deux et faisons comme je vous dit. Une nuit avec Mélanie, une nuit avec Chloé. Et nous déménageons dans un autre appartement qui sera pour nous trois.
Mes deux sœurs se mirent facilement d’accord sur le fait de vouloir une maison plutôt qu’un appartement. Mais elles acceptèrent également de tenter la vie à trois sous le même toit jusqu’à la naissance du bébé de Mélanie. Si cette situation ne convenait pas à l’un de nous trois, alors nous pourrions arrêter dans quelques mois.
Le soir de cette discussion, je proposai à Chloé d’arrêter la pilule. Étant en couple avec elle, nous avions déjà parlé du fait d’avoir un enfant ensemble, mais nous n’avions jamais vraiment décidé du moment idéal pour nous lancer. L’annonce de la grossesse de Mélanie me fit me sentir prêt à assumer une paternité avec les deux femmes de ma vie.
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