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Une soirée chaude entre amis

Chapitre 1

Le jeu érotique de cache tampon

Orgie / Partouze
C’est un jeu érotique dérivé du cache tampon de notre enfance, évidemment en beaucoup plus coquin. Il s’agit pour les femmes de cacher leurs culottes dans une pièce. Les hommes doivent retrouver les culottes, guidées par les femmes avec les fameux « tu brûles, c’est tiède, c’est froid ... ». Celui qui en trouve une a le droit à 1 heure ou une soirée de plaisir avec sa propriétaire.Nous voilà de nouveau réunis chez Fabrice pour notre petite soirée « mardi échangiste » traditionnelle.Fabrice est un vrai pervers, il tente toujours d’organiser une soirée mémorable accompagnée de jeux érotiques pour donner de l’imprévu, du piquant à la fête. On peut l’en remercier, car nous étions un peu lassés des partouzes devenues un poil répétitives.Fabrice nous réunit et nous expliqua le jeu attendu.
— C’est un jeu de cache tampon, que nous pouvons appeler « cache culotte ».
Jean s’esclaffa ! « j’espère que l’on va vite les retrouver ! Fabrice continua : « Celui qui retrouve une culotte pourra passer la soirée avec la femme qui va dedans ! »
— Et si on n’en trouve deux ! reprit Jean toujours rigolard.
Fabrice doucha vite son enthousiasme : « on n’a le droit qu’à une seule, il faut en laisser pour les autres »Il nous donna ensuite un petit cours de stratégie.
— Je suis sûr que certains et certaines d’entre vous ont déjà une petite idée du ou de la partenaire qu’ils souhaiteraient obtenir. Aux femmes d’essayer de guider l’homme qu’ils désireraient avoir vers la cachette de leur culotte, et aux hommes d’essayer de deviner où peux se trouver la culotte de la femme qu’ils préféreraient en se référant aux indications des femmes !
Stephan, toujours lucide, s’exprima : « c’est comme un tournoi de chevalerie où les femmes accrocheraient leur culotte à la lance de leur champion ! »
Jean dit en riant : « Ce n’est pas la première fois qu’une femme accrochera sa culotte à ma lance ! »Mais trêve de plaisanterie, nous étions plutôt impatients de commencer le jeuFabrice demanda aux hommes d’aller s’enfermer dans la cuisine pour permettre aux femmes de cacher leurs petites lingeries.Les femmes restèrent seules dans les deux pièces communicantes de l’appartement. Une à une, elles retirèrent leur culotte tout en papotant.
— Je me ferais bien Pierre, il a l’air en forme ce soir ! » dit Annie.
— « je crois que Jean ferait bien mon affaire, j’ai déjà envie qu’il me baise » reprit Sophie— « Je te laisse Jean si tu me laisses Pierre » dit Annie— « Vous vous arrangez entre vous, mais n’oubliez pas que pour les pipes et la levrette, j’ai une bonne réputation » se venta Julia— « toujours à te vanter de tes pipes, mais pour les hommes, le nec plus ultra - c’est toujours la sodomie » dit Sonia un peu énervée— « Tu cherches surtout à te faire enculer, c’est par là que tu jouis ! » lui répliqua Annie
José dit : « sans culotte, je me sens toute nue, vulnérable, c’est fou ce qu’un petit bout de tissu peut apporter de sécurité »
— Annie toujours pragmatique précisa« En fait de sécurité, elle est bien faible, je t’ai déjà vue baisser culotte très facilement pour te faire sauter ! »— « ce n’est pas toi qui vas me dire ce que je dois faire de ma culotte », reprit José
Les femmes riaient de bon cœur, la culotte à la main. Elles commençaient à se demander où cacher l’objet du désir des hommes pour favoriser le mâle qu’elles désiraient,Annie se disait : « Pierre est grand, je vais plutôt mettre ma culotte en hauteur, il sera avantagé ! »Elle plaça donc sa jolie culotte en satin rose sur le sommet d’une armoire, assez près du bord pour qu’un grand puisse l’apercevoir, mais qu’elle soit masquée à un plus petitSophie, elle, pensait « Jean est plutôt littéraire, je devrais peut-être mettre ma culotte parmi les livres, nous avons lus ensemble : La place de ta main est dans ma culotte », cela pourrait être pour lui un indice. Elle fourra donc sa culotte en dentelle noire derrière le livre cité plus haut.
Julia était plus pragmatique, une cachette facile ferait l’affaire. Un homme la trouverait sûrement. Quel qu’il soit, elle avait déjà fait l’expérience avec chacun d’entre eux et elle savait comment les manipuler pour en retirer le maximum de plaisir ... qu’importe la bouteille pourvu qu’on ait l’extase ! Où mettre sa culotte de dentelles rouges ? Et bien tout simplement dans le vaisselier du salon.
Sonia, joueuse, elle aimait l’imprévu et baiser avec un mec tiré au sort lui faisait comme baiser avec un inconnu. Et se faire sauter par un inconnu était l’un de ses grands plaisirs ; elle cacha donc sa culotte (satin rose, dentelle noire) sous les coussins du canapé, bien profond, comme elle aimait sentir le membre d’un homme s’enfoncer en elle.
Sonia donna alors ses impressions : » quelle histoire, on doit enlever sa culotte pour la cacher, pour qu’un homme la trouve et nous la fasse remettre pour nous déculotter peu de temps après. Il vaudrait mieux directement arriver sans culotte du tout. Ce que les hommes sont pervers ! »
— « et c’est pour cela qu’on les aime, qu’ils nous surprennent et nous amènent à faire des choses que nous n’aurions même pas imaginées » avança Sophie— « moi j’aime bien les hommes un peu pervers, quand une main balaye ma jupe dans le métro en essayant de suivre la couture de ma culotte, je fais semblant d’être outrée pour qu’il n’aille pas trop loin en public ... mais en fait j’adore me faire peloter. Une fois dans un dancing un homme, en dansant, a attrapé sous ma robe l’élastique de ma culotte et l’a fait glisser jusque sous mes fesses. J’ai fait toute la danse avec la culotte baissée sous ma jupe ... je m’en souviens encore ! » lança Annie en mimant la scène
Sonia cacha sa culotte de satin rose bordée de dentelle noire par terre derrière un rideau de voile blanc.José n’avait pas encore choisi, elle tournait en rond, sa culotte à la main, une jolie culotte en nylon vert transparent qui ne devait rien laisser ignorer de son intimité. Elle était plutôt du genre romantique, douce, du genre à se soumettre aux caprices de qui voulait la prendre en main. Elle avisa un gros bouquet de fleurs composé de roses et d’un feuillage vert tendre. Elle y mit prestement sa petite culotte qui restait invisible au milieu du feuillage.Les femmes étaient maintenant prêtes et elles appelèrent les hommes.
— Hou hou ! Les culottes vous attendent, elles sont bien humides, ne les laissez pas sécher.
Les hommes ne se firent pas attendre et firent rapidement irruption dans la pièce. De vrai mâle en rut. Il lorgnait les robes de femmes. Sachant qu’elles ne portaient plus de culottes, ils espéraient deviner en transparence ces intimités qui bientôt seraient à leur portée.Pierre rit de bon cœur : « voilà une belle brochette de viande sans culotte que je suis pressé de déguster »Sonia lui répondit : « pas si vite mon grand, il faut tout d’abord la mériter ... que la chasse commence ! »Annie de son côté : « les cloches de Pâques sont passées, elles ont laissé de petites surprises pour les messieurs »
— « on joue à : si je t’attrape je te baise ! » dit Pierre en riant— ... et plus si affinité, reprit Julia.— Jean renchérit : « Voilà qui s’appelle attraper une femme par le fond de sa culotte ! ... Et c’est le fond qui manque le moins ! »
Les femmes gloussaient. Nues sous leurs robes, elles se sentaient vulnérables, presque offertes, et se demandaient bien quel garçon elles allaient pouvoir « pécho ».Les hommes commencèrent leurs recherches. Pierre partit sur la gauche et immédiatement Annie tenta de le remettre dans le droit chemin (celui qui mène à la culotte en satin rose sur l’armoire) « tu es gelé » lui lança-t-elle. Pierre comprit tout de suite qu’Annie semblait s’intéresser à sa recherche de culotte. Il ne voyait aucun inconvénient, mais vraiment aucun à passer la soirée avec elle. Il décida donc de suivre ses directives. Finalement, passant sa main sur le dessus de l’armoire, il sentit au bout de ses doigts le satin sensuel de l’attribut féminin.
Sophie essayait d’orienter Jean, sur lequel elle avait jeté son dévolu, vers sa petite culotte derrière un livre de la bibliothèque. « Jean tu brûles », lui lança-t-elle alors qu’il passait devant l’étalage de livres.
Mais Sonia qui voulait diriger Jean vers sa propre culotte sous les coussins du canapé lui intimait : « Tu es froid ».Jean réagit : « Alors je brûle ou je suis froid ? »Il comprit alors le « truc », il suffisait de suivre les instructions de la femme avec laquelle on avait envie de batifoler. Après tout, Sonia était gironde, elle suçait très bien et ne rechignait pas à la sodomie. Donc il décida de suivre les instructions de Sonia jusqu’à arriver à la culotte de la délivrance. Il extirpa de sous les coussins une magnifique petite culotte de satin et dentelle.
Chacun réagit à sa façon.Stephan suivit José. Il la savait douce et soumise, elle aimait être dominée par son homme et ne reculait jamais devant une bonne fessée déculottée. Elle suçait très correctement et même si elle n’aimait pas trop faire défoncer son petit trou, elle acceptait de se faire prendre en gémissant. Il tomba, nez à nez sur la culotte verte dans le bouquet de fleurs. Il prit tout le bouquet voulant offrir à José des fleurs avant de la déflorer,
Luc porta son dévolu sur Sophie. Elle portait toujours des sous-vêtements en dentelle noire, porte-jarretelles, soutien-gorge et petite culotte. Il en aurait confirmation quand il trouverait sa culotte. Il la trouva derrière le livre « La place de ta main est dans ma culotte » et il ne se fit pas prier ! Fabrice, en maître de maison eut la délicatesse de passer en dernier. Il hérita de Julia. Ce n’était pas un mauvais lot. Elle savait glisser sa main dans une braguette extraire un dard de son caleçon, le caresser avec sensualité. Comme aucune elle savait faire patienter son homme, se déshabiller lentement en le laissant baver devant son corps gainé de noire. Julia c’était la volupté même. Il aperçut une couleur rouge dans le vaisselier et en retira la magnifique culotte rouge de Julia. Banzaï !
Finalement, Pierre avait trouvé la culotte de satin rose d’Annie, Jean celle en satin ornée de dentelles de Sonia, Stephan la culotte verte de José, Luc celle en dentelle noire de Sophie, et Fabrice l’écrin en dentelle rouge de Julia.Tous étaient ravis. Ils triomphaient en agitant leurs trophées au-dessus de leur tête, prêts à mériter la récompense promise. Il est vrai que lorsqu’une femme vous fait cadeau de sa culotte, c’est toujours la promesse d’une rencontre prometteuse.Les femmes étaient satisfaites du choix du hasard. Leur entrejambe commençait à devenir plus qu’humide et elles étaient prêtes à remettre la culotte que leur compagnon d’un soir s’empresserait ensuite de leur ôter.Chacun avait trouvé chaussure à son pied ou plutôt culotte à sa virilité.
Ce qui se passa après est une autre histoire ...
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