Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 216 J'aime
  • 2 Commentaires

Une soirée qui laisse des traces

Chapitre 1

Hétéro
Aïe. C’est le premier mot qui me vient à l’esprit lorsque j’ouvre les yeux. Ma tête fait « boum boum ». J’ai probablement abusé de l’alcool hier. Je bouge un peu. Mes seins sont douloureux. J’explore mon corps. Les lèvres de mon vagin sont plus sensibles que jamais. Je prends mon courage à deux mains pour m’extirper du lit. Je me regarde dans le miroir. J’ai des traces rouges sur tout le corps. Qu’est-ce qui a pu bien pu se passer ? Je me rassois sur le bord de mon lit. Ah, je crois que je me souviens.
J’ai toujours été celle dont se demande si elle est vierge. Un visage d’ange, à ce qu’il paraît. Au début, ça avait tendance à m’agacer. Mais depuis quelque temps, j’ai décidé d’en tirer profit. Alors comme ça, j’ai l’air ne pas y toucher ? Mmmh, c’est tellement éloigné de la réalité ! Lorsque je suis redevenue célibataire, il y a 8 mois de ça, mon appétit sexuel a commencé à augmenter. J’ai toujours eu une passion pour la bite, je dois l’avouer. Mais ces derniers mois, c’est carrément devenu une obsession. Je ne peux pas rencontrer un homme sans regarder son entrejambe, et imaginer l’engin qui se cache en dessous. Si le mec me plaît, je vais même jusqu’à imaginer qu’il m’enfonce son pénis bien profond. Quand je vous parle d’obsession. Mais revenons à la soirée d’hier. À mesure que j’écris, les souvenirs sont un peu plus clairs dans mon esprit.
Il est 20h. On sonne à ma porte. C’est ma copine Julia, que j’ai invitée à prendre l’apéro. On se connaît depuis le lycée, et on n’a jamais perdu contact depuis. Aujourd’hui on a 28 ans, et je la considère clairement comme ma meilleure amie. Ça fait deux semaines qu’on ne s’est pas vues, alors on a plein de choses à se raconter. On passe deux heures à papoter, et on vide deux bouteilles de vin - une chacune, c’est la tradition ! Vers 22h, je lui demande si elle est chaude pour continuer la soirée. Je n’avais pas trop de doute sur la réponse, mais elle me confirme qu’elle est partante.
— On va où ?— J’ai un pote qui vient d’être embauché en tant que serveur dans un bar à deux rues d’ici.— Il paye ses shots ?— Y a moyen ! — Go !
Quelques minutes plus tard, nous voilà parties pour le bar en question. Julia me présente à son ami. Il s’appelle Mickaël, il a 31 ans, et il est fraîchement de retour à Paris après 5 ans passés à l’étranger. Lorsqu’il s’avance devant le bar pour nous saluer, je jette un œil rapide à son entrejambe. Oh wooow, il a l’air d’être bien monté. Je détache tant bien que mal mon regard de cette partie de son anatomie pour me plonger dans ses yeux bleus, qui me font presque autant d’effet. La soirée avance, les verres s’enchaînent. Je jette des coups d’œil de moins en moins discrets à Mickaël. Julia, qui n’est pas dupe, me demande s’il me plaît. Affirmatif. Vient le moment des shots qui m’avaient été promises avant la soirée.
— Plutôt rhum ou vodka ? me demande Mickaël.— Plutôt les deux à la fois.
Enivrée de désir, et probablement aussi d’alcool, je me sens plus entreprenante que jamais. Aussi, je me risque à une proposition un peu indécente.
— J’aime bien le rhum et le vodka, mais ce que je préfère, c’est le sperme, dis-je à l’oreille de Mickaël.
Visiblement je n’ai pas été très discrète, puisque Julia, qui discute avec un autre homme à quelques mètres de là, se met à pouffer.
— Ah ouais, t’es cash toi ! répond Mickaël, visiblement amusé.— Ouais, on me le dit souvent.
— Mais du coup... C’est une blague ou c’est vrai ?— Rejoins-moi dans les toilettes si tu veux en avoir le cœur net.
Le pas assuré, je quitte mon siège pour me rendre dans les toilettes des hommes. Je sais, je sens que Mickaël ne va pas tarder. Et c’est exactement ce qui se produit, à peine quelques secondes après. Sans prendre le temps de l’entraîner dans un cabinet, je déboutonne son jean et le fais glisser jusqu’à ses chevilles. Je me retrouve nez à nez avec son chibre, qui est encore plus gros, ce que la bosse de son jean ne laissait présager. Je prends le temps de l’admirer quelques instants. Mais j’ai terriblement envie de le goûter, et je ne peux me retenir plus longtemps. Lentement, je fais glisser ma langue sur son gland. Mickaël laisse échapper un petit soupir de plaisir. Qu’est-ce que ce sera quand je l’aurai englouti totalement. Après quelques coups de langue concluants, je me mets à suçoter son gland. Doucement, d’abord. Puis un peu plus fort. Je lui caresse les couilles en même temps, ce qu’il apprécie visiblement.
Après cette délicieuse mise en bouche - c’est le cas de le dire - j’entreprends de le sucer plus vigoureusement. Je rentre les trois quarts de sa bite dans ma bouche tout en le branlant.
— Hmmm, c’est bon ! s’extasie Mickaël.— Ah ouais, t’aimes ça ? dis-je, toujours avec sa bite dans la bouche. — Putain oui tu me fais du bien !
C’est alors que je m’arrête net pour lui dire :
— Si tu veux que j’aille plus loin, il va falloir m’insulter. C’est comme ça que j’aime être encouragée.
Mickaël ne se fait pas prier.
— OK salope. Avale ma bite.
Je m’exécute, tandis que Mickaël continue de s’exprimer.
— Plus loin. Avale ma bite je t’ai dit. Espèce de petite pute.
En parvenant à mes oreilles, ces mots ont l’effet escompté. Non seulement je sens mon string se tremper, mais j’ai terriblement envie d’engloutir sa bite en entier. Centimètre par centimètre, je la fourre de plus en plus loin dans mon gosier. Je gémis sans m’en rendre compte. Putain qu’est-ce que j’aime ça. Bouffer des bites.
— Tu me fais kiffer espèce de petite salope, dit Mickaël pendant qu’il fait des va-et-vient dans ma gorge. Continue comme ça. C’est bien. T’es une belle salope. Allez bouffe-la. Encore.
Pendant quelques minutes, j’engloutis sa bite avec un plaisir non dissimulé. Je suis toute mouillée. Ne tenant plus, je passe ma main sous ma robe pour commencer à me toucher. Je caresse d’abord mon clitoris, puis entre deux doigts dans mon trou lubrifié de cyprine. Je ne perds pas ma tâche de vue pour autant.
— Putain tu me fais bander. Je vais venir, me prévient Mickaël. Et t’as intérêt à avaler.
Ça tombe bien, j’adore ça. L’instant d’après, de grandes giclées de sperme me parviennent. Hors de question de perdre la moindre goutte de ce précieux nectar : j’avale tout, gorgée après gorgée. Pendant que je me régale comme jamais, j’entends la porte des toilettes s’ouvrir. Quelqu’un est entré. Quelque chose me dit que la soirée ne fait que commencer.
Diffuse en direct !
Regarder son live