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Une soirée très particulière

Chapitre 1

Orgie / Partouze
C’était un de ces soirs d’été où l’on se retrouve entre amis, un peu désœuvrés d’être au boulot alors que tout semble à l’arrêt. On se reçoit les uns chez les autres. Il fait chaud, on boit, on fume et on discute. Parfois on se plaît, on se désire et on repart en couple pour une nuit de plaisir. Bref, rien de bien extraordinaire, un été presque banal s’il n’y avait eu cette soirée si particulière. François nous avait reçus pour un apéro dînatoire. Il y avait à mes côtés Vanessa, une copine infirmière, venue avec une collègue, Zoé, une jolie blonde un brin gothique. Comme à chaque fois étaient présents Julien, un grand chauve costaud genre acteur de pornos amateurs et mon meilleur copain, Antoine, l’incarnation du french lover, le genre de beau brun typé à avoir un don pour séduire en soirée et toujours passer pour le grand romantique qu’il n’était pas. Quant à François et moi, nous étions du genre classique, lui catégorie futur vieux garçon, moi dans un genre charmeur et sérieux.
Je ne me souviens plus très bien comme le jeu s’est installé. Je sais qu’Antoine et moi rivalisions devant la nouvelle venue dont les petits seins blancs, dont nous devinions les contours sous son débardeur, nous avaient mis la bave aux lèvres et l’esprit en feu. Nous n’étions donc pas attentifs à la main que Julien avait placée comme à son habitude sous la table entre des cuisses accueillantes, celle de la brune Vanessa, avec une audace et un succès qui tenaient pour moi du miracle. François était lui, derrière ses petites lunettes cerclées et sous sa longue mèche, à mille lieues de tout ça, devisant de tout et de rien. Bref, rapidement nous nous sommes trouvés à jouer, lumières éteintes, à cache-cache...
Tout cela était au début bon enfant et sujet à de nombreux fous rires, l’alcool aidant bien entendu. Mais Antoine et moi n’avions toujours qu’une idée, la conquête de la blanche Zoé qui rapidement fut encerclée par nos quatre mains à la recherche de sa personne. Celle que je posai par inadvertance sur son sein, ferme et délicat, n’essuya aucun recul et bientôt ma main commença à caresser cette petite pomme tendre, mes doigts roulant sur le téton qui perçait à travers le fin tissu de son haut. Je retenais mon souffle quand je perçus entre les rires des participants, sur un fonds de musique cubaine, le bruit de deux langues qui se cherchaient. Antoine échangeait un baiser avec Zoé qui semblait manifestement apprécier sa bouche. Me considérant vaincu, amer, je retirai ma main quand soudain, je sentis une main fine, une main de jeune femme, se porter crument sur mon sexe. Zoé me tenait littéralement par les couilles, sa paume contre ma tige gonflée de désir.
Soudain, la lumière se ralluma. François avait pressé l’interrupteur. Aussi Zoé abandonna la bouche d’Antoine et ma queue. Julien dissimulait dans son dos des doigts que je devinais humides et tout juste sortis de la culotte de Vanessa qui tirait sa jupe vers le bas. Nous devions avoir l’air totalement ahuri. Julien engueula alors vivement François, l’invitant à nous replonger dans le noir au motif que nous avions envie d’intimité... pour danser. Mécontent, mais docile, il s’exécuta.
Zoé reprit le chemin de la bouche d’Antoine tandis que je m’occupais du sein opposé tout en caressant son petit cul bien rebondi par un jeans très moulant. Rapidement, je couvrais son cou de baisers tandis que ses mains flattaient nos sexes par-dessus nos pantalons. Julien monta le son et rapidement, j’entendais les petits gémissements de plaisir de Vanessa dont la chatte devait être sûrement possédée par ses doigts.
Je savourais l’instant, me disant que rapidement, cette parenthèse charnelle se refermerait au stade de ces doux préliminaires (enfin moins doux pour Vanessa). Mais je sentis dans cette obscurité chaude et assommante Zoé se dégager, non pour fuir, mais se placer à genoux devant Antoine et moi. Elle cessa rapidement de nous caresser pour, après quelques tâtonnements, défaire nos ceintures, déboutonner nos pantalons et les descendre d’un coup sec et expert, avec nos boxers, sur nos chevilles. Voilà que la frêle beauté blonde nous branlait avec une cadence digne des galères romaines. Je la sentais décalotter et recalotter mon gland, sa main tenant fermement ma tige de plus en plus gonflée. Et j’eus le premier l’honneur d’être pris en bouche. Ses lèvres fines pressaient mon sexe, sa langue glissait sur mon dard et je savourais la pression de son piercing sur les veines de ma queue. Elle passa ensuite au membre d’Antoine. C’était si bon.
Les sensations me paraissaient démultipliées par l’obscurité.

Zoé se releva aussi soudainement qu’elle s’était agenouillée. Elle glissa vers la porte du séjour, actionna l’interrupteur lançant que ce serait quand même bien plus agréable avec de la lumière. Nous échangeâmes alors tous des regards hagards à la fois éblouis et gênés d’être ainsi découverts, comme ramenés à la réalité de nos corps. Nous n’étions pas en effet dans un rêve, mais bien éveillés dans le séjour de l’appartement de François. Vanessa était assise sur le dossier du canapé, cuisses écartées, la jupe relevée sur sa chatte aux lèvres ouvertes sous un petit ticket de poils bruns, un sexe charnu manifestement fraîchement visité par la langue – parait-il experte – de Julien. Antoine était à mes côtés, devant la porte-fenêtre, à côté d’une table à manger par encore desservie, l’air un peu niais, son pantalon sur les chevilles et sa queue dressée fièrement vers la petite assemblée. J’étais dans la même situation que lui.
Quant à François, il devait quelques instants plus tôt s’adonner à un plaisir solitaire, se retrouvant lui aussi le sexe à l’air, la chemise sur les cuisses. Timide et très rangé, il tenta de remonter son pantalon pour cacher sa queue poilue. C’était sans compter sur la rapide Zoé qui en une fraction de seconde l’avait pris en bouche. Il ne fallut guère de temps avant que notre gentil ami n’éjacule, se vidant en abondance sur le débardeur de Zoé. La jolie blonde dut alors se résoudre à libérer et nous livrer son exquise petite poitrine. Vanessa fit de même avant de venir porter à sa bouche nos sexes qui n’avaient pas débandé. Zoé était passée à Julien.
Rapidement, nous furent tous nus, à l’exception de François qui disparut, gêné, dans sa salle de bains. Ce fut merveilleusement bon. Nos sexes passaient de l’une à l’autre de ces demoiselles (imprudemment sans capote), nos bouches glissaient sur leurs ventres, nos doigts exploraient leurs corps. Sur mon sexe succédait au petit cul blanc de Zoé, la croupe plus généreuse et dorée de Vanessa. Nous n’avions plus aucune pudeur et nous partouzions avec bonheur entre amis. Quand tous nous eûmes joui, j’offris outre des serviettes en papier de lever le camp sans tarder pour finir la nuit chez moi, ce qui ne fut refusé ni par Antoine ni par Julien et surtout pas par Zoé dont Vanessa connut bientôt également les assauts amoureux. Mais leur jeu de langues sur leurs sexes, c’est une autre histoire !
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