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Une soumise docile

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Ca fait un moment que l’on discute, nous ne nous sommes encore jamais vus pour de vrai, mais le jour est enfin arrivé.
Tu dois arriver dans quelques minutes. Je t’attends avec impatience. Enfin je vais pouvoir me délivrer, enfin je vais pouvoir vivre les fantasmes que j’ai depuis pas mal d’années, avoir une femme à ma disposition.Toi aussi enfin tu vas pouvoir te libérer et vivre enfin tes rêves de soumission totale, offrir ton corps et ton âme à un maître, car c’est ton souhait depuis ton adolescence, mais sans avoir franchi le pas, maintenant du haut de tes 28 ans tu vas la franchir sans aucune limite. Une soumission que tu connais par cœur tellement tu as appris à être une bonne soumise, mais cela n’est que théorique, maintenant tu vas vraiment vivre cet abandon de volonté, pour la donner à un autre, une personne à qui tu vas tous donner.
J’attends avec impatience et appréhension ta venue. Est-ce que tu auras suivi mes ordres, même si je pense que oui, il y a toujours un doute.La porte sonne, ça y est c’est toi.
Tu trouves, comme convenu, un bandeau noir sur la poignée de la porte d’entrée. Tu l’attrapes et le mets sur tes yeux afin d’être aveugle lors de ce premier contact. Ca t’excite, tu es enfin là devant un inconnu enfin presque, et tu es sur le point de te donner entièrement à lui, même si tu as un peu peur tu ne reculerais pour rien au monde, ça fait tellement de temps que tu attends ce moment.
La porte s’ouvre, ton cœur bat encore plus vite, tu sens deux mains te toucher, prendre les tiennes et t’attirer lentement à l’intérieur de l’appartement.La porte se referme derrière toi, pas un mot n’est prononcé. Tu attends là, debout quelques minutes, tu écoutes tout ce qui peut se passer, attentive au moindre bruit, mais rien.
Tu connais les attentes de ton maître. Tu l’as même vu en photo, mais est-ce vraiment une photo de lui ? Tu ne connais même pas son nom, ce n’est pas vraiment gênant, car tu dois l’appeler soit « Monsieur » soit « Maître ». Tu sens le regard de ton maître se poser sur toi, détailler tes courbes, tu lui as souvent répété qu’il ne sera pas déçu.Effectivement tu es très belle, avec ta peau un peu mate, tes cheveux longs, retombant sur ta poitrine mise en valeur avec cette robe noire moulante qui fait ressortir ton 85D. Cette robe suit ta magnifique courbe de corps svelte, mais également celle de tes belles petites fesses à croquer.Ta robe s’arrête assez haut, on peut presque voir ton entrejambe, mais sans le montrer. Tes jambes sont fines et tes pieds manucurés, enserrés dans des chaussures à talon rouge. Tu es simplement splendide.
Enfin tu entends la voix de ton nouveau maître :— Tu as suivi mes ordres. ?— Oui Monsieur.— Alors tu as quelque chose pour moi.— Oui Monsieur.
Tu commences à bouger, car ton maître avait une consigne simple. A ton arrivée, tu devais lui donner en signe d’appartenance ton string odorant de ton plaisir. Tu as suivi mes ordres, car dans le tain pour venir ici, tu as à imaginer ce moment en te caressant discrètement afin de pouvoir offrir ton string trempé de ta mouille afin que je puisse sentir ton odeur.Tu relèves légèrement ta robe et montres un joli string noir en dentelle, tu attrapes les élastiques de chaque côté et commences doucement à le faire descendre, le string descend, mais tu mouilles tellement qu’un filet de mouille relie encore ton string à ta chatte, mais celui-ci s’étend jusqu’à ce que ce lien rompe. Tu le fais passer par les genoux puis l’enlèves complètement. Tu me le présentes et me dis.

— Voilà Monsieur selon vos souhaits. Mon string rempli de mon désir pour vous.
Je prends le string et je me mets à le sentir profondément. Quelle odeur enivrante, j’adore ça.Tu te mets en position d’attente, comme ton maître te l’a expliqué de nombreuses fois. Tu écartes les jambes afin de laisser un accès à ta chatte, tu mets tes 2 mains derrière la tête, recules un peu tes fesses et bombes ta poitrine afin de faire ressortir tes seins fermes.Tu attends là, comme ça, toujours avec ton bandeau sur les yeux pendant que ton maître se délecte de ton odeur.
Tu sens ton maître se rapprocher de toi, tu sursautes, non pas de peur, mais de surprise, quand tu sens une de ses mains se poser derrière ton genou, tu sens l’excitation monter d’un cran. Puis cette main remonte doucement le long de ta jambe pour arriver en haut de ta cuisse, puis une fois près de ta chatte elle s’arrête, tu gémis déjà de bonheur, tu as envie qu’elle aille plus loin. Tu veux le crier, mais tu sais que tu n’as pas le droit de parler, donc tu attends passivement le bon vouloir de ton maître.Puis enfin elle repart et atteint tes lèvres si humides d’excitation. Que c’est bon de sentir la main de ton maître à cet endroit ! Il est dans la possibilité de te mettre 1 ou 2 doigts en toi, mais il se contente de te caresser la chatte du plat de sa main.Ton maître s’approche de ton oreille pour te chuchoter.
— Je te touche à peine que tu es déjà trempé. Tu n’as pas honte d’être dans cet état-là ? Regarde-toi comme ton corps a envie, regarde comme tu es une petite salope soumise, qui s’abandonne dans mes bras.
Comme tu sais qu’à ce moment-là tu peux parler, tu n’hésites pas.
— Oh oui je suis à vous, je vous donne ma volonté, mes envies, mes désirs. Vous faire plaisir et mon seul but dans la vie, à partir de maintenant. Apprenez-moi à être votre chose, votre objet, baisez-moi, défoncez-moi, tapez-moi, je ferai tout selon vos désirs.— Oui tu vas en apprendre des choses avec moi. Tu ne peux même pas imaginer tout ce que tu vas subir. Non seulement tu ne me refuseras rien, mais en plus tu en redemanderas.
Puis je me décolle de toi afin de pouvoir observer ton corps si parfait.Tu te sens frustré, car tu aurais aimé être prise là, maintenant dans cette position, sauvagement, mais ça devra attendre. Tu entends un bruit de vêtement et je passe doucement derrière toi. Je me rapproche, mets mes 2 mains sur tes hanches et les remontes doucement jusqu’à tes aisselles puis les ramène sur tes seins.Je caresse tes seins au-dessus de ta robe et sens tes tétons durcis par l’excitation. Je t’enlève ta robe ainsi que ton soutien-gorge. Tu te retrouves nu, les yeux bandés devant ton maître.
Tu sens que je te force la bouche avec une boule et l’attache derrière ta tête. Tes mains se font prisonnières et tu sens qu’elles sont contraintes à monter. Tu te retrouves liée au plafond, je me colle à toi dans ton dos, tu sens mes mains te caresser les cheveux, le cou, puis la poitrine. Tes seins durcissent encore plus sous les caresses. Tu sens que tes tétons n’ont jamais été aussi durs et tendus. Je suis tellement collé à toi que tu sens ma queue bien dure contre tes fesses nues. Je te murmure à l’oreille :
— J’ai un petit cadeau pour toi. Tu devras le garder fièrement et constamment.
Tu sens quelque chose se poser autour de ton cou et se refermer, puis je te dis.
— C’est un collier avec un anneau sur le devant. Tu devras le conserver en signe d’appartenance et de soumission permanente à ton maître.
Tu sens que j’attache quelque chose autour de l’anneau et sans t’y attendre tu sens une vive douleur sur ton téton droit. Tu cries, mais il est étouffé par le bouillon sur ta bouche. Tu réalises alors que ce que je t’ai accroché est une chainette avec une pince à seins à son extrémité.Je décide d’être sadique avec toi, car tu mérites d’être puni de l’état où tu me mets. Je me penche encore vers ton oreille.
— Prépare-toi à avoir une pince sur ton téton gauche également.
Tu attends cette douleur, mais elle n’arrive pas. Je m’amuse avec ton sein à le caresser, à l’ériger. Je te caresse le sein avec la pince, mais aucune douleur n’arrive, car je décide de te faire languir, de jouer avec ton esprit.Je suis toujours dans ton dos collé à tes fesses, je joue avec toi, je peux voir ta beauté, ton excitation, ton désir. Ma main droite descend entre tes cuisses et je peux sentir du bout de mes doigts ton humidité, je joue avec ton clito qui électrifie ton corps encore un peu plus. Je présente le bout de mon gland à l’entrée de ta chatte et décide également de jouer avec. Tes sens sont en ébullitions. Tu gémis à travers le bâillon. Tu n’avais jamais senti une chose pareille, mais tu en veux plus. Tu bouges ton bassin d’excitation, ma bite se recouvre de ton jus ruisselant.
Je décide de te libérer. De ma main, qui ne titille pas ton clito j’ouvre la pince. Et de la main droite j’accélère mon mouvement sur ton clito, puis d’un coup, je donne un grand coup de bassin afin que ma bite te remplisse complètement et profondément en toi sans ménagement. Dans le même temps, je relâche la pince sur ton téton droit.Les 3 actions simultanées te donnent un orgasme sans précédent. La douleur et la jouissance se mêlent et tu cries dans ton bâillon. Tes jambes ne te supportent plus et tu te retrouves seulement pendu au plafond par les poignées.Tu trembles de plaisir et parfumes ma bite toujours fichée en toi. C’est la première fois que ta jouissance est aussi importante. Je sens que tu déverses un flot de cyprine sur ma queue. J’en suis ravi, car je découvre que tu es une femme fontaine, tu en éjectes tellement que l’on peut sentir ton odeur intime si enivrante.
Tu n’en peux plus, je me décolle de toi, te détaches, te portes jusqu’à une chambre attenante et te poses sur le lit.Je t’enlève tous les instruments, bâillon, bandeau et toutes tes entraves sauf ton collier. Tu es dans les vapes et t’endors sans pouvoir y résister, terrassé par ce que tu viens de vivre.
De mon côté, je ressors de la chambre. Je viendrais plus tard te réveiller, il faut que tu te reposes, car ce n’est que le début, surtout que pour cette première je me suis occupé de toi, sans jouir, et à un moment donné il faudra bien me soulager.
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