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Une soumise peut en cacher une autre...

Chapitre 2

Situation hors contrôle

Voyeur / Exhibition
Cocu... j’étais cocu. Toute la nuit, je me repassais les images dans ma tête, de Lucie se faisant sauter tour à tour par mon chef puis notre voisin du dessous. Elle, ma femme, paisiblement endormie à mes côtés, comme si elle venait d’avoir une journée des plus ordinaires.Je n’avais quasiment pas dormi, à la fois tourmenté et excité, le sexe dur comme du béton, moi qui n’avais portant plus eu d’érection digne de ce nom depuis plus de trois ans. Même chose les nuits suivantes. Mais dix jours plus tard, je n’avais toujours pas osé en parler à ma femme.Je n’en pouvais plus de m’imaginer des choses. Cet après-midi-là, je décidai de m’éclipser du bureau. De toute façon, le seul qui pouvait me demander des comptes, c’était Marc, mon boss. Mais comme tous les jours en début d’après-midi, il n’était pas là, et je devinais bien où il était... Quoi qu’il en soit, cette fois-ci, j’allais les surprendre pour de bon, smartphone à la main pour me construire une véritable preuve vidéo.Je rentrai donc en douce chez moi, sous le son, comme la première fois, des gémissements de ma femme. Prêt à surgir dans la chambre, smartphone à la main, déterminé... mais aussi tellement excité !... OK ! J’allais d’abord les regarder une ou deux minutes, avant de mettre définitivement fin à tout ce cirque. Deux minutes, et stop !Une heure plus tard, j’étais toujours caché au coin de la porte de la chambre. Comme hypnotisé par ce qui se passait. Marc avait déjà joui deux fois, et à chaque fois, Lucie s’était démenée pour regonfler sa verge. Avec sa bouche, ses mains, ses fesses, ses seins... et même ses pieds ! Là, toujours les yeux bandés, elle dansait devant le lit, pour allumer mon patron dont les commentaires graveleux fusaient :« Ondule ton corps grosse pute ! Oui, tu es une pute, et oui, tu es grosse. C’est fini la mode pour toi, tu es maintenant dans cette catégorie qu’on ne mate pas, mais qu’on baise, alors fais-moi bander si tu veux encore servir à quelque chose ! »Ma femme s’activait. Et moi qui n’agissais pas, mais qui me rinçais l’œil. Je bandais comme un âne, à la vue de ma femme entièrement soumise aux désirs de ce mâle en rut. J’adorais voir ça, en réalité. Je ne souhaitais plus mettre tout cela en péril en les surprenant, et je quittai l’appartement discrètement.Je revins à une heure plus tardive, pour trouver encore ma femme, exténuée. Mais alors qu’elle allait se coucher, moins de deux minutes après mon arrivée, comme tous les jours du lundi au vendredi, depuis dix jours, je me fis la réflexion qu’après tout, elle était aussi ma femme à moi, et que j’avais droit moi aussi à ce corps que je chérissais. Je la retins donc par le bras, et entamai quelques caresses qu’elle repoussa.« Je t’en prie Arnaud, pas ce soir, je suis crevée, me dit-elle en réponse à mon insistance.— S’il te plaît, lui répondis-je, j’ai besoin de ton corps, et toi aussi, j’imagine que depuis le temps... mentis-je, sachant pertinemment qu’une heure avant, elle en prenait plein la chatte.— Non, je te jure que ça va. Laisse-moi aller me coucher s’il te plaît.— Mais moi aussi j’ai le droit de te baiser ! lâchai-je sans réfléchir.— Comment ça, toi aussi ? me rétorqua-t-elle, les joues soudainement rouges.— Je sais tout pour Marc, lui répondis-je, ne pouvant plus faire machine arrière. »Puis l’entraînant dans la chambre et la poussant sur le lit, je compris face à son peu de résistance qu’elle ne souhaitait plus me contrarier. Et comme depuis dix jours et ma découverte de ses parties de jambes en l’air avec mon chef, je bandais de nouveau, elle allait vite se rappeler au vieux souvenir de nos premiers ébats.Pourtant, impossible d’avoir ne serait-ce qu’un début d’érection. Je me concentrai autant que possible sur son corps, mais rien n’y faisait. J’étais toujours aussi impuissant... et tout tombait à l’eau. Je me permis tout de même, avant de dormir, une question qui me taraudait depuis trop longtemps :« Chérie, pourquoi ? Pourquoi Marc ?— C’est pour nous, pour toi que je fais ça. Tu l’ignores sûrement, mais tu n’aurais pas de telles primes si...— Je ne veux plus de ces primes, pas comme ça. Tu n’as pas à faire ça mon amour. Promets-moi d’arrêter, et nous verrons bien ce que nous pourrons faire avec Marc. Je vous ai filmés cet après-midi. Je ferai pression sur lui, je trouverai un moyen. Jure-moi que tu vas y mettre fin.— Je le jure, me répondit-elle. »Je lui ferais confiance, comme toujours, car cette tromperie était son seul mensonge depuis notre rencontre, et elle l’avait fait à contrecœur.
Le lendemain matin, j’allai voir Marc dans son bureau et lui déballai la vidéo, sous son nez.« C’est fini Marc. Désormais, vous ne verrez plus ma femme.— Depuis quand m’appelez-vous Marc ? C’est Monsieur. Comme pour tous les autres employés. Quant à cette vidéo, on n’y entend aucune allusion aux primes. Nous n’y voyons donc qu’une femme qui trompe son mari. Vous, son cocu de service. Alors allez-y, dévoilez-la à vos collègues de bureau, je ne vous en empêche pas.
— Ordure ! Vous ne toucherez plus à ma femme. Et je dis merde à vos primes !— Entendu le cocu. Va bosser maintenant, comme un bon petit pantin sous-payé que tu es ! »Je quittai la pièce, heureux d’avoir mis fin à la relation de ce connard avec ma femme. Tant pis pour les primes. On vivait très bien sans.
La fin du mois arriva très vite. Ma femme avait très bien su gérer ma perte de revenu, puisqu’elle avait décroché de nombreux et inespérés contrats pour des shootings photo, dont un sur une durée de cinq jours, à côté de Montpellier. J’étais fier d’elle. Elle avait totalement remonté la pente, et moi aussi par la même occasion, en moins de trois semaines.Marc venait tout juste de rentrer d’un séminaire qui avait duré toute la semaine, et il me fit venir dans son bureau, pour me donner mon chèque de fin de mois. Sans surprise, j’étais retombé sur mon modeste salaire de base, pas un centime de plus.« Attends un peu, m’interpella-t-il alors que j’allais quitter la pièce sans discuter. Tu oublies ce second chèque. »Je reçus un chèque de 5 000 euros.« Je vous avais pourtant bien dit que c’était fini les primes, à moins que cela ne soit réellement la valeur que vous donnez à mon travail...— Je ne donnerai pas un centime de plus pour ton boulot, le cocu.— C’en est fini du cocu, mais alors, c’est quoi ce chèque ?— Regarde-le en détails, abruti. »Le chèque était à l’ordre de Lucie Lesieur. Ma femme. Et plus surprenant encore, le débiteur n’était pas le compte de l’entreprise, ni le compte personnel de Marc. Non, ce chèque provenait d’une société nommée « La fabrique à S. ».« La fabrique à S. ? Mais c’est quoi ? lui demandai-je.— Disons que c’est ma petite société de photographie de mode. Une mode bien à moi, mais une mode quand même... Ahhhh... en tout cas j’ai passé un super séminaire à... Montpellier ! »Le rapprochement était vite fait. Je courus à l’appartement, retrouver ma femme qui devait justement rentrer de son shooting à... Montpellier. Je ne pouvais me résoudre à croire ce que je craignais pourtant avec force.Une fois rentré, je pris ma femme dans mes bras, elle avait les larmes aux yeux et n’osait croiser mon regard.« Comment était ton shooting, ma chérie ? lui demandai-je, dans un dernier espoir de m’être complètement trompé. »Elle ne sut articuler le moindre mot, si ce n’est un inaudible :« Je suis désolée.— Désolée pour quoi ? Et peux-tu m’expliquer ça ? exigeai-je, en lui tendant le chèque que Marc m’avait donné. »Elle remonta sa jupe, laissant apparaître le haut de ses bas couture, la chair de ses cuisses, un porte-jarretelles, et une absence totale de culotte, pas même un string.« Mais depuis quand tu portes ce genre de fringues, tu as décidé de chang... oh la vache !! m’interrompis-je. C’est quoi ça ?!? »Sur sa fesse, une marque, apparemment au fer rouge, était bien visible. On pouvait y lire : « Propriété de La Fabrique à soumises, marque déposée ».La Fabrique à Soumies... La fabrique à S., c’était limpide. Ce connard de Marc était allé trop loin !« On va l’attaquer en justice ! Comment a-t-il pu te tendre un piège aussi tordu, ma chérie ?— On ne peut rien faire, me répondit-elle. J’ai... j’ai signé pour ça. »Elle me montra une copie d’un contrat signé de sa main et de celle de Marc, stipulant qu’elle acceptait de devenir la propriété de La Fabrique à Soumises, scellant son appartenance par la marque au fer rouge.« Oh mon Dieu ! Mais comment as-tu pu accepter ça ?— C’est trop dur, s’il te plaît, ne me pose pas de questions. Je t’aime, sache-le, essaya-t-elle de se justifier.— Mais pourquoi avec lui ? Il suffit de me parler de tes fantasmes, je suis là, je peux les assouvir moi aussi.— Mais il bande, lui !!!!-... »Un blanc inonda la pièce, suite à ce cri du cœur de Lucie, qui finit par reprendre :« Il bande, il jouit, il rebande, j’ai chaque jour autant d’orgasmes que durant la totalité de notre relation à toi et moi.— Mais il te traite comme une putain, comme une chienne, sans respect.— Je SUIS sa putain, sa chienne ! Qu’importe le respect, je suis accro. C’est toi, mon homme, mais lui, c’est mon mâle dorénavant, précisa-t-elle. »Elle finit par réciter machinalement une phrase, semble-t-il, apprise par cœur :« Je suis la propriété de la Fabrique à Soumises, je jure de lui montrer dévouement et docilité, ainsi qu’à tous ses fidèles. »Il fallait que cela cesse immédiatement, je lui imposai donc un ultimatum :« C’est cette fabrique, ou moi ! »Une heure plus tard, j’étais à l’hôtel. Lucie, ou plutôt son équivalent-zombie, venait de me mettre à la porte. La dernière phrase que j’avais entendue était tout aussi machinale que la précédente :« Je suis la propriété de la Fabrique à Soumises, je jure de combattre tous ceux qui s’opposent à l’épanouissement de ses poupées, et à celui de ses fidèles. »« Poupées », « Fidèles », des mots qui semblaient revenir souvent. Mais c’était quoi cette Fabrique qui venait de me piquer ma femme ?!? Ne pouvant attendre de questionner Marc le lundi suivant, et redoutant surtout la confrontation, je tentai sans grand espoir une recherche sur Google, avec pour mots-clés : « Fabrique à Soumises ».La page d’accueil se chargeait lentement et...« Oh putain !!!... »
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