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Une sublime tanguera

Chapitre 1

Hétéro
Cela faisait quelques semaines qu’on s’isolait pour pratiquer. Marcher, pivoter, avancer, reculer, nos corps épousant la musique. Tu avais bien progressé, ressentant de mieux en mieux mes indications, à peine effleurées, légères comme des caresses."Je ne suis pas prête !", m’avais-tu dit… "Il faut bien se lancer un jour…", avais-je répondu.Il nous avait fallu déployer des trésors d’imagination pour organiser cette sortie sans nos conjoints, mais tout était ficelé : une péniche parisienne serait donc le lieu de nos premiers pas officiels dans le monde du tango. Désireuse de te fondre dans l’ambiance de la soirée, tu m’avais demandé des vidéos de soirées. Ce qui t’avait le plus marqué était le style des danseuses : habillées classe, hauts talons, apprêtées, coiffées, la démarche élégante. Tu m’avais prévenu, tu ne dépareillerais pas !
Je suis arrivé le premier, et suis entré découvrir les lieux : deux niveaux, deux pistes de danse. Au niveau principal, une grande salle avec la piste de bal ; décorée, peu éclairée, superbe parquet, quelques fauteuils, un bar, une ambiance feutrée. À l’étage inférieur, une piste plus petite, pour la pratique, ou pour les débutants qui n’osent pas affronter le trafic du bal. Quelques pièces annexes interdites au public complétaient l’étage.J’ai déposé mes affaires sur un fauteuil et t’ai attendue, dans mes petits souliers… Petits souliers, pantalon de toile noir, chemise noire, j’avais fait un gros effort pour être à la hauteur.
Et puis tu as fait ton entrée, m’as aperçu, un sourire d’ange sur le visage. Sous ton manteau, on pouvait deviner le bas d’une robe noire, mais à peine plus, et tes cheveux défaits. Tu as entrepris de déboutonner ton manteau, tout en me regardant dans les yeux… Quel magnétisme ! Tu en as écarté les pans, l’a laissé glisser le long de tes épaules, de tes bras, et l’a posé à côté du mien.Tu m’as coupé le souffle : ta robe fuseau noire, légèrement fendue sur la cuisse gauche, dégageait presque entièrement ton dos. Accrochée derrière ta nuque, elle couvrait ton buste. Tes cheveux défaits masquaient en partie ta peau, laissant deviner et imaginer juste ce qu’il fallait, tout en étant d’un sexy indescriptible. Tout cela pour moi. Le désir m’envahit immédiatement pour ne plus me quitter de la soirée.Tu as tourné sur toi-même pour me permettre de t’admirer. À la fois coquine, mutine, et timide. De ta tenue, plus que ce qu’on voyait, c’est ce qu’on comprenait qui était merveilleux : ton dos nu ne laissait pas de doute, tes seins étaient libres, directement au contact du tissu soyeux ; le sillon de ta colonne, dévoilé par l’absence de tissu, donnait naissance à celui de tes fesses. Je me suis mis à imaginer que tu n’avais là non plus rien dessous…Je me suis approché pour t’embrasser, et t’ai glissé à l’oreille : "tu es sublime". À la fois gênée et flattée, tu as répondu "tu n’es pas mal non plus…". Je sentais les regards sur toi, de jalousie féminine, de désir masculin, ou peut-être était-ce l’inverse ? Qu’importe, c’était dans mes bras que tu passerais la soirée.
Je t’ai fait visiter les lieux, et t’ai proposé de commencer par un verre. Nous avons dégusté ce cocktail presque en silence. Tu as observé attentivement les lieux, les danseurs, leurs attitudes. Nos regards échangés en disaient long sur le plaisir que l’on ressentait, mais aussi sur notre excitation contenue, de découvrir la piste, de faire notre première sortie tous les deux.Le cocktail terminé je t’ai emmenée en bas. C’était plus pratique pour nous échauffer, au calme, avec quelques couples tout au plus. Nous avons commencé en position ouverte, tranquillement, mais ton regard planté dans le mien et ta fébrilité limitaient ta concentration. Je t’ai demandé de fermer les yeux, de n’écouter que ton corps, que le mien. C’était mieux, beaucoup mieux. Enfin, pour toi. Parce que pour moi, c’était pénible. Extrêmement pénible, de voir tes lèvres mutines, éclairées d’un demi-sourire, tes yeux fermés, ton cou, sans pouvoir t’embrasser. Une envie folle de te voler un baiser passionné, de te serrer à t’étouffer, de te coucher là sur la piste, m’étreignit, me forçant presque à m’arrêter de danser. Ce n’est qu’à grand-peine que je me suis contenu. Je ne saurai jamais ce qui te passait par la tête à ce moment précis, dans le noir, ta main droite dans ma paume, ton dos dans ma main droite, à suivre mes mouvements, à épouser la musique.Étais-tu prête pour le bal ? Ou était-ce l’inspiration des autres danseuses ? Mais tes mouvements furent parfaitement gracieux, une merveille de tanguera.
Tu as ouvert les yeux, et m’as demandé de monter sur la piste principale, avide de découvrir le bal, la cohue des corps, la sensualité de ces duels amoureux. Nous sommes montés, main dans la main. Je t’ai invitée sur la piste. Nous nous sommes mis en position, puis j’ai refermé mes bras, car l’espace ne permettait pas, en bal, de danser ouverts. Tu es venue te nicher contre moi. Le front contre ma joue droite, ton bras gauche en haut de mon dos. Ma main droite t’a enserrée, sans aucune force, jusqu’à ta hanche. Quel bonheur de sentir ce dos nu, frais, doux, frissonnant. Ma main s’est baladée un peu sur ta peau soyeuse, cherchant la meilleure place. Tu as ajusté ta position, ta poitrine calée contre mon torse. J’étais au paradis. Ma main caressant ton dos, tes seins libres contre ma chemise. J’avais l’impression de les ressentir intégralement : leur forme galbée, les aréoles sombres, les tétons durcis.Nous avons commencé à bouger, lentement, très lentement, ne faisant qu’un. À chaque torsion, je sentais tes reins, tes muscles s’activer sous la peau, sensation extraordinaire. Je sentais ton souffle chaud contre ma joue, mon cou. Ta main gauche est remontée sur ma nuque, la caressant légèrement. Chaleur et frisson. Nous n’avions nul besoin de réaliser des figures complexes. Juste marcher sur la musique, nos corps parfaitement emboîtés, aurait pu nous mener à l’orgasme.Bien que la situation soit à la fois merveilleuse et insupportable, que chaque seconde soit à la fois sublime et supplice, nous n’avons rien tenté pour interrompre ces moments. Parfaits moments.
La soirée a fait une pause, pour une animation, ou tout simplement était-ce nous qui avions besoin d’une pause ? Nous sommes redescendus sur la piste de pratique pour avoir un peu d’intimité. Elle était déserte à cette heure plus avancée. Quelques lumières intermittentes permettaient de s’y retrouver, je t’ai menée au centre de la piste. Ta main dans la mienne la serrait à intervalles réguliers, comme pour exprimer une foule de sentiments, comme si les mots étaient superflus.Je t’ai prise dans mes bras, mais différemment. Pas pour danser le tango. Je t’ai serrée fort, tu t’es offerte à mon étreinte, tes bras autour de mon cou. Mes mains parcouraient ton dos secoué de tremblements. Mes lèvres ont cherché les tiennes. Tu t’y es abandonnée avec délice. Ma langue s’est enroulée à la tienne, glissant parfaitement dans ta bouche gourmande.
Enfin je me suis détaché, et t’ai conduite vers le fond de la piste, où trois portes "privé" s’offraient à nous. D’un regard entendu, nous les avons testées. Une seule n’était pas verrouillée. Elle donnait sur un bureau exigu mais coquet. Nous sommes entrés, avons fermé le loquet.L’excitation contenue dans nos deux corps surchauffés ne permit pas de préliminaires. Je t’ai plaquée violemment contre le mur, te coupant le souffle. Mes baisers ont ravagé ton cou, pendant que mes mains cherchaient fiévreusement les clés de ta tenue. Tes mains ont enserré ma nuque, griffé mon dos. Tes cuisses m’ont plaqué à toi. Ton corps s’est arc-bouté pour mieux coller au mien. Enfin ta robe a glissé au sol. Dieu tout puissant… Ton corps brûlant s’est offert à mes yeux ébahis et ravis, mais je ne me suis pas laissé le temps de l’admirer, devant mon désir impétueux de le dévorer de baisers. J’ai mangé tes seins, ton ventre, ton sexe, entendant à peine tes hoquets et tes gémissements de plaisir.
Je me suis enfin relevé, tu as arraché ma chemise, ma ceinture, baissé mon pantalon et englouti mon sexe dressé dans ta bouche, déclenchant chez moi un râle d’homme préhistorique. Pendant que tes lèvres et ta langue parcouraient ma verge, mes testicules, le sillon menant à mon anus, que tes doigts frôlaient toutes les parties de mon anatomie, quand tes ongles ne s’y enfonçaient pas comme pour marquer leur territoire, j’ai empoigné tes cheveux.
Je t’ai relevée brusquement, t’ai retournée et plaquée contre le mur, haletante. Je me suis accroupi derrière toi, ma langue détaillant le sillon de tes fesses jusqu’au plus intime de ta personne, pendant que mes doigts pénétraient ton sexe, et que de l’autre main je titillais ton clitoris en érection. Pantelante de plaisir, tu t’es cambrée pour venir à ma rencontre. Ma langue a achevé son trajet, et en cercles circulaires s’est frayé un chemin en toi. Tu n’as pu réprimer quelques soubresauts quand elle t’a pénétrée, durcie, qu’elle est ressortie pour te lécher langoureusement, puis te pénétrer à nouveau. De violentes décharges électriques ont fait vibrer ta colonne vertébrale, remontant jusqu’à ton cou, faisant trembler tes jambes. La chaleur que tu ressentais au plus profond de toi était indescriptible. Ton clitoris massé te mettait au supplice.
Je me suis remis debout, mon désir dressé haut devant moi. Jamais je n’avais été aussi dur, c’en était presque douloureux. J’ai forcé mon sexe de la main pour le mettre à l’horizontale, l’ai insinué entre tes cuisses, et l’ai frotté contre ton clitoris. De longues secondes. Pendant ce temps, mes doigts trempés de ton liquide vaginal se sont introduits entre tes fesses offertes, merveilleuses, d’une beauté à couper le souffle.Tu étais au summum de l’excitation… et du sentiment de torture. Tu sentais mon souffle sur ton cou. Tu as légèrement tourné la tête vers moi. "Mets-la-moi, bordel ! J’en peux plus !".Je n’attendais que ton signal.
J’ai approché lentement de ton anus et en ai forcé le passage. Tu l’attendais tellement, depuis de longues minutes… Tu as ressenti chaque millimètre de mon sexe te pénétrer, le gland, les veines, la texture, jusqu’à l’élargissement de ma verge au fur et à mesure que je m’enfonçais. Je me suis arrêté un instant, le temps que tu t’habitues à ma présence, puis j’ai commencé à aller et venir, dans ce cul d’une douceur, d’une chaleur incroyable. Tes sphincters m’ont accompagné, serrant et relâchant successivement, me donnant à la fois l’impression que ton cul était désespérément serré et qu’il m’accueillait à bras ouverts.
Tu m’as encouragé de tes cris, de mots doux et brutaux, de mouvements de reins pour m’enfoncer plus loin encore, pendant que je limais, pilonnais ton cul, que mes ongles griffaient ton ventre, mes doigts agrippaient tes seins, pinçaient tes tétons.Le plaisir est devenu incontrôlable jusqu’à un orgasme fulgurant et inconnu jusque-là de nous deux.Nous sommes restés longtemps à nous caresser après cet accouplement sauvage, sans échanger un mot ni un sourire. Le regard et le contact de nos mains sur nos peaux nues suffisaient amplement.
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