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Une surprenante sour

Chapitre 1

Inceste
A l’époque j’avais 18 ans et n’avais jamais eu de copine. Le soir je me procurais du plaisir par mes propres moyens en me masturbant. Parfois je m’imaginais que c’était ma sour qui le faisait. C’était un fantasme. J’espérais qu’un soir elle vienne frapper à ma porte et me dise vouloir passer la nuit avec moi. Mais je ne me faisais aucune idée, cela n’était qu’un fantasme et je savais très bien que cela ne ce ferait jamais.
Ce soir là je n’arrivais pas à dormir, un peu triste d’être toujours seul. J’ai commencé à me caresser le sexe en m’imaginant que c’était ma sour qui le faisait. Je me suis mis à bander rapidement rien qu’à cette idée. Je pris un mouchoir en papier et commençai à me masturber. Je ne mis pas beaucoup de temps à atteindre l’orgasme. Je sentis mon sperme sortir par grandes giclées dans le mouchoir. Que c’était bon. Après avoir débandé un peu je mis en boule le mouchoir et le mis sur la table de nuit. Je le mettrai à la poubelle le lendemain matin.Malgré le plaisir que je m’étais procuré, je n’arrivais toujours pas à dormir. Je voyais les minutes interminables défiler sur mon réveil. C’est alors que l’on frappa à ma porte. Étonné je répondis oui. La porte s’ouvrit. C’était ma sour. Elle portait une chemise de nuit assez courte. L’éclairage du couloir la rendait un peu transparente. Je pouvais ainsi deviner sa silhouette magnifique de jeune femme. De belles jambes, une taille de guêpe, belle poitrine. Elle était vraiment très jolie. Elle avait 4 ans de plus que moi.Elle me demanda si j’arrivais à dormir. Je lui répondis que non. « Moi non plus je n’arrive pas à dormir » me répondit-elle, et me demanda alors si elle pouvait dormir avec moi ? Surpris par cette demande je suis resté quelques instants sans pouvoir répondre quoi que ce soit. Pleins d’interrogations et d’idées se bousculaient dans ma tête. D’un côté, réaliser le fantasme de pouvoir faire l’amour avec ma sour et ainsi de découvrir l’amour. De l’autre, c’était ma sour et une telle relation n’est pas permise. Je ne savais que répondre. Si cela se trouve je m’imaginais seulement des choses, c’était ma sour et rien ne pouvait se passer entre nous. Elle voulait sûrement et seulement dormir à côté de moi, sans aucune autre arrière pensée et rien pouvait se passer entre nous. Je lui dis alors que cela ne me dérangeait pas. Ma sour refermât alors la porte avec un petit sourire et vint se coucher dans le lit à côté de moi. Rien que de la savoir ainsi près de moi, me faisait bander. Heureusement, elle ne pouvait pas le remarquer. Nous restâmes plusieurs minutes ainsi sans rien dire. Nos regards se croisèrent de temps en temps suivit de sourires. Mon érection diminuait doucement.Je vis sur son visage une petite gène, comme si elle voulait me dire quelque chose. C’est alors qu’elle pris une respiration et me dit qu’elle avait froid et si cela ne me dérangerait pas si elle se collait à moi pour se réchauffer. Elle s’approcha de moi avant même que je lui ai répondu. Machinalement j’ouvris mes bras. Elle vint aussitôt s’y blottir et se serra contre moi. Elle s’était littéralement collée à moi. Je refermai mes bras autour d’elle. Vous imaginez bien sûr que de sentir son corps tout contre moi ne me laissait pas totalement indifférent. Rapidement j’eus une belle érection. Mon sexe était bien dressé. Je ne voulais pas qu’elle s’aperçoive dans quel état elle me m’était. J’avais peur de sa réaction. Je fis donc de mon mieux pour ne pas le coller contre elle. Après un bon quart heure elle me dit qu’elle se sentait mieux. Je dénouai alors mes bras et m’allongeai sur le dos, soulagé car elle n’avait rien remarqué. Mon érection se fit moindre et je commençai à m’assoupir. C’est alors qu’elle posa sa main sur mon torse et commença à le caresser doucement d’une main douce. C’était agréable. Elle m’a dit que j’avais la peau douce. Ses caresses étaient vraiment très sensuelles. Elle s’attardait de temps en temps sur mes seins, les contournant d’un doigt. Elle me dit alors qu’elle avait quelque chose d’un peu de particulier à me demander, que cela était un peu gênant et qu’elle comprendrait très bien si je refusais. Elle me fit promettre de ne pas m’offusquer de sa demande et de garder tout cela entre nous. Intrigué, je lui promis. Elle me dit alors qu’elle n’avait jamais vue le sexe d’un homme en vrai, seulement qu’en photo, et si cela ne me dérangerais pas si je pouvais lui montrer le mien. Je n’en revenais pas. Que venait-elle de me demander là. A nouveau pleins d’idées se bousculèrent dans ma tête. Était-ce une invitation ? Si elle n’en avait jamais vu, cela voulait dire que ma sour était encore vierge. Voulait elle aussi faire l’amour ? La réalisation de mon fantasme. Rien qu’à cette idée mon sexe reprit de la vigueur. Mon cour se mit à battre fort et je sentis mon visage rougir. Je ne savais que répondre. Elle vit ma surprise de sa demande dans mon regard. Elle me souria et sa main commença alors à descendre vers mon nombril et le bas de mon ventre. Glissa sa main doucement sous mon caleçon. Elle toucha mon sexe. Un peu surprise elle remonta légèrement tout en me souriant. Puis revint dessus. Tétanisé par ce qui se passait, je restais sans bouger. Elle découvrit ainsi tout mon sexe en le caressant délicatement. Je bandais de plus en plus. Elle me dit alors qu’elle était contente de voir l’effet qu’elle me faisait. Elle me demanda si c’était la première fois qu’une femme me caressait le sexe. Je lui dit que oui en hochant la tête. Elle retira sa main et fit descendre la couette au pied du lit. Elle m’a alors dit que maintenant c’était à elle de me faire découvrir quelque chose. Elle s’assit et enleva sa chemise de nuit me dévoilant ainsi son corps de jeune femme. Il était vraiment magnifique, tout comme je l’avais imaginé. Elle m’enleva ensuite mon caleçon en disant que nous serions plus à l’aise pour la suite. Je la laissais faire. Comme hypnotisé, mes yeux ne quittaient ses seins. Parfois ils descendaient rapidement jusqu’à son sexe et remontaient aussitôt sur sa poitrine. Elle me pris ma main et la déposa sur ses seins. A cette invitation, je commençai à les caresser. Ils étaient fermes. Elle me sourit. Mon sexe me faisait mal tellement il était tendu. Elle le reprit en main et commença à le masturber, pour me soulager me disait elle. Ayant un peu reprit mes esprit, ma seconde main rejoignit la première caresser ses seins. Après quelques instants une de mes mains entreprit une descente vers son ventre. Moi aussi je voulais découvrir le sexe féminin. Ne voyant aucune réticence de sa part, je continuais une lente descente vers ce sexe si mystérieux. Mes mains touchèrent sa toison bien rasée. C’est alors que je sentis la jouissance toute proche sans aucun moyen de la retenir et d’en avertir ma sour. Il sortit alors de mon sexe de longues giclées de sperme ce qui fit rire ma sour un peu surprise du résultat. J’étais un peu confus. Je vis qu’elle ne savait pas quoi faire avec mon sperme qui s’était répandu sur moi. Je pensais qu’elle aurait pu le lécher. Mais je lui dit de prendre un mouchoir sur la table de nuit. Elle en pris un et essuya le sperme. J’étais content et un peu frustré à la fois. Contant par ce qu’il venait de se passer, de mettre fait masturber par ma sour, une partie de mon fantasme s’était réalisé. Frustré car je n’avais pas eu le temps de découvrir les mystères du sexe féminin, et je pensais que nous en resterions là.
Ma sour me demanda alors si j’aimerais aller plus loin ?« Aller plus loin !!!??? Comment ça aller plus loin ??? » me dis-je. Une nouvelle fois je restais perplexe. Elle m’a dit qu’elle souhaiterait aller plus loin, de faire l’amour avec moi et me demanda si je voulais le faire. Je ne savais pas quoi trop dire. Moi qui avait toujours rêvé de faire l’amour avec ma sour, mais ce n’était qu’un rêve, qu’un fantasme, et là il pouvait se réaliser. Cette occasion ne se représenterait peut-être plus jamais. Je lui dis que je serais enchanté mais est-ce que cela était raisonnable, nous étions tout de même frère et sour et qu’une telle relation n’est pas permise. Que j’ai apprécié ce qui s’est déjà passé, et que nous étions allé déjà trop loin. Elle m’a dit qu’elle avait également beaucoup appréciée de me masturber et que la suite n’était pas un vrai problème. Que nous étions tous les deux majeurs, qu’elle était une femme, que j’étais un homme et que nous avions tous les deux des besoins naturels, qu’il n’y avait pas de mal à se faire du bien, surtout si nous sommes tous les deux consentant. Et puis avec un préservatif il n’y avait pas de risques. Je lui demandai alors si elle en avait ? Elle me répondit que oui et m’en montrant un. Je ne sais pas d’où elle le sortait. Ma sour me regarda alors et recommença à me caresser le torse puis elle descendit vers mes cuisses. Doucement elle posa sa main sur mon sexe. Dès que sa main le rencontra je me mis à bander. Me caressait les bourses, la verge qui entrait en érection, s’attardant sur mon gland. Elle fut surprise et ravit de voir l’effet qu’elle me faisait. Je mis mes mains sur ses seins. Ils avaient la taille de melon. Je commençais à les malaxer tout doucement. Plus je les malaxais plus ils devenaient ferme. Puis je descendis sur son ventre ayant en tête enfin de découvrir ce sexe féminin. Ma main hésitante arriva à sa toison et commença à découvrir cette zone inconnue et tant désirée. Ses grandes lèvres et son clitoris, puis ses petites lèvres pour terminer par son vagin dans lequel j’introduisis un doigt. Elle était tout aussi excitée que moi car elle était déjà bien mouillée et poussa même un gémissement qu’elle ne pouvait retenir. Mon autre main continuait à caresser ses seins. Il était tout rond et ferme. Je les malaxais délicatement et commençai à les lécher. C’était très excitant, mon sexe me faisait mal. C’est alors qu’elle me demanda si j’étais toujours d’accord pour aller plus loin. Je lui dis qu’il fallait peut-être mieux que nous en restions là pour l’instant. Que ce serait pour la prochaine fois. Elle acquiesça de la tête et nous continuâmes à découvrir le corps de l’autre par ce jeu de caresse. Après une bonne heure de ce jeu nous nous endormîmes l’un l’autre.
Au matin...
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