Nous sommes mi-septembre, les journées sont encore chaudes, un soleil radieux illumine notre petite bourgade dont je tairais le nom mais celle-ci est située en Normandie, une légère brise effleure la cime des arbres et depuis quelque temps les feuilles commencent à tomber, ça sent bon, il fait chaud. Cet après-midi, mon épouse est partie pour la journée rendre visite à sa mère en maison de retraite ce qu’elle fait une à deux fois par semaine, étant donc seul à la maison, je décide de passer un coup de râteau afin de ramasser les feuilles tombées dans le jardin. Vêtu d’un short et d’un tee-shirt je commence donc mon labeur et jette dans le composteur les feuilles tombées et emportées par le vent après le coup de vent de la semaine passée, celui-ci installé dans le fond du jardin à côté de l’abri de jardin, jouxtant le terrain de mes voisins, un couple fort sympathique, elle la soixantaine, du même âge que moi à quelques mois prêts en retraite depuis peu, lui plus jeune qu’elle, travaille je crois, comme voyageur de commerce et ne rentre que pour le week-end, nos terrains sont séparés par une haie de griseline assez haute et drue mais laissant apparaître çà et là quelques trous mais nous séparant quand même bien des voisins, il y a aussi un petit portillon de bois un peu fatigué et usé par le temps, situé également dans le fond du terrain juste à proximité de l’abri de jardin car, les deux maisons ayant appartenues à des membres d’une même famille il y a quelques années, ceux-ci pouvaient passer de chez l’une à l’autre sans avoir besoin de passer par l’extérieur des terrains. Donc ramassant les feuilles, un petit bruit attire mon attention, sur le coup n’y prêtant pas trop attention je continue mon ratissage, revenant jeter une autre petite brouettée de feuilles, mon attention est de nouveau attirée par un léger bruit, juste à côté du composteur, un manque de feuillage me permet de voir l’autre terrain et j’aperçois ma voisine allongée sur une serviette de bain dans l’un des transats, elle lit tranquillement un roman profitant également du soleil et, les petits bruits que j’entendais ne sont autres que son tout petit chien qui, profitant également de la chaleur joue à côté d’elle, n’ayant pas attiré tout de suite mon regard, je m’aperçois qu’ elle fait du seins nus, tranquille, car nous sommes à l’écart des autres maisons, elle ne peut pas être vue, du moins c’est ce qu’elle croit car, moi je n’en perds pas une miette je me baisse afin de ne pas me faire repérer. Restant ainsi quelques minutes car quelque peu voyeur, je ne me lasse pas de regarder son corps, sa poitrine pas trop imposante à ce que je vois. Après ce que je crois 3 à 4 minutes, je vais sortir de ma cachette me disant que jouer les voyeurs juste pour une paire de seins si jolis soient-ils, c’est un peu enfantin, je vais me relever lorsque je vois descendre lentement une de ses mains vers un de ses seins, le roman qu’elle lit serait-il coquin du genre des romans érotiques vendus en librairies ? Donc, une main enveloppant un sein, elle commence à le malaxer délicatement puis portant un doigt à sa bouche, elle le mouille et le renvoi aussitôt jouer avec son téton, le pince doucement, après avoir joué un petit peu avec celui-ci elle décide de s’attaquer à l’autre qui subit le même sort. Le roman qu’elle tient d’une main alors que l’autre s’amuse avec ses tétons à l’air bien intéressant car délaissant son sein, la main libre descend doucement sur son ventre qu’elle caresse doucement, blotti dans ma cachette je n’ose plus bouger, ne ratant rien du spectacle espérant qu’il va devenir plus divin et, en effet sa main continue sa descente et s’insinue dans le bas de son maillot, celui-ci ne tenant que par un petit nœud de chaque côté de ses hanches, doucement et délicatement la main dans son maillot commence un lent va-et-vient de bas en haut et j’imagine son bouton d’amour gonflé sous ses doigts, je vois sa respiration accélérer et ses seins montés et descendre plus rapidement. Soudain, et, supposant que son maillot là gène pour continuer son plaisir solitaire je là voir défaire rapidement les nœuds de son petit morceau de tissus et je peux découvrir un joli sexe bien rasé, un doigt rentre doucement dans son sexe et commence un lent travail, après une à deux minutes car je n’ai plus la notion du temps son livre lui échappe de la main, elle ne cherche même pas à le récupérer car de sa nouvelle main libre elle se caresse les seins torturant les tétons se dressant de plaisir. Moi de mon côté, j’ai sorti mon sexe dur qui me fait mal car trop à l’étroit dans mon short et, entame une lente masturbation sur le rythme de ma voisine. Je vois son sexe s’humidifier et elle se lèche les doigts et le doux liquide qui coule de son antre, elle replonge non plus un doigt mais deux dans sa vulve, son corps se cambre sur le bain de soleil j’entends ses râles de plaisir, heureusement qu’il n’y a pas d’autres voisins trop près. De mon côté je ne suis pas en reste, j’ai accéléré la cadence et mon sexe est sur le point d’exploser. Accélérant elle aussi de son côté elle explose dans un dernier cambrement de reins et retombe sur sa serviette trempée de sa mouille. Je jouis également aspergent la griseline de ma semence. Je n’ose pas bouger, c’est elle qui après un petit moment se lève, ramasse son livre et commence à partir. Je reste bien caché dans mon petit coin attendant qu’elle s’éloigne, apparemment elle ne m’a pas vue, apparemment seulement car après quelques pas son petit chien sur ses talons, elle se retourne, regarde dans ma direction me montrant du doigt, me lance un clin d’œil. Je suis scotché, pris comme un gamin la main dans le sac ou plutôt, sur le sexe, elle savait donc que je l’espionnais, moi voyeur avoir une voisine exhibitionniste cela présageait quelques après-midi assez chauds lorsque je serai seul. Et, en y, repensant je crois que le portillon allait peut-être resservir. Mais ça c’est une autre histoire.
