Aujourd’hui, tu es parti tôt. Il était environ 5h30 quand ton réveil a sonné. Je ne sais pas comment tu fais pour te lever si tôt, moi, je suis une vraie marmotte. Je n’ai même pas réussi à ouvrir un œil. Je t’entends te lever, aller dans la salle de bain, puis dans la cuisine ; enfin tu reviens dans la chambre et tu m’embrasses sur le front. J’entends la porte d’entrée claquer. Tu es parti. J’ai le lit pour moi toute seule ; je finis ma nuit en étoile de mer. Je me réveille vers 9h30, je ne travaille pas aujourd’hui. Je sais que tu dois rentrer vers 17h et que ta journée va être longue et éprouvante. Je décide donc de te préparer une surprise pour que tu finisses ta journée en beauté. Je traîne au lit jusqu’à 10h30, c’est indécent par rapport à toi qui travailles dur. Je t’envoie un message : « Passe une bonne journée mon travailleur sexy. Je pense fort à toi depuis notre lit. À ce soir ! » Je sais que tu vas me maudire pour ce message, mais ça va aussi te faire sourire. Je finis par me lever, j’enfile mon déshabillé blanc et un minishort gris. Celui que tu aimes tant avec les palmiers sur les fesses. Je vais dans la cuisine prendre mon petit-déjeuner. Je commence par un bon café bien noir pour me réveiller et être en forme pour la journée. Je mange deux tartines de pâte de spéculoos ; ça me rappelle mon voyage à Bruxelles. Une fois mon petit-déjeuner fini, je vais m’habiller. Il fait froid dehors, nous sommes en janvier, du coup, j’enfile un jeans avec un gros pull blanc, bien chaud. L’avantage de l’hiver, c’est que je peux ne pas porter de soutien-gorge dans la rue sans qu’on me dévisage. Bon, je dois faire la liste des courses pour ma petite surprise. Je vais faire des lasagnes aux légumes avec en dessert une mousse au chocolat noir avec de la glace. Je sais ton amour pour les glaces même en hiver. Une fois ma magnifique liste achevée, j’enfile mon manteau, mets mes Dr Martens et pars conquérir le supermarché. J’arrive devant la voiture... et merde, il faut gratter. Je vois que tu m’as laissé un petit message sur la vitre conducteur. J’adore tes petites attentions. Il m’en faut vraiment peu pour être heureuse. J’aime faire les courses, surtout que là, c’est pour te faire plaisir. Nous sommes mardi, le magasin est vide. J’essaye de ne pas craquer dans les rayons et de n’acheter que ce qu’il y a sur la liste. Mais je suis gourmande : j’ai envie de fromage, de saucisson et d’un bon vin rouge. J’achète également du tonic et du citron pour nos gin-tonics. Nous avons toujours du bon gin à la maison. Quand je rentre chez nous, je reçois une réponse à mon message. « Tu ne paies rien pour attendre toi, attends que je rentre, flemmarde va ! Ce soir, j’aurais une heure de retard, je pense être à la maison vers 18h. Je t’embrasse. » Je souris à la vue de ton message. Si seulement tu savais ce qui t’attendait ce soir, tu serais rentré directement du boulot ! Rien que de penser à notre soirée, je suis déjà toute humide. Il est 13h quand je finis de ranger les courses. Je meurs de faim, mais je me fais un repas léger : une salade de pâtes. Ce soir, la soirée va être gourmande... Mon repas terminé, je file me prendre un bon bain afin de m’apprêter pour ce soir.Qu’est-ce que j’aime les bains ! Je fais couler l’eau, je me déshabille, je frissonne, il ne fait pas si chaud que ça dans cette salle de bains. Mes tétons pointent presque immédiatement. Je prends mon rasoir, il faut que je me fasse une beauté pour ce soir, ainsi qu’un bouquin pour me détendre. Je mets de la musique et me plonge dans l’eau chaude de mon bain. Je commence par ma lecture. Puis, je décide de t’envoyer une photo de mes jambes dans le bain pour te mettre sur la piste de ce qui t’attend ce soir. « Je pense à toi dans mon bain. Tu me manques. Bisous sur tes fesses. »
Bon, trêve de blabla. Je dois me laver les cheveux, me raser les jambes, le pubis et les aisselles. Je sais que les poils ne te dérangent pas le moins du monde, mais j’aime avoir ma peau lisse, surtout au niveau des jambes. Au niveau du pubis, je dégage entièrement mes lèvres, pour que tu aies accès à mon vagin et à mon clitoris ; toi qui aimes tant me faire des cunnis. Je pense à la soirée qui nous attend et à tous les jouets que je vais préparer pour te donner des idées. Je sens mon clitoris se gonfler rien que d’y penser. Je me saisis alors du pommeau de douche, mets le jet sur "fort" et le dirige vers mon sexe. Le jet caresse mon clito ; c’est doux et fort à la fois. Cette puissance me donne très chaud, je sens le plaisir monter en moi. Il monte si vite, je me sens vaciller, je suis sur mon nuage, je jouis si fort. Je me sens si bien et relaxée, prête pour le reste de l’après-midi. Je sors de mon bain vers 15h, je m’habille : j’enfile une petite culotte en coton que tu aimes tant, je passe un débardeur qui laisse apparaître mes tétons qui pointent. Puis j’enfile mon minishort et mes chaussons en pilou pilou. Après tout, il ne fait pas si chaud que ça dans l’appartement. Je reçois une réponse de ta part : « Très belles jambes ! J’ai envie d’y plonger ma tête entre... Tu me perturbes pendant mon travail. À ce soir ma belle. » Je me lance dans la préparation de la mousse au chocolat. Je suis sur mon nuage, la musique à fond dans les oreilles. Je danse, mon corps ondule au rythme de la musique. Mes seins se baladent de droite à gauche, de haut en bas. Je me sens si bien. Une fois la mousse au chocolat terminée, je me lance dans la préparation de l’apéritif : petit toast, avec des feuilletés, du saucisson pour moi, quelques petites tomates, il faut faire attention à notre ligne... ou pas ! Il est 17h, je me presse, il faut que tout soit prêt avant que tu arrives ; je veux que tout soit parfait. Je vais dans notre chambre et je fouille dans notre coffre aux trésors, celui dans lequel tous nos jouets sont rangés, des plus soft aux plus bizarres. Pour ce soir, je sors mon collier en cuir rouge vin. Dès que je porte ce collier, je t’appartiens, tu peux faire tout ce que tu veux de moi dans la limite de notre contrat bien sûr. Je sors mon bâillon boule préféré, une cravache, même si je sais que tu préfères utiliser tes mains, puis des pinces et une bougie faite pour être renversée sur le corps. Les menottes sont déjà attachées aux quatre coins du lit. Je pense que la soirée va être chaude. Je me sors également un plug anal de petite taille pour préparer mon petit trou à ta venue, si tu le souhaites. Je lèche mon plug pour l’humidifier et qu’il rentre plus facilement, je me penche en avant, baisse mon short, ma culotte et je pousse sur l’entrée de mon petit trou. Le plug se laisse avaler sans trop de mal. J’ai choisi un petit exprès pour que je te sente bien passer durant la soirée et je mouille déjà, rien que d’y penser. Pour finir, je sors une laisse, on ne l’utilise presque jamais, mais peut-être que ça va te donner des idées. Je laisse notre coffre aux trésors ouvert pour que tu puisses choisir les objets que tu souhaites. Je mets mon collier et dispose nos jouets bien en évidence sur le lit. Bon, tout me semble parfait. Je me regarde dans le miroir, mes cheveux bouclés recouvrent mon collier, on ne le voit presque plus. Mon plug bien en place, je me dirige vers la cuisine pour préparer le plat de résistance. Il est 17h45 quand je me lance dans la préparation des lasagnes. Heureusement que tu as du retard, sinon je n’aurais pas eu le temps de tout préparer. Il est 18h15, mon repas est presque prêt, il ne me reste plus que le montage des lasagnes et la mise au four. J’entends la porte de l’appartement s’ouvrir, un frisson parcourt mon corps, j’espère que ma surprise va te plaire. Je suis tellement excitée et toi, tu ne te doutes de rien. Tu poses ton sac dans l’entrée, je reconnais le bruit, car il est lourd et t’as toujours plein de trucs métalliques dedans. Tu lances :— Je suis rentré ! ça sent trop bon !— Je suis dans la cuisine. Tu m’y rejoins dans l’instant. Je suis de dos, tu veux m’embrasser dans le cou, mais tu découvres mon collier. Tu l’embrasses, tu sens mes cheveux, mets tes mains sur mes hanches et me retournes. Tu m’embrasses passionnément, puis tu t’arrêtes, mais moi j’en veux encore. Je fonds sur ta bouche. Puis tu me pousses avant de me susurrer à l’oreille :— Tu es magnifique ! Tu vas embellir ma journée petite flemmarde encore en pyjama. Le repas a intérêt à être bon, sinon gare à tes jolies grosses fesses. Ta remarque me fait sourire, effectivement j’ai un bon fessier... que tu aimes tant. Je frissonne, je sens que la soirée va être au-delà de mes attentes. Bon maintenant, je prie pour rater mes lasagnes ! Si j’avais su ça plus tôt, je ne me serais pas donné tant de mal.Tu trempes ton doigt dans la casserole de béchamel encore chaude. Je proteste :— On ne touche pas ! En plus, tu vas te brûler, patate ! J’ai à peine le temps de finir ma phrase que tu glisses ton doigt dans ma bouche. Humm qu’elle est bonne cette sauce. Bon, mes lasagnes vont être réussies, il va falloir que je trouve autre chose pour avoir droit à une fessée. Je suce goulûment ton doigt comme si c’était un mini-pénis. Je sens que cela t’excite.— Bon, je te laisse finir à ta place, en cuisine. Moi, je vais prendre une douche ; la journée était longue et je ne sens pas la rose. Moi j’aime quand tu ne sens pas la rose, c’est ton odeur, j’aime quand tu sens toi. Mais bon, je ne proteste pas, je sais que tu en as besoin pour te détendre. Je ris en entendant ta remarque de macho, car je sais que tu n’es pas comme ça, bien au contraire. Tu fais juste ça pour m’embêter.En partant, tu me donnes une petite fessée.— Allez poulette, le mâle va se laver et se détendre un peu avant de s’occuper de toi. Tu n’es pas prête, j’ai vraiment besoin de décompresser de ma journée de merde. Tu pars dans la salle de bains tandis que je me hâte de finir les lasagnes et que je vais préparer la table pour l’apéritif. Après quoi, je nous sers un bon gin tonic.Quand tu sors de la douche, tu portes un vieux short et un simple t-shirt. Mais tu sais à quel point je te trouve séduisant comme ça.— Comme tu n’as pas fait d’efforts vestimentaires, je n’en fais pas non plus !— Arrête, je sais combien tu aimes me voir habillée comme ça.— Je te préfère sans rien ma chérie. Mais ça, c’est pour après. Maintenant buvons et mangeons un peu, je meurs de faim. Je te donne ton verre et nous trinquons ; on parle de tout et de rien, on rigole. Puis on prend un deuxième verre et l’alcool commence à faire effet. On s’embrasse langoureusement. — Bon maintenant ma belle salope, j’ai assez mangé pour l’instant et bien bu. Que le jeu commence ! J’ai vu les jouets que tu nous as préparés... je sens que je vais bien m’amuser. Je sens alors une vague de chaleur se propager dans mon corps. Ce soir, je suis tout à toi, jusqu’à ce que tu décides que le jeu est fini.
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