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Une surprise plus que surprenante

Chapitre 2

l’Entrée : Que les hostilités commencent

SM / Fétichisme
— Attends juste 30 secondes, le four sonne et si tu veux manger autre chose que ma chatte ce soir, il faut que j’aille l’éteindre. Dépêche-toi femme ! Tu aurais dû prévoir ça. Tu n’es vraiment pas organisée. On ne fait pas attendre son maître... même 30 secondes. Tu vas être punie pour ça !
Je me lève, je fonce éteindre le four puis je reviens en baissant la tête.
— Pardon maître, vous avez raison. Je suis nulle. Quelle est ma punition ?
J’ai beaucoup de mal à cacher mon sourire ; je meurs d’envie que tu me punisses. Et je connais parfaitement ma punition : te connaissant, pour commencer, ça sera des fessées sur tes genoux. Mes préférées.
— Arrête de faire ton ingénue. Tu sais très bien ce qui attend une petite chienne comme toi. Alors, réponds-moi soumise, qu’est-ce qui t’attend ?— Dix fessées sur vos genoux monsieur. Et cul nu, et je n’ai pas le droit de prendre du plaisir ni d’émettre un seul son.— Bien petite pute ! Tu vois que tu connais ta punition. Ma question est : pourquoi tu n’es toujours pas en position ?
Tu me tires vers toi, m’allonges sur tes genoux puis, d’un coup sec, tu baisses mon short et ma culotte. Tu me les laisses au milieu des jambes pour bien m’humilier. C’est alors que tu découvres mon plug, fiché entre mes fesses.
— C’est bien, tu as pris tes précautions, j’espère que tu es propre sinon tu devras nettoyer ma queue. Je refuse d’être recouvert de ta merde. Et, tu as bien choisi ton plug, je vois ; tu sais comme j’aime te sentir encore étroite. Allez ma pute, c’est parti et que je n’entende pas un bruit ! Apercevant ma culotte mouillée, tu affiches d’un sourire carnassier. Je sais que tu aimes me savoir toute humide. Tu glisses un doigt le long de mes lèvres, je suis trempée ; je ne sais pas comment tu arrives à me mettre dans des états pareils. Le contact de ton doigt sur mon con me donne une décharge électrique. Puis la première fessée s’abat sur ma fesse gauche, encore immaculée. Elle n’est pas très forte, mais je sais que tu vas monter en puissance, je sais que cette fessée n’était qu’une simple caresse. Je ne bronche pas. La deuxième s’abat sur ma fesse droite, mais celle-ci est plus marquée, je sens la chaleur se diffuser dans ma fesse. À mesure que les fessées pleuvent, je sens que mes fesses deviennent de plus en plus chaudes et rouges et surtout, je sens la mouille dégouliner de mon vagin. Mon clitoris est gonflé, au bord de l’explosion. Et dire que le jeu ne fait que commencer, dans quel état vais-je encore finir ? La cinquième fessée me fait sortir de mes pensées. Tu as frappé pile sur mon plug ; je retiens un cri de surprise.
— Reste avec moi, soumise ! Je vois que mes fessées t’excitent, mais ce n’est pas mon but. Je veux que tu sois punie. C’est bien compris salope ? — Oui monsieur.
La sixième me cisaille... je suis sûre que j’ai la trace de ta main ancrée sur ma fesse droite. Mais je tends ma croupe pour te prouver que je tiens le coup. Les quatre autres fessées sont très puissantes ; des larmes perlent dans le coin de mes yeux. Mais je ne dis rien. Je suis au bord de l’orgasme, mais pourtant je ne veux pas que tu le remarques même si mon corps parle pour moi. Mon bassin ondule, je me frotte inconsciemment à ta jambe comme une chienne en chaleur. Je laisse des traces de mouille contre ta cuisse. Je sens contre mon ventre ton sexe dressé, ma punition ne t’a pas laissé indifférent. À la fin de mon premier calvaire, j’ai le feu aux fesses, je ne peux plus m’asseoir et tu ne m’as même pas encore pénétrée. Malheureusement pour moi, tu as bien remarqué les ondulations de mon bassin.
— Et bah, dis donc petite pute, tu aimes beaucoup trop ça. Tu te frottes à moi comme la chienne que tu es. Je t’avais dit de ne pas prendre de plaisir. Mais tu ne peux pas t’en empêcher. Maintenant pour te faire pardonner tu vas nettoyer ton maître et me donner du plaisir. Car pour l’instant, seul le plaisir de ton maître doit compter. N’oublie jamais ça sinon tu seras sévèrement punie.
C’est ce que j’aime dans la soumission, prendre un plaisir immense en te faisant plaisir. Je descends rapidement de tes genoux pour venir m’agenouiller face à toi, non sans mal. Mes fesses me font souffrir et mon short avec ma culotte ne me facilitent pas vraiment la tâche. Je te regarde droit dans les yeux et je viens lécher ta cuisse pleine de mouille. J’aime le goût de ma cyprine, un peu acide et salé, je me régale. Une fois ta cuisse bien propre, je me dirige vers ton short où tu sembles bien à l’étroit. Je descends le haut de ton short, et fais glisser ta verge en dehors de ton caleçon noir ; ton sexe est gorgé de sang. Je commence par lécher ton gland tout en te fixant du regard. Je me décide alors à te sucer sans les mains, j’essaie de te prendre le plus possible en bouche, mais tu es particulièrement large ce soir. La bave coule sur mon menton et je verse déjà quelques larmes. Ce soir, j’avais mis un peu de mascara, comme tu aimes, pour que tu le voies couler sur mon visage et le souiller. Rapidement, tu poses tes deux mains sur ma tête et tu imposes le rythme de la fellation. La bave coule de plus en plus, les bruits de bouche résonnent dans le salon. Au bout de quelques minutes tu te retires et m’observes. Tu te lèves et me bifles, ce geste me surprend, mais j’ouvre la bouche dans l’espoir d’y recevoir ton membre.
— Tu vas me sucer comme il se doit ! Ou plutôt, je vais te baiser la bouche comme il se doit. Depuis quand tu n’arrives plus à me prendre entièrement en bouche ? Tu me déçois ! Va t’allonger sur le canapé et laisse ta tête pendre dans le vide ! Je vais faire en sorte que tu me prennes correctement.
Je m’exécute, mon état est déjà bien dégradé, j’ai de la bave qui me recouvre le bas du visage et je suppose que mon mascara a bien dégouliné. Mais je sais que ça t’excite de me voir comme ça. Une fois en place, tu te mets derrière moi. Tu places ta bite sur mon visage, tu étales ma bave sur le reste de ma figure. J’ouvre mes lèvres pour recevoir ton membre. Tu attends quelques secondes puis tu pénètres ma bouche sans ménagement. Je sens rapidement ton gland forcer ma glotte, je déglutis pour te laisser passer, mais j’ai du mal. Tu ressors assez rapidement un filet de bave pendant de ton gland. Une claque s’abat sur mes seins. Tu tires mes tétons. La douleur est cinglante, mais si tu continues comme ça, je vais jouir. Je suis déjà dans un autre monde, le monde où la douleur rime avec plaisir intense.
— Tu ne m’as pas habitué à ça, salope ! Prends-moi en entier ou tu vas le regretter, crois-moi.
Je sais que tu as ce sourire bestial quand tu dis ça ; tu es rentré dans ton rôle, ton côté animal est là et bien là. Je rouvre la bouche, mais cette fois-ci, tu arrives à t’enfoncer jusqu’à la garde. Je sens tes couilles sur mon nez. Je pose mes mains sur tes fesses pour t’indiquer que je vais bientôt m’étouffer. Tu te retires dans un long râle de plaisir. Je bave abondamment, mon visage est recouvert de salive.
— Tu vois, quand tu veux, tu y arrives ! Maintenant, je vais baiser ta bouche comme un vulgaire trou à foutre.
J’ai à peine le temps de réaliser ce que tu viens de dire que tu me pénètres la bouche sans douceur ; tu prends ton pied. Les bruits de bouche sont maintenant indécents. Au bout de quelques minutes de baise intense où je manque d’air, je sens un liquide chaud et épais remplir ma bouche et couler dans ma gorge. Je suis surprise et j’essaie d’avaler tant bien que mal, mais du sperme coule de ma bouche. J’aime le goût de ton sperme : il est un peu amer, un peu âcre, mais surtout salé. Tu te penches vers moi et m’embrasses à pleine bouche, nos langues s’entremêlent, nos fluides se mélangent.
— Hum... j’ai bon goût tu ne trouves pas ?— Oui monsieur vous avez bon goût. Dis-je, le sourire aux lèvres. — Tu es si belle comme ça. Tu vas avoir le droit à ta récompense ! Je meurs d’envie de te goûter moi aussi. Te défoncer la bouche m’a donné faim.
Sur ces paroles, tu te glisses au-dessus de moi, tu déposes quelques baisers sur mes seins, me mords les tétons ; je suis au bord de l’orgasme. Tu te diriges vers mon entrejambe, tu m’embrasses les cuisses, puis le pubis. Je ne tiens plus, je meurs d’envie que tu me dévores. Je sens tes dents contre mon clitoris. Non, tu ne vas pas oser me mordre ici... et bien si, tu le fais et je tremble sous cette morsure. Ta langue prend le relais, elle se balade sur mon con, tu souhaites absorber le plus de mon jus. Ta langue rentre dans mon vagin, pendant que, de ta main, tu joues avec mon plug. C’en est trop pour moi, je lâche prise ; tout mon corps est pris de tremblements. Un orgasme me terrasse, je crois que je ne vais jamais m’en remettre.
Et dire que la soirée ne fait que commencer...
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