Tous les week-ends, j’avais l’habitude de me rendre à la librairie " LESCOT " située au centre-ville de Port-au-Prince. Les livres érotiques en provenance de Paris étaient toujours disponibles et abordable. La libraire,madame Lescot,veuve depuis trois ans,quadragénaire,brune piquante,cheveux noirs,une poitrine généreuse et pour couronner le tout,un fessier qui ne passerait pas inaperçu,m’accueillait toujours avec un grand sourire . Elle me montrait avec passion les dernières sorties littéraires torrides qu’elle venait de poser sur les étagères. Un vendredi de septembre 2023, j’arrivai quelques minutes avant la fermeture. Elle était seule,en train d’étiquetter les dernières nouveautés. Ses talons étaient assez haut et elle portait une jupe très courte qui l’obligeait à tirer dessus sans arrêt. Elle me demanda gentiment si je pouvais lui refiler un coup de main dans le but d’aller plus vite. Sans hésiter, je répondi positivement. Elle se déplaca un instant pour mettre l’enseigne "Fermé". Nous nous retrouvâmes seuls et je profitai de l’occasion pour la remercier de ses accueils chaleureux. — C’est normal,me répondit-elle.vous êtes un très bon client. Elle me proposa d’aller voir sa collection privée qui était bien gardée à l’arrière du magasin. Les livres érotiques de Sylvia day et Christina Lauren étaient ses favoris. En me lisant un passage très excitant dans un de ses bouquins,ma queue commença à se gonfler. Quelques instants plus tard, elle referma le livre et s’aperçut rapidement que ma bite était déformer dans mon pantalon. Ne sachant quoi dire, elle s’approcha de moi, posa sa main droite sur mon chibre. — Vous permettez,monsieur ?— Oui madame Lescot ! Elle s’agenouilla, ouvrit ma braguette et fit jaillir ma bite large et veineuse hors de mon slip. Elle déposa un filet de salive dessus et me masturba. En me fixant du regard, elle englouti ma queue d’un coup. J’étais fou de plaisir. Madame Lescot pompait admirablement bien. Quelques instants après, j’éjaculai violemment sur son visage une grosse dose de foutre épais qu’elle s’empressa de nettoyer. Elle lécha tout comme une gourmande,puis se passa la langue sur les lèvres en me regardant avec un sourire satisfait. Je rangeai ma bite dans mon slip et fermé ma braguette. En m’accompagnant à la sortie, elle me demanda: — Quel est votre prénom ?— Fabien lui répondis-je. Elle me tendit la main et m’invita à revenir plus souvent. Arrivé à la maison, je trouvai ma tendre mère en train de cuisiner. Elle était contente et voulait m’annoncer une grande nouvelle. — Fabien mon chéri, ma petite sœur que je n’ai pas vu depuis 25 ans,viendra passer le week-end avec nous.
— Quelle petite sœur lui demandai-je ?— Ta tante Rachel. — Mais ! Je ne la connais pas cette tante.— A la mort de ton grand-père,nous nous sommes perdues de vue elle et moi.-Et où est elle cette tante ?-En ville. Nous nous installâmes dans la salle à manger puis elle commença à me raconter ses souvenirs d’enfance avec cette sœur que j’aurais bien voulu connaître. Une demie-heure plus tard,après une légère dispute,nous nous sommes mis d’accord pour repeindre la chambre d’ami dans le but de bien accueillir ma tante inconnue. Je décidai d’acheter la peinture et ma mère s’occupa des rideaux. Quelques jours plus tard, je sorti d’une pâtisserie avec une tarte à l’oignon et décidai de rendre une petite visite à madame Lescot. A mon arrivé, je vis l’enseigne de porte avec fermeture. Ma montre indiquait 16h00 et habituellement, la librairie ferme à 18h00. Préoccupé, je marchai jusqu’à la maison tout en me posant des questions. Serait-elle malade ? Aurait-elle eu un accident ? Rentré à la maison, j’apercu un sac à main de couleur jaune sur la table de la salle à manger. J’avancai de quelques pas et j’entendis ma mère discuter avec une voix féminine qui ne m’était pas inconnue. J’avancai davantage, et j’interrompis la conversation. — Maman! Je suis là.— Fabien! Te voilà mon chéri. Je te présente ta tante Rachel. Je n’en revenais pas. Madame Lescot, la libraire du centre-ville était ma tante. Elle portait un corsage drapé bleu et une jupe plissée longue. Je lui fis la bise et nous nous assîmes. Ma mère s’absenta quelques instants pour nous préparer du thé. — Alors mon cher neveu, comment va ta grosse bite ?— Merveilleusement bien lui répondis-je.— Je n’ai jamais su que ma grande sœur avait un fils aussi charmant. Elle me tendit un paquet dans lequel se trouvait le tout dernier livre érotique de" Marie Godard" Je la remerciai pour le cadeau tout en lui déposant un baiser au coin des lèvres. Ma mère vint nous servir du thé vert. Nous passâmes plus d’une heure à parler de littérature,gastronomie et de cinéma. Madame Lescot n’avait pas d’enfant et vivait bien son veuvage. L’horloge murale indiqua 19h30. Ma mère décida de lui faire visiter les lieux tout en racontant leurs souvenirs d’enfance. Elles montèrent à l’étage et s’arretèrent à la chambre d’ami. Deux heures plus tard, j’allai prendre ma douche et m’installai tranquillement dans un fauteuil placé dans le couloir, près de la chambre de ma mère qui dormait déjà profondément. Je commençai à lire un des livres érotiques que je m’offris la semaine précédente. Une demie-heure apres, je décidai d’aller me coucher. En traversant le couloir, je vis la lumière de la chambre d’ami allumée et la porte entrouverte. Je frappai doucement et je la poussai. Madame Lescot était assise au bord du lit en train de lire un bouquin. Elle s’était détaché les cheveux et portait une nuisette courte en satin. — Que fais-tu débout à cette heure me demanda-t-elle ?— J’allais justement dormir et j’ai vu la lumière allumée.— Je n’ai pas sommeil, je préfère lire un peu me dit-elle. Je m’approchai de sa fenêtre et je commençai à fixer les étoiles. — Que regardes-tu me demanda-t-elle ?— Un magnifique clair de lune lui répondis-je Elle referma son livre et me rejoignit à la fenêtre. — C’est magnifique dit-elle. Cela faisait très longtemps que je n’avais pas vu un si beau spectacle. Elle me montra un signe d’attachement en me tenant la main, l’impression d’être à l’aise en ma compagnie. Elle me regarda dans les yeux et me lança: — Je suis sûr que tu as très envie de moi.— Oui madame Lescot !— Appelles moi tante Rachel.— Oui tante Rachel ! J’ai très envie de toi. — Alors qu’est ce que tu attends pour baiser ta tante ? Mes lèvres vinrent trouver les siennes et nous nous embrassâmes passionnément tout en se caressant langoureusement. Je lui enlevai fébrilement sa nuisette et commençai à lui pétrir ses seins, pincer doucement ses tétons qui deviennent durs de par l’excitation. Je me déshabillai entièrement et lui demandai de se mettre à 4 pattes sur le lit. Elle s’executa et plia son dos pour bien faire ressortir son postérieur. Le tenant virilement par les hanches, je giflai d’un grand coup son cul et lui mit de gros coup de bassin. Les gémissements de ma tante étaient très bruyants et j’étais sûr que ma mère pouvait nous entendre dans la pièce à côté. J’accélerai mes va-et-vient et mon ventre claquait contre ses fesses. Après plusieurs coup de bite, un violent orgasme secoua son corps dans tous les sens. Je saisi sa chevelure et la tirai vers moi. Je la pilonnai donc de plus belle et elle criait de plaisir. Ne pouvant plus se retenir, elle atteignit son second orgasme. Tante Rachel criait et ses hanches tapaient de plus en plus vite contre mon corps. Je sentis l’excitation monter en moi et je lachai de grosses giclées de sperme sur ses fesses. Elle récupèra ma semence du doigt et avala le tout en plusieurs gorgées. Nous nous allongeâmes sur le lit, pris d’un fou de rire. Tante Rachel se mit sur moi, essoufflée, le sourire aux lèvres. — Tu m’as baisé comme une chienne me dit-elle. — Je ne pouvais plus résister depuis ma dernière visite à la librairie. J’avais jamais reçu pareille pipe.— Je te sucerai autant que tu voudras mon cher neveu me répondit-elle. Quelques instants plus tard, je sorti du lit et ramassai mes vêtements qui traînaient dans un fauteuil. Tante Rachel était plongée dans un sommeil profond. Je marchai sur la pointe des pieds et referma la porte derrière moi. Le lendemain matin, après avoir pris une bonne douche, je décidai de me préparer un bon petit déjeuner. Arrivé à la salle à manger, ma mère et ma tante étaient déjà assisent autour de la table en train de siroter leur café. — Bonjour maman ! Bonjour tante Rachel !— Bonjour mon chéri ! répondit ma mère. Je m’installai à côté de ma tante et elle me servit . Ma mère m’annonca qu’une journée chargée l’attendait et qu’elle devait bientôt nous laisser. A sa sortie de table, elle me lança: — Fabien ! As-tu eu de la visite hier soir ?— Non maman ! lui répondis-je. — J’ai entendu des gémissements venant de la chambre d’ami.— C’était moi ! répondit ma tante. Fabien et moi avions passé un très bon moment ensemble. Ma mère lui répondit sur un ton sec. — Tu aurais du m’inviter Rachel, je m’ennuyais sérieusement dans mon lit. Sur ce, elle grâvit les marches et s’enferma dans sa chambre. Tante Rachel et moi finîmes nôtre café tout en se racontant les plus belles histoires érotiques d’inceste. FIN Si vous avez aimé, n’hésitez surtout pas à cliquer sur j’aime.
L'auteur a signalé qu'il n'y aura pas d'autre chapitre pour cette histoire.