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Une tante libertine

Chapitre 1

Inceste
Un jour que j’aidais ma tante à faire du rangement dans son grenier, je tombai sur quelque chose de surprenant : un album de photos, certaines en couleurs, d’autres en noir et blanc. Rien d’étrange, me direz-vous ? Sauf que sur ces clichés ma tante s’affichait nue, seule, ou occupée intimement avec des hommes.Sidérant ! Quelle âge pouvait-elle avoir sur ces photos ? Entre 30 et 40 ans peut-être. Elle était très belle et j’étais un peu gêné de violer ainsi son intimité. Je refermai donc l’album lorsque j’entendis :
— Ce sont de vieux mais très bons souvenirs. J’avais une trentaine d’années à l’époque de ces photos.— Heu… désolé, répondis-je. Je n’aurai pas dû.— Oh, je n’ai pas honte de ce que j’ai fait, tu sais. J’ai toujours aimé les hommes. C’est sans doute à cause de cela que je ne me suis jamais mariée.
Je replaçai l’album à sa place, en me disant que, probablement, je tenterai un jour de l’ouvrir à nouveau, lorsque ma tante le prit et s’assit sur un vieux coffre sur lequel elle m’invita.
— C’est un photographe professionnel qui a pris la plupart des clichés où je suis seule. J’étais belle, non ?— Heu, oui, fis-je en me raclant la gorge.
Elle tourna les pages une à une et me présenta tous les hommes qui apparaissaient dans des poses suggestives avec elle. J’étais très mal à l’aise au début, puis la voyant me commenter les photos sans aucune gène, je me détendis. Les derniers clichés étaient les plus troublants. Elle était assise sur le sol, la bouche ouverte, devant quatre hommes en érection.
— Ceux-là, je ne me souviens plus. Je ne les ai vus que ce jour là.
Elle referma l’album.
— Alors, tu ne connaissais pas cette facette de ta tante ? lança-t-elle en riant. Aller, finie la récréation, au boulot.
Je continuai a bosser sans pouvoir m’ôter les images de la tête. Je regardai fréquemment ma tante, qui à 65 ans passés gardait encore un corps souple et mince. Je croisai fréquemment son regard et il me semblait que ses yeux pétillaient davantage qu’à l’ordinaire.
Vers 16 h00 tout était rangé et le sol balayé.
— Et maintenant on a bien mérité de se détendre un peu.
Elle ouvrit le frigo et en sortit une bouteille de champagne… puis un gâteau.Mon air ébahi la fit sourire.
— C’est mon anniversaire.— Ho, je suis désolé tantine, j’ai oublié.— Ça ne fait rien mon grand, répondit-elle en m’embrassant sur la joue.
Je débouchai le champagne et lorsque nous trinquâmes, je lançai :
— Je suis désolé, j’aurais tellement aimé t’offrir un petit cadeau.
Elle reposa aussitôt sa coupe et me regarda attentivement.
— Hum... je crois que tu pourrais.— Bien sûr, mais le cadeau ça se donne le jour de l’anniversaire. — Je sais, et tu pourrais.
Je la regardai perplexe puis après quelques secondes je proposai :
— Dis-moi ce qui te ferait plaisir. Tu peux me demander n’importe quoi.
Je ne réalisai pas, alors, la portée de mon propos.
— N’importe quoi ? Tu prends des risques mon chéri.
Je ne comprenais pas ce qu’elle voulait dire et je repris une cuillerée du framboisier délicieux.Elle me caressa les cheveux, se pencha à mon oreille et souffla :
— Pour mon cadeau d’anniversaire je voudrais que tu te mettes tout nu.
Je tournai la tête, ébahi.
— Tu m’as dit, n’importe quoi… et ça serait le plus beau cadeau d’anniversaire que tu pourrais me faire, ajouta-t-elle en déposant une bise sur ma joue. Puis elle se cala contre le dossier et se tut.
Il me fallut quelques longues minutes pour me décider. Je portai ma coupe aux lèvres, la vidai d’un trait et je me levai. Je retirai mon t-shirt… puis elle m’arrêta.
— Attends, je vais continuer. Ça me rappellera des souvenirs.
Elle défit la ceinture de mon pantalon et le fit glisser à mes pieds, que je soulevai. Elle le posa sur le dossier d’une chaise puis glissa les doigts dans l’élastique de mon boxer. Elle hésita quelques secondes, se mordit la lèvre, puis le descendit lentement. Je ne bandais pas. Elle le plaça délicatement sur le pantalon puis me détailla longuement.
— Tu es beau, mon chéri.
Elle tendit la main, me caressa la poitrine, balaya mon ventre et passa furtivement sur mon sexe qui frémit. Puis elle me fit asseoir sur ses genoux, de dos.
— Tu n’as pas fini ton gâteau.
J’attrapai ma cuillère et la portai à la bouche lorsqu’elle me glissa à l’oreille :
— Ecarte un peu tes jambes.
Je ne sais pas pourquoi j’obéis dans la seconde. J’étais très intimidé de me trouver ainsi, complètement nu devant ma tante, mais curieusement cela me plaisait.Elle m’embrassa la nuque puis murmura :
— Merci mon chéri.
Puis elle posa la main sur ma cuisse… glissa sur la face interne et referma sa main, en coque, autour de mes bourses. Je frissonnai et malgré le lien de parenté qui aurait dû me préserver de toute émotion… je commençai à bander. C’était plus fort que moi. Elle lâcha mes bourses, remonta sur ma verge dressée, puis repartit des deux mains vers mes testicules. Elle les prit, chacun dans une main et les palpa longuement.
— J’ai toujours aimé toucher les couilles, fit-elle en m’embrassant dans le dos. Ça te choque que je parle comme ça ?
Je secouai la tête négativement.Elle déposa encore un baiser et ajouta.
— Et j’ai toujours aimé les jolies queues.
Je sentis le feu à mes oreilles. Elle m’embrassa encore le dos puis me mit une légère tape sur les bourses.
— Lève toi mon chéri.
J’obéis dans la seconde et aussitôt elle me caressa les fesses… puis glissa la main entre mes cuisses… me pressa encore les testicules et remonta le long de mon pieu de chair qu’elle décalotta. Je fermai les yeux. Je savais que c’était mal, que c’était ma tante, mais j’avais encore dans la tête les photos… puis je me rassurai en pensant que personne, jamais n’en saurait rien ! Je frissonnai lorsqu’elle commença à me masturber lentement. C’était bon… c’était défendu mais tellement excitant. Elle m’embrassa les fesses puis lança :
— Tu es bien dur, c’est agréable.
Ma respiration commençait à s’accélérer.
— Tu aimes ?
Je ne répondis pas. C’était inutile, mes gémissements parlaient pour moi. De sa main libre elle me caressa les fesses puis glissa sur ma raie quelques secondes. Soudain, elle s’arrêta de me masturber, puis j’entendis la porte du frigo s’ouvrir. Elle posa une boite de margarine sur la table, y plongea les doigts de sa main droite et murmura :
— Penche-toi un peu en avant.
Elle reprit sa masturbation en même temps qu’elle glissait sans aucune difficulté, ses doigts dans mes fesses. Je sursautai.
— Chut, reste tranquille.
Je fermai les yeux et je me laissai sodomiser ainsi pour la première fois. J’aimais !
— Ça va mon chéri ?
A quoi bon répondre ? Mes frissons et mes gémissements lui indiquaient mon plaisir. Puis après dix minutes peut-être, elle libéra mes fesses et accéléra sa masturbation. Elle déposa des baisers dans mon dos puis demanda :
— Tu veux que je continue comme ça, ou tu préfères que je te suce ?
Sa demande déclencha un tsunami de frissons.
— Alors ?
Je ne parvenais pas à répondre. Elle reformula sa question :
— Tu as envie que je te suce ?
Je hochai la tête.
— Alors, tourne-toi et cale-toi contre la table.
Lorsque j’eus pris la position, elle passa aussitôt sa langue sur le méat… puis sur le contour du gland avant de le gober. Elle me pompa quelques secondes avant de lécher la hampe… de descendre jusqu’à mes bourses qu’elle lécha puis suça l’une après l’autre avant de remonter le long de ma queue et de l’engloutir brusquement. Elle se mit alors à me pomper sans discontinuer jusqu’à ce que j’éjacule dans sa bouche, en grognant. Elle me garda un long moment entre ses lèvres, m’essuya avec un sopalin puis m’attira sur ses genoux. Je remplissais nos coupes alors qu’elle demandait :
— Ça t’a plu, mon chéri ? Tu sais, je faisais ça beaucoup mieux autrefois, mais j’ai perdu l’habitude. J’espère que c’était bien quand même.
Je n’osai pas répondre mais elle ne s’en formalisa pas.Elle me donna un baiser léger dans l’oreille droite et déclara :
— Tu sais, tu peux me toucher les seins si tu veux.
Disant cela elle déboutonna son chemisier et d’un regard furtif j’aperçus son soutien gorge fuchsia.
— La voix est libre, fit elle en éclatant de rire. Puis d’une voix plus sérieuse ajouta :— J’aimerais bien que tu les touches.
Je ne bougeai pas. Elle m’embrassa sur la joue.
— S’il te plait mon chéri, c’est mon anniversaire.
Je soupirai et frissonnait en même temps puis je glissai la main sur son soutien gorge. A travers le tissu je sentais la pointe durcie. Soudain, d’un geste assuré elle sortit le sein droit… puis le gauche et murmura :
— Tète-les.
Ils étaient gros… laiteux... et je ne pus résister. Je gobai le téton droit tandis que ma main s’emparait de l’autre sein que je malaxai.Soudain elle se redressa.
— Viens, on sera mieux au salon.
Elle m’attrapa le poignet et m’entraina jusqu’au canapé où elle retira chemisier et soutien gorge. Ses grosses mamelles pendaient un peu mais je trouvais cela excitant. Elle s’assit puis me fit allonger et plaqua ma bouche contre son sein… comme pour un bébé qu’on allaite.
— Tète-moi bien, mon chéri.
Je ne résistai pas à l’invitation et suçai son mamelon gonflé.
— Suce-moi l’autre, me demanda-t-elle après un moment.
Elle cala la tête contre le dossier puis descendit sa main.
— Ça te fait bander ? J’aime !
Elle me caressa doucement la queue puis se remit à ronronner. J’aimais l’entendre. J’aimais lui donner du plaisir. J’alternai fréquemment les succions avec des épisodes de pelotage et ça semblait la combler.Après un moment elle me caressa les cheveux et murmura :
— J’ai envie de me mettre toute nue, mais j’ai peur de t’effrayer. Je ne suis plus très belle à mon âge.
Je répondis sans réfléchir.
— Moi je te trouve encore très belle, tatie.— C’est vrai mon chéri ?
Elle se dégagea, laissa tomber sa jupe au sol puis retira sa culotte fuchsia.
— Alors comment tu me trouves ?— Tu es belle.— Flatteur, tu dis ça pour me faire plaisir.— Non, je t’assure.
Elle s’approcha, déposa un baiser sur mes lèvres et demanda :
— Alors, je te fais envie ?— Je crois que tu peux voir la réponse, non ? répondis-je d’un air mutin, et elle porta les yeux sur ma queue.— C’est moi qui la fait dresser comme ça ?— Qui veux-tu que ce soit ?
Je me rendis compte que toute gène avait totalement disparu. J’étais en face d’une femme certes de plus de 30 ans mon ainée, mais qui me faisait incroyablement bander. Et pour être franc, oui, en cet instant, j’avais envie d’elle. Alors pourquoi le nier ?
— J’ai envie de toi, tantine.
Je crois que mon affirmation la surprit… quelques secondes… puis elle m’embrassa sur la bouche avant de murmurer :
— J’aimerais bien que tu me prennes en levrette. C’est ma position préférée.
Elle me donna un autre baiser avant d’ajouter :
— Prends moi, comme tu veux.
Puis elle se percha à quatre pattes sur le canapé, et je m’enfonçai dans sa chatte sans préambule. Elle était déjà trempée !Ma tante ne mit pas plus de dix secondes avant de gémir.
— Tu peux y aller plus fort, j’aime bien.
J’accédai de bonne grâce à sa requête et je la pilonnai ardemment déclenchant ses cris.
— Oui, mon chéri, ouiii ! c’est bon… oh mon dieu, ça fait si longtemps… Ouiii ! vas-y… vas-y !!
J’intensifiai encore mon pilonnage. Puis je la sentis se raidir… trembler… et jouir dans une succession de cris aigus. Je me retirai.
— Tu n’as pas joui ? me demanda t-elle après quelques secondes.— Non, mais ça fait rien.— Tu peux me sodomiser si tu veux.— Heu… j’aimerais bien mais j’ai pas de…
Elle me coupa :
— Je préfère sans.
Sans répondre j’appuyai mon gland sur son anus qui s’ouvrit sans difficulté. Je m’enfonçais complètement puis je commençais à la limer doucement.
— C’est bon, mais plus fort, mon chéri, m’encouragea-t-elle.
Je saisis ses hanches et je me déchainai.
— Oui… Oui… c’est bon comme ça. Ouiiiii !
A la seconde où je déchargeai, elle hurla :
— Haaaa !!!!
Et comme pour son premier orgasme, elle se crispa et trembla avant de jouir. Je restai en elle encore quelque secondes puis, aussitôt que je me retirai, elle disparut à la salle de bains….
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