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Une très agréable nuit de garde en clinique.

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Cette histoire, vraie, s’est déroulée il y a bien longtemps, presque une trentaine d’années. Donc si les faits sont réels et se sont à peu près déroulés comme narrés ici, la description des scènes et les dialogues sont bien sûr inventés (mais pour ce que je m’en souviens, ils étaient « chauds ») de même que les prénoms de deux des protagonistes.
Débutons par une très courte présentation, je m’appelle Christian, jeune diplômé d’un doctorat de médecine et, comme beaucoup de confrères, je débute ma carrière par des remplacements de ville et des gardes dans différentes cliniques. Nous sommes à l’époque des faits relatés ici dans les années 1990, il y a presque une trentaine d’années. Depuis quelque temps, je fais régulièrement des gardes de nuit dans une clinique pour personnes âgées à Louveciennes, en banlieue parisienne. La présence d’un médecin de garde était jugée nécessaire pour la prise en charge médicale au cas où un malade ferait une complication nocturne, ce qui n’était pas si rare.
En cette fin d’après-midi, j’arrive à la clinique avec ma R5 jaune (ce fait n’a aucun intérêt pour cette histoire, c’est uniquement un clin d’œil personnel). Après un court entretien avec le médecin qui me fait les transmissions, je pars m’installer dans le petit local mis à ma disposition pour la nuit. Il n’y a pas de patients particulièrement à surveiller et la nuit devrait être calme, je vais donc probablement pouvoir dormir. Cela me convient parfaitement, car dans la journée, je travaille en effectuant des remplacements d’un confrère. La clinique étant sur 2 étages, deux infirmières sont également présentes, une par étage, pour la nuit. J’avais déjà croisé, lors de gardes précédentes, la jeune infirmière, prénommée Elodie, affectée à mon étage et nous avions sympathisé, des relations purement de travail et amicales.
Peu après, je m’installe dans ma « chambre » et, tout en mangeant un sandwich, je débute la lecture d’un livre. Rien de particulier ne se passe jusque vers 22 heures, quand j’entends frapper à ma porte, c’est Elodie.
— Désolé Christian de te déranger (eh oui, quand on est jeune médecin, c’est « tu et le prénom », alors que maintenant c’est « vous et Monsieur ou docteur »), mais il y a un patient qui se plaint de légères douleurs thoraciques et je préfèrerais que tu le voies.— Pfou... moi qui allais me coucher... OK, je vais venir, mais ces douleurs, elles te paraissent inquiétantes ou pas ?— Non, a priori, elles n’ont pas l’air cardiaques, mais on ne sait jamais et puis c’est toi le médecin. — C’est sûr, et tu as fait un ECG ?— Non, je t’attendais. Allez, docteur, un peu de courage, on y va !

Nous voilà donc partis dans la chambre du patient. L’interrogatoire est rassurant, les douleurs ne sont pas d’allure constrictive et sans irradiation, mais compte tenu de l’âge du malade, un octogénaire, il s’agit de faire quand même attention et de ne pas passer à côté d’un réel problème. Son examen cardiopulmonaire est normal, de même que ses constantes.
— Pas d’inquiétude, Monsieur, votre examen est normal, mais on va quand même vous faire un électrocardiogramme pour être sûr.

Quelques minutes plus tard, l’ECG est réalisé, il paraît normal et je peux donc rassurer le malade. Après avoir pris congé du patient, je donne quelques consignes à Elodie.
— C’est bon, l’ECG me parait tout à fait normal, mais je vais quand même l’interpréter plus précisément en salle de soins. C’est probablement un peu d’anxiété, en attendant, donne-lui quelque chose de léger pour limiter son stress et lui permettre de dormir. Tu as ce qu’il faut en pharmacie ?— Oui, pas d’inquiétude. Je m’occupe de lui et je te rejoins, à tout de suite.

Je gagne la salle de soins pour vérifier l’ECG. A l’époque, les électros n’étaient pas des ECG 6 pistes, avec analyse automatique de toutes les données nécessaires et même un semblant de diagnostic, comme actuellement. Il fallait calculer de nombreux paramètres avec une règle à ECG et cela nécessitait un certain temps d’analyse. Je suis donc encore en cours de cette dernière, assis à la table de la salle de soins, quand Elodie me rejoint.
— Alors Christian, l’ECG ?— C’est bon, tout est OK. Pas de problème particulier. Il faudra simplement lui prescrire un bilan sanguin de contrôle demain.— Tant mieux. Dis-moi, tu as le temps de me montrer ce qu’il faut regarder sur un électro, cela m’intéresse ?— Oui, si tu veux, même si c’est quand même compliqué, c’est plus du domaine médical...

Elodie s’approche alors de moi et se penche vers la table, où j’ai posé l’électro, comme pour être mieux à l’écoute de mes explications. Un geste normal jusqu’au moment où je sens sa main se poser sur ma cuisse...
— Elodie...— Oui Christian ?— Ta main là...— Elle te dérange ? Disons que tes explications sur les électros peuvent attendre, j’ai quelques idées beaucoup plus sympas à la place...

Très surpris de cette assurance, je sens mon cœur s’accélérer d’autant plus que, sans vraiment attendre de réponse de ma part, Elodie s’assoit sur mes genoux, passe ses mains autour de mon cou et approche sa bouche de la mienne. J’ai oublié de préciser qu’elle a dans les 25 ans, qu’elle est très mignonne, une blonde d’environ 1, 65 m, mince et avec une très jolie poitrine a priori. Etant guère plus vieux et célibataire, je me dis que je serais bien bête de refuser une telle avance si explicite.
Nos deux bouches se soudent afin de laisser nos langues s’unir dans un long baiser. Rapidement, je défais sa blouse pour découvrir qu’elle ne porte que ses sous-vêtements et dégrafe son soutien-gorge. Tout en continuant de l’embrasser passionnément, je lui caresse les seins avant de jouer avec ses tétons. Je les frotte délicatement, les roule entre deux doigts ou les pince tour à tour. C’est ensuite ma bouche qui lèche et tète ses mamelons. Elodie apprécie ces caresses comme l’indiquent ses gémissements et ses doigts qu’elle serre fortement sur mon crâne.
Après plusieurs minutes, nos regards se croisent et sans avoir besoin de nous parler, nous savons ce qui va se passer. Elodie se lève, se dévêt complètement de sa blouse, elle n’est alors plus vêtue que d’une petite culotte, tout en m’informant qu’elle doit rapidement téléphoner à sa collègue. Je suis un peu surpris, mais bon... Elle se dirige donc vers le téléphone (les portables n’existaient pas à l’époque) et parle un court instant. Je n’écoute pas la conversation, étant occupé à me déshabiller, j’entends simplement qu’elle donne une indication de temps, « pas avant au moins quinze minutes » sans que je fasse réellement attention à ces mots a priori très anodins.
La conversation terminée, Elodie se retourne, enlève sa culotte qu’elle jette sur la table avec un grand sourire et se dirige vers moi, nue. Puis, elle se met à genoux, ouvre mes jambes en me regardant de ses grands yeux bleus (eh oui, je me souviens toujours de ce détail !) avec un sourire coquin. Et alors qu’une de ses mains s’empare de mon sexe déjà raide, ses lèvres enrobent mon gland en totalité pour débuter une masturbation à la fois manuelle et buccale. Je ferme les yeux pour savourer ce plaisir, m’abandonner totalement à cette divine fellation, dans cette salle de soins où, même si cela est fort peu probable, nous pourrions être surpris à tout moment. Elodie sait très bien y faire, alterne des instants où elle suce mon gland, en s’attardant sur le frein, et des instants où elle introduit ma verge en bouche, le plus loin possible pour la ressortir ensuite, un filet de bave s’étirant entre mon gland et sa bouche.
Alors que sa main masse mes bourses, elle me reprend pour une nouvelle gorge profonde et j’ai la sensation que toute ma queue disparaît en elle.

Enfin, après quelques minutes de ce traitement, je sens ma jouissance arriver.

Elodie perçoit également à mes gémissements et à la pression de mes mains sur ses cheveux que je vais bientôt jouir. Elle me retire de sa bouche et me masturbe par des mouvements rapides de sa main. Rapidement, j’éjacule, je déverse sur son visage et sa bouche ouverte tout mon foutre qu’elle prend avec envie. Elle avale ce qu’elle peut avant de récupérer avec ses doigts les traînées, qui ont atterri sur son visage, pour les porter à sa bouche. En peu de temps, aucune trace de ce qui vient de se passer n’est plus visible.
— Alors docteur, satisfait de cette petite pipe ?— Oh que oui, Elodie, c’était divin ! Viens, j’ai envie de te prendre maintenant.— On se calme un peu, je préfèrerais une petite léchouille de ma minette avant. Et j’espère que tu as de quoi nous protéger...— Ben non, je n’avais pas prévu. Mais tu sais, il y a pas de risque, je suis clean...

Il faut rappeler que nous sommes dans le début des années 1990 et que l’utilisation du préservatif était moins automatique qu’actuellement (même s’il y aurait encore des progrès à faire sur ce dernier point).
— Ça, je n’en sais rien ! Et d’ailleurs, comment peux-tu être sûr que, moi, je n’ai rien ? Alors soit tu en mets une, heureusement j’en ai, soit tu retournes te coucher... En attendant, lèche-moi le minou.

Elodie pousse tout ce qui encombre la table, faisant même tomber quelques objets au sol, s’allonge sur son bord, jambes repliées, le sexe grand ouvert... J’approche ma bouche de son intimité, je lèche l’intérieur de sa vulve sur toute la hauteur, pénétrant également aussi loin que possible dans son vagin. Je savoure ce moment unique, rapidement ma bouche et mon menton se couvrent de cyprine alors qu’Elodie gémit et presse ma tête sur son sexe de ses deux mains. Puis je m’attaque à son petit bouton d’amour qui grossit rapidement sous l’effet de mes caresses linguales. Je l’aspire et le lèche, changeant de rythme, essayant d’être en accord avec ma partenaire. Je me rends compte qu’Elodie va jouir, ses gémissements deviennent beaucoup plus bruyants, son corps est parcouru de spasmes et sa respiration devient saccadée. Enfin, elle crie sa jouissance...
— Ouiiii, putain que c’est bon, ouiii, ouiii...

Après un très court instant de calme, Elodie retrouve toute sa lucidité pour envisager la suite.
— Dépêche-toi Christian, prends cette capote, mets-la et baise-moi vite, je ne tiens plus.

Je me couvre rapidement, fais quelques mouvements de masturbation pour avoir ma queue parfaitement raide et la pénètre. Elodie a les jambes écartées reposant sur mes épaules et je la maintiens fermement par ses cuisses, afin de rendre plus efficace la pénétration de son antre vaginal lors de mes coups de boutoir. Nos respirations deviennent bruyantes et s’accélèrent avec les efforts, les bras d’Elodie sont à l’horizontale afin de s’agripper aux côtés de la table. Le plaisir nous gagne après de longues minutes de ce corps à corps intense quand...
— Ouahhh, on ne s’embête pas ici ! Il était temps que j’arrive.

C’est la seconde infirmière, du même âge environ qu’Elodie, qui vient d’arriver. Surpris, je stoppe toute activité...
— Mais ne vous arrêtez pas docteur, cela serait dommage ! Moi, c’est Valérie et je connais ton prénom, Christian, Elodie m’a déjà parlé de toi... — Allez Christian, reprends vite, j’allais venir et de toute façon, Valérie est montée que pour une chose, baiser avec nous ! Elle savait très bien ce que nous faisions, je l’avais prévenue lors de mon appel, renchérit Elodie.

Je ne peux que croire cette dernière affirmation, car Valérie ouvre aussitôt sa blouse et elle est totalement nue dessous, ce qui m’encourage à reprendre mes mouvements interrompus pendant un court instant. Et je ne lésine pas, j’accélère rapidement la cadence. Cela doit bien exciter Valérie, car, tout en ne perdant rien du spectacle qui se déroule devant elle, elle descend une main entre ses cuisses pour se caresser. Enfin, la jouissance nous submerge avec Elodie, presque simultanément. J’éjacule au fond de son vagin et il nous faut de longues secondes pour retrouver une respiration plus calme.
— Putain que c’était bon, merci, tu m’as vidé, Elodie.— Alors, tâche vite de reprendre des forces, car je ne crois pas que Valérie soit montée uniquement pour assister à notre corps-à-corps...

En effet, Valérie a déjà fait tomber sa blouse au sol, s’est approchée de moi et enlève ma capote qu’elle jette négligemment par terre. Elle se met à genoux afin de prendre mon sexe en bouche, lui redonne vigueur et en profite pour bien me le nettoyer de toutes les traces de sperme qui restaient, avant de le couvrir d’un nouveau préservatif. Après quelques allers-retours buccaux, elle me demande de la pénétrer et, pour se faire, se remet debout, le buste plié sur la table, ses jolies fesses rebondies bien hautes et dirigées vers moi. Je m’empresse de satisfaire sa demande et je commence des mouvements du bassin dont j’augmente le rythme et l’intensité progressivement.

Elodie est assise sur une chaise et, tout en nous regardant, se masturbe. Mais après quelques minutes, elle se lève, récupère un doigtier qu’elle enfile sur son index puis prend un tube de vaseline. Avec un grand sourire aux lèvres, elle pose ensuite délicatement son doigt, enveloppé du doigtier sur lequel est déposé le gel, sur la rosette de sa collègue et la caresse par des mouvements circulaires. Valérie apprécie ce jeu pervers...
— Ouiii, putain que c’est bon, la bonne bite du doc dans ma chatte et ton doigt qui m’excite mon petit trou. Maintenant, mets-le, Elodie, j’ai trop envie de le sentir profondément en moi !— Pas de problème, répond Elodie, et toi, Christian, mate bien et regarde comme Valérie apprécie ! Je suis sûre que mon doigt va entrer sans aucun problème et coulisser à merveille.

Pour accompagner ses paroles, Elodie entre son index presque entièrement dans l’antre anal. Et en effet, son index coulisse sans la moindre difficulté. Je n’en peux plus, la tension sexuelle entre nous trois est montée en flèche et j’accélère encore mes mouvements à l’intérieur de la chatte de Valérie.
— Ouiiii, c’est top bonnn, continueeeez ! hurle cette dernière.— T’inquiète pas Val, je pense que notre doc ne va pas refuser la suite !

Puis en me regardant, Elodie m’adresse ces quelques mots :
— C’est bon, son conduit est bien préparé, à toi doc, et vas-y, défonce-la !

Je quitte alors le vagin de Valérie, pourtant si accueillant et humide de cyprine pour m’introduire dans l’anus offert. Et la sensation est divine, un conduit plus serré que le précédent, décuplant les sensations, mais probablement habitué à être visité, car mes mouvements se font sans difficulté. Et j’en profite, pendant de longues minutes pendant lesquelles mon plaisir ne fait que croître. Elodie, qui s’est assise pour reprendre son plaisir solitaire, apprécie également la scène, car si une de ses mains se caresse la chatte, l’autre joue avec ses mamelons qu’elle triture sauvagement. Bientôt, la salle est remplie de nos gémissements. Valérie est une vraie cochonne et ne retient pas ses mots...
— Vas-y Christian, plus fort, j’adore me faire défoncer le cul. Alors, défonce-moi, défonce-moi...

Enfin, alors que nos corps sont en sueur, que nos respirations sont rapides, qu‘aux gémissements se mêlent des cris de plaisir, Valérie jouit. Je me retire, enlève la capote que je jette à terre et, alors que ma partenaire s’est retournée, j’éjacule sur son bas-ventre. Valérie se finit pour atteindre l’orgasme par de frénétiques mouvements sur son clitoris et émet un jet de liquide intime qui termine sa course sur mon sexe et mes jambes. Enfin, comme pour parachever ce moment d’extase collectif, nous entendons Elodie qui jouit également. Valérie ramasse avec ses doigts une grande partie de mon sperme qu’elle a plaisir à prendre en bouche, mais elle pousse le vice à m’en faire goûter une partie. Et je lèche bien volontiers ses doigts recouverts de ma semence visqueuse.
Nous sommes tous les trois épuisés de cette débauche et nous prenons quelques instants sans échanger le moindre mot afin de récupérer. Puis nous nous rhabillons, on ne sait jamais, nous n’avons pas été dérangés, mais il ne faut pas trop jouer avec la chance...
Valérie est la première à partir, mais avant de redescendre à son étage, elle m’embrasse, un court, mais intense baiser, et elle me remercie de ce moment passé si agréable. Des mots simples, mais qui me rendent heureux. Puis c’est à Elodie de me quitter pour reprendre son travail et sa tournée des patients. Elle aussi prend le temps de m’embrasser, un baiser même un peu plus long et appuyé qu’avec sa collègue et nous avons le temps de nous enlacer quelques instants.
Il est tard et je vais me coucher, le lendemain je fais un remplacement...
Voilà cette histoire, réelle, mais certes romancée, restera pour moi toujours un très agréable souvenir. Peu après, j’arrêterai mes gardes dans cette clinique, ayant trouvé une autre activité et je ne reverrai plus mes deux partenaires d’un soir. Je ne sais pas si parfois elles repensent à ce moment partagé à trois, je l’espère...

(FIN)
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