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Une très grosse envie

Chapitre 1

Le fast-food

Erotique
Un jeune homme bien habillé et élégant arrive dans un fast-food après avoir été recalé à son entretien d’embauche. Il passe une commande à la serveuse, une femme ronde, pulpeuse, mais de manière grossière. Elle lui répond sèchement. Lorsqu’il mange, il se retourne vers elle pour s’excuser. Ils discutent et elle arrive à le séduire. Ils baisent ensemble sur le sol dans le restaurant désert.
C’est par une froide et sombre nuit de janvier que Sébastien arpentait les rues de Lyon. Il n’avait pas grand-chose à faire, mis à part rentrer à l’hôtel et dormir avant de reprendre le train pour rentrer chez lui le lendemain. Mais après cette horrible journée pleine de stress et de déception, l’idée de se retrouver seul dans une pièce le révulsait. Il marchait donc d’un pas lent à travers les ruelles désertes. Lorsqu’il arriva au milieu d’une grande place, une odeur familière se fit sentir. Une odeur de nourriture chaude, délicieuse, qui lui rappela des plaisirs simples. Cette odeur l’apaisa un moment, et lui donna faim. Il chercha donc d’où pouvait provenir l’odeur et se retourna pour découvrir un fast-food.
— Allez, j’vais me taper un bon burger-frites pour oublier toute cette merde, se dit-il.
Le restaurant était pratiquement vide. En fait, en se dirigeant vers la caisse pour passer sa commande, il se rendit compte que le restaurant était désert, pas étonnant à cette heure de la nuit. Il entendit néanmoins des pas venant du fond de la salle, dans la pièce derrière la caisse. Il frappa énergiquement sur le comptoir en appelant :
— Eh oh ! Il y a quelqu’un ? Pourquoi personne n’est-il là?
Les pas se rapprochèrent et une jeune femme blonde sortit de la pièce et se dirigea vers le client, un sourire gêné sur le visage.
— Excusez-moi, Monsieur, dit-elle d’une petite voix; je ne vous avais pas entendu.— Je m’en doute, vous ne pouvez pas rester à votre poste ?— Votre commande Monsieur. — Si votre travail c’est caissière, vous devez rester à la caisse.— Oui Monsieur, votre commande.
Sébastien commença à se défouler sur la jeune femme. Il profita de sa stature, lui qui était grand, bien coiffé, et elle qui était nettement plus petite, et dont les rondeurs maintenaient ses vêtements tendus et prêts à craquer. Quant à elle, elle se sentait inférieure devant cet individu en costard-cravate et aux yeux verts foudroyants, elle qui n’était qu’une simple caissière de fast-food, dont les cuisses charnues se touchaient et dont la poitrine imposante reposait lourdement sur un ventre proéminent. Elle ne se laissa cependant pas démonter et reprit :
— Oui Monsieur, je suis une caissière et je suis à la caisse de ce restaurant, et maintenant, j’attends votre commande.
Cette réaction ne le surprit pas et il renchérit :
— Je ne suis pas en tort sale grosse. Peut-être que si ton cul était moins lourd, tu te déplacerais plus vite pour faire ton trav...— Ecoute, sale con; il est 23h30 et j’allais fermer le restaurant et rentrer chez moi avant que tu ne rentres, j’ai pas besoin de toi pour savoir comment je dois faire mon travail. J’attends juste ta commande. Alors, donne-moi là, qu’on en finisse.
Après une hésitation, il dit :
— Deux maxi-burgers, une boîte de nuggets, trois grandes frites, et un coca. Sur place.— Très bien, ça te ferra 35€, dit-elle, après avoir repris son calme.— 35€ ?! Vous ne pouvez pas faire une réduction ou autre ?— Les réductions c’est avant 22h, c’est marqué sur la vitre.
Il paya et attendit que la jeune femme revienne avec sa commande. Il était tard et tous les employés étaient rentrés. Cela lui prit un certain temps de tout préparer elle-même. Quand elle revient avec le plateau garni, elle le déposa sur le comptoir. Il le prit et alla s’asseoir sans dire un mot dans un angle et commença à manger. Quant à la jeune serveuse, elle disparut, un bref instant, et revint avec du matériel de nettoyage. Elle commença à laver le sol, loin de Sébastien. Il la regardait s’activer, mais les remords l’empêchaient de manger. Elle ne lui avait rien fait, et il s’était mal comporté avec elle. Lorsqu’elle passa à côté de lui, il lui attrapa le bras. Surprise, elle se figea.
— Je vous fais mes excuses Mademoiselle, je ne voulais pas être grossier ni vous manquer de respect.
Elle ne sut pas quoi répondre. Et après une hésitation, elle dit :
— Ce n’est rien. Les gens me parlent souvent comme ça. Votre repas vous plaît ?— Oui, c’est très bon. Mais je ne pense pas pouvoir finir. Si vous acceptez de vous joindre à moi, je serai heureux de le partager avec vous.
Ne sachant quoi répondre, elle acquiesça après un moment. Ils parlèrent longuement, tout en mangeant. Si quelqu’un les avait vus, il aurait pu jurer qu’ils étaient amis. Tandis qu’ils parlaient, Sébastien ne pouvait s’empêcher de regarder sa poitrine imposante à la couleur dorée qui tressaillait par moments. Il se surprit même à penser que des femmes auraient pu tuer pour avoir une poitrine aussi généreuse, et que d’autres hommes auraient pu le tuer pour prendre sa place. Elle avait une voix douce et des lèvres rouges que la blondeur de ses cheveux faisait ressurgir. Elle mangeait de manière très délicate, et la façon dont elle aspirait ses frites l’excitait presque.
Quant à elle, elle se laissa amadouer par son regard à la foi doux et perçant. Malgré sa fatigue flagrante, elle le trouva plutôt beau garçon, et la politesse et la classe qu’il avait contrastaient complètement avec son agressivité de tout à l’heure. Cela lui donnait même un côté touchant et viril.
A un moment, elle attrapa une frite, la trempa dans du ketchup et l’avala. Mais elle se brûla la langue et éjecta la frite qui tomba sur son chemisier blanc avant d’atterrir par terre. Gênée, elle porta une main à sa bouche en s’excusant. La frite avait fait une tache au niveau de son sein gauche. Il en profita pour prendre une serviette, l’humecta, et d’un geste sûr, il attrapa le vêtement d’une main, et frotta la tache de l’autre. Après un instant, il se rendit compte qu’elle le regardait. Il se sentit gêné, et commença à retirer sa main. Mais elle l’arrêta, et aplatit sa main sur son sein avec les siennes. Le temps sembla se figer. Il sentait, la chaleur de la jeune femme à travers ses vêtements, son cœur battre dans sa poitrine. Elle enjamba la table pour venir s’asseoir sur ses genoux, renversant la nourriture sur le sol. Lorsqu’elle fût sur lui, il déchira son chemisier et découvrit deux très beaux seins, bien ronds et à la forme parfaitement arrondie.
Elle ne portait pas de soutien-gorge, ses mamelons pointaient. Il empoigna chaque sein dans une main et les pressa, avant de commencer à les sucer l’un après l’autre, tour à tour. Pendant ce temps, elle avait défait ses cheveux qui tombaient en une cascade dorée sur ses épaules le long de son dos jusque sur ses fesses, et bien sûr, ses seins. Elle enlaçait sa tête de ses bras potelés, et remuait son bassin contre lui. Elle put bientôt sentir une bosse épaisse gonfler contre son sexe à travers son pantalon, et une sensation de chaleur envahir son bas-ventre jusque dans ses fesses.
— Donne-moi les clés et va m’attendre dans la pièce du fond; je te rejoins tout de suite, dit-il.
Elle s’exécuta. Lorsqu’il finit de verrouiller la porte, il se dirigea d’un pas pressé vers la pièce où la jeune serveuse l’attendait. Et quand il entra, quel ne fut pas le spectacle qui l’attendait !
Une magnifique blonde, entièrement nue, dont les yeux bleus invitaient au contact physique; ses gros seins pendant lourdement sur son ventre rond, ses cheveux tombant délicatement sur ses épaules, ses cuisses charnues se rejoignant sur un sexe gracieusement orné d’une fine toison pubienne, ses grosses fesses rondes soulignant la beauté de cette femme. Il pénétra dans la pièce qu’il verrouilla. Lorsque le dernier verrou fut mis, elle se jeta sur lui et le dévêtit rapidement, au risque de déchirer sa chemise et sa cravate. Elle l’embrassa langoureusement et descendit peu à peu le long de son torse, puis de son ventre pour finir devant son sexe qui se dressait fièrement vers elle. C’était un sexe de taille peu ordinaire que des palpitations faisaient tressaillir. Sans plus tarder, elle le mit dans sa bouche et le suça langoureusement.
Elle fit passer une des jambes de son partenaire par-dessus son épaule; et d’une main, elle empoigna ses fesses tandis qu’elle massait son ventre de l’autre et faisant passer ses doigts entre ses abdos. Elle le suça avec beaucoup de tendresse, et il y avait même de l’amour dans ses gestes. Elle faisait jouer ses lèvres tout autour de son gland, et parcourait la longueur de son sexe du bout de sa langue de haut en bas. Pas de doute possible : elle savait s’y prendre. Ce n’était pas sa première fellation. Son expérience se faisait ressentir partout dans le corps de l’homme qui devait se tenir à une table de travail pour ne pas tomber tout en laissant échapper quelques râles de plaisir. La tête de la jeune femme faisait de lents aller-retour. Lorsqu’elle ne le suçait pas, elle s’adressait à lui pour lui dire des vulgarités tout en massant la verge humide entre ses gros seins chauds et lourds.
— Allez, dit-il, c’est ton tour.
Elle le lâcha et s’allongea sur le sol froid. Il écarta ses cuisses et vint plaquer ses lèvres contre sa vulve. L’effet fut immédiat. Elle rejeta la tête en arrière pour pousser de profonds gémissements de plaisir. Il fut obligé de lui tenir les mains pour l’empêcher de faire son travail lorsqu’il s’attaqua à son clitoris. Là, ce furent des tremblements dans le corps qui montraient le plaisir intense qu’elle ressentait. Lorsqu’il levait les yeux, il ne pouvait pas voir son visage, car il était masqué par son gros ventre et ses seins magnifiques et imposants. Lui aussi semblait bien connaître l’anatomie des femmes, car elle mouillait en abondance. Cela y était, il pouvait maintenant la pénétrer.
Il s’allongea sur elle qui en profita pour passer un bras derrière sa nuque et l’embrasser. Il prit alors sa verge d’une main et la positionna à l’entrée du sexe de sa partenaire qui n’en pouvait plus d’attendre. Et là, il se prépara à prendre de l’élan, et il la pénétra d’un coup sec. La belle ronde eut le souffle coupé lorsque ce corps ovoïde rentra si brusquement en elle et s’immobilisa. Une vague de chaleur et de plaisir la submergea et elle perdit le contrôle. Elle fut parcourue de plusieurs spasmes et elle eut l’impression qu’elle quittait son corps pendant un moment, tandis que lui commença à la marteler de toutes les forces dont disposaient ses hanches.
Il effectuait des mouvements lents en elle. Il ressortait d’elle avec beaucoup de sensualité et de douceur, puis lorsque seule la pointe de son gland était à l’entrée de sa vulve, chaude, humide, délicieuse, il se renfonçait en elle avec une vivacité telle qu’elle ressentait de véritables décharges électriques à l’intérieur de son ventre, et jusqu’au bout de ses membres. Pendant qu’il la besognait comme un véritable fou, elle pressait sa tête contre son torse viril. Parfois, elle l’attrapait par les cheveux pour pouvoir plaquer ses lèvres contre les siennes, et enfoncer sa langue dans sa bouche. Il devait alors s’immobiliser en elle et la laisser faire avant de recommencer.
Lorsqu’elle en avait assez de se faire prendre en missionnaire comme cela à même le sol froid de cette petite pièce, elle fit passer une jambe par-dessus les hanches de son amant, et d’un seul mouvement, le renversa et se retrouva sur lui. Elle l’embrassa alors de manière chaude et très sensuelle. Elle prit ensuite appui sur son torse nu et viril en plaçant ses mains rondes sur ses pectoraux gorgés de sang, puis commença à rouler du bassin en contractant les muscles de son vagin autour de la verge prisonnière de sa chair. Mais elle ne s’embarrassa de douceur ni de tendresse. Il avait commencé à lui donner du plaisir, et maintenant, elle en voulait plus. Elle avait soif de sexe. Parfois, elle se surélevait légèrement, attendait un peu, puis s’empalait sur cette belle bite en retombant dessus de tout son poids, et continuait pendant de longs moments.
Les cris qu’elle poussait n’avaient plus rien à voir avec ses légers gémissements de tout à l’heure, c’était les cris d’une femme qui prenait plaisir à faire l’amour aussi sauvagement sur son lieu de travail avec un parfait inconnu qui lui avait d’abord manqué de respect et qui maintenant était au fond de son vagin à la faire jouir.
Ses gros seins étaient maintenant en face du visage de Sébastien, à s’entrechoquer lourdement à chaque instant. Il plongeait parfois son visage entre eux, de telle sorte qu’elle pouvait sentir son souffle sur sa poitrine et son gros ventre rond. Il l’agrippait par ses fesses charnues, immobilisé par ses grosses cuisses, fortes et douces.
Après de longues minutes, elle eut un ultime orgasme, le plus foudroyant, qui l’acheva. Elle s’effondra de tout son poids sur lui. Mais elle se rendit compte qu’il n’avait pas joui. Il s’était retenu pour l’attendre. Elle voulut donc le récompenser. Elle se mit à genoux et lui ordonna de se relever; puis elle prit son sexe et le suça énergiquement en faisant de puissants aller-retour avec sa tête à en avoir mal à la nuque. Quand il éjacula enfin, ce fut une cascade de sperme qui lui arrosa le visage et dégoulina de son menton jusque sur ses seins et son ventre, pour former une large flaque sur le sol. Là, il se laissa tomber sur elle, et s’immobilisa.
Après de longues minutes, elle dit :
— Tu reviendras, hein ?— Malheureusement non. Je dois reprendre le train demain matin pour rentrer chez moi. Je ne pense pas revenir.— Quoi ? dit-elle, surprise et vexée. Tu me fais l’amour comme on me l’a rarement fait, et tu te tires comme ça ? Tu oses m’abandonner ?— Je ne pensais pas que ça allait se passer comme ça; et puis, je...— Ta gueule, lança-t-elle. Je fais rarement ça avec la première fois, mais je vais faire une exception. Prends la bouteille d’huile sur la table.
Il s’exécuta et lorsqu’il se retourna, il fut à la fois choqué et excité de la voir en position de levrette, en écartant ses fesses des deux mains, l’invitant dans son anus d’un grand sourire. Il ne sut quoi dire, alors il écouta son sexe qui recommença à se dresser. Il l’inonda d’huile d’olive en prenant bien soin d’en étaler de partout, et surtout entre ses fesses. Là, il commença à introduire un, puis deux doigts dans le petit orifice, mais elle l’arrêta.
— Ne perds pas ton temps à me préparer, j’ai l’habitude de me prendre une cartouche ici. Ne me fais pas attendre.
Il se positionna donc et plaça son sexe à l’entrée du petit orifice. Puis il s’allongea sur elle, l’attrapa par le crâne en entortillant ses doigts dans ses longs cheveux, et la pénétra d’un seul et grand coup. Elle poussa un puissant cri de plaisir et de satisfaction, mais dut se tenir au mur face à elle pour résister aux coups puissants de son amant.
Cette fois-ci, il ne se tracassa pas avec de lents mouvements, non. C’était un véritable marteau-piqueur. Il rentrait et sortait de l’anus de sa partenaire avec une fougue et une vivacité qu’il ne se connaissait même pas.
Quant à elle, elle criait de plaisir en continu, ne prétend plus aucune attention à ce qui l’entourait. Elle se laissait aller aux puissants coups de reins de ce mâle puissant qui dominait sa partenaire.
Il vint placer une main au niveau de son pubis et commença à lui masturber énergiquement le clitoris, sans qu’elle ait eu à lui demander. Elle ressentait tellement de plaisir qu’elle avait du mal à reprendre son souffle. Elle n’avait plus de force nulle part, et elle était maintenant bloquée entre le mur et son amant qui ne cessait de la sodomiser. Elle se cramponnait comme elle le pouvait aux muscles puissants de ses bras, la tête rejetée en arrière, présentant sa poitrine arrogante, et lâchait de grands cris qui soulignaient son plaisir et sa jouissance.
Elle eut un puissant orgasme anal qui la secoua de tout son être. Au même moment, il se retira d’elle et l’inonda une nouvelle fois d’un flot de sperme. Debout, il la regardait se recroqueviller sur elle; secouée de quelques derniers spasmes, reprenant son souffle, à moitié consciente, totalement souillée de foutre et de transpiration. Au bout d’un moment, il l’aida à se relever. Elle voulut d’abord l’embrasser tendrement, mais il la plaqua le premier contre le mur et enfonça sa langue dans sa bouche. Ils restèrent un moment comme cela : nus, sales, enlacés dans les bras l’un de l’autre. Puis elle l’embrassa à nouveau, et dit :
— Allez, va-t’en. Il faut que je ferme.
A contrecœur, il la lâcha, récupéra ses affaires, et quitta le restaurant, la laissant seule. Après la fermeture, elle rentra chez elle. Lui était dans sa chambre d’hôtel. A l’heure où il partit le lendemain, elle était à son poste. Ils repensèrent chacun à la soirée qu’ils avaient vécue, et ne l’oublièrent jamais.
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