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Une sœur, une mère

Chapitre 1

Inceste
Bonjour, je m’appelle Mathieu, j’ai 18 ans et je suis un lycéen ordinaire. Bruns aux yeux marrons, une silhouette en somme assez ordinaire (1m75 pour 65kg), je ne suis ni beau, ni moche. J’habite dans un petit village de Normandie avec ma famille composée de mon père, ma mère et ma sœur jumelle. Cette dernière, Julie, ne me ressemble pas beaucoup, c’est une petite brune, mesurant environ 1m65, assez fine mais avec de belles formes… Nous avions, jusqu’à présent, une petite vie bien tranquille.Malheureusement pour nous, mes parents ont décidé de se séparer. Et après de longues discussions, entre autre pour savoir qui prendrait en charge les enfants, vu notre âge et les récriminations de ma sœur, il est décidé que nous suivrions tous les deux notre mère. Donc, maman, Julie et moi devons donc déménager. Seulement voilà, avec son salaire d’assistante de direction, ma mère n’avait certainement pas les moyens d’acheter une villa sur la Cote d’Azur, Nice ou Saint-Tropez. De plus, elle trouve que ce serait un mauvais investissement que de choisir une grande maison de trois chambres ou plus. Elle s’est donc rabattue sur une plus petite n’en comportant seulement que deux, d’un prix nettement plus intéressant et plus dans ses moyens. Et qu’à son avis, nous les enfants, vu notre âge, il nous reste que quelques années, voir trois ans peut-être, avant de se mettre en ménage et de partir !Dans un premier temps, ma mère propose donc à ma sœur de partager une des chambres. Mais après de nombreux cris et pleurs de cette dernière (je n’aurais plus d’intimité, tu es trop vieux jeu, patati patata…), maman abandonne cette idée de répartition par sexes et décide, malheureusement pour moi, de nous placer ensemble, le frère et la sœur dans la plus grande chambre… Solution que préfère Ju’, mais pas moi, bien sûr, car je n’éprouve aucun sentiment et pas d’attirance particulière pour cette sœur avec qui j’ai si peu d’affinité. C’en est fini de ma tranquillité et cette fois c’est moi qui braille pour manifester mon désaccord. Rien n’y fait, un peu comme chaque fois d’ailleurs, c’est tranché. Je devrai donc partager ma chambre avec Julie…Le jour du déménagement arrive à grands pas, maman avait décidé de s’éloigner de la Normandie pour aller habiter plus près de sa famille à elle, en Saône-et-Loire où elle a trouvé son nouveau job et la maison. Après de nombreuses embrassades et au revoir, nous voilà partis pour une nouvelle vie… et 14 heures de route.A l’arrivée, je suis surpris par la beauté de la maison, et encore plus par l’intérieur assez spacieux. Malheureusement nous n’avons pas le temps de souffler, il faut décharger le camion. Après une dure journée comme celle-ci, on aimerait bien manger un bon repas, mais ce soir là, ça se résume à un sandwich au thon et un paquet de chips. Ma mère en profite pour nous expliquer que comme elle n’aime pas le papier de sa chambre, elle compte le changer rapidement et pense au week-end prochain de trois jours pour démarrer… Pour cette tâche, elle espère mon aide pendant que Julie doit se rendre chez sa marraine avec qui elle a aussi, parait-il, un programme chargé… Et puis, elle nous envoie nous coucher (Julie et moi) car une journée encore plus épuisante nous attend demain. Nous n’avons pas réellement sommeil, mais on obéit sans protester.Ma sœur et moi n’avons jamais vraiment discuté ensemble, à vrai dire je ne la connais pas plus que ça. Après avoir revêtu notre tenue de nuit, moi c’est un pyjama, Julie une nuisette à l’allure de chemise de nuit, il nous faut préparer nos lits de fortune, des matelas à même le sol. Je suis sonné par tous ces bouleversements mais Ju’ a encore envie de parler :— Mathieu ?— Quoi ?— Tu penses que papa est triste en ce moment ?— Je ne sais pas Julie, je pense juste qu’il regrette qu’on soit parti aussi loin…— Ah ! Tu sais, je suis désolée qu’on ne se soit jamais vraiment parlé Mat’, j’espère vraiment que ça va changer… Et puis, de toute façon, tu vas être obligé, si tu veux m’engueuler pour le bordel que je fou dans la chambre…— Ah, ah ! Très drôle, mais c’est vrai il n’est pas trop tard pour apprendre à se connaître, tu es ma sœur jumelle après tout ! Tiens, passes moi un oreiller s’il te plaît.Elle me le lance à la figure, une bataille de polochons sans merci s’engage, jusqu’à ce que notre mère, alertée par nos rires et nos cris, vienne pour nous rappeler que c’est l’heure de dormir.Nous nous glissons alors dans nos lits. S’en suit un grand silence, que Ju’ décide bientôt d’interrompre :— Mat’, tu dors ?— Non j’ai trop dormi sur la route, pourquoi ?— Oui, moi aussi. Finalement, c’n’est pas trop désagréable de passer du temps avec toi.— Oui, je trouve aussi.— Pour mieux se connaitre, veux-tu faire un "Action/Vérité" avec moi ?— On va réveiller maman si on parle trop fort !— T’as qu’à coller ton matelas au mien, on pourra chuchoter.Ce que je fais sur le champ en essayant de faire le moins de bruit possible.— Voilà, qui commence ?— Je ne sais pas, comme tu veux…— Bon allez Ju’, Action ou Vérité ?
— Vérité— Tu penses quoi de moi ?— Je trouve que tu es un mec génial, tu es drôle, gentil. Et même si on ne se parlait pas, je t’ai toujours vraiment apprécié et tu comptes vraiment beaucoup pour moi.— C’est sincère ce que tu dis là ?— Oui, c’est vraiment ce que je ressens.— Ok, ça fait plaisir à entendre, tu sais j’ai toujours cru que tu me détestais…— Ah bon ! Et pourquoi ?— Je ne sais pas, c’est vrai, c’est idiot. Bon, on continue ?— Oui, c’est à toi, Action ou Vérité ?— Vérité— Mat’, dit moi ce que tu pensais de moi…— Euh ! Ca va plomber l’ambiance…— Mais non, allez… dis moi !— J’ai toujours cru que tu étais la chouchoute des parents, celle qui a toutes les faveurs. Je pensais que tu étais chieuse et inintéressante…— Oh ! Rien que çà ?— Oui, ne m’en veux pas !— Non je ne t’en veux pas, mais ça me rend triste, tu sais…— Désolé, à toi.— Vérité— Tu as déjà eu beaucoup de petits copains ?— Non, je n’en ai jamais vraiment eu, j’ai juste eu quelques flirts mais ça n’a pas duré plus de deux semaines.— Ok, Action pour moi.— Pour te faire pardonner de ce que tu viens de m’avouer, fais-moi un câlin !Je suis un peu dérouté par cette proposition d’action, mais cela a l’air si anodin. Elle glisse donc le bord de sa couverture sous le bord de la mienne et se blottit contre moi. Je la prends donc dans mes bras…Je lui caresse doucement le dos, en la berçant un peu, et très vite… elle s’endort…Avoir ma sœur endormie dans mes bras me trouble et je ne saurais vous expliquer les raisons. Peut-être était-ce parce que je ne la connaissais pas réellement, peut-être parce qu’il s’agissait tout simplement de ma sœur ou encore parce qu’elle était jolie… Qu’est ce qui m’arrive ? Je m’étonne à penser de telles choses. Je décide de desserrer doucement mon étreinte et de la replacer sur son oreiller. Je me retourne dos à elle et c’est ainsi, la fatigue aidant, que je me suis endormi à mon tour.En me réveillant le lendemain, je m’aperçois que Ju’ n’est plus dans son lit. Deux sons me parviennent aux oreilles, l’un, celui de ma mère déballant encore quelques cartons et l’autre, de la douche qui coule. Je me mets à imaginer, sans m’en rendre compte, l’eau ruisselant sur le corps nu de Julie. Un début d’érection me met mal à l’aise. Que m’arrive t-il ? Je me résous à penser qu’il s’agit tout simplement de l’érection matinale, mais quand même… Je sors du lit, chausse mes pantoufles et courre déjeuner.Maman vient à ma rencontre :— Bonjour Mat’, si tu veux déjeuner, il y a des petits pains ; je les ai posés sur le meuble dans la cuisine. Je vais faire des courses, as-tu besoin de quelques choses en particulier ?— Non merci m’man.— Ok, Julie est dans la salle de bain, si elle a besoin de quelque chose, envoies moi un texto. Pour votre petit déjeuner j’ai sorti la cafetière du carton ; le café est avec les petits pains.— D’accord, à tout à l’heure !— Au faite, la livraison du frigo et du salon doit avoir lieu dans la journée. Tu serais bien gentil de t’en occuper pour moi s’ils passent pendant que je suis partie. A toute à l’heure.— A toute !Une fois ma mère partie, je décide d’allumer la cafetière et je prends son bac pour le remplir d’eau. Lorsque J’ouvre le robinet un cri strident et inintelligible sort de la salle de bain… je ne prends pas le risque de vous le transcrire…— Ju’ ? Qu’est ce qui se passe ?— C’est froid, arrête de tirer de l’eau !— Ah ha, Ici il y a un truc pour te faire sortir de la salle de bain plus vite…— T’es pas drôle, je sors !J’allume donc la cafetière et attend que le café finisse de couler. Ma sœur apparait vêtue d’une simple serviette. J’en reste là, bouche ouverte, c’est une merveille. Avant de me rendre compte de ma connerie, ma sœur commente avec un grand sourire :— Ca te plait, on-dirait ?— Oui… oui, enfin non, ça me trouble… c’est tout !— Bien sûr ! Dit, ça t’ennuierais d’aller fouiller les cartons pour me trouver des affaires propres, s’il te plait ? Tu choisis ce que tu veux.— Ok, retournes dans la salle de bain, tu vas attraper froid ici, je te les rapporte.Elle repart vers la salle de bain, et moi vers la salle à manger où nous avons entreposé tous les cartons. Mais dans lequel sont ses affaires ? Je l’ignore… lorsque j’aperçois écrit sur l’une des boites "Affaires Juju". Je lui choisis un débardeur noir et un jean craqué de partout et lui apporte.— Merci, c’est gentil, mais je mets quoi dessous ? — Raaah, je reviens.— Mes sous-vêtements sont dans le même carton, ils sont au fond.En fouillant bien dans le carton je trouve des sous-vêtements. Ils étaient simples mais quand même assez sexy. Je m’imagine ma sœur en train de défiler dans ces trucs. Une bosse se forme dans mon caleçon. J’essaie de me calmer les esprits mais en vain.— Bon tu te dépêches ? Je commence à avoir froid, moi !Je cours dans la salle de bain, espérant seulement qu’elle ne remarque rien et je lui tends les sous-vêtements.— Dis-donc Mat’, quelle vigueur ce matin !( ET MERDE ! Je suis grillé)— … Bon dépêches toi de t’habiller, j’t’attends dans la cuisine.Le reste de la matinée se passe normalement, sans voir d’ailleurs les livreurs… Ma mère n’avait pas fait à manger mais a réussi à dénicher un Macdo, ce qui nous a fait bien plaisir. C’était le premier repas copieux depuis l’avant-veille.L’après-midi se déroule comme prévue, entre déballage de cartons, rangement, montage de meubles et les livreurs qui passent enfin, pas le temps de respirer. On finit la journée sur le montage du bar et un repas sur le pouce. Il est 21 h lorsque ma mère nous demande d’aller nous coucher.Avec le même rituel que la veille, Julie et moi on se prépare et puis on se couche côte-à-côte sans dire un mot.C’est Julie, la première qui brise le silence.— On continue ?— Quoi ?— Bah, l’action vérité !— D’accord, c’était à toi, il me semble.— Vérité.— Est-ce le fait d’avoir pris mes sous-vêtements qui t’a mis dans cet état tout à l’heure ?— Euuuh… En quelque sorte oui.Répondis-je, peu sûr de sa réaction.— Ah, ça fait plaisir de s’entendre dire qu’on plait !— Mais j’n’ai jamais dit ça.— Bah oui mais si tu bandais comme ça, c’est bien parce que tu as pensé à moi dans ces sous-vêtements, pas vrai ?Epuisé par cette journée, je n’ose pas poursuivre la polémique ; s’ensuit un long moment de silence que je finis par interrompre en changeant de sujet :— Bon à toi, Action ou Vérité ?Heureusement, elle n’insiste pas non plus.— Action !— Hier, c’est moi qui ai du te dorloter, ce soir c’est ton tour, fais moi un massage.— Pas de soucis, commence par enlever ta veste et mets toi sur le ventre.Je m’exécute et elle s’installe à genoux, une jambe de chaque coté de moi.Lorsque ses mains entrent en contact avec la peau de mon dos, un frisson me parcouru dans tous le corps, que ces mains sont douces. — On dirait que ça te plaît hein ?— Oh Ju’, tu fais ça très bien.— Merci.Ses mains continuent à parcourir mon corps, c’est bon. Si j’étais un chat je crois que je ronronnerais …BANG !Je me réveille en sursaut.Ma mère fait un boucan pas possible en bousculant des affaires dans la salle de bain. Je suis déçu, tout cela n’était qu’un rêve. Ma sœur, qui elle, apparemment ne dormait pas, se moque de moi… Je m’en fiche un peu car un combat très étrange s’est engagé en moi : Lui parler ou non de mon rêve, le désir ou la raison ?— Ju !— Oui ?— Non rien…— Dit !— Non !— … Action ou Vérité ?Instinctivement, je choisi Vérité, mauvaise pioche, tout de suite je regrette mon choix.— Dis-moi ce que tu voulais me dire !— Bon d’accord, mais écoutes, je n’veux pas que tu trouves ça bizarre ou quoi que ce soit… D’accord ?— Oui !— Bah il y a à peine 5 minutes, je rêvais de nous deux, on avait continué l’action vérité et tu me faisais un massage.Elle se mit à rire comme jamais, je ne puis m’empêcher de rigoler avec elle. Après avoir repris son souffle, elle parle enfin :— … C’était bien, t’as kiffé ? — Euuuuh, ce n’était qu’un rêve, et je trouvais ça bizarre de te le dire. Tu aurais pu penser que…— Action !Encore euphorique, je dis, cherchant à déconner :— Fais-moi un massage…Elle le prend au mot, elle retire ma veste et me retourne sur le ventre, et comme dans le rêve, me chevauche sur les cuisses. Mais c’est beaucoup mieux que dans le rêve, étant à cheval, sa nuisette remonte légèrement laissant sentir ses fines jambes nues. Je ne les vois pas, mais je sens sa peau si douce glisser contre moi. C’est d’autant plus agréable lorsque ses mains chaudes se mettent à parcourir mon dos de la nuque au coccyx. Ce n’est pas réellement un massage mais plus un florilège de mille caresses. De temps à autre elle replie ses doigts et parcourt ma colonne vertébrale de ses dix ongles. Je commence à avoir le bâton tout dur. C’est là qu’elle me susurre à l’oreille :— Replaces-toi sur le dos s’il te plaît !— Non continues… encore un peu encore ça… s’il te plait !En réalité je n’avais rien contre me retourner mais je craignais sa réaction. Avec le barreau qui se dresse dans mon caleçon, ça ne passe pas inaperçu, si vous voyez ce que je veux dire.— T’aimes tant que ça ?— Bah c’est un massage, comment veux-tu que ça me déplaise ?— Je le fais peut-être mal. Mais ça m’étonnerait puisque tu ne veux pas te retourner, c’est que tu veux cacher quelque chose…— N’importe quoi ! TOC TOC TOC ! D’un bond impressionnant Julie plonge sous ses couvertures.— Vous faites quoi les jeunes ? Il est tard et demain y’a du boulot !— ON PARLE ! (en chœur)La porte s’ouvre.— Dans 30 minutes je repasse et je ne veux plus entendre un bruit… Je sais que ça va être difficile pour toi Mat’, comme tu ronfles !— Ah, Ah, Ah ! Et tu te crois drôle m’man ?J’avais un peu honte. Vous savez comme quand votre père ou votre mère étale leurs talents d’humoriste devant votre petite copine que vous avez invitée à diner !— Oui, regardes ta sœur, elle glousse comme une poule ! Bon allez bonne nuit les jeun’s, dormez bien !— BONNE NUIT M’MAN ! (lui crie t’on)On attend un moment, espérant que ma mère parte se coucher.— Mat’ tu dors ?— Non pas encore, j’attends que maman soit couchée, pourquoi ?— Bah parce que, d’puis tout à l’heure j’te fais plaisir et moi j’ai rien.— Tu veux quoi ?— Un Cunnilingus ! (en rigolant) Bah un massage, tien !— T’es bien vulgaire toi !— J’y peux rien si t’es coincé du cul toi !— C’n’est pas vrai, en plus tu parles, mais t’as même pas encore eu de première fois.— Toi non plus, ça n’change rien !— Euuuh ouais… Bon, tu le veux ce massage ?— J’attends depuis tout à l’heure.Elle se met sur le ventre. Je me place à califourchon sur ses cuisses et passe mes mains sous sa nuisette. Dans le mouvement (involontaire bien entendu) j’effleure ses fesses du dos de la main. Je sens chez elle comme un petit sursaut, mais elle ne dit rien… J’entame le massage en commençant par le haut de son dos. La tâche n’est pas facile à cause du vêtement et de la fine bande de tissu qui tient son soutien-gorge. J’hésite à lui demander d’enlever ces obstacles. J’appréhende sa réaction… Oh et puis MERDE !— Dis Ju’, tu peux enlever ta nuisette et dégrafer ton soutien-gorge ?Dans ma précipitation, les mots étaient sortis tels quels. C’était un peu trop cru et direct à mon goût, et peut-être au sien aussi… Ju’ se retourne et me regarde un peu troublée.— Tu veux vraiment ?Je me sens gêné, mais ma fierté de me déjuger et mon envie ne me laisse pas le temps de réfléchir.— Oui s’il te plait. Ce sera plus facile pour moi de te masser…Alors elle se redresse à genoux, tire son vêtement qu’elle bourre sous les couvertures puis elle se recouche sur le ventre, passe ses mains dans son dos et dégrafe son soutien gorge. La voilà en petite culotte allongée sur le ventre devant moi. Je me remets à califourchon sur elle. Je pose délicatement mes mains sur ses hanches et remonte doucement jusqu’à son cou. Elle pousse quelques soupirs. Je suis dans un état second. Je suis en érection. Je pense qu’elle sent mon sexe durcir sur elle. Je continue de m’appliquer dans mon exercice. Je la frôle doucement avec mes ongles… Elle soupire…— Mmm C’est bon… Continue !— Fais moins de bruit ! Maman va nous entendre.— MMouiiSa peau est douce et chaude, mes mains buttent vers le bas contre l’élastique de la culotte, le poussant un peu à chaque passage, découvrant petit à petit le début de fesses rebondies. C’est là que j’entends un bruit dans le corridor : c’est maman qui revient pour voir si nous dormons bien. Dans l’affolement, je me couche contre Julie en tirant les couvertures sur nous, je retiens mon souffle…Doucement la porte s’ouvre, puis se referme sans allumer. Notre mère repart, satisfaite de son inspection. Je sens la chaleur du corps de Julie qui irradie contre le miens, je sens la douceur de la peau de ses jambes contre les miennes, nous sommes tous les deux couchés sur le ventre, l’un contre l’autre, j’ai un bras qui est resté sur son dos. La peur rétrospective de nous faire surprendre dans une position ambigüe nous paralyse ; nous restons un bon moment ainsi sans bouger.C’est elle qui prend l’initiative du premier mouvement, j’enchaine et presque naturellement en lui faisant face ; nous nous retrouvons dans les bras l’un de l’autre. Un peu pour décompresser cet instant de tension et sceller notre complicité, nous commençons un long baiser sur la bouche. Les seins de Julie, libérés du soutien gorge resté sur le drap, s’écrasent contre mon torse nu pendant que mon sexe dur comme du bois lui enfonce le ventre au travers nos restes d’habits.Les langues s’emmêlent, la soudaineté de la nouvelle situation nous paralyse… Les hormones nous submergent et déclenchent des pensées contradictoires qui se bousculent dans nos têtes : amour, inceste, première fois, frère et sœur, interdit… L’étreinte dure un long moment, des bruits dans le couloir rappellent qu’ils ne sont pas seuls et que la mère continue ses rangements. C’est Julie qui craque la première en s’écartant ; elle n’est pas prête à sauter le pas, c’est trop rapide, elle a besoin de parler pour comprendre où elle en est ! Elle lui chuchote, comme pour se faire pardonner de ses craintes :— Mat’… Je t’aime ! Je veux ma première fois avec toi… mais pas ce soir, je ne me sens pas prête ! Mathieu est sonné par cette déclaration ; l’atterrissage est violent mais aussi cette franchise le rassure, il sent tout l’amour pour cette sœur l’envahir et se transformer en besoin de tendresse, de la protéger… Il installe Julie dans le creux de son épaule, la câline doucement :— Ju’, moi aussi, je t’aime… tu es ma sœur chérie !Elle glisse sa tête dans le cou du garçon, lui faisant un petit bisou. Il continue ses douces caresses et ils ne tardent pas à s’endormir dans les bras l’un de l’autre, vaincus par ce déferlement d’émotions.
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