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Une vie de bourgeoise

Chapitre 1

Léa

Hétéro
Bonjour, je suis Manon, je vous ai déjà raconté une partie de ma vie quand j’étais plus jeune (voir Rwanda).Depuis, j’ai pris quelques années, me suis mariée avec un garçon bien, issu d’une famille de la haute bourgeoisie.Ce qui suit est la deuxième partie intéressante de ma vie.Cette histoire étant un peu longue, je l’ai divisée en 4 chapitres.
— Est-ce que tu l’entends Bébé ? C’est mon Bébé, il t’appellera papa...

Je caresse les cheveux de Julien, mon époux, qui, l’oreille collée contre mon ventre, écoute battre le cœur du petit être en train de se construire en moi.Ça fait presque 5 mois qu’il est là, demain, je saurai si c’est une fille ou un garçon.
— Qu’est-ce que tu préfères ?

Il faut que je cesse d’appeler Julien « bébé », un vrai bébé arrive...Lui, il m’appelle « Chaton », j’aime bien. Nous sommes mariés depuis 5 ans (j’avais 24 ans et finis mes études.).Mon Bébé a 3 ans de plus que moi. Nous nous aimons éperdument.
Julien est issu d’une famille de la haute bourgeoisie, catholique pratiquante (nous allons à la messe tous les dimanches.).Il travaille dans une banque d’affaires au service fusion-acquisition, il est brillant et il gagne beaucoup d’argent.Il n’a pas besoin d’être un Apollon pour que les gens s’intéressent à lui, il mesure 1,72m, 63 kilos, élancé, sa tignasse d’un blond nordique met en valeur ses beaux yeux bleus, imberbe, instruit, cultivé, beau parleur. Que ce soit pour aller au travail, faire un tennis, rencontrer des amis, aller à un cocktail, il est toujours habillé avec élégance. Il est toujours le centre d’intérêt.
Après mes études, je suis entrée dans une grande société d’assurance. Je travaille au siège social à la défense où je suis chef d’un service de 6 personnes. J’ai conquis ce poste grâce à mes nombreuses qualités (travailleuse, esprit d’initiative, respect de la hiérarchie, et bien d’autres...).Ce n’est pas pour le salaire que je travaille (mon mari gagne suffisamment d’argent et je peux puiser dans les comptes de ma mère), mais pour avoir une vie sociale active.
J’ai beaucoup d’amies, certaines sont parfois un peu jalouses, car ma garde-robe me permet d’être toujours élégante et mon physique avantageux attire immanquablement les regards des hommes et souvent ceux des femmes.
Depuis toujours, nous avons décidé que 3 enfants viendront compléter notre famille, celui qui arrive sera l’ainé.C’est pour préparer cet avenir que nous avons acheté un appartement de 240 m2 dans le 6° arrondissement où chacun des enfants disposera de sa chambre avec salle de bains. Il est vrai qu’actuellement, cet appartement est un peu grand pour nous deux. Heureusement que notre salle de séjour de 70 m2 est souvent le lieu de rencontre de nos nombreux amis qui viennent y faire la fête.
Dans nos milieux, tant celui de Julien que le mien, les filles sont vierges le jour de leur mariage. C’est pour cela qu’un mois avant la cérémonie, maman m’a accompagnée en Suisse dans une clinique spécialisée dans la reconstitution d’hymen, ainsi Julien a eu le plaisir de me déflorer le soir de nos noces et moi, le plaisir d’être dépucelée une deuxième fois (les lecteurs et lectrices qui aimeraient avoir un complément d’information peuvent lire mon récit « Rwanda ».).Ce soir-là, j’ai donc appris que le sexe de Julien, avec ses 14/15 centimètres x 3,5 centimètres, était dans la moyenne des pénis des hommes français de souche...
Il y a environ 3 ans, un soir où le film que j’avais regardé à la télévision (seule, car Julien travaillait sur ses dossiers), se terminait, Julien vint s’assoir à côté de moi sur le canapé, il mit sa tête sur mes genoux en me disant qu’il était fatigué. Je le caressai pour le déstresser...
Je n’avais pas éteint la TV et l’émission suivante avait commencé sans que nous n’y prêtions attention. Autour d’un animateur de renom, un débat rassemblait un psychologue, un psychanalyste, un important responsable d’un site de rencontres, une femme seule sans son époux, un homme sans sa conjointe et un couple marié. Je n’y prêtais pas attention et voulus engager la conversation...
— Chut, j’écoute, me dit-il en se redressant.
Alors tout comme lui, j’ai écouté.
Le débat portait sur le candaulisme et les candaulistes.La femme seule était dans la quarantaine, l’homme seul au début de la soixantaine et le couple à peu près dans nos âges...Le débat dura environ 1 heure, nous le suivîmes jusqu’à la fin puis allâmes-nous coucher.
Le lendemain soir, nous allâmes dîner en tête-à-tête dans un restaurant proche de chez nous où nous avions nos habitudes.À peine installés :
— Aujourd’hui, j’ai eu du mal à me concentrer, car mon esprit vagabondait sur ce qui s’est dit hier soir sur le candaulisme. — J’ai moi-même été un peu surprise. Je savais que ce fantasme habitait de nombreux hommes, mais je ne pensais pas qu’il était aussi répandu.— Pour aller à l’essentiel, ce que j’en ai retenu se résume à :
Le candaulisme :
— Consiste pour un homme à rechercher un amant à sa femme.— Il ne peut s’épanouir que dans des couples profondément amoureux.— Renforce les relations du couple s’il en était besoin.— C’est un fantasme essentiellement masculin.— A existé de tout temps (le roi Candaule 8 siècles avant JC), sur tous les continents et dans toutes les cultures.— L’époux qui donne sa femme éprouve toujours un fort sentiment de compression.— N’a rien à voir avec l’échangisme, l’adultère, l’infidélité, la polygamie, le libertinage.— L’amant est souvent recherché par le mari dans son entourage : ses collègues de travail, ses voisins, ses amis. Face à l’augmentation exponentielle du nombre de couples candaulistes, les sites de rencontres facilitent le choix.— Le partenaire est prioritairement célibataire.— Généralement, l’époux souhaite assister aux ébats de sa femme (mais ne participe que très rarement), ou au minimum que celle-ci lui raconte en détail le déroulement de ses rendez-vous.— Souvent, les maris apprécient que les ébats aient lieu sur le lit conjugal.— Les hommes et femmes qui témoignaient dans l’émission n’avaient pas de mots pour dire combien la qualité de leur vie s’était améliorée depuis qu’ils pratiquaient régulièrement, soit avec un partenaire unique, soit avec plusieurs partenaires réguliers ou occasionnels.— Je te rejoins totalement et j’ai retenu à peu près la même chose que toi. J’ai été sensible à ce que j’ai découvert.— À part cela, il est possible que j’aie prochainement une bonne nouvelle à t’annoncer.— Soit tu en as trop dit, soit pas assez.— La semaine dernière à la réception de mon père pendant que tu te pavanais en faisant la belle, il m’a présenté à l’un de ses amis, M. Durand qui est le Président d’une multinationale de chimie, en précisant que je travaillais au service fusion- acquisition d’une célèbre banque. Puis mon père s’est éclipsé en nous laissant en tête-à-tête. Après moult commentaires sur la situation économique en générale et de la chimie en particulier, il m’a dit que si une opportunité de rachat ou de fusion de sa société se présentait, il l’étudierait. Je lui ai demandé s’il m’autorisait à en discuter avec ma direction et il m’a donné son accord avec ma promesse de garder un secret absolu sur cette confidence.
Bien évidemment, cet entretien n’avait rien de fortuit et avait été managé en amont par mon père.Aujourd’hui, j’ai pu avoir un entretien avec notre directeur à ce sujet. Il m’a encouragée à poursuivre et m’a demandé d’organiser un rendez-vous avec M. Durand auquel je devrai assister. Si cette affaire se faisait, je serais sans aucun doute dans l’équipe de réalisation et si elle se finalise, ma prime sera considérable, à faire pâlir de jalousie ces jeunes hommes en short qui donnent des coups de pied dans un ballon...
Le dimanche suivant, il passa l’essentiel de son temps sur son ordinateur, il avait créé un profil sur un site de rencontres et contactait des adeptes candaulistes pour en connaître plus...
Le soir à table :
— Tu devrais être belle dans les bras d’un autre homme à lui faire l’amour...— Je suis belle dans tes bras quand tu me fais l’Amour. — Est-ce que tu y as déjà pensé ?— Tu plaisantes.— Oui et non, en tous les cas, si tu me disais que ça t’intrigue, je te comprendrais.— Mais ça m’intrigue, mais je ne pense pas que je le puis, surtout si tu étais là.— Je sais que mon plaisir serait de te regarder.
Le soir au lit, je lui fais une gâterie, comme d’habitude, il me prit en missionnaire :
— Ce n’est pas moi qui te baise, penses-y, rêve, c’est un bel homme puissant avec un sexe énorme, crie, dis « encore », salope...
Il jouit, il s’endort, je me masturbe, j’ai un orgasme, je m’endors...
Mardi soir :
— Jeudi, je dois partir à Hong Kong pour 6 à 7 jours, affaire Durand...
Sois gentille, durant mon absence, pense à un ou plusieurs amants, va sur internet, tu connais mon pseudo, on en discute à mon retour. OK mon chaton ?
— Oui bébé, je te promets. Mais sache que je t’aime.
Jeudi :Il est à Hong Kong, là-bas plein de belles Asiatiques... Bah, il a trop de travail et il m’aime.Ma collègue de bureau est en congé de maternité, pas possible de papoter. La semaine dernière, à sa place, on a mis une stagiaire dans mon bureau, c’est une provinciale qui fait des études commerciales. J’ai envie d’aller sur le site de rencontres, mais ce serait lui donner un mauvais exemple, alors je travaille, on verra ce soir à la maison...De temps à autre, elle reçoit un coup de téléphone, j’ai bien compris que c’était son copain, elle est amoureuse...
Vendredi Demain, samedi, comme il n’est pas là, j’irai faire chauffer ma carte visa, j’ai besoin de plein de choses, seule ce n’est pas amusant... j’essaierai de trouver une copine pour m’accompagner.16 :00Elle reçoit un coup de téléphone, elle écoute sans parler, elle blêmit, son visage se décompose, elle hurle NON... NON... NON...Son téléphone tombe à terre, elle va tomber, je me précipite, la prends dans mes bras, elle se blottit contre moi, pleure, pleure... je la caresse, essaie de la calmer, elle sanglote, il est mort, il est mort...
— Léa ma chérie, calme-toi...
Je la serre dans mes bras... Que faire d’autres...
15 mn après, elle peut me dire que son copain a eu un accident de moto, près de Bordeaux où il allait rendre visite à ses parents.
— Cette nuit, tu viens dormir à la maison, mon mari est en voyage, tu ne dois pas rester seule.
À la maison, nous parlons un peu, ce que nous n’avions jamais fait, je la regarde, j’ai en face de moi une jolie fille de 20 ans, longs cheveux châtain, un visage d’une enfant de 16 ans, qui doit être très beau quand elle sourit, petite poitrine bien haute, la silhouette d’une fille qui ne connaît pas les MacDo, les pizzas et autre Coca Cola comme trop de jeunes maintenant, un peu plus petite que moi, environ 50 kilos... Une belle fille...
Ses parents ont une importante pharmacie à Lyon, son frère ainé travaille aux US dans la Silicone Valley, elle poursuit ses études dans une grande école à Paris, son copain avait 2 ans de plus qu’elle, ils s’aimaient comme on aime à cet âge-là, elle voulait que ce soit lui qui la déflore... Ça ne s’est pas fait... Elle le regrette maintenant...C’est l’heure d’aller au lit.
— Cette nuit, si tu veux, viens dormir avec moi.
Elle prend une douche, je lui donne une de mes nuisettes et un demi-cachet de Zolpidem, elle se glisse dans mon lit, 15 mn après, elle dort.
Je vais envoyer un e-mail à Julien pour lui expliquer la situation, je sais qu’il approuvera totalement ma démarche de l’héberger dans un tel moment.
Je la rejoins au lit et me glisse à côté d’elle, avant d’éteindre, je la regarde, son visage au repos est vraiment très beau, beaucoup de personnes doivent rêver d’avoir une telle fille dans leur lit... Je me remémore l’instant au bureau où elle s’était blottie contre moi, sa poitrine contre la mienne, je me souviens que mes sens en alerte ont aimé ces instants... Je lui caresse le visage, elle dort, lui prends une main sur laquelle je dépose un bisou, je l’embrasse sur le front avant d’éteindre la lumière...Ma main vagabonde et va soulever ma nuisette pour avoir accès à mon minou... Je me caresse en pensant à Léa dormant à côté de moi...
Le sommeil a du mal à venir, je suis trop excitée... Ça me rappelle mes nuits passées dans le même lit qu’Emma mon amie d’enfance... Quand je m’endors, je rêve à Léa...
Samedi matin, je me lève et prends connaissance de l’e-mail de Julien, il me recommande de la garder quelques jours à la maison. Je suis en train de prendre mon petit-déjeuner quand en titubant, tout endormie, le Zolpidem n’ayant pas encore fini son effet, elle arrive dans la cuisine, je me lève et vais la serrer dans mes bras, elle répond positivement à mon étreinte, j’en suis ravie...
— Ce matin, nous irons chez toi chercher quelques affaires, tu vas rester quelques jours à la maison.— Mais Julien ?— Il est d’accord et ne rentrera que dans le milieu de la semaine.— D’accord, je me sens bien avec toi. — Cet après-midi, nous irons faire du shopping.
Ce fut une merveilleuse journée passée avec cette ingénue, souvent main dans la main.
Après le dîner, assises côte à côte sur le canapé, alors que nous devisions sur notre journée, elle posa sa tête sur mon épaule, je ne pus m’empêcher de mettre ma main sur sa joue, déposer un tendre baiser sur son front. Elle leva les yeux vers moi, les lèvres gonflées, tremblantes, la bouche entrouverte... Elle ferma les yeux quand elle vit mes lèvres se rapprocher des siennes... Ce fut notre premier baiser...
— Depuis que tu es arrivée ici, je suis tombée amoureuse de toi.— Viens, on va se coucher.
Elle me prit la main et m’entraîna sur notre lit, cette nuit-là, nous ne revêtîmes pas de nuisette et passâmes une merveilleuse nuit d’Amour, elle avait souvent l’initiative et me disait ce qu’elle attendait de moi, je répondais à ses demandes et à ses exigences...Chacune procura à l’autre de nombreux orgasmes, elle connaissait à la perfection les zones érogènes du corps féminin...
Repues, la fatigue nous terrassa à 2 heures du matin.

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