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Une vie de châtelain

Chapitre 1

Divers
Au début de notre mariage, ma femme, Julie, nous achetâmes un château du style Renaissance dans la Loire. La bâtisse était bordée par une forêt, possédait des douves, un grand jardin, un corps de ferme, une piscine et une grande cave. Les anciens propriétaires avaient très bien entretenu la demeure et ils l’avaient décorée dans le style Renaissance. Toutes les pièces mêlaient de l’ancien pour le style et du moderne pour les fonctionnalités. Ainsi la maison était très agréable à vivre.
Nous voulions avoir une grande propriété pour nous sentir à l’égard et mener notre vie loin du regard des autres, car Julie et moi aimions beaucoup faire nos ébats dehors, et rien de mieux que de grands espaces pour cela.
Je suis le propriétaire d’une PME qui est dans le domaine des nouvelles technologies, je vends notamment un système de caméra ultra-discrète qui suit les personnes que l’on désigne depuis son téléphone, grâce à un système de reconnaissance faciale. J’installai cela, lors de notre emménagement, pour arrêter d’éventuels voleurs, grâce à une capsule que les caméras peuvent lâcher et qui libère un gaz soporifique. L’entreprise vend dans le monde entier et je suis donc souvent en déplacement. Pour ma femme, cela ne lui pose aucun souci, car elle aime être seule pour écrire ses livres de sociologie et préparer ses plaidoiries.
La maison étant très grande, nous avons rapidement ressenti le besoin de recruter du personnel de maison, ceux qui travaillaient pour les anciens propriétaires étaient partis avec eux. Pour des raisons que ma femme ne m’a pas expliquées clairement, elle a décidé qu’il faudra que le personnel vive sur place.
Après quelques jours de recherche et une mise en ligne de l’annonce, une jeune femme arriva devant le portail en disant être intéressée. Elle devait avoir dans le début de la vingtaine, assez grande et de stature athlétique, elle avait une belle poitrine et un fessier rond et bombé. Son allure était élégante, et sa démarche gracieuse. Je savais que c’était le genre de femme que mon épouse appréciait. Au moment de son arrivée, je dus partir à cause d’une urgence de bureau, je laissai ma femme mener l’entretien d’embauche seule et non tous les deux comme nous l’avions prévu.
Une fois ma réunion terminée, je regardai comment s’était déroulé le rendez-vous depuis mon bureau.
Julie accueillit la jeune fille sans un mot, depuis l’entrée et la conduisit vers son bureau d’un signe de la main. Elle lui indiqua le fauteuil qui était devant son bureau puis s’assit.
— Bonjour mademoiselle, je suis Julie. Avant de commencer cet entretien, puis-je connaître votre âge ? — Bonjour Madame, je suis Manon, j’ai 19 ans depuis quelques mois. Suis-je trop jeune pour le poste ?
Je lus sur le visage de ma femme qu’elle savait qu’elle dominait la jeune fille par sa prestance, mais aussi par son statut social, et que cela lui plaisait. Manon avait l’air de ne pas savoir où se mettre tellement elle était intimidée par ma femme.
— Non rassure-toi Manon. As-tu de l’expérience dedans ? — Non Julie, je ...— Pour toi c’est Madame, gronda ma femme, et tu me vouvoies.— Pardonnez-moi, dit-elle en baissant les yeux.— Donc tu disais ? — Madame, s’il vous plaît... Mon père est malade et ni le salaire de ma mère ni les aides que nous recevons nous permettent de vivre ! J’ai vraiment besoin de ce travail. Je vous en supplie. Je ferais tout ce que vous voudrez.

Ma femme est restée muette. A son regard, je vis qu’elle réfléchissait. Et cela n’annonçait rien de bon pour cette pauvre Manon. Julie avait toujours eu un faible pour le contrôle sur les personnes plus faible qu’elle. Cela l’excitait.
— Il semble que tu sois une brave personne qui veut aider ta famille. Je suis sensible à ça. Tu peux venir demain à 8h. Mais à la moindre remarque, à la moindre erreur, tu finis à la porte. Suis-je claire ?— Oui bien sûr madame. Je ferais tout ce que vous voudrez, comme vous le voudrez.
Manon se leva et sortit de la pièce. Au moment de fermer la porte, mon épouse se leva.
— Manon. Quand tu quittes la pièce où je suis, j’attends que tu fasses preuve de respect. La moindre des politesses est de faire demander l’autorisation de sortir en faisant une révérence. Donc, recommence. Tu commences mal ... je vais commencer à regretter ma gentillesse...— Bien madame. Je vous prie de m’excuser. C’est la dernière fois que je vous déçois.
Manon rentra à nouveau dans la pièce, puis fit une révérence.
— Madame, puis-je me retirer ?— Oui tu peux.
Une fois qu’elle fut partie, je vis ma femme poser ses pieds sur le bureau puis remonter sa jupe et commencer à se caresser le clitoris à travers sa culotte. Elle initia des petits cercles tout autour, doucement. Je voyais qu’elle fermait les yeux, que sa respiration commençait à s’accélérer. Puis sa main passa sous sa culotte, pour toucher directement son clitoris. Je l’entendais débuter à gémir, son bassin se cambrant un peu plus sous l’effet de la montée de son plaisir. Je sentis mon excitation monter et je commençai à me toucher la bite à travers mon pantalon le plus discrètement possible. Ne pas pouvoir me toucher, rendait le spectacle que m’offrait ma femme encore plus excitant.
Mon épouse releva son haut, et sortit sa forte poitrine de son soutien-gorge, pour agacer ses tétons. Elle gémit de plaisir et de douleur lorsqu’elle se pinça le téton. Au niveau de sa chatte, je voyais qu’elle se caressait la vulve par-dessus sa culotte. Elle remontait de haut en bas ses doigts sur toute sa chatte, et à chaque mouvement, elle gémissait un peu plus fort. Puis elle enleva sa culotte, et mit deux doigts en elle, tandis que son autre main caressait son clitoris. Son bassin s’enfonça encore plus dans le fauteuil tandis que ses gémissements se transformaient en râle. Un moment, elle s’arrêta, et elle caressa ses seins avec ses deux mains. Jouant avec ses tétons durs, elle s’amusait à les masser puis les pincer avec ses ongles.
Après un certain temps à jouer avec sa poitrine, elle prit la bougie qui était sur son bureau et qui lui sert de lampe, et se l’enfonça dans la chatte. Elle se baisa ainsi la chatte très doucement, elle suça ses doigts comme si elle voulait les faire éjaculer puis elle les utilisa pour frotter avec énergie son clitoris. Elle était en train de tapoter lorsqu’elle fut prise par sa jouissance et elle explosa en criant :
— Bouffe-moi la chatte sale chienne !
Je savais que ma femme avait eu des aventures avec des femmes au lycée et à l’université, mais j’ignorais qu’elle continuait à désirer des femmes. Je me suis senti en colère au début. Ma femme allait me tromper, et avec une autre femme. Puis j’ai réfléchi et je me suis rendu compte que c’était plus par jalousie que j’étais en colère. J’avais également envie de profiter des charmes de Manon, et voir ma femme abuser d’une autre femme m’excitait beaucoup.
Je rentrai assez tardivement du travail, j’avais passé toute la journée à imaginer ma femme à se faire bouffer la chatte par Manon, j’étais donc dans un état d’excitation sans commune mesure. La tenue de ma femme pour le dîner se composait d’une longue robe rouge, avec un dos nu qui descendait jusqu’au début de son fessier, un profond décolleté et une fente sur chaque côté qui remontait jusqu’à la naissance de ses hanches. Julie avait mis des talons qui cambraient parfaitement sa silhouette. Je n’avais qu’une envie, c’était de la plaquer contre un mur et de la prendre sans ménagement. Mais dès que je faisais mine de vouloir initier quelque chose, elle me repoussait. Elle m’alluma du regard durant toute la soirée, s’amusant à enlever sa chaussure pour me caresser la bite avec ses pieds sous la table tout en discutant comme si de rien n’était. J’étais dur, excité et incapable de soulager cette tension.
Lorsque nous passâmes au salon, elle enleva sa culotte, me donna, puis une fois assise sur une chaise, elle se plut à croiser et décroiser ses jambes de telle sorte que je ne faisais qu’apercevoir sa fente entre chaque mouvement. N’y tenant plus, je la poussai sur le canapé, relevai sa robe et la pénétrai d’un coup sec. Julie poussa un long gémissement en même temps qu’elle sentait ma bite prendre possession d’elle. Sa chatte était totalement trempée, et je la sentais se serrer tout autour de ma bite. Pris dans une frénésie, je commençai par la prendre par les hanches, puis je la pénétrai très vite.
— Vas-y baise-moi plus vite... ! Oui comme ça. Prends-moi comme une pute.
Je saisis ses cheveux pour la faire se cambrer un peu plus. Puis j’ai ralenti un peu la vitesse. Chaque coup de hanche était puissant. A chaque fois que je rentrais ma bite au plus profond d’elle, ma femme gémissait un peu plus fort. Je sentais que j’allais jouir, j’avais en tête Julie en train de se faire bouffer la chatte par Manon et je sentais que j’allais bientôt jouir. Pour éviter cela, je retournai mon épouse sur le dos, mis son bassin sur le bord du canapé et entrepris d’agacer son clitoris avec ma langue. Je faisais des cercles autour puis des aller-retour dessus. Julie commença à me caresser ma tête avec sa main puis à me pousser avec plus vers son bassin.
— Bouffe-moi la chatte, mon chéri. Mmmm...
Je sentais ses cuisses se serrer contre ma tête. En même temps que ses doigts s’agrippaient à mes cheveux. Je me retirai un peu avant qu’elle jouisse.
— Mon chéri... je veux jouir. Baise-moi. S’il te plaît... — Écarte tes cuisses de salope. Je vais te prendre comme tu l’aimes.
Je lui pris ses jambes, et les mis au niveau de mes épaules. Puis ma bite pénétra doucement sa chatte mouillée d’excitation et béante d’envie. Mon bassin fit des mouvements lents de va-et-vient. Ma bite sortait presque de sa chatte, puis repartait au plus profond de son intimité, cela lui arrachait des gémissements intenses et je sentais son vagin se contracter tout autour de ma bite. Je sentais qu’elle était sur le point de jouir, j’accélérai le mouvement, en allant le plus vite et le plus fort possible. Elle ne tarda pas à trembler de plaisir, je sentis ses cuisses se contracter, et pour amplifier son plaisir, je continuai à la baiser et à toucher son clitoris en même temps. Elle ne tarda pas à jouir avec une grande violence. Ses mains griffèrent mon dos, sa tête se révulsa et elle ouvrit grand sa bouche en laissant partir un long râle.
Après cela, elle était sans force, essayant de récupérer son souffle, elle me regarda avec un large sourire et me laissa un regard qui m’invitait à continuer les festivités. Je l’ai prise dans mes bras, et je suis parti la mettre dans le lit.
Une fois ses poignets attachés avec une corde derrière sa tête, je la retournai et la mis en levrette. Dans un des placards se trouvent tous les jouets que nous utilisons. Cravaches, cordes, gags, tout y est. Ce soir-là, j’ai eu envie de voir le cul de ma femme être rouge et la voir gémir de frustration. Pour cela, je pris l’œuf vibrant, qui fonctionne en Bluetooth, puis du scotch et enfin le gag.
Ma femme chercha à voir ce que j’avais pu prendre, commença à se retourner, mais un coup de cravache lui fit reprendre sa position initiale. L’œuf fut attaché à elle grâce au scotch sur son clitoris, et une fois activé, il vibra juste assez pour qu’elle veuille plus, sans que se soit assez pour qu’elle prenne vraiment du plaisir. Après avoir reçu le gag dans sa bouche, ma femme commença à pousser des gémissements de frustration.
Avec la télécommande, je pouvais choisir l’intensité ou le type de variation de l’œuf. Certaines vitesses faisaient que ma femme était presque sur le point de jouir, je passais donc directement à une vitesse qui était telle qu’elle ne pouvait pas jouir tout en maintenant son envie de jouir. Parfois, j’arrêtais tout, je lui enlevais le gag, lui faisais les coups de cravache. J’alternais entre des coups sur ses fesses, ses cuisses, ses pieds et sur toute sa vulve. Puis je lui remettais le gag et activais l’œuf.
C’était pour elle frustration après frustration, un moment, elle se cambra pour m’exposer sa chatte dégoulinante de mouille.
— Si tu me montres ta chatte de cette façon, la seule chose dont j’ai envie c’est de glisser mes doigts en toi.
Je mis d’abord un doigt, puis deux, et j’ai commencé à la branler ainsi. L’œuf fut mis sur la vitesse la plus jouissive pour elle, et mes doigts se recourbaient pour mieux tapoter au niveau de son clitoris.
— Ne jouis surtout pas !
Je l’entendais gémir de frustration à travers son gag, essayant de se retenir comme elle le pouvait.
— Si tu veux que j’arrête, reprends ta position de départ, sinon on peut continuer. Je me demande juste combien de temps tu vas tenir avant de jouir et d’être punie pour cela.
Elle ne résista pas longtemps et reprit rapidement sa position initiale. Je lui ai laissé un peu de répit en éteignant l’œuf, cela allait l’aider à faire redescendre son envie de jouir. Sa respiration calmée, je fis un signe à ma femme, et elle me suivit. Après m’être installé sur le canapé, mon épouse se mit à genoux et commença à glisser ma bite tout au fond de sa gorge. Mon membre remplissait toute sa bouche, il baignait dans la salive et les mouvements de ses lèvres tout le long de celui-ci faisaient monter mon envie de jouir. Il touchait parfois le fond de la gorge et les sensations que cela donnait étaient exceptionnelles. La chaleur de la bouche ajoutée à la dextérité de la langue qui donnait l’impression d’être partout sur ma bite me donna l’envie de baiser sa bouche. Mes mains se plaquèrent sur sa tête et lui imposa un mouvement rapide.
De la bave coulait le long de mon membre, allant jusqu’à mes couilles, cette bave faisait faire à la bouche de Julie des bruits obscènes, j’avais vraiment l’impression de lui baiser sa chatte. Je pris ses cheveux pour la forcer à relever sa tête, puis la retournai. Son bassin descendit doucement vers ma bite, et centimètre après centimètre, elle rentra en elle. Sa chatte était trempée, chaude et ouverte, je n’eus aucun mal à la pénétrer et je sentis qu’elle allait jouir dès que j’ai commencé à être en elle. Julie essaya de bouger de droite à gauche son bassin pour me donner envie de la baiser, mais je préférai contempler son cul en même temps qu’elle essayait de m’aguicher. Au moment où elle remonta son bassin pour faire coulisser ma bite en elle, je commençai à la baiser.
— Ma petite salope, tu ne pourras jouir qu’après que moi j’ai joui donc je te conseille de bien t’occuper de ma bite avec ta chatte.
J’aime beaucoup la voir bouger son bassin toute seule contre ma bite. J’ai beaucoup de mal à jouir comme ça et elle le sait, mais c’est la seule façon qu’elle pour essayer de me faire jouir. Pour elle, c’est une position qui la fait jouir très vite, ce fut un moment très frustrant pour elle... J’ai commencé à la bourrer avec de puissants coups de reins, elle ne fut pas longue à jouir. Pendant sa jouissance, j’actionnai l’œuf sur la puissance la plus élevée, ce qui prolongea sa jouissance, puis je me suis répandu sur son dos.
— Ma chérie tu as joui avant moi. Tu sais ce qu’il t’attend demain. Je te laisse là, je pars me coucher dans la chambre de la tour.
Elle me regarda avec un regard suppliant, mais résigné. Elle savait que je ne rigolais pas avec les punitions et la désobéissance. Je détachai ses mains, enlevai l’œuf, et mis des pinces à ses seins pour la tenir éveillée pendant la nuit et la laissai debout dans la chambre.
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