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Une vie de chien.

Chapitre 7

Pluralité canine pour Caroline ...

Zoophilie
Le mois de juillet est enfin là et les beaux jours aussi. Ces derniers temps, mes relations avec les deux femelles de la maison sont au beau fixe et je pense que mon maître Fernand, mari et père de mes deux chiennes, ne s’est aperçu de rien. Il faut dire que son emploi chez Total à la Défense l’accapare de plus en plus comme vous vous en doutez. Avec l’augmentation du prix de l’essence et les revendications sur le pouvoir d’achat, il est régulièrement retenu en réunion tard le soir. Super, cela me laisse le champ libre !
Avec Héloïse, nous avons maintenant une ou deux soirées coquines par semaine. Jusqu’à présent, c’est toujours une fois que sa mère est endormie et avant que son père ne soit rentré du travail. Cependant, l’autre soir, nous avons failli être surpris en pleine copulation.Caroline est couchée depuis déjà une bonne demi-heure lorsque Héloïse m’appelle pour la rejoindre dans sa chambre d’un « Psitt ! » rempli d’envie. A pattes de velours, je me glisse par la porte entrouverte et me rapproche de son lit dans la pénombre. Elle est allongée nue sur son lit et, comme j’en ai maintenant l’habitude, je la laisse me mettre de grosses chaussettes aux pattes. Une fois ainsi équipé, je saute sur le lit et m’allonge entre ses jambes. Je la connais maintenant bien et je sais comment elle fonctionne. En guise de préliminaires, elle aime être fouillée bien profondément de ma langue râpeuse. Pour éviter de mouiller le lit, elle glisse toujours une serviette de toilette sous ses fesses et je peux donc saliver de plaisir en lui dévorant la chatte. J’aime avoir la truffe bien enfoncée entre ses jambes écartées car je peux ainsi m’enivrer de ses effluves tout en la lapant à grands coups de langue. Ma bave se mélange à sa mouille et cela coule sur ses cuisses. J’adore !
Dès que son ventre commence à se contracter et qu’elle ondule du bassin, je sais qu’il est temps d’arrêter. C’est une jeune chienne en formation, elle ne sait pas encore maitriser ses orgasmes et il ne faut donc pas la faire jouir trop vite. Vous allez penser que je suis un expert en jouissance féminine mais ce n’est pas le cas. C’est simplement que les femmes se comportent comme des chiennes et que je connais très bien ces dernières !La voici donc qui commence à tressaillir sous mes coups de langue ; j’arrête mon cani cunnilingus et je rampe sur son corps juvénile jusqu’à ce que mon sexe arrive au contact de sa chatte. Même si elle n’a que de petits tétons, ils sont très réactifs. Tout en lui léchant la pointe des seins, ma queue se glisse en elle. Elle me dit tout bas-    Oui Dragster, c’est bien !-    Vas-y, remonte encore un peu plus haut !-    Oui voilà, tu es au fond maintenant.Elle me serre tout contre elle comme si j’étais son jeune amant. Elle joue du bassin tandis que je m’agite en elle. Si je pouvais parler la langue des humains, je lui dirais-    Quelle bonne petite chienne tu es !-    Avec un tel talent, tu iras loin !-    J’adorerais te sortir en forêt pour te baiser devant les copains !Excité comme je suis, je ne tarde pas à me verrouiller en elle et mon jus commence à s’écouler.
Soudain, nous entendons la porte d’entrée qui s’ouvre au rez-de-chaussée. Héloïse pousse un petit cri d’effroi-    Oh c’est papa qui rentre ! Pourvu qu’il ne remarque rien !Le pas pesant de Fernand résonne dans les escaliers qui montent à l’étage. Ma jeune femelle me dit-    Surtout ne bouge pas Dragster !et elle remonte le drap jusqu’à son cou de manière à me dissimuler à d’éventuels regards indiscrets.Bien au chaud dans la chatte de ma jeune maîtresse, verrouiller comme nous sommes, je ne risque pas de regagner mon tapis au fond du couloir. Je retiens donc mon souffle, et mon envie de continuer à besogner cette jeune salope. Soudain, Fernand qui vient de passer une tête par la porte entrouverte de la chambre de sa fille, demande-    Tu dors Héloïse ?-    Non papa !
-    Tu sais où est passé le chien ? Je ne le vois pas !Sa fille improvise-    Je l’ai mis dehors il y a quelques minutes et je vais le faire rentrer dans quelques instants !puis ajoute pour se débarrasser de l’opportun-    Ne t’inquiète pas, je m’en occupe !Son père lui répond-    Très bien, je me couche !puis, il enchaîne avant de repartir rejoindre mon autre maîtresse-    Entrouvre ta fenêtre avant de t’endormir, ça sent un peu le fauve dans ta chambre. Le chien a dû se coucher toute la journée sur ta descente de lit.S’il savait ce qui se passe régulièrement dans cette chambre et que c’est dans le lit de sa fille que je me couche, le pauvre Fernand serait surpris !
Nous entendons la porte de la chambre se refermée derrière Fernand. Héloïse me dit, toujours à voix basse-    On a eu chaud ! Attendons un peu avant de continuer !Quelle aubaine de sentir cette jeune chienne bien cadenassée à moi. Sans bouger, je réussis à donner de légers coups de queue et la petite en redemande vite-    Oh oui, vas-y, c’est trop bon !Heureusement qu’elle repousse le drap qui me recouvre car j’allais étouffer. Je reprends donc ma saillie et mon jus continue de se répandre en elle. Elle a les cuisses trempées, ses tétons sont tendus et bien durs, elle m’enserre plus fort contre elle et jouit longuement-    Oh j’adore ! Que c’est bon !-    J’aime être ta chienne, tu es le meilleur des amants !A vrai dire, je ne sais pas si elle a déjà baisé avec un jeune de son âge. Maintenant qu’elle est devenue ma chienne, peut-être a-t-elle peur d’être déçue en goutant aux plaisirs de sa race ! En ce qui me concerne, j’ai très envie de l’enculer un de ces soirs. J’entends parfois la nuit Fernand prendre ainsi Caroline et les deux semblent y trouver un certain plaisir, et même un plaisir certain. J’ai très envie d’essayer même si ce n’est pas dans mes pratiques habituelles !
Trois jours plus tard, il fait beau et Caroline est de RTT ; nous voici tous les deux seuls à la maison ! Je me dis qu’il est temps que je tente de l’initier à la pluralité canine. Depuis nos premiers ébats nocturnes dans un bosquet dans le jardin il y a déjà un mois, je l’ai régulièrement monté dans la maison.Cela a commencé dans la cuisine alors qu’elle était à genoux en train de nettoyer le sol. Elle avait une jupe courte qui ne cachait pas grand-chose de ses fesses. Je suis arrivé derrière elle, me suis dressé sur les pattes de derrière pour poser celles de devant sur son dos. Elle a tout de suite compris ce que je voulais et a rapidement écarté son string.En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, nous voici verrouillés l’un à l’autre et je me répands en elle en un long jet continu. Bien évidemment, elle a dû ensuite renettoyer le sol de la cuisine tout visqueux de notre jouissance.Par la suite, en deux ou trois occasions, c’est elle qui a fait le premier pas en profitant de l’absence de Fernand et d’Héloïse. Ce qui est extraordinaire c’est qu’elle garde son air de bourgeoise tout en devenant chienne. Le top c’est lorsqu’elle met un porte-jarretelles et ses bas noirs avant de me faire signe de la rejoindre dans sa chambre. Sa position préférée est en levrette, à genoux le ventre sur le lit, face au grand miroir de l’armoire. Dès que je suis en elle, elle me parle comme si j’étais un amant à deux pattes qu’elle encourage de la voix-    Vas-y Dragster, je suis ta chienne ; prends-moi bien !-    Oh oui, défonce-moi et arrose-moi bien !-    Je suis ta petite pute, profite de moi comme tu as envie !Si elle savait que j’arrive à comprendre tout ce qu’elle dit, nul doute qu’elle serait encore plus expressive !
Aujourd’hui, nous sommes donc seuls à la maison. Il est 10h30 et elle vient de prendre un café dans la cuisine. Je n’arrête pas de la coller, je la renifle et je glisse sous la table pour tenter de lui lécher les cuisses ; il faut dire qu’elle a mis une petite robe d’été qui ne cache pas grand-chose de ses jolies gambettes. Elle pense tout de suite que j’ai envie d’elle et me dit-    Viens, nous allons monter dans la chambre.J’ai d’autres idées en tête et je me dirige vers la porte d’entrée en aboyant un peu. Elle me lance-    Bon, si tu veux simplement sortir, je te suis !Nous voici dans le parc de Maisons-Laffitte que je connais très bien. Elle me tient en laisse et je m’adapte à son pas tout en me dirigeant vers où je veux l’entraîner. J’aperçois là mes deux copains Brutus et Hector ; j’aboie dans leur direction. Ils comprennent tout de suite ce que je leur dis et nous suivent de loin, Hector trainant derrière lui son arrière-train de chien impotent.Après dix minutes de balade, nous voici parvenus au fond du parc en bordure de forêt. Je connais bien le coin car je viens parfois traîner par ici pour baiser les chiennes en goguette. Le week-end, cela grouille de familles qui viennent se promener dans le secteur et, autant ils surveillent de près leurs jeunes gosses, autant ils laissent vadrouiller leurs chiens sans grande surveillance. Pour un queutard fini comme moi, toujours en manque, c’est un bonheur de venir par ici saillir toutes ces chiennes de bonnes familles. Et Dieu sait que certaines cachent sous leur pédigré de chienne inaccessible un tempérament de bâtarde peu farouche.
Je tire sur ma laisse pour entraîner Caroline vers un bosquet touffu de charmilles. Je me glisse sous les arbustes et ma maîtresse ne peut faire autrement que me suivre sous les frondaisons qui cachent un nid douillet et tranquille tapissé de mousses vertes et odorantes. Elle saisit enfin ce que j’ai en tête car elle me dit-    Coquin ! Tu veux copuler en pleine nature, comme deux animaux.L’idée semble lui plaire car elle défait lentement les boutons de sa robe qu’elle retire. Elle a les seins nus et ne porte plus que ses chaussures et son petit string. Le string suit le même chemin que la robe et Caroline s’allonge sur sa robe posée sur l’épais tapis de mousse.Je m’avance dans le compas de ses jambes et commence à lui lécher la fente. Elle réagit comme une chienne en chaleur, ferme les yeux, écarte encore plus grand les jambes et commence à gémir. Déjà en route pour le plaisir, elle ne fait pas attention à mes deux compères qui viennent de nous rejoindre dans notre cachette secrète. Les deux briscards se placent de chaque côté de Caroline et chacun d’entre eux se met à lécher le sein qui s’offre à lui. Ma maîtresse est surprise et ouvre les yeux. Elle nous lance-    Bande de vauriens ! Dragster m’a attiré dans un piège !puis poursuit-    Eh bien je vais vous montrer quelle chienne je peux être !Et la voici qui attrape les colliers de Brutus et Hector pour les attirer encore plus près d’elle.
En silence, à grands coups de langue râpeuse, nous léchons ce corps qui s’offre à nous sans pudeur et sans retenue. Caroline a de nouveau les yeux fermés, ses tétons sont dressés et son ventre est agité de soubresauts ; elle semble particulièrement apprécier ces préliminaires baveux.Comme je suis le maître de cette superbe chienne, je considère que c’est à moi que revient le privilège de la saillir en premier. J’avance donc un peu plus haut et m’allonge sur elle lorsque ma queue entre en contact avec sa chatte. Je la besogne un peu tandis que mes deux complices continuent de la lécher. Au bout de quelques minutes, je cède la place à Brutus après lui avoir dit quelques wouaf wouaf.C’est maintenant lui qui besogne ma maîtresse et il a bien l’intention d’en profiter. Pour avoir déjà fait quelques partouzes canines avec lui dans le parc, je sais que c’est un rapide à jouir. D’ailleurs, le voici déjà bien verrouillé à Caroline et il se répand de plaisir. C’est maintenant à Hector de prendre son pied. Comme il est à moitié impotent, cette position à la missionnaire lui va très bien. Pendant qu’il la saillit à son tour, je m’approche du visage de Caroline pour me frotter à ses seins. Mais la voici qui se saisit de ma tige et la porte à ses lèvres. Elle doit vraiment être excitée car c’est la première fois qu’elle me suce. C’est un régal !
Cela fait si longtemps qu’il n’a pas baisé que le copain Hector en a les larmes aux yeux. Il faut dire que dans le parc, impotent comme il est, il n’a aucune chance d’attraper l’une des chiennes qui y gambadent. Là, pas besoin de faire le moindre effort, Caroline se laisse monter sans même chercher à se soustraire aux assauts de ce vieux clébard vicieux qui lui lèche les seins et le cou tout en la tenant bien verrouillée contre lui.Ils se désaccouplent enfin et je fais comprendre à Caroline qu’elle doit changer de position. Avec les deux copains, elle s’est offerte allongée sur le dos comme si elle baisait normalement dirons-nous ! Et mes deux copains Brutus et Hector l’ont prise couchée sur elle, comme des mecs. Moi, je veux montrer à mes deux postes ce que j’attends d’elle !Caroline se met à quatre pattes comme une bonne chienne et me tend sa croupe. Je reconnais bien là ce qui fait le charme des saillies animales ; la femelle s’offre et n’est qu’un objet de copulation. Je fais comprendre à Brutus et Hector qu’ils peuvent la lécher encore s’ils le souhaitent. Brutus se met derrière et commence à lui laper les fesses et le cul tandis que Hector se glisse sous le ventre de Caroline pour lui lécher la chatte qui ruisselle.  La salope crie son plaisir-    Oh oui, que c’est bon !-    Encore, plus profond !Au bout de dix minutes de ce traitement, je me dis qu’elle doit être prête pour ce que j’attends d’elle. D’un aboiement autoritaire, je fais comprendre à Brutus qu’il doit me céder la place ; placé comme il est, Hector ne me gêne pas !
Caroline a les deux avant-bras qui reposent sur le sol et son front est appuyé dessus. Elle est dans une position des plus vulgaires, la croupe bien relevée et le dos incliné vers l’avant. Je me dresse et me voici dans la position du clébard baiseur. Alors que je rêve depuis quelques jours d’enculer Héloïse, c’est finalement sa mère que je vais prendre par derrière. Lorsque Caroline se rend compte de mes intentions, elle tente de se dérober en serrant les fesses. Mais lubrifiée et ouverte comme elle l’a été par la langue de Brutus, elle ne peut se soustraire à la queue qui déjà se glisse dans son œillet. Je sais qu’elle aime ça car je l’ai souvent entendu jouir le soir tandis que Fernand lui disait-    Quel cul tu as ma chérie !-    C’est un bonheur de t’enculer ainsi !Elle continue de serrer les fesses pour se soustraire à la saillie mais c’est trop tard. Je suis engagé dans son étroit boyau et plus rien ne peut m’empêcher d’aller de l’avant. Je la besogne lentement car il ne faudrait pas la dégouter de telles pratiques. Je donne donc de légers coups de queue et elle réagit à la perfection. La voici qui me dit-    Oui Dragster, un peu plus fort !-    Vas-y, encule-moi bien !Je suis maintenant tout en elle et il est temps de se verrouiller pour bien l’ensemencer. Mon nœud gonfle et cela l’excite car elle tend loin sa croupe vers l’arrière lorsque je pointe ma queue vers l’avant. Elle m’encourage-    Baise-moi bien Dragster !-    Montre à tes deux copains combien je suis une bonne chienne.Je me répands en elle tandis que Hector continue à lui lécher la chatte. Caroline jouit comme jamais, elle va se souvenir longtemps de cette première partouze canine.
Lorsque ma maîtresse a récupéré, nous revenons tranquillement vers le parc et la maison comme si de rien n’était. Caroline a tout de même une démarche hésitante et marche à petits pas près de moi. Elle a pris gros ; il va bien valoir qu’elle s’y habitue.Une fois dans le parc, Brutus et Hector s’éloignent non sans me remercier pour cette sympathique balade en excellente compagnie. Mais qu’il ne croit pas que cela sera ainsi à chaque fois ! Je suis un bon copain mais il ne faut pas abuser.A peine à la maison, Caroline se remet nue devant moi puis se dirige vers la douche en ondulant de la croupe. Quelle superbe chienne j’ai là ! Je crois qu’il va falloir que je lui trouve un collier pour bien montrer qu’elle a désormais un maître ...
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