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Une vie de chien.

Chapitre 9

Caroline, plus chienne que jamais ...

Zoophilie
Cela fait maintenant deux mois que Caroline et Héloïse portent leur collier de dressage. Heureusement que Fernand les a choisis intelligemment, en cuir de couleur et avec des strass pour ressembler à de vrais colliers féminins. Dans le cas contraire, cela ferait jaser….. surtout à la Préfecture du Val d’Oise où travaille madame.Trois ou quatre soirs par semaine, une fois la nuit tombée, la maison devient un lieu de débauche et de perversité. Le dîner terminé et la cuisine rangée, il sort la télécommande d’une cachette que lui seul connaît et le voici qui endosse son habit de dresseur de chiennes.En fonction de ses envies, la séance de dressage concerne la mère et la fille, ou seulement l’une des deux. Mais à chaque fois, Fernand sait faire preuve d’imagination ! En ce qui me concerne, je me complais dans mon rôle que l’on peut qualifier de chien étalon ou de clébard fornicateur. Ça pour baiser, je baise …. comme un lapin !
Ce lundi soir, Héloïse est retenue chez une camarde de classe pour préparer un exposé de géopolitique qu’elles doivent toutes les deux présenter en début de semaine prochaine. Nous nous retrouvons donc tous les trois et la soirée se passe normalement sans que Fernand semble vouloir dresser sa chienne de femme.Vers 22h00, il dit à Caroline-    Chérie, tu peux monter te coucher : je m’occupe de sortir le chien. Comme il fait beau, nous allons faire un petit tour dans le parc.Il fait doux sous les arbres centenaires et c’est reposant après les chaleurs de ces dernières semaines. Fernand s’assoie sur un banc, me détache et me laisse gambader tandis qu’il fume une cigarette.Tiens, voici Brutus qui fait sa balade du soir ; mais contrairement à moi, il n’est jamais accompagné. Il faut dire que ses jeunes maîtres sont des bobos écolos baba cool qui lui laissent la plus entière liberté et ne s’occupe quasiment pas de lui. Il passe donc son temps à vadrouiller dans le parc ou en forêt et à baiser la première chienne qui passe. Ce soir il n’a pas l’air au mieux de sa forme. Tout en levant la patte pour arroser un arbre, il me dit-    Je maudis ce satané Covid ! Le monde n’est plus ce qu’il était !Intrigué je lui réponds-    Tu l’as attrapé ? Je croyais que ce n’était que pour les humains, les chauves-souris et peut-être les pangolins !Il me rétorque-    Non Dragster, je l’ai pas choppé ! Mais depuis cette épidémie, les gens laissent de moins en moins leurs chiens se promener librement. Les chiennes en liberté deviennent rares !Connaissant Brutus, je lui lance-    Ah oui, j’comprends ton problème. Tu baises plus !La queue entre les jambes, il me répond-    Ma dernière saillie remonte à quinze jours. J’en peux plus !!Aussitôt j’ai une idée !
Quelques instants uns plus tard, me voici de retour avec Brutus près du banc où Fernand termine sa cigarette. Il se lève et prend le chemin du retour. En arrivant devant l’accès au jardin, il remarque la présence de Brutus qui marche à côté de moi. Il nous dit en ouvrant le portail-    Allez Dragster, on rentre. Et toi, tu retournes voir tes maîtres !Nous ne bougeons pas d’un poil et le regardons fixement. Fernand réitère son ordre-    Allez les chiens !Devant notre refus de bouger, Fernand semble avoir comme une illumination. Il me dit
-    Ah je comprends ! Tu veux que ton copain vienne avec toi.Nous entrons tous les trois dans la maison et, comme si je pouvais le comprendre, mon maître me dit-    Attends-moi avec ton copain en bas des escaliers. Quand je t’appelle, vous venez tous les deux.Dans son regard, je reconnais cette petite étincelle de perversité qui s’allume chaque fois qu’il laisse libre cours à ses envies lubriques et salaces. Mon plan fonctionne à merveille, mon copain Brutus va pouvoir se vider les bourses !
A peine Fernand a-t-il disparu en haut des escaliers que je fais comprendre à Brutus de me suivre en silence. Dans le noir, nous montons précautionneusement les escaliers et nous arrêtons juste avant la porte de la chambre conjugale qui est grande ouverte. Allongés sur le parquet du palier, nous entendons Fernand-    Allez chérie, viens d’empaler sur moi !Caroline le supplie-    Non chéri, je t’en pris. Pas encore ce soir !Après un rire bien gras, Fernand lui rétorque-    Tu as envie d’une petite décharge électrique avant les décharges de foutre ?Une voix soumise lui répond-    Non chéri. Je viens !On entend quelques bruits de pas et des gémissements puis plus rien. Enfin, une ou deux minutes après, mon maître m’appelle-    Viens mon chien. Et ton copain aussi !Lorsque nous entrons dans la pièce simplement éclairée d’une petite applique murale qui diffuse une lumière intime, le spectacle est des plus excitants. Caroline ne porte que son collier de cuir et un large porte-jarretelles noir qui retient ses bas. Sur l’épais tapis mohair situé devant la grande porte double miroir de la penderie, Fernand est allongé sur le dos et le couple est déjà en action. Empalée sur la queue de son mari, Caroline ondule du ventre et semble être devenue une victime déjà bien consentante.
Brutus bande déjà comme un âne et, la truffe levée, hume l’air. Parmi les odeurs qui se dégagent, il détecte comme moi le parfum utilisé par Caroline. Pour bien le connaître, moi je sais que c’est Opium d’Yves Saint Laurent. Mais une odeur plus acre et plus animale surpasse toutes les autres, c’est celle de la femelle en chaleur. Oui, même si elle n’ose pas l’avouer, Caroline est devenu accro à ces séances de zoophilie familiale.Sur le tapis, Fernand force Caroline à se pencher un peu plus sur lui, l’obligeant ainsi à relever bien haut les fesses. Nous nous rapprochons de cette croupe qui, si je peux m’exprimer ainsi, nous tend les bras ! Brutus s’approche un peu plus près et Caroline sursaute lorsque la truffe fraiche de mon copain se glisse entre ses fesses. La belle se met vite à gémir lorsque la langue râpeuse de Brutus commence à lui fouiller le sillon culier. Comprenant ce qui est en train de se passer, Fernand l’encourage de la voix-    Oui, vas-y le chien ! Prépare la bien avant de la monter.Mon copain y va de bon cœur et sa langue est maintenant bien profondément glissée dans le cul de ma maîtresse. Pour l’avoir souvent léchée ainsi, je sais combien elle apprécie sentir une langue chaude et agile lui fouiller les entrailles. Avec la langue de mon pote dans le cul et la queue de mon maître dans la chatte, elle atteint vite un premier violent orgasme. Au son de sa voix, je sais qu’elle a perdu toute sa retenue de femme bourgeoise pour libérer la chienne qu’elle est-    Oh oui, chéri. C’est bon !-    Je jouis de partout, ne vous arrêtez pas !-    J’aime la bite. Prenez-moi tous les deux !
Je ne sais nullement si Brutus a compris ce qu’on lui demande ou s’il ne peut plus attendre mais toujours est-il qu’il se dresse sur ses pattes de derrière, prend appui sur le dos de Caroline avec ses pattes de devant et commence à donner de puissants coups de bas-ventre. Caroline pousse un long-    Ahhhhh !avant que son ventre soit secoué de spasmes. Brutus vient de prendre possession de son cul !Fernand s’est immobilisé et de ses mains garde bien écartées les fesses de son épouse pour que mon copain puisse se glisser tout au fond de cette croupe si accueillante. Ça y est, il est verrouillé !Entre deux aboiements de plaisir, tel un commentateur sportif, Brutus me commente en direct ses impressions-    Ouaf ouaf ! Quel cul de salope !-    Oh putain, quel pied !-    Tu as de la chance de l’avoir pour chienne !-    Fernand est vraiment sympa !-    Je vais demander à me faire adopter !-    Oh là là; quel cul !Fernand y va aussi de ses commentaires salaces-    Quelle chienne tu es ma chérie !-    Bientôt tous les clébards du quartier vont venir frapper à notre porte !-    Je sens sa bite de chien frotter contre la mienne, que c’est bon !-    Et son foutre coule sur mes couilles !Dans un ultime aboiement, Brutus se vide et reste collé à la croupe qu’il vient d’ensemencer longuement. Une odeur animale se répand dans la pièce ; cela sent le fauve, le foutre et la luxure.
Brutus est à peine retiré que mon maître m’encourage à prendre la suite-    Allez Dragster, à toi !-    Viens dans sa chatte avec moi !Fernand est vraiment de plus en plus pervers ! Bien évidemment, pour ne pas paraître plus intelligent que je suis, je fais celui qui n’a pas compris. Alors que ma queue bat entre les jambes gainées de soie noire, Fernand s’en empare d’une main et guide mon gland vers la chatte de son épouse.Trempée et ouverte comme elle est, Caroline n’a aucun mal à absorber dans sa fente les bites de ses deux maîtres. Fernand cale son rythme sur le mien et nos deux bites coulissent maintenant en cadence dans la chatte de cette chienne de Caroline. Brutus s’approche de son visage, il bande encore. Fernand lui ordonne-    Allez salope, suce-le ! Tu vois bien qu’il n’attend que ça !-    Tu n’es vraiment qu’une chienne ! Caroline incline la tête vers le ventre de Brutus et s’empare de sa bite qu’elle prend en bouche. Mon copain est aux anges !Je viens de me verrouiller dans la chatte de Caroline, écrasant au passage la queue de Fernand. Mon foutre se déverse sous les encouragements de mon maître et les gémissements de ma chienne-    Vas-y Dragster, remplis bien cette salope !-    Oh oui, que c’est bon !-    Oh putain, je vais jouir à mon tour !-    Oui, videz-vous bien tous les deux !Tandis que mon foutre se mélange à celui de Fernand, Caroline suce toujours Brutus qui semble rajeunir de quelques années.
Une dizaine de minutes plus tard, Caroline git comme une poupée désarticulée sur le tapis mohair. Elle est superbe, allongée sur le dos, transpirante, les jambes écartées et les orifices béant. Elle sent la bourgeoise et la chienne, elle nous excite encore !Avec Brutus nous nous rapprochons d’elle et commencer à lui lécher le corps. Sa bouche sent le foutre, mon copain lui lèche le visage. Ses seins sont encore durs, les tétons bien tendus, ma langue râpeuse les excite un peu plus. Me devançant, Brutus plonge sa truffe entre les jambes de Caroline et lui lape le sexe à grands coups de langue. Nouvelle jouissance, nouvel orgasme. Elle est insatiable !Fernand filme la scène avec son portable, nu il bande encore. Il dit à sa femme qui s’abandonne sans aucune retenue à nos langues gourmandes-    Chérie, tu es une sacrée chienne ! Regarde comme ils en redemandent !Puis, il ajoute-    Je me demande si je ne vais pas changer de travail. Pour être plus disponible !Enfin, rangeant son téléphone, il lui lance avant de se diriger vers la douche-    La prochaine soirée sera dédiée à ta fille. Ne dit-on pas « Telle mère, telle fille ! ».On entend maintenant la douche coulée ; Caroline se redresse et change de position pour se mettre à quatre pattes en levrette. La chienne nous invite à recommencer ….
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