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Une vie de chien.

Chapitre 11

Pension de famille pour chiens ...

Zoophilie
Les mois ont passé et Fernand a enfin concrétisé son projet, longuement muri pendant le confinement, de déménager toute la famille à la campagne. Nous ne sommes pas allés très loin puisque nous sommes toujours dans le département des Yvelines. Cependant, nous avons quitté la ville de Maisons-Laffitte pour nous installer plus au sud en vallée de Chevreuse à proximité immédiate de la petite ville de Choisel.Fernand a jeté son dévolu sur une ancienne fermette avec quelques dépendances bâties sur un grand terrain arboré. Il a quitté son poste chez Total et s’est déclaré auto-entrepreneur. Caroline ne travaille plus qu’à mi-temps, deux jours par semaine, à la préfecture de Cergy. Cela limite donc les longs déplacements en voiture à deux allers-retours par semaine. Leur fille Héloïse a pris une petite chambre d’étudiante à Cergy Pontoise pour terminer sa scolarité à l’ESSEC mais tous les week-ends elle retrouve ses parents dans leur nouveau havre de paix. Quant à moi, je suis un chien peinard qui profite pleinement de son nouvel environnement campagnard. Avec la complicité de mon maître, je continue à besogner régulièrement Caroline et Héloïse. Mais les nouvelles activités de Fernand m’ont ouvert de nouveaux horizons !
Oui, pour s’occuper, Fernand a profité des dépendances de la fermette pour installer un vaste chenil comportant une bonne quinzaine de grands box individuels pour chiens. Il s’est par ailleurs affilié à la société Animaute, numéro 1 du pet sitting, et voici mon maître gestionnaire de pension canine.Il a lui-même été surpris par le succès de son entreprise car la pension canine ne désemplit pas depuis son ouverture. Dès que les gens partent en vacances ou simplement en week-end, Fernand est sollicité pour héberger les chiennes et chiens de tout ce petit monde. Comme je m’en doutais dès que j’ai vu Fernand installé l’enseigne « Pension canine familiale » à l’entrée de la propriété, mon maître avait bien d’autres idées en tête en choisissant une telle activité.En effet, dès le premier week-end d’ouverture du chenil, Fernand a surtout souhaité accueillir des chiens plutôt que des chiennes, et bien évidemment des chiens non castrés. Cela a été le cas avec Vulcain, un superbe berger belge adulte de cinq ans. C’est sa maîtresse, une belle femme de quarante-cinq ans, qui est passé le déposer en voiture. Elle dit à Fernand-    Vous verrez, c’est en gentil chien, mais un peu trop joueur. Je vous le laisse jusqu’à mercredi car je pars en voiture ce dimanche pour un séminaire professionnel de trois jours à Bordeaux.Dès le lundi, jour chômé pour Caroline, Fernand demande à son épouse de venir l’aider à s’occuper des chiens dans le grand enclos où ils sont mis en liberté pour se dépenser. Oui, même si les box sont grands, rien ne vaut de courir avec les autres chiens pour se dégourdir les pattes. A chaque fois, Fernand m’entraîne avec lui et me dit-    Allez Dragster, change-toi les idées avec tes potes !
Aussitôt dans l’enclos, j’ai tout de suite compris que Vulcain était un chaud lapin, façon de parler. En effet, il a immédiatement repéré les quatre chiennes du groupe et s’est mis à courir après. En moins de temps qu’il faut pour l’écrire, il a rapidement sailli une jeune femelle labrador. Le voici ensuite en train de courir après une toute jeune beagle. Soucieux de ne pas voir toutes les chiennes du chenil baisées par ce fougueux mâle, Fernand intervient et passe une laisse à Vulcain. Il lui dit, comme si l’animal pouvait le comprendre-    Viens Vulcain, je connais une chienne que tu vas pouvoir saillir aussi longtemps que tu souhaites.Puis il dit à Caroline-    Viens chérie, nous allons isoler Vulcain dans l’ancienne grange.Je suis le trio qui s’éloigne en direction d’un bâtiment que Fernand n’a toujours pas transformé. Ils entrent et mon maître referme la porte après que j’aie réussi à me glisser à l’intérieur derrière eux trois.C’est là que les anciens propriétaires stockaient la paille et le foin dont ils avaient besoin pour les quelques animaux qui égayaient cette petite ferme pédagogique. Il défait la laisse de Vulcain, prend une couverture qu’il plie en quatre et jette sur une botte de foin. Puis il dit à son épouse-    Viens ma chérie, j’ai envie de voir ce chien fougueux s’occuper de toi.Bien évidemment, aguerrie aux saillies canines et attentive aux envies de son mari, Caroline s’allonge sur la botte de foin, les bras et les jambes pendant de chaque côté. Fernand relève la longue robe de madame et fait glisser son string à ses pieds. J’adore voir ma maîtresse ainsi offerte, les jambes écartées et la croupe bien relevée.Cette première avec l’un des chiens en pension semble exciter Fernand qui se positionne derrière son épouse et la pénètre d’un coup sec. Il lui dit-    Oui ma chérie, même si tu es devenue une véritable chienne, il ne faudrait pas que tu oublies que je suis ton premier maître !
Il se retire sans jouir mais je comprends vite que ce n’était pas le but recherché. Non, il s’agissait avant tout d’exciter Caroline qui dégage maintenant une acre odeur de femelle en chaleur. Il n’en faut pas plus pour que Vulcain se rapproche pour identifier la source de ce puissant parfum aphrodisiaque. Sa truffe pointe maintenant vers la croupe de Caroline dont les ondulations du bassin montre qu’elle est impatiente d’être prise de nouveau.Vulcain enfouit sa truffe entre les jambes de ma maîtresse et je devine, à ses mouvements de museau et à ses grognements joyeux, qu’il est en train de la fouiller de sa langue. Caroline réagit tout de suite et gémit tout en poussant ses fesses loin en arrière. Fernand se rapproche et dit à Vulcain-    Allez mon chien, redresse-toi et baise-moi cette chienne !
tout en l’aidant à se dresser sur ses pattes de derrière. Sans être un chien savant, Vulcain comprend aussitôt ce que l’on attend de lui. Le ventre collé contre les fesses de Caroline, il donne un puissant coup vers l’avant et s’enfile dans la chatte déjà bien trempée.Fernand se recule et vient s’asseoir sur une autre botte de foin près de moi. Comme s’il pensait que je le comprends, il me dit-    Alors Dragster, qu’en dis-tu ? Beau spectacle !Je dois avouer que regarder ma maîtresse se faire saillir par un congénère n’est pas pour me déplaire !
Vulcain est maintenant bien verrouillé à la croupe de Caroline. A le regarder s’agiter frénétiquement dans le dos de cette belle chienne, on le prendrait pour un jeune chiot qui baise pour la première fois. Comme je l’ai fait il y a déjà plusieurs mois, Vulcain découvre tout le plaisir qu’il y a à saillir une belle bourgeoise. En général, une chienne se laisse faire sans passion car le coït animal est essentiellement lié à la reproduction de l’espèce. Mais avec une chienne comme Caroline, Vulcain a entre les pattes une femelle qui participe activement, qui ondule du popotin, qui accompagne le mouvement, qui apprécie la saillie et qui espère que cela va durer.Mais bien évidemment, comme je le sais, il est difficile de tenir la distance avec une telle salope. Bien verrouillé au fond de la vulve, Vulcain déverse tout son foutre en poussant un long hurlement de plaisir. Les autres chiens, renfermés dans l’enclos et dans les box, lui répondent en écho. Fernand pense qu’il ne s’agit que de simples aboiements, loin de se douter qu’il s’agit là de véritables félicitations pour celui qui vient de saillir la femme du patron.
Vulcain reste encore collé à la croupe de Caroline pendant quelques minutes. Enfin, il se retire laissant ma maîtresse pantelante, la robe toujours troussée haut sur ses reins et la chatte dégoulinant de foutre. Je me rapproche d’elle, elle sent la chienne et le foutre. J’ai la trique !Fernand remet la laisse à Vulcain et sort de la grange pour le ramener dans son box. Au moment de refermer la porte, il me lance-    Tu peux maintenant en profiter toi aussi Dragster ! Elle est encore toute chaude !A mon tour, je prends place derrière Caroline et ma langue remplace la queue de Vulcain. Je lui lèche la chatte et remonte jusqu’à son cul pour bien le lubrifier. Caroline ondule de nouveau ; elle ne semble pas rassasiée !Ma langue glisse maintenant dans son sillon culier bien enduit du foutre de Vulcain. Elle doit avoir compris mes intentions car elle se détend et son petit œillet s’entrouvre. Je me redresse, cale mes pattes sur son dos et trépigne entre ses fesses. Le spectacle précédent m’a tellement excité que je frétille un peu trop pour atteindre ma cible. Compréhensive, mais surtout impatiente, Caroline passe une main derrière son dos, se saisit de ma tige et la guide vers son petit trou. Ma pointe rouge s’y glisse et d’un bon coup de rein, je m’introduis entièrement dans ce chaud boyau dont j’ai déjà si souvent profité. Mais à chaque fois, c’est un nouvel émerveillement !
Caroline est devenue une véritable chienne mais parfois, lorsqu’elle me parle comme si elle s’adressait à un amant à deux pattes, je me demande si ce n’est pas moi qui suit devenu un humain. Elle me dit-    Oui Dragster, prends-moi bien !-    Vas-y, donne-moi du plaisir !Bien glissé dans son étroit et chaud boyau, je donne quelques coups de queue pour me glisser un peu plus loin. Quand mon bas-ventre cogne contre ses fesses, je sais que je suis au maximum et que je peux maintenant me verrouiller en elle. Les premiers temps, elle avait toujours un moment d’appréhension lorsque mon bulbe se dilatait en elle et la cadenassait solidement. Mais depuis nos premiers accouplements bestiaux, elle s’est très bien habituée à ce phénomène. Voilà, je suis bien accroché à elle et je peux maintenant me répandre et déverser tout mon foutre. Là encore, elle me parle comme si elle savait que je la comprends-    Oh oui Dragster, remplis-moi bien !-    Vas-y mon beau, je suis ta chienne. -    Ouiiiii, je jouis !C’est si bon que je prends tout mon temps pour me désaccoupler afin de profiter de la douceur de son cul et de son parfum de femelle. Enfin je me retire, elle reste là allongée à plat ventre sur la botte de foin. Mon foutre s’écoule et dégouline sur ses cuisses et ses jambes, se mélangeant à celui de Vulcain.
Pendant les quatre jours de présence à la pension, Vulcain a régulièrement sailli Caroline. Le mercredi en fin d’après-midi, je reconnais la Mercedes qui se gare dans la cour de la fermette. La maîtresse de Vulcain en descend et, comme je l’avais remarqué le dimanche lorsqu’elle l’avait déposé à la pension, c’est vraiment une superbe femme, sexy et BCBG. Comme le dit Fernand quand il parle de ce genre de femme-    Elle a du chien !Alors qu’elle est dans le salon à discuter avec Fernand, je dis à Vulcain-    Ta maîtresse est vraiment bien foutue. Elle a un mari ou un amant ?Il me répond-    Non, il n’y a jamais d’hommes à la maison. Je réfléchis quelques secondes en me grattant une oreille d’une patte puis lui conseille-    Tu devrais essayer d’en faire une bonne chienne comme Caroline. Tu vas vu pendant ces quelques jours combien c’est sympa d’inverser les rôles. Imagine-toi dans celui de maître de ta chienne !Vulcain me réponds dans un jappement qui en dit long sur ses envies-    Oh oui je vais tenter ma chance. Mon tapis de nuit est installé dans sa chambre et je l’entends régulièrement se donner du plaisir la nuit.A ce moment-là, voici Fernand qui revient avec la maîtresse de Vulcain. Il lui dit-    Véronique, je suis ravi d’avoir fait votre connaissance et je suis certain que Vulcain a apprécié son petit séjour ici. N’hésitez pas à nous le ramener si nécessaire ou à vous arrêter si vous passez dans le coin.Véronique passe la laisse à Vulcain et ils se dirigent tous les deux vers la Mercedes. Il n’y a pas à dire, elle a vraiment un superbe cul ! Je ne doute pas que mon nouvel ami Vulcain va rapidement en profiter …
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