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Une vie de chien.

Chapitre 12

Noël en famille ...

Zoophilie
Pendant les vacances de fin d’année 2022, la pension canine familiale n’a pas désemplie. Séjour au sports d’hiver, vacances ensoleillées à l’étranger, Noël chez les beaux-parents, réveillon en province chez des potes, ….. toutes les occasions sont bonnes pour se débarrasser temporairement de ses amis à quatre pattes !A de nombreuses reprises au cours du mois de décembre, allongé sur le tapis devant la grande cheminée de notre fermette, j’écoute Fernand répondre aux sollicitations téléphoniques.-    Bonjour, oui c’est bien la pension canine « Au paradis des chiens ».-    Oui nous avons encore quelques places de libres en fin d’année. Mais plus beaucoup !-    Ah, c’est une chienne ! Non désolé, je ne peux pas la prendre en pension.-    Pourquoi ? Nous avons eu récemment des problèmes avec une jeune chienne et je me suis maintenant spécialisé dans la garde des gros chiens plutôt dominants.-    Oui c’est cela ! Je ne voudrais qu’il arrive quelque chose à votre jolie femelle caniche.-    Oui, je me doutais bien que vous comprendriez !Mon maître est vraiment rusé ! Pourquoi s’encombrer de femelles à la pension alors que nous en avons déjà deux.
C’est ainsi qu’en ce samedi 17 décembre, premier jour des vacances scolaires, la pension affiche quasiment complet. Oui, nous avons huit chiens en pension et tous de beaux mâles de différentes espèces. Bien sûr, pour éviter des questions gênantes, Fernand ne peut pas refuser de prendre en pension les mâles castrés mais heureusement, il n’y en a que deux sur les huit mâles présents.Je me considère quasiment comme un associé de mon maître car discrètement, sans que Fernand le sache, je discute avec mes congénères pour tenter de détecter le potentiel sexuel de chacun d’entre eux. Quitte à partager la femme et la fille de mon maître, je préfère que ce soit avec des chiens qui ne seront pas décevants. Et j’ai justement sympathisé avec deux potes qui devraient faire l’affaire. Le premier est Shadok, un dogue allemand de 5 ans dont les maîtres ne sont plus tout jeunes et qui semble donc manquer d’exercice. Il doit bien faire 80 centimètres et pas loin de 85 kilos. Une vraie bête de concours ! Le second, Dardeville, est un scottish deerhound – ou lévrier écossais – de 6 ans, aussi grand que le précédent mais moins gros. Il appartient à un couple d’homosexuels retraités – style gentlemen farmers – installés dans un petit manoir dans la campagne essonnienne pas très loin de la pension.
Le lendemain à 10h00, comme chaque jour, Fernand sort les chiens de leurs box et les lâche en liberté dans le grand terrain clôturé de notre fermette. C’est un bonheur de voir tous mes potes à quatre pattes gambader dans l’herbe pour profiter du vaste espace qui s’offre à eux. Oui, ce n’est pas tous les jours qu’ils peuvent ainsi libérer l’animal qui sommeille en chacun d’eux.Caroline et Héloïse sont occupées dans un coin du jardin à tailler quelques arbustes. J’entraîne mes deux nouveaux copains vers elles, histoire d’établir un premier contact. Comme je leur ai donné quelques instructions, Shadok et Dardeville se frottent à leurs jambes quémandant quelques caresses. Ils leur font les yeux doux et jouent les bons gros toutous affectueux. Les deux femmes se laissent avoir et commencent à les caresser entre les oreilles. Il n’en faut pas plus pour que les deux affreux se roulent par terre et fassent des pitreries pour se rendre encore plus intéressants. On dirait vraiment deux jeunes mâles humains qui tentent de séduire deux filles ! Et pour mon plus grand plaisir, les deux femmes se laissent prendre au jeu.-    Oh qu’ils sont mignons ! s’exclame Caroline.-    Oui maman, ils sont vraiment trognons ! lui répond Héloïse.-    Et quelles belles bêtes !-    Oui, ils sont super beaux ! Quels beaux mâles !Je sens que mon plan est bien parti pour fonctionner !
Pendant la semaine qui suit, dès que j’en ai l’occasion, j’entraîne Shadok et Dardeville derrière moi pour aller traîner dans les pattes de mes deux maîtresses. Si Caroline est occupée à préparer le repas des pensionnaires, nous restons près d’elle, nous faufilons entre ses jambes, lui donnons des coups de truffe dans les fesses et réclamons caresses et gratouillis.Avec Héloïse, nous profitons des instants où elle range les dépendances pour la solliciter, réclamant des jeux de balles et autres artifices pour passer du temps avec elle. Il nous arrive même de lui sauter dessus pour la renverser dans le foin ou la paille. Gentiment, elle se prête à nos jeux et je devine, à son odeur de femelle, que tout cela commence à bien l’exciter.Bien évidemment, Fernand s’est rendu compte de notre petit manège et cela ne semble pas lui déplaire.
-    Alors, tu t’amuses bien avec tes copains ? me lance-t-il un jour alors que nous sommes seuls.Je prends mon regard le plus clébard possible, vide et sans expression.-    Oui, ne te fais pas plus bête que tu n’es ! Tu m’as très bien compris ! me tance-t-il.Puis il me tourne le dos et vaque à ses autres occupations.
Le 24 décembre en début de soirée, ma petite famille se prépare pour un bon dîner. Ils sont tous les trois attablés devant la cheminée où flambent quelques belles buches. C’est l’heure de l’apéro et Caroline a rempli trois flutes de champagne.-    A notre premier Noël de notre nouvelle vie ! lance Fernand en levant son verre.-    A notre nouvelle vie ! répondent en chœur les deux femmes.Allongé sur le tapis, je tire la gueule faisant comme si la fête ne me concernait pas. -    Eh bien Dragster, que t’arrive-t-il ? demande Héloïse.-    Tu fais la tête ? Tu n’aimes pas Noël ? questionne Caroline.Je garde le museau entre mes pattes, continuant de bouder.-    Mais je sais ! s’écrie Fernand. Il a envie de partager ce bon moment avec un ou deux copains. C’est ça mon chien ?Je me redresse sur mes pattes, je frétille de la queue.-    Mais oui mon vieux, on va demander à deux de tes potes de se joindre à nous ! dit-il en se levant de table et en quittant la pièce.Quelques minutes plus tard, le voici qui revient avec Shadok et Dardeville. -    Tiens, te voilà de la compagnie ! lance-t-il avant de se rasseoir en me faisant un gros clin d’œil.Parfois je me dis que je suis un peu humain pour les comprendre si bien. D’autres fois, je me dis que Fernand doit être du signe du « Chien » pour savoir si bien lire dans mes yeux de clébard !
Vautrés avec moi près du feu, mes deux potes ont vite compris que la soirée ne fait que commencer et qu’il convient d’être patient. De son côté, Fernand fait en sorte d’accélérer les choses en remplissant régulièrement le verre des deux femmes. Après le champagne, c’est du blanc pour les fruits de mer en entrée, du rouge pour le chapon et la salade avec fromage. Pour la buche au chocolat, il sert enfin un blanc moelleux d’Alsace qui finit de rendre Caroline et Héloïse bien guillerettes.Maintenant il doit être près de 23h00 et c’est Fernand qui dessert la table pendant que les deux femmes papotent au coin du feu. Soudain Héloïse se lève.-    Maman, je vais monter me coucher car je crois que je suis un peu pompette ! dit-elle à sa mère.-    Oui ma chérie, va au lit. Tu ouvriras ton cadeau demain matin ! lui répond Caroline.La jeune femme se lève de son fauteuil et grimpe l’escalier qui mène au grenier où son père lui a installé sa chambre. La chambre parentale et deux chambres d’amis ont quant à elles été aménagées au rez-de-chaussée de part et d’autre d’un long couloir qui mène aux anciennes granges.Au bout de quelques minutes, je fais comprendre à Dardeville qu’il doit me suivre discrètement et nous voici grimpant à notre tour dans le grenier. J’ai bien évidemment recommandé à Shadok de rester tranquillement avec Caroline devant la cheminée pour lui tenir compagnie. Fernand est certainement sorti pour faire le tour des box et s’assurer que les pensionnaires ne manquent de rien. Au prix où est la pension, il ne faudrait pas que les chiens aillent se plaindre à leurs maîtres !
Au grenier, la chambre d’Héloïse est plongée dans la pénombre, simplement éclairée par la lumière de la pleine lune qui filtre par les deux petites lucarnes de la toiture. La jeune fille est allongée nue sur son lit et est en train de se caresser. Nous nous avançons vers elle et, découvrant notre présence, elle nous invite d’un petit geste de la main à sauter sur le lit.Ma truffe se pose sur l’un de ses genoux et Dardeville comprend vite qu’il peut faire de même. Bien évidemment, l’odeur de jeune chienne qui exhale de sa fente juvénile nous incite à lui lécher les cuisses et à remonter à la source de ce parfum intime. Ma langue se mélange à celle de Dardeville alors que nous lui lapons la chatte. Héloïse gémit de plaisir et sa fente commence à fondre sous nos léchouilles.La voici maintenant qui relève bien haut les jambes et prend dans ses mains les deux pattes de devant de mon pote. Nul besoin d’un dessin pour que Dardeville comprenne qu’il doit venir chevaucher la jeune femelle qui attend une bonne saillie.-    Vas-y doucement mon vieux ! Costaud comme tu es, il ne faudrait pas que tu l’éventres ! lui dis-je à l’oreille.Je devine le cœur d’Héloïse qui bat de plus en plus vite et sa respiration qui se fait plus forte. -    Oh quel merveilleux cadeau de Noël ! dit-elle entre deux profonds soupirs.Aux crispations de Dardeville, je comprends qu’il vient de se verrouiller dans l’intimité de ma jeune maîtresse. Cette dernière croise ses jambes sur l’échine du chien pour l’attirer encore plus près d’elle.
Pour augmenter le plaisir de la jeune demoiselle, je descends du lit et me positionne cette fois-ci sur le côté de manière à pouvoir lui lécher la poitrine. Oui, j’adore ses petits seins bien fermes et ronds comme des pamplemousses. Elle gémit de plus belle sous les coups de boutoir de Dardeville et sous mes longs coups de langue.-    Oh que c’est bon les toutous ! Encore, encore ! nous supplie-t-elle d’une voix impatiente.Ma langue râpeuse se concentre maintenant sur ses tétons érigés et gonflés. Elle est comme sa mère, sensible des seins et des tétons ! Oui, comme sa mère, c’est une véritable chienne !Dardeville viens de se vider longuement dans le ventre d’Héloïse encore agité de longs spasmes. Mon copain reste allongé sur le corps pantelant de la jeune fille et je sais qu’ils vont rester ainsi de longues minutes avant que Dardeville se déverrouille. Il ne va d’ailleurs pas se presser car je le connais ce bonheur de rester bien souder à ce corps tout chaud, la queue baignant au chaud dans cette chatte remplie de foutre. Oh, que c’est bon !N’ayant plus rien à faire avec eux deux, je décide de redescendre au rez-de-chaussée pour voir ce qui se passe.
Je ne suis pas surpris du spectacle qui s’offre à moi ! Fernand est bien installé dans un fauteuil devant la cheminée et savoure le verre de cognac qu’il tient à la main. Il est débraguetté et Caroline, à genoux sur l’épais tapis, est penché sur le bas-ventre de son époux. Ce dernier l’encourage de la voix-    Vas-y chérie, pompe-moi bien !-    Oui c’est ça ! Prends-la entièrement en bouche !-    Quel délicieux cadeau de Noël tu me fais là !Shadok est toujours allongé à côté sur le tapis mais il frétille de la queue et ses pupilles brillent d’envie. Sa tige rose dépasse sous son ventre, la scène ne le laisse pas insensible !Je me rapproche, Fernand me voit arriver.-    Ah Dragster, tu arrives à pic ! me dit-il.-    Montre à ton copain combien ta maîtresse est bonne avec les chiens, poursuit-il.Je me glisse derrière Caroline qui écarte un peu plus les jambes. La coquine a compris ce qui va lui arriver !Je glisse le museau sous sa jupe et remonte le tissu sur ses reins. La salope n’a même pas mis de petite culotte pour le dîner de Noël. Elle porte simplement des bas noirs accrochés à un joli porte-jarretelles qui lui enserre la taille. Elle s’est préparée pour la visite du Père Noël !Maintenant bien calé derrière elle, je lui lèche l’entrejambe, de la chatte jusqu’au cul. Elle ondule de la croupe tout en continuant à pomper avidement la queue de son mari.Pour l’exciter un peu plus et la préparer à la suite, la pointe de ma langue se glisse alternativement dans son sexe et son petit œillet brun. Elle réagit au quart de tour en gémissant de plus belle. La voici prête !
-    Wouaf, wouaf ! dis-je à mon copain Shadok.Il se redresse d’un seul coup et vient prendre ma place derrière Caroline. Il est tellement haut sur pattes qu’il lui suffit d’avancer tout contre la croupe de ma maitresse pour que sa tige pointe à l’entrée du paradis.-    Vas-y Shadok ! lui dit Fernand. Monte moi cette chienne !Mon copain n’a pas attendu l’autorisation de mon maître pour pénétrer Caroline et la besogner à grands coups. Excité comme pas un, il a la langue pendante et la bave coule au coin de ses babines.Je réussis à me glisser sous le ventre de Caroline et je lui donne de petits coups de langue sur son clito tandis que Shadok pénètre loin au fond de sa chatte. La situation est des plus perverse et Fernand ne peut plus se retenir.-    Oh oui, je jouis ! lâche-t-il.-    Oh chérie, qu’elle belle salope tu fais ! -    Allez les chiens, je vous la laisse. Elle est à vous !Fernand se lève de son fauteuil mais Caroline reste dans la même position. Les avant-bras posés sur l’assise du fauteuil, les genoux dans l’épaisse laine du tapis et la croupe bien haut relevée.Glissé sous elle, je continue à lui donner de petits coups de langue sur son bourgeon tout gonflé. Shadok ne bouge plus : bien verrouillé dans la chatte de Caroline il se déverse tant qu’il peut. Quelques filets de semence s’échappent, je donne un coup de langue. Caroline jouit longuement la tête entre ses avant-bras. J’aime voir ma maîtresse ainsi, le corps en transe, les seins gonflés de plaisir, la chatte bien remplie de foutre.
Je reprends ma place, bien allongé devant la cheminée. Caroline s’écroule à plat ventre sur le tapis ; elle n’est plus qu’un pantin épuisé, les jambes encore écartées et Shadok allongé sur elle et toujours verrouillé.Je suis certain que mes deux copains ne s’attendaient pas à passer un tel Noël lorsque leurs maîtres les ont déposés à la pension il y a déjà quelques jours. Je ne doute pas qu’ils auront envie de revenir…..
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