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Une vie de débauchée

Chapitre 1

Trash
AVERTISSEMENTLe texte qui suit décrit des fantasmes purs, qu’il n’est pas question de réaliser réellement. Les maladies sexuellement transmissibles existent et font des ravages et la conception d’enfants engage la vie d’autrui et ne doit pas avoir de motivations sexuelles.Certains chapitres comportent des passages ouvertement scatophiles.

PREAMBULELe début de cette histoire s’est déroulé il y a longtemps. Je venais tout juste de fêter mes 18 ans et j’étais éprise de liberté. J’avais passé une adolescence classique dans une ville de province, je terminais le lycée par l’obtention d’un Baccalauréat professionnel en vente. Il ne me semble pas que mon enfance ait été troublée par le fait que j’ai été adoptée par une famille française lorsque j’étais bébé. Certes j’ai conservé les traits de mes parents chinois, mais je me sentais totalement intégrée à ma famille.
Côté relations amoureuses, tout se passait au mieux. Mon physique, par son côté « exotique », attirait le regard de nombreux garçons. Je ne faisais d’ailleurs rien pour les détourner. Même si je ne me maquillais que très légèrement, je m’habillais de manière sexy, mais pas provocante, et jouais de mes longs cheveux sombres très lisses. J’entendais généralement avec plaisir les commentaires flatteurs de la gent masculine.
Assez jeune je fus attirée par les joies du plaisir physique. Après quelques séances d’auto-découverte de mon corps et des plaisirs qu’il pouvait me procurer, j’ai franchi le pas en fréquentant quelques garçons un peu plus âgés qui m’ont fait découvrir – et apprécier – les rapports sexuels.
J’ai rencontré Alexis quelques jours après mes 18 ans et j’ai rapidement été séduite par ce beau garçon blond de 2 ans mon aîné. Mon attirance pour le sexe m’a poussé à coucher avec lui très vite. Il était le candidat idéal à une première relation sérieuse. Dès nos premiers ébats, j’ai compris qu’il me désirait très fortement. Mon visage asiatique à la peau lisse, mon ventre plat, mes petits seins fermes bien dessinés aux tétons érectiles et mes jambes souples semblaient l’exciter. Je crois que mon prénom chinois, Hua, contribuait également à son désir. Je compris qu’il avait davantage d’expérience sexuelle que mes précédents partenaires, il savait faire monter mon plaisir et me maintenir ensuite longtemps dans un état proche de la jouissance, mais sans me la faire atteindre. Cette attente et cette frustration décuplaient ensuite la puissance de mon orgasme. La sodomie me questionnait beaucoup, la plupart des copines avec lesquelles j’en parlais trouvaient cela répugnant, mais ne l’avaient jamais expérimenté. Je décidai de juger par moi-même et offris mon anus à Alexis. Si les premières minutes ne m’ont pas procuré de plaisir particulier, petit à petit la sensation d’être remplie m’a excité et j’ai globalement apprécié l’expérience.
CHAPITRE 1
J’avais rendez-vous avec Alexis que je devais rejoindre dans sa chambre, chez ses parents. Ils habitaient une maison de banlieue. Je vivais encore chez les miens et étais venue en scooter.
J’entrai par le jardin qui donnait sur sa chambre. Je toquai discrètement à la porte-fenêtre et entrai sans y avoir été formellement invitée. Je surpris mon petit-ami torse nu face à une jeune fille en sous-vêtements, allongée sur le lit ! Je poussai un cri et le giflai avant qu’il ne prononce une seule parole. Ce geste me calma un peu et Alexis pu m’expliquer que la fille en question était sa sœur et que je ne devais pas m’emporter de la sorte. Je ne crus pas à cette histoire et j’ai exigé de voir la carte d’identité de la donzelle. Elle se plia à ma demande et je dû reconnaître ma méprise : la belle rousse dévêtue devant mon copain se prénommait Stéphanie, elle portait bien le même nom qu’Alexis, elle avait un an de moins que moi, il s’agissait bel et bien de sa sœur.
Je bredouillais quelques excuses et la jeune fille s’éclipsa, nous laissant enfin seuls. Alexis m’expliqua qu’il était proche de sa sœur et qu’il arrivait qu’ils se côtoient dans la maison en petite tenue. Après tout ils étaient frère et sœur, il n’y avait aucun mal. Etant fille unique, je ne savais pas vraiment quel comportement pouvait être d’usage entre frère et sœur, je me dis que cette situation devait être tout à fait normale.
Après cet incident, nous nous caressâmes par-dessus nos vêtements, puis nos mains glissèrent en-dessous, directement sur notre peau. Après quelques minutes, je m’appliquai à offrir une fellation que j’espérais adroit. J’essayais de prendre la plus grande longueur de son manche dans ma bouche, mais j’étais loin de parvenir à tenir toute sa verge. Néanmoins ses soupirs semblaient indiquer que j’étais à la hauteur. Il s’occupa ensuite de mes parties intimes avec sa langue, faisant monter mon plaisir en prenant garde à ne pas me faire atteindre l’orgasme. Puis il me pénétra alors que j’étais allongée sur le dos.
J’eus alors la surprise de voir apparaître Stéphanie au travers de la porte-fenêtre. Elle était restée en sous-vêtements et nous matait sans se gêner, une main s’agitant dans sa culotte. Je pensais un instant me cacher sous la couette, mais une pulsion m’en empêcha. Toute à l’excitation que provoquait la pénétration, je me tus afin de ne pas interrompre nos ébats. J’exagérai même mes gémissements de plaisir, pour exciter encore plus cette petite dévergondée.

Alexis changea de position. Alors qu’il m’embrassait amoureusement dans le cou je ne pus m’empêcher de souffler à mon amant que sa sœur nous observait. Je fus surprise de sa réponse : « Tu voudrais qu’elle nous rejoigne ? »
Que répondre ? Mon copain me proposait une partie à trois avec sa sœur ! Je fus gagnée par ma perversion naturelle, que je découvrais à peine. Je répondis un timide : « Pourquoi pas ».
Je regrettais déjà mes mots lorsque Stéphanie – à qui Alexis avait dû faire un signe – entra et s’installa à côté de nous, finissant de se déshabiller sans précipitation, le plus naturellement du monde, pendant qu’Alexis investissait à nouveau ma chatte ! Elle portait de longs cheveux roux qui tranchaient singulièrement sur sa peau très claire, parsemée de quelques taches de rousseur. Ses yeux bleus lui conféraient une innocence à l’opposé de son comportement vicieux ! Ses seins étaient plus généreux que les miens, ses hanches nettement plus larges que aussi.  
Elle continuait à se faire du bien en triturant son bouton du plaisir, sans aucune gêne apparente. Puis elle approcha sa bouche de mon visage et plaqua ses lèvres contre les miennes. J’ouvris naturellement ma bouche et sa langue s’y enfourna. Ce fut mon premier baiser lesbien, alors qu’Alexis continuait ses vas-et-viens dans ma chatte qui s’humidifiait de plus en plus !
Stéphanie agaçait mes seins avec ses doigts, sa langue. Elle jouait avec le piercing que je portais au nombril depuis peu. Elle me proposa ensuite de quitter la belle bite qui me donnait du plaisir pour qu’elle la remplace de sa langue habile. Intriguée par cette nouvelle expérience qui m’était proposée, j’accédai à sa demande. Que c’était bon d’être léchée par cette langue adroite et légèrement râpeuse après avoir été baisée par un beau dard ! Je ne tardais pas à jouir, libérant de gros flots de mouille qui ne semblaient absolument pas rebuter Stéphanie.
Après cet orgasme, elle délaissa ma chatte, pour se tourner vers la bite raide de son frère. Lui jetant un regard complice, elle emboucha son gland et se mit à pomper le beau chibre de mon mec ! J’étais un peu interdite devant ce spectacle, mais j’étais surtout fascinée. Quelle perversité se dégageait du spectacle que m’offraient mon petit-ami et sa sœur. Stéphanie était plus douée que moi, elle prenait pratiquement la totalité du sexe de son frère en bouche !
Alexis s’allongea sur le lit, sa sœur devant lui, agenouillée parterre et aspirant profondément son membre dans sa gorge. Il m’invita à me mettre à califourchon sur son visage pour me prodiguer un nouveau cunnilingus, j’en éprouvais à nouveau un plaisir intense.
Il cessa son jeu de langue avant que je ne jouisse à nouveau et me demanda de m’agenouiller sur le lit, ce que je fis volontiers. Il présenta alors sa queue raide et collante de la salive de sa sœur dans la raie de mes fesses et appuya sur mon anus. Cette pénétration pris un peu de temps. Stéphanie facilita les choses en caressant ma chatte et en humidifiant mon trou avec sa salive. Alexis fut suffisamment délicat pour que son intromission se fasse sans réelle douleur. Je me laissais aller et profitais de ces instants. Quel bonheur de se sentir bien prise… Je ne sais pas pourquoi les filles se disent tellement rebutées par le sexe anal. Personnellement cette pénétration me procurait un plaisir intense, différent des rapports vaginaux, mais tout aussi apte à me faire jouir.
Dès qu’Alexis eut trouvé son rythme dans mon cul, Stéphanie s’allongea devant moi en écartant ses cuisses, elle voulait clairement que je lui retourne son cunnilingus. Malgré mon inexpérience et les pénétrations régulières dans mon fondement, je me mis à lécher – sans doute un peu maladroitement – son sexe orné d’une fine toison entretenue. Après plusieurs minutes de sodomie, Alexis accéléra le rythme et je jouis une seconde fois !
Lui, en revanche n’avait pas encore éjaculé. Alors que je m’effondrais après l’orgasme dévastateur, il planta sa bite trempée de mon jus dans la chatte de Stéphanie que je venais de préparer. Je matais mon mec en train de baiser sa propre sœur, quel spectacle immoral et délicieux ! Même si je ne participais pas directement, la vue d’une telle scène me faisait mouiller. Mes doigts glissaient naturellement dans ma fente d’amour.
Il la pénétrait très fort et elle ne fut pas longue à venir, en poussant des cris de folle. Alexis sorti de son sexe trempé et d’instinct je m’approchais de sa verge pour la prendre en bouche. Excité comme un fou, il juta sur mon visage. Je n’étais pas encore bien habituée à recueillir du sperme avec ma bouche, mais cela ne me rebutait pas du tout. Stéphanie non plus ne semblait pas dégoûtée par le foutre, elle vint me rouler une pelle bien collante… Alexis nous félicita et nous dit qu’il recommencerait dès qu’on voudrait… J’échangeai un regard complice et lubrique avec Stéphanie, pour lui signifier que ce moment était bien proche…
Après cet après-midi de débauche, j’aurais voulu rester plus longtemps chez Alexis, mais je devais rentrer pour préparer un prochain entretien d’embauche. Je retournais donc à regret chez mes parents.
Après une soirée occupée à préparer l’entretien qui avait lieu le lendemain matin, j’allais me coucher. Je commençais seulement à réaliser l’immoralité de la scène à laquelle j’avais participé. Le premier partenaire de ma vie avec lequel j’envisageais une relation sérieuse niquait sa sœur sans aucune gêne et me demandait de participer ! Une partie de moi me disait de le plaquer sans délai. Mais j’avais accepté de coucher avec eux, personne ne m’avait forcé. Et puis, quel plaisir j’avais ressenti lorsqu’il me prenait pendant que je prodiguais mon premier cunnilingus. Que la sensation de la langue de Stéphanie sur ma chatte avait été forte ! J’avais beau tenter de me raisonner, je savais déjà qu’Alexis avait mis au jour mon instinct profond, celui d’une salope perverse. Dès que j’arrivais à cette conclusion, je me sentis mieux, je devais assumer ma nature et profiter de l’opportunité que m’offrait mon petit-ami et de sa très belle sœur. Je me dis que j’avais une chance incroyable d’avoir rencontré un garçon et une fille aussi attirants et qui pourraient me permettre d’explorer le côté pervers de ma sexualité naissante.
Je repensais à la scène et naturellement ma main glissait dans ma culotte déjà trempée. Je me donnais du plaisir avant de m’endormir.
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