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Une vie de débauchée

Chapitre 6

Trash
Je consacrais toute mon énergie au sexe et aux plaisirs physiques. Je sombrais dans un mode de vie totalement débauché. Je me levais souvent tard – avant Alexis toutefois – je ne prenais souvent pas la peine de m’habiller ni de me laver et déambulais dans la cuisine toute nue, fière de mon corps que je jugeais très sexy en m’observant dans les miroirs disposés dans la maison. J’imaginais que mes petits seins bien fermes, aux tétons dressés par les légers courants d’air, mon ventre plat où brillait le piercing de mon nombril, mes cheveux noirs et lisses tombant jusqu’à mes fesses pommelées, pourraient faire bander beaucoup d’hommes et mouiller bien des femmes.
Généralement Annie était également présente, guère plus vêtue que moi, exposant ses formes plus généreuses que les miennes et sa peau plus claire sans aucune pudeur. Nous nous embrassions généreusement, avant de préparer un petit-déjeuner. Dès qu’il était avalé, ma bouche partait à la découverte de l’intimité d’Annie, où je goûtais souvent au sperme que Reynald avait laissé là plus tôt le matin, avant qu’il ne parte travailler. Je m’en délectais, puis le partageais avec mon amante dans un baiser langoureux. Nous quittions alors la cuisine, nos chattes excitées laissaient des traces humides sur les chaises où nous étions assises, et nous passions au salon où nous nous vautrions dans le canapé pour poursuivre nos ébats lesbiens.
Alexis se levait plus tard, peu avant midi. Sa mère et moi l’accueillions par une gâterie buccale qu’il appréciait. Il déposait parfois sa semence dans nos tasses à café et nous nous délections ensuite du breuvage tout en nous caressant mutuellement tous les trois.
Stéphanie se joignait à nous en début d’après-midi. Elle revenait de son travail et nous tâchions de lui faire oublier sa fatigue et son stress en lui prodiguant des massages qui se poursuivaient en cunnilingus, puis en pénétrations profondes données par son frère.
Enfin, en début de soirée Reynald et parfois Valentin étaient de retour. Nous nous chauffions avant le dîner par des caresses, des fellations et d’autres amuse-bouche. Après le dîner nous entamions les choses sérieuses : une vraie partouze à six, au cours de laquelle je me faisais pénétrer par tous les trous, tout comme Stéphanie et Annie. Nous jouissions comme des folles avant de provoquer l’éjaculation des mâles qui nous aspergeaient de leur jus épais et chaud.
Il m’arrivait de ne pas passer un seul vêtement de toute une journée.
Je me posais la question de savoir si Stéphanie était adepte ou non des jeux sales ? Si elle l’était en avait-elle conscience, avait-elle déjà pratiqué, seule ou accompagnée ? Ces questions me taraudaient et malgré l’indignation d’Annie lorsque j’avais formulé ces interrogations, j’échafaudais un stratagème qui devait me permettre d’avoir des réponses.
Je souillai volontairement une culotte blanche d’une grande trace merdeuse au niveau de mon anus. Je pliai ma culotte d’une manière à mettre bien en vue sa partie sale et la déposai au sommet de la pile de linge sale. Je savais que Stéphanie allait bientôt revenir du travail et qu’elle passerait par la salle de bain pour se préparer à nos ébats de l’après-midi. Je comptais voir si le pliage de ma culotte serait toujours le même après son passage.
Lorsque Stéphanie rentra du travail, Annie et moi l’accueillîmes selon nos habitudes, par de langoureux baisers et des mains baladeuses. Puis elle se rendit ensuite à la salle de bain pour se préparer. Il me sembla qu’elle y restait plus longtemps que les autres jours. Quand elle revint, rien ne paraissait changé dans son attitude, mais son esprit me sembla un peu ailleurs. Je prétextai une envie pressante pour m’éclipser et laissai la mère et la fille se donner du plaisir.
J’étais toute excitée de savoir si Stéphanie avait ou non joué avec ma culotte sale. En soulevant le couvercle du bac de linge, je ne vis pas ma culotte. Je fouillai, mais impossible de la retrouver. Je sus que Stéphanie avait joué avec. La disparition de ma culotte sale me confirmait son attirance pour la saleté sexuelle. Pour en savoir plus, je me rendis discrètement dans sa chambre et fouinai dans ses affaires. Je retrouvai mon sous-vêtement souillé dans un tiroir, je l’inspectai de près et vis des traces humides tout autour de la tâche brune : Stéphanie avait léché ma culotte imprégnée de mes excréments ! Quelle cochonne faisait-elle ! J’aurai voulu que sa mère sache à quel point sa fille était vicieuse et délurée. Assurée du goût de Stéphanie pour le sexe sale, j’échafaudai un plan pour qu’elle me dévoile ses penchants et que toute la famille puisse en profiter.
Le lendemain, Stéphanie avait un jour de repos. Je lui proposai de faire un jogging dès le matin. Etant sortie avec des amies la veille, je n’avais pas participé à la partouze familiale habituelle, afin d’éviter d’avoir à nettoyer mes intestins. Ils seraient donc bien pleins après notre footing. Stéphanie accepta volontiers d’aller courir avec moi.
Après 45 minutes de course nous transpirions abondement toutes les deux. Elle ne fut donc pas difficile à convaincre d’aller prendre une douche. Après nous être lavées normalement, je commençai à caresser le ravissant corps de Stéphanie. Je me glissai entre ses cuisses pour lui prodiguer un cunnilingus qui lui donna un réel plaisir si j’en jugeai par ses gémissements et ses râles. Je fis cependant attention à ne pas la faire jouir, je voulais qu’elle reste excitée au maximum pour l’inciter à se plonger dans le sexe sale.
Juste au moment où elle allait connaître l’orgasme, je cessai mes mouvements de langue et l’invitai à prendre position pour un soixante-neuf.

Je me mis à quatre pattes dans la baignoire et Stéphanie se plaça sous moi. Pendant qu’elle fourrait sa langue dans mon intimité j’ondulais du bassin, afin que mon anus se trouve régulièrement en contact avec ses lèvres. Stéphanie dû comprendre mon intention, elle commença à lécher de plus en plus mon petit trou plissé. Je stoppai mes mouvements et Stéphanie continuait à explorer mon anus à l’aide de sa langue pointue, qu’elle tentait d’insinuer à l’intérieur de ma grotte pas très propre. J’allais pouvoir mettre mon plan vicieux à exécution.
Je continuais à activer ma langue sur le sexe trempé de désir de mon amante pour maintenir son excitation très élevée, proche de la jouissance. Je savais qu’une fille comme Stéphanie pourrait faire des folies lorsqu’elle se trouvait dans un tel état.
Alors qu’elle fourrait toujours sa langue dans mon cul, je commençai tout doucement à contracter mes muscles abdominaux. Mon action ouvrit légèrement mon anus et facilita ainsi sa pénétration par la langue de la belle rousse. Elle dut entrer en contact très vite avec les matières fécales qui se trouvaient à l’intérieur, mais elle ne dit rien, continuant à me lécher normalement.
Je poussai de plus en plus fort, sentant ma merde se déplacer à l’intérieur de mon intestin. A l’extrémité de mon anus, Stéphanie devait forcément sentir les excréments qui arrivaient doucement vers sa bouche, mais elle continuait à faire coulisser sa langue en moi, sans aucune expression de dégoût.
Augmentant encore ma poussée, je sentis ma merde se précipiter à l’extérieur de mon rectum, je ne pus la contrôler. Stéphanie en fut aspergée. Elle retira sa langue et me lança : « Ah ! Tu m’as chié en pleine face ! »
Mais au lieu de stopper nos ébats comme je le craignis un instant, elle replongea presque immédiatement sa langue dans mon anus ! J’étais agréablement surprise, car si j’étais convaincue qu’elle aimerait jouer avec de la merde, je craignais qu’elle ne fasse quelques manières et soit réticente au début. Il n’en était rien, Stéphanie était une pure perverse !
Son visage devait être couvert de mes excréments chauds et elle continuait à me lécher le cul comme si sa vie en dépendait ! J’émis quelques pets foireux, qu’elle dû respirer à plein poumons ! Décidément cette fille était bien la digne héritière de la famille de vicieux que j’avais rencontrée.
Après que j’aie évacué le contenu de mes intestins, je me retournai et découvris Stéphanie encore plus sale – et plus excitante pour moi – que je ne l’avais imaginé : son visage était maculé de merde un peu molle, qui s’était également répandue dans ses longs cheveux roux et bouclés et sur le haut de son torse. Sous ce masque immonde elle souriait franchement, indéniablement heureuse de ce qu’elle vivait, en me jetant un regard coquin de ses yeux bleus. Je ne pus résister à l’embrasser à pleine bouche, goûtant ma merde et jouant à l’étaler encore plus sur nos corps gorgés de désir.
Nous restâmes un long moment dans la baignoire, à nous vautrer dans mes immondices, nous caressant, nous embrassant. Stéphanie nous gratifia d’un long jet d’urine bien chaude, qui liquéfia un peu plus la merde répandue sur notre peau. Nous nous branlâmes mutuellement et nous partîmes ensemble dans un orgasme ravageur, où les sensations physiques étaient décuplées par les stimuli cérébraux générés par l’immoralité de nos actes pervers. L’odeur de la pièce était pestilentielle.
Après une douche aussi nécessaire que bienfaisante, nous discutâmes de ce que nous venions de faire. Je lançai à Stéphanie : « Alors comme ça tu aimes les jeux sales ?
— Comme si tu ne le savais pas déjà, répondit-elle avec un sourire entendu.— Comment aurai-je pu le savoir ? fis-je un peu étonnée.— Et ta culotte sale, que tu as laissée volontairement en vue sur le bac de linge et que tu es venue récupérer dans ma chambre ! rétorqua-t-elle.— Ah bon ? Tu t’étais rendu compte de mon petit manège ? tentai-je de me défendre.— Evidemment, ton petit jeu était bien grossier, dit-elle, une peu hautaine. »
Souhaitant reprendre le dessus sur ma partenaire, je décidai de tout lui dévoiler dès à présent : « Et sais-tu que nous ne sommes pas les seules dans cette maison à pratiquer le sexe sale ? lui assénai-je.
— Je sais qu’il y a également Valentin, avec lequel on s’adonne parfois à ce type de jeux. Mais à t’entendre je me dis qu’il doit également y avoir d’autres personnes, répondit-elle à moitié surprise. »
Sur le ton de la confidence, je lui avouai que ses parents et son frère étaient également adeptes des pratiques sales et que nous avions déjà eu l’occasion de polluer l’air de la salle de bain à quelques reprises… Elle sembla très intéressée par mes propos. Comme je découvrais que Valentin avait également un penchant pour la saleté, je me dis que nous aurions l’occasion de vivre des plaisirs sales tous les six. Mon esprit se focalisait sur l’occasion à provoquer pour déclencher une telle partouze crade.
Je mis Alexis dans le secret et en parlai également à Stéphanie, elle-même en toucha un mot à Valentin. Peu de temps après notre expérience sale à quatre, Stéphanie, Alexis, Valentin et moi étions prêts à entraîner Annie et Reynald dans nos vices les plus pervers. J’étais sûre qu’il serait facile de les faire sombrer dans ces pratiques immondes avec leurs propres enfants.
Après dîner, nous étions réunis tous les six, comme très souvent. Stéphanie engagea les choses, lorsqu’elle déclara : « J’ai envie de passer un peu de bon temps dans la salle de bain. »
Elle se leva et m’invita à la suivre, accompagnées de Valentin. Nous commençâmes à nous caresser dans la salle de bain. Rapidement, Alexis et ses parents nous rejoignirent. Une véritable partouze s’enclenchait.
Assez vite, je me fis enculer par Alexis, tandis que Valentin faisait de même avec Stéphanie. Installées dans la baignoire, penchées en avant nous tendions nos croupes à nos amants qui nous besognaient avec vigueur. Les parents, Annie et Reynald, s’accouplaient plus normalement, en nous regardant faire, à quelques mètres de nous !
Après plusieurs minutes de pistonnage intense, nos amants sortirent de nos grottes chaudes et accueillantes, ce qui libéra le contenu de nos intestins, qui se rependit au fond de la baignoire, embaumant immédiatement la pièce. Je vis le regard médusé d’Annie et celui ravi de Reynald, qui baisait toujours sa femme, avec une ardeur décuplée !
Annie, assez naïve, n’imaginait pas que sa fille et son petit-ami pouvaient être aussi pervers. Elle resta donc incrédule durant de longues secondes. En revanche, Reynald avait immédiatement compris que nous avions prémédité ce scénario, il savait sans doute au fond de lui que ses deux enfants, et leur compagnon, étaient aussi vicelards que leurs parents et que les jeux sales devaient les exciter au plus haut point. Il lança les réjouissances cochonnes, en s’adressant aux deux garçons qui venaient de libérer le contenu de nos intestins, tout en poursuivant ses va-et-vient dans le sexe de sa femme : « Alors comme ça vous prenez plaisir à salir vos bites dans les trous du cul crados ! » Les deux intéressés acquiescèrent.
Stéphanie et moi regardions la scène d’un œil coquin et complice, nos étrons souillant le fond de la baignoire, Valentin et Alexis exhibant leur dard bandé et sale, et en arrière-plan Reynald tringlant Annie. Simultanément, nous nous agenouillâmes dans le caca et tendîmes nos bouches avides vers les sexes sales de nos hommes. Je pris la bite de Valentin maculée des excréments répandus par Stéphanie dans ma bouche, tandis que cette dernière se mit à nettoyer la bite de mon mec, goûtant ainsi à mes fèces.
La queue de Valentin était bien grasse de matière brune, elle dégageait une odeur putride, mais terriblement excitante pour mes narines perverses ! Ma langue tâtait les résidus sales et les lapait. Je nettoyai ce beau membre en quelques minutes. Valentin était à la limite de la jouissance et il me repoussa doucement pour ne pas gâcher son foutre immédiatement. Stéphanie semblait également s’être régalée de ma merde sur le sexe d’Alexis. Nous nous embrassâmes alors langoureusement, échangeant le goût de nos excréments respectifs en salivant beaucoup. L’image de notre baiser sale eu raison d’Annie qui poussa de grands râles qui trahirent son orgasme et provoquèrent en réaction celui de Reynald qui éjacula dans la chatte de son épouse.
Après avoir été témoin de cette scène des plus débridée, Annie sembla avoir changé de point de vue sur le comportement de sa fille. Elle s’approcha d’elle, s’agenouilla à son tour dans notre merdre et partagea elle-même un baiser sale, malodorant et incestueux avec la chair de sa chair.
Restés inactifs depuis quelques minutes, Valentin et Alexis, s’emparèrent des fèces qui restaient encore dans la baignoire et entreprirent de badigeonner nos corps avec cette matière grasse et collante. Valentin tartina ma poitrine tandis qu’Alexis maculait les seins de sa mère des immondices mélangées de sa sœur et de sa copine. En quelques minutes la totalité de nos corps devinrent marrons et malodorants. De la merde collait mes longs cheveux habituellement soyeux !
Le reste de la soirée ne fut que pisse, chiure, pet foireux, crachats et jouissance…
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