Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 32 J'aime
  • 4 Commentaires

Une vie de débauchée

Chapitre 7

Trash
Pendant les mois suivants nous continuâmes ce mode de vie déluré, fait de baises quotidiennes et d’expériences sales fréquentes. Je me plaisais de plus en plus avec la famille d’Alexis. Mon esprit pervers voulait que je sois encore plus intimement liée à elle. Aussi, je décidai – sans consulter personne – de stopper la pilule. Le résultat ne se fit pas attendre, je fus enceinte quelques semaines plus tard, sans savoir de quel homme !
J’annonçai la nouvelle à toute la famille. Tous étaient réjouis de ma grossesse qui débutait, ils allaient voir mon corps se transformer et cela les excitait vraiment, mais personne ne semblait se soucier de l’avenir de l’enfant qui allait naître, ni même de savoir qui était le père.
Ma vie continua ainsi jusqu’à plus de huit mois de grossesse. Quelques nausées immiscèrent du vomi dans nos orgies sales pour la plus grande joie de tous les protagonistes !
Mon ventre habituellement plat et mes petits seins prirent du volume, pour la plus grande joie de mes partenaires. Mes hormones de femme enceinte me donnaient encore plus envie de sexe, y compris de pratiques sales.
Je me faisais baiser plusieurs fois par jour. Tous les deux ou trois jours, je me retrouvai couverte d’une gangue de merde collante des pieds à la tête, aspergée de pisse chaude dont m’abreuvaient mes partenaires. Je jouissais alors en me branlant la chatte de mes mains sales. Le contact de la merde sur mes nichons gonflés et surtout à l’intérieur de ma cramouille dilatée par ma grossesse m’excitait terriblement et mon corps était pris de spasmes violents lorsque les orgasmes m’envahissaient. Je bouffais de la merde et buvais de la pisse presque tous les jours, parfois j’ingurgitais même du vomi, le mien ou celui de mes partenaires gavés d’immondices. Je ne savais pas si cela était bon pour la santé de mon bébé, mais je m’en foutais, seul mon plaisir comptait.
Puis, un bouleversement que j’ai encore aujourd’hui du mal à expliquer – peut-être d’origine hormonal – fit basculer ma vie. Du jour au lendemain je décidai de tout changer, de quitter Alexis et sa famille et de m’enfuir seule dans une autre ville. A 19 ans, sans emploi, enceinte de plus de huit mois, ayant quasiment coupé les ponts avec ma propre famille (qui n’était même pas au courant de ma grossesse), c’était de la pure folie. Mais était-ce vraiment la pire des folies que j’ai commise ?
Je trouvai un subterfuge pour mendier de l’argent à mes parents et partis m’installer dans une nouvelle région. J’y accouchais d’une petite fille, que je prénommais Léa. Je ne savais toujours pas qui était son père, mais comme elle ne présentait aucun trait négroïde, j’en déduis qu’il ne pouvait s’agir que d’Alexis ou de Reynald.
Les subsides de mes parents me permirent de vivre pendant trois mois, puis de lancer une petite affaire de service à domicile : ménage, repassage,… Cela n’était pas très passionnant, mais je parvins à m’en sortir financièrement, même si les fins de mois étaient difficiles.
Très occupée à gérer mon bébé et mon activité, je mettais – pour un temps – mes besoins sexuels au second plan. Néanmoins, ils me taraudaient toujours et les quelques séances de masturbation que je m’accordais ne suffisaient pas à satisfaire mon immense appétit.
Aussi, je ne résistais pas aux avances d’un client chez lequel je faisais le ménage. Même s’il avait largement dépassé la quarantaine, je cédais bien vite à son charme et lui dévoilai les miens.
Il se prénommait Serge. D’une taille moyenne, il faisait attention à lui et son corps était plutôt attirant : des bras puissants, un torse au ventre presque plat, bien campé sur des jambes solides. Mais ce qui me fit succomber c’était son regard : des yeux d’un bleu très clair qui me fixaient et dégageaient un réel magnétisme. Il me séduit par un pouvoir d’attraction que j’ai du mal à expliquer encore aujourd’hui. Je couchai avec lui dès notre deuxième rencontre.
Même s’il avait 46 ans et ne s’était jamais marié, il demanda ma main quelques semaines après notre première rencontre. Emportée par le plaisir que nos ébats me procuraient, j’acceptais sans réfléchir. Nous nous mariâmes un mois plus tard.
Je tombais enceinte dans la foulée et accouchai d’un petit garçon, que nous prénommèrent Kévin. J’avais alors 20 ans et Serge, 47. Contrairement à sa demi-sœur Léa, il avait davantage les traits de son père, son visage était moins typé asiatique.

Même si Serge ne m’offrait pas une vie sexuelle aussi débridée que celle que j’avais connue avec Alexis et sa famille, il satisfaisait mes besoins, qui étaient peut-être moins forts que précédemment car je dépensais alors beaucoup d’énergie à faire vivre mon entreprise et à m’occuper de mes enfants en bas âge.
Toutefois, une chose me manquait : les parties de sexe sale. Je décidai d’initier mon mari à ces pratiques. Malheureusement, il ne partageait pas mon goût pour la saleté. Il me repoussa assez durement lorsque je fis apparaître de la merde lors d’une sodomie.
Après cette expérience manquée je n’eus jamais le courage de retenter d’attirer Serge vers des pratiques sales. Je pense que ce n’était pas son truc. Il ne voulut d’ailleurs plus m’enculer pendant de longs mois après cet essai malheureux, et lorsque nous reprîmes nos rapports anaux, je dus lui jurer au préalable que mon intestin était parfaitement propre.

J’ai aujourd’hui 38 ans et mes enfants sont grands, Léa a 19 ans et Kévin 18. Serge et moi vivons toujours une activité sexuelle intense. Il tient à ce que je sois toujours svelte, attirante et que je porte des tenues féminines. Aussi je fais très attention à mon corps. Je n’ai pris que très peu de poids depuis mes 18 ans, malgré mes grossesses et la vie de famille. Mes seins, toujours menus, tiennent bien les années et je peux me passer de soutien-gorge sans problème, mes fesses restent bien rebondies. J’ai coupé mes cheveux en un carré arrivant au niveau de mes joues. Lui-même fait beaucoup d’efforts, malgré ses 64 ans, il est toujours très séduisant et d’une performance sexuelle remarquable.
Je continue à pratiquer les jeux crades, mais en cachette. Je profite des rares occasions où ma famille est absente pour m’adonner à mon vice : me branler dans ma propre merde en m’arrosant de pisse !
Malheureusement ces années de vie tranquille s’achèvent en ce matin de juin lorsque les services de secours m’appellent pour m’annoncer le décès de mon mari, victime d’une crise cardiaque. Passée la période très agitée des obsèques et des formalités en tout genre, ma vie s’effondre et j’ai besoin de tout l’amour de mes enfants pour surmonter mon chagrin.
Ma fille Léa est particulièrement proche de moi dans cette période douloureuse. Elle sait calmer mes crises de sanglots, le soir lorsque je me retrouve seule dans le lit conjugal qui me rappelle tant de souvenirs érotiques délicieux avec Serge. Léa passe parfois la nuit avec moi, elle me prend dans ses bras et tente de m’apaiser.
C’est lors de ces câlins maternels que je me rends vraiment compte que ma petite Léa est devenue une vraie jeune femme. Elle me ressemble sans doute beaucoup, elle a hérité de moi ses traits asiatiques. Elle porte de longs cheveux sombres et ses yeux veloutés lui confèrent un regard très doux.
Mon esprit embrumé par le deuil a sans doute plus de mal à discerner le bien du mal. Emportée par ma tristesse je me confesse à ma fille, en décrivant – avec force détail – mes rapports avec Serge. Sans doute bien intentionnée, Léa traduit mes paroles en gestes. Alors que je lui explique le plaisir que j’éprouvais lorsqu’il caressait mes seins, Léa prend en main ma poitrine à travers ma fine nuisette. Je suis un instant interloquée, mais je ne réagis pas négativement, je laisse faire et petit à petit je suis gagnée par le plaisir procuré par des sensations qui me font défaut. Léa me procure un réel plaisir.
Elle va plus loin, me fait des bisous dans le cou, sur le haut de mon torse, se rapproche de ma bouche et continue en embrassant mes lèvres. Là encore je reste passive, puis ma raison cède, j’entre dans son jeu en écartant mes lèvres. Léa en profite pour glisser sa langue dans ma bouche et me donner un délicieux baiser incestueux. Je n’ai aucune volonté de l’arrêter, les sensations qu’elles me donnent sont trop agréables pour que j’y mette fin. Ses mains glissent sous ma nuisette et caressent directement mes petits seins fermes, faisant darder mes tétons.
Léa titille ensuite ma chatte de ses doigts agiles, tout en continuant de m’embrasser. Les frissons que me transmet mon sexe me font basculer, je deviens active dans cette relation incestueuse. Je réponds à ses baisers et commence à caresser le corps de ma fille. Je n’avais pas connu de rapport avec une femme depuis que j’avais quitté la famille d’Alexis et Léa me rappelle combien j’aime coucher avec une femme, qui plus est une si belle jeune fille.
Nous nous déshabillons mutuellement et je lèche la chatte de Léa. Quel goût divin a son sexe trempé de mouille ! Je le tète comme une affamée, passant ma langue sur toutes ses parties intimes, son clitoris, ses lèvres, allant même jusqu’à son anus plissé. Elle gémit, preuve qu’elle aime ce que je lui fais. Je fais attention à ne pas la faire jouir trop vite, j’ai peur que si son excitation retombe elle ne prenne conscience de l’immoralité de nos ébats et n’y mette fin.
Alors qu’elle est au bord de l’orgasme, je quitte son entrecuisse et lui demande de me donner du plaisir : « Viens chérie. Viens lécher la cramouille de maman.
— Oui, je vais te faire du bien, me répond-elle avec un sourire coquin. »
Léa vient prendre possession de ma chatte avec sa petite langue habile. Elle me donne un plaisir fou. Je suis sûre que ma foufoune n’est pas la première qu’elle lape ! Elle me provoque un orgasme en quelques minutes. Je crie comme une folle mon plaisir.
Je veux la faire jouir à mon tour. Je plaque à nouveau ma bouche sur sa fente, active ma langue et la doigte pour procurer sa jouissance ! Elle hurle de bonheur.
Après ce premier ébat incestueux, nous passons la nuit ensemble à nous câliner amoureusement. Léa me questionne : « Maman, tu crois que c’est mal ce qu’on vient de faire ? »
Je réfléchis quelques secondes, pense à ce que j’avais connu des années plus tôt avec la famille d’Alexis et lui réponds : « On s’est donné du plaisir non ?
— Oui, répond-elle.— Est-ce qu’on a fait du tort à quelqu’un ? complète-je.— Non, murmure-t-elle d’une petite voix adorable.— Alors, je ne vois pas ce qu’il y a de mal. Faisons-nous plaisir tant que l’on veut, conclus-je. » Sachant que j’ouvre des perspectives de poursuite de notre relation sexuelle incestueuse.
Léa et moi prenons l’habitude de baiser ensemble quotidiennement. Même s’il vit avec nous, nous sommes vigilantes à ce que Kévin ne sache rien de nos rapports incestueux.
Je sens que Léa est heureuse de nos rapports et ils m’aident beaucoup à atténuer mon chagrin. Elle veut que nous partagions tous nos fantasmes, je pense qu’elle pressent que je suis nettement plus salope que ce que je lui ai montré jusque-là. Elle m’entraîne dans des conversations toujours plus osées : « Tu sais maman, quand on baise, je sens que tu as beaucoup d’expérience, je suis sûre que tu as dû coucher avec plein de filles.
— Oui, ça m’est arrivé, mais c’était il y a longtemps, réponds-je un peu gênée.— A l’époque où tu fréquentais mon père ? continue-t-elle.— Oui, j’étais très jeune et un peu perdue, dis-je.— Tu prenais du plaisir à faire l’amour avec des filles ? me questionne-t-elle.— Il n’y en a pas eu tant que ça, tu sais, me défende-je.— Comment les as-tu connu ? enchaine-t-elle.— En fait, la première fille avec laquelle j’ai couché était la sœur de mon copain de l’époque. Et puis il y a eu sa mère … » Lance-je, sachant que mes propos peuvent lancer un engrenage vers de nouveaux degrés de perversité. — Comme ça tu baisais avec la sœur de ton copain et sa mère ! s’exclame-t-elle.— Oui. Il y avait quelques hommes aussi. Son père, le copain de sa sœur… poursuis-je.
Léa est un peu estomaquée. Elle se doutait bien que sa mère n’était pas une sainte, mais elle ne s’attendait pas à ce que je fus aussi délurée. Ces confessions m’excitent au plus haut point, je sens ma chatte couler. Léa n’arrête pas son interrogatoire : « Et vous baisiez tous ensemble ?
— Oui, ça nous arrivait souvent, réponds-je.— Je sens que tu ne me dis pas encore tout, petite salope cachottière. » Lance-t-elle en faisant une mimique adorable. Disant cela elle enfonce deux doigts dans ma moule gluante de mouille.— Effectivement, on allait très loin. Il arrivait que l’on se déchaîne complètement, on pouvait alors se pisser dessus, on jouait même avec notre merde !
Poursuis-je de plus en plus excitée.

Léa me jette un regard de désir brûlant, elle doigte violemment ma cramouille et donne de grands coups de bassin dans le vide, simulant un acte sexuel endiablé. Je sais qu’elle voudrait qu’une grosse queue lui laboure le vagin à cet instant. Faute de bite, je plante mes doigts dans sa chatte humide, qui les absorbe immédiatement et elle pousse des feulements explicites quant à son désir. Je la maintiens excitée sans la faire jouir pendant de longues minutes. Nous avons chacune la main dans la chatte de l’autre, que c’est excitant,…
La sentant mûre, je lui propose : « Si on allait faire des cochonneries dans la salle de bain ? Cette conversation m’a donné envie d’être sale … » Léa me regarde avec enthousiasme de son regard de braise.
Nous gagnons la pièce d’eau. Léa s’allonge au sol, je la domine du regard, me positionne bien au-dessus d’elle et libère ma vessie. J’asperge son corps et sa nuisette de mon urine chaude, elle est très vite trempée. Même si je commence à découvrir toute l’étendue du vice de ma fille, je suis néanmoins surprise de la voir placer sa bouche grande ouverte à la sortie de mon urètre pour capter directement ma pisse à la source.
Mon jet se tarit trop vite. Ma Léa gît au sol, détrempée de mon jus chaud et collant, la bouche pleine. Elle se relève, garde le contenu de sa bouche et m’invite à goûter à ma propre urine. Le périlleux transfert du liquide entre nos bouches fait couler un peu de pisse sur moi et je peux goûter à mon urine qui sort de la bouche de ma salope de fille ! Nous concluons nos ébats par une branlette mutuelle qui nous fait jouir et nous laisse pantelantes dans la pièce puant les chiottes sales !
Nos esprits à peine recouvrés, j’embrasse ma fille à pleine bouche, pendant que ma main fouille son entrecuisse. Elle me rend mon baiser et triture mes seins à travers le fin tissu trempé qui les couvre. Notre baiser est sauvage mêlant salive et pipi. Dès que nos lèvres se séparent une seconde, de grands fils gluants se tissent entre nos mentons baveux.
Je m’allonge au fond de la baignoire, toisée par Léa, qui écarte son string et m’inonde d’un flot d’urine brûlante que je tente de capter avec ma bouche. Je parviens à attraper une partie du flux impressionnant. Ma nuisette est néanmoins trempée de nos liquides dorés délicieux. Dès qu’elle a fini de pisser, elle s’allonge sur moi et m’embrasse à pleine bouche, goûtant sa pisse encore chaude !
Rapidement, elle me présente sa croupe, tandis qu’elle place son visage face à ma vulve palpitante d’excitation. Nous entreprenons un délicieux soixante-neuf. Je lèche la chatte de ma fille encore imprégnée de son urine, pendant qu’elle passe sa langue délicieusement râpeuse sur ma fente trempée de pisse et de mouille. Elle me fait jouir en quelques minutes. Je tente d’éviter de lui procurer la jouissance que son corps réclame, en ralentissant par moment mes coups de langues. Je ne veux pas qu’elle atteigne l’orgasme trop vite, j’ai peur qu’elle ne souhaite plus se vautrer dans les immondices que je lui réserve si elle est moins excitée.
Mes caresses se rapprochent de son anus. J’enfile un doigt, puis deux, dans son fondement. Elle gémit de plaisir. Lorsque je retire mes doigts, ils sont un peu marron et dégagent une odeur pestilentielle, chargée des excréments de ma fille, quel délice !
Léa sait que j’ai envie de sa merde. Sans me prévenir, elle pousse et propulse un gros étron bien collant hors de son cul, il atterrit sur mon visage, alors que j’ai la bouche grande ouverte ! Une partie de la matière fécale arrive directement dans mon gosier avide !
Apparemment satisfaite de la situation, Léa se retourne et me lance un grand sourire, puis elle entreprend de badigeonner sa merde sur l’ensemble de mon visage, me collant les cheveux de sa matière puante, mais si délicieuse pour nos narines perverses ! Elle tartine ensuite mon torse, je l’aide et commence à salir sa belle peau claire, qui devient rapidement brune. Que c’est bon de se vautrer dans la merde de sa fille !
Mon boyau est également empli de matière et je souhaite en faire profiter ma petite Léa, je lui lance : « Léa, ma chérie, viens titiller le cul de ta salope de maman, j’ai une surprise pour toi. »
Elle ne se fait pas prier et, souriant toujours, elle s’allonge à son tour, prête à recevoir le cadeau maternel tant attendu. Je me lève et m’accroupis au-dessus de son visage. Je n’ai pas à pousser longtemps pour qu’une grosse merde bien grasse ne s’étale sur ma fille, souillant son visage, ses beaux cheveux longs et sa poitrine aux tétons durcis. Dès que je me suis soulagée, je me retourne et viens embrasser Léa et étaler nos merdes sur nos peaux grasses de nos glaises intimes.
Nous nous branlons dans nos cacas puants jusqu’à ce que nous atteignions un orgasme puissant et libérateur.
Diffuse en direct !
Regarder son live