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Une vie de débauchée

Chapitre 8

Trash
Léa et moi passons la fin de l’été à baiser quotidiennement, souvent dans la merde, en nous cachant de Kévin.
Malheureusement en septembre, Léa part s’installer dans une ville éloignée pour ses études. Je me retrouve à nouveau sans partenaires sexuel, comme à la mort de Serge.
Naturellement, je me tourne vers la seule personne vivant avec moi, mon fils Kévin, qui vient d’avoir 18 ans. Je me sens totalement abjecte d’imaginer baiser avec mon fils, mais mes besoins sexuels inassouvis me font perdre la tête, d’autant que grâce à l’héritage que m’a laissé Serge, j’ai de moins en moins besoin de m’impliquer dans mon entreprise pour gagner ma vie.
J’observe Kévin sous sa douche dès que je le peux, je vois qu’il est bien membré et sa bite me fait envie, je mouille rien qu’en pensant qu’il pourrait me la mettre.
Un soir je n’y tiens plus et je me rends dans sa chambre, en portant une légère nuisette qui ne cache pas grand-chose de mon anatomie. Kévin regarde la télévision, allongé sur son lit. Je lui dis bonsoir et m’assois sur le bord du lit, mes fesses collées à son bassin. Je me penche sur son visage pour lui donner un baiser de mère sur sa joue. Je caresse légèrement son torse couvert d’un tee-shirt. Je vois bien qu’il me regarde d’une manière étrange, il me lance : « Ca va maman ? Tu as à l’air un peu bizarre. Tu ne mets pas ce genre de tenue d’habitude.
— Ma tenue ne te plait pas ? l’interroge-je.— C’est pas ça, tu es très belle, mais je ne te vois jamais comme ça, répond-il.— Tu penses que je devrais en porter plus souvent, poursuis-je.— Oui, elle est vraiment jolie, m’encourage-t-il. »
Je sens qu’il est troublé par ma nuisette et mon attitude. Je continue mon petit manège. Je l’interroge : « J’aime mettre de belles tenues qui te plaisent. Tu as déjà été avec des copines qui mettent ce genre de vêtements pour te séduire ? » Kévin s’empourpre un peu et avoue : « Pas vraiment. Les fois où j’ai couché avec des filles, on était un peu caché et ça s’est fait vite.
— Tu aimerais faire des expériences moins pressées, lui demande-je.— Oui c’est sûr. Mais il me faudrait une fille avec de l’expérience, me lance-t-il. »
A-t-il compris où je voulais l’emmener ? La situation m’excite vraiment, je poursuis : « Tu sais, je pourrai peut-être être celle-là. » Déclarai-je en caressant de plus en plus son torse et en jetant un regard que je voulais de braise.
Il me rétorque : « Tu crois ? Tu es ma mère, ça ne se fait pas.
— Pourquoi pas ? Si tu en as envie et que moi aussi, réplique-je. ». Disant cela je prends sa main, la plaque sur ma nuisette au niveau de mon sein gauche et j’ajoute : « Tu sais si on y prend du plaisir tous les deux, je ne vois pas où est le mal. »

Se laissant convaincre par mes arguments, il se détend un peu et entreprend de caresser mon sein, toujours au travers du fin tissu. Je passe ma main sous son tee-shirt et me penche vers lui pour l’embrasser sur la bouche. Je sors ma langue et caresse ses lèvres qu’il ouvre après quelques secondes, me laissant le passage. Nos langues se lient et s’enroulent pour un délicieux baiser incestueux.
Rompant ce baiser, j’ôte son tee-shirt et embrasse sur son torse déjà musclé. Je m’aperçois qu’il bande bien fort, sa queue déforme son caleçon. Je le lui fais remarquer : « Dis donc, ça te fait de l’effet ! » ; dis-je en désignant la bosse qui déforme son boxer.
Ne semblant absolument pas gêné, il me rétorque : « C’est ce que tu cherches, non ?
— Oui mon chéri, tu as raison, ta maman cherche à te faire bander, lance-je toute excitée. »
Je retire son caleçon pour découvrir sa bite bandée. Il a une très belle queue et je ne résiste pas à la prendre en bouche. Je l’empale totalement d’un seul coup, je l’ai bien au fond de la gorge, comme j’aime. Je fais quelques mouvements qui la font encore grossir et durcir et je la quitte un instant, laissant de longs fils baveux sur le membre tendu. Je lui affirme : « Tes copines ne t’ont jamais sucé comme ça je parie.
— Non c’est vrai, elles me léchaient simplement le bout. C’est vraiment bien comme tu t’y prends maman, me félicite-t-il.— C’est que j’ai plus d’expérience qu’elles, tu peux me croire, réponds-je. »
Je reprends son dard au fond de ma gorge. Il en profite pour me tripoter, faire glisser ma nuisette à ma taille et palper mes nichons aux bouts tout durs. Je gémis pour l’encourager.
Après quelques minutes je le questionne : « Tu as déjà lécher une chatte ?
— Non, mais je crois que tu aimerais que je m’exerce sur la tienne, réponds-il, arrogant.
Folle d’excitation, j’expose ma fente à sa vue et réplique : « Viens lécher la chatte coulante de maman ! »
Il est empressé et donne de grands coups de langue encore peu précis, mais savoir que le cunnilingus m’est prodigué par mon propre fils confère une perversité folle à la situation qui m’excite terriblement et m’offre un orgasme puissant. J’inonde la bouche de Kévin. Heureusement pour moi il n’est pas rebuté et lape tout le jus qu’il peut.
Maintenant qu’il a bien préparé ma chatte, je veux qu’il me la perfore de son beau chibre. Il comprend très bien mon envie et je pense que lui aussi veut baiser sa salope de mère qu’il vient déjà de faire jouir. Il place son sexe bien bandé à l’entrée du vagin qui lui a fait voir le jour il y a bien des années et il pousse pour entrer. Il est un peu maladroit et je dois le guider pour qu’il ne me fasse pas mal.
Quelle délicieuse sensation de recevoir une grosse bite dans la chatte. J’en avais vraiment besoin. Aucune queue ne m’avait fourré depuis la mort de Serge. Savoir que cette bite est celle de mon fils décuple mon plaisir.
Il pousse des râles en fourrant ma chatte à grands coups. Mais sa fougue est un peu désordonnée, je dois le calmer et le conduire pour qu’il trouve le bon rythme et que sa pénétration me donne du plaisir. Il y parvient petit à petit pour mon plus grand bonheur. Sa sève monte, il crie : « Maman ! Je vais jouir ! Je vais juter en toi !
— Oui vas-y mon chéri, remplit ma chatte de ton sperme ! lance-je pour l’exciter encore davantage.
Il éjacule dans ma chatte ruisselante, je sens de grandes giclées qui m’emplissent.
Essoufflé, Kévin s’affale sur moi. Nous nous embrassons à pleine bouche. Une fois qu’il a un peu repris ses esprits et alors que son sexe est encore enfoui dans le mien, il me glisse : « On recommencera ?
— Quand tu voudras mon chéri, lui réponds-je. »
Cette première expérience sexuelle avec mon propre fils ne m’a pas apporté une jouissance physique extraordinaire, il manque encore de pratique, mais la perversité de nos actes incestueux m’a replongé dans mes vices les plus profonds et m’a excité terriblement. Le garçon a un vrai potentiel et je compte le cultiver en l’entraînant – s’il le souhaite – vers des actes de plus en plus vicieux.
J’échafaude un plan durant la nuit, que je compte bien mettre en œuvre dès le lendemain de notre premier accouplement.
En fin d’après-midi, je revêts une nuisette légère et sexy et attend son retour du lycée dans la salle de bain, je sais qu’il y passe toujours en rentrant.
Il ouvre la porte et pense qu’il me dérange. Mais je lui jette un regard coquin et l’invite à entrer. Il comprend vite mes intentions, s’approche et m’embrasse sur la bouche, je lui rends son baiser et nous jouons longtemps avec nos langues.
Il commence alors à me peloter à travers mon léger vêtement. Mes tétons durcissent et ma chatte s’humidifie. Je remarque également sa bite bandée qui doit lui faire mal dans son jean. J’ouvre sa braguette, baisse son pantalon et extrais sa queue raide pour la soulager en la branlant doucement. Kévin soupire, il semble vraiment bien, il prend du plaisir.
Je romps notre baiser, m’assieds sur le rebord de la baignoire pour placer ma bouche à hauteur de son gros membre dressé, que je prends avidement en bouche, faisant redoubler les soupirs de plaisir de mon fils. Je m’applique à lui offrir une bonne pipe baveuse pour l’émoustiller, en tentant toutefois de ne pas le faire jouir. Je veux qu’il soit excité comme un fou pour l’entraîner dans mes vices les plus inavouables.
Tout en continuant ma fellation gourmande, je doigte ma chatte qui dégouline sous l’effet de l’excitation. Kévin a sorti mes seins de ma nuisette et il joue avec, faisant pointer durement mes bouts.
Je quitte sa bite, regarde mon fils droit dans les yeux et lui lance : « Tu as déjà enculé une fille ?
— Non, elles n’ont jamais voulu, répond-il.— Ça te dirait de le faire ? De venir prendre le petit cul de ta maman ? poursuis-je.— Oh oui. Tu serais d’accord ? dit-il en affichant un large sourire.— Bien-sûr mon chéri. J’adore me faire enculer tu sais, depuis que je suis toute jeune. » continue-je, sachant combien mes paroles salasses doivent l’exciter.
Sans perdre de temps, je me lève, retire mon string et me retourne montrant mon cul que je tiens grand ouvert. Je lui indique : « Tu vois mon petit trou, places ta queue dessus et pousse doucement, tu verras ça va rentrer tout seul. »
Kévin s’exécute. Sa première pression est un peu maladroite, il ne parvient pas à entrer du premier coup, mais la seconde tentative est la bonne. Il ne lui faut que quelques secondes pour prendre possession de mon rectum qui n’avait plus été pénétré par une vraie bite depuis plusieurs mois.
Il entreprend des va-et-vient qui font monter mon plaisir. J’aime me sentir empalée par le cul, je me sens vraiment baisée à fond, qu’elle divine sensation ! Je titille mon clitoris de mes doigts agiles.
Mon excitation est encore plus forte car je sais que mon rectum est plein. Peu expérimenté Kévin ne s’en rend pas encore compte, mais je n’ai pas chié depuis la veille et je sens que sa queue touille ma merde dans mon cul. Cela m’excite au plus haut point, je sens l’orgasme monter et une simple caresse de mes doigts sur mon bouton d’amour m’envoie au septième ciel !
Je crie mon plaisir alors que Kévin me ramone encore plus fort, ravi d’être le mâle qui me fait jouir par le cul, comme une chienne.
Je sais qu’introduire des jeux scatophiles dès ma deuxième baise avec mon fils, me fait prendre le risque de le dégoûter. Aussi je veux lui montrer ma merde avant qu’il ne jouisse pour qu’il soit bien excité, il y aura davantage de chances qu’il se lance avec moi dans ces jeux sales et qu’il y prenne du plaisir.
J’interromps donc la sodomie en m’avançant et l’obligeant à se retirer. Dès que sa bite quitte mon trou, je ne peux me retenir et je libère un gros étron qui tombe au sol. Kévin semble un peu affolé : « Qu’est-ce qui se passe ? Tu chies ? »
Je me retourne immédiatement et découvre la queue toute sale et ma merde jonchant le sol. Je souris et jette à nouveau un regard très coquin à mon fils : « Oui mon chéri, maman chie pour toi. Tu m’as fait faire une belle grosse merde en fourrant ta bite dans mon cul. J’adore ça ! » Dis-je en mettant la main sur son membre souillé.
Il rétorque : « Mais maman, ça ne se fait pas de jouer avec la merde.
— Et tu crois que ça se fait de baiser sa mère, réplique-je.— Non, mais c’est pas pareil, la merde c’est sale, riposte-t-il.— C’est peut-être sale, mais ce qui compte c’est le plaisir qu’on y prend. Beaucoup de gens considèrent que baiser avec sa mère c’est sale, mais nous on aime ça, on ne fait de mal à personne. Le caca c’est pareil, si on aime ça on peut le faire sans problème. Moi j’adore ça ! argumente-je. »
Je porte sa bite à ma bouche et entreprends de la nettoyer méticuleusement des souillures qui la couvrent. J’aime le goût de ma merde et la déguster sur la queue de mon propre fils m’excite à nouveau très fort. De ma main libre, je branle ma chatte et je jouis en peu de temps d’un orgasme court mais très profond.
D’abord un peu rebuté par la saleté de mon comportement Kévin se laisse aller petit à petit et je sens qu’il prend du plaisir à voir sa mère sucer sa bite couverte de ses excréments. Il pousse de petits gémissements qui trahissent son excitation.
Lorsque ma bouche quitte sa bite, elle est toute propre. Je me relève et approche mon visage du sien. Je sais que mes lèvres doivent être souillées par ma merde. Je ne provoque par le baiser sale que j’attends, espérant que Kévin fasse le premier pas.
Il ne me fait pas attendre longtemps. Après une seconde d’hésitation il plaque sa bouche sur la mienne, ouvre ses lèvres et glisse sa langue dans ma bouche salie de mon caca ! Notre baiser est assez long pour qu’il goûte bien à ma merde.
Il m’avoue dès qu’il quitte ma bouche : « Le goût est bizarre, mais c’est vraiment excitant de faire des trucs interdits avec toi maman. »
Je lui souris et lui retourne son baiser. Je bave abondamment dans sa bouche et lui donne de petits morceaux de merde à sucer !
Sentant qu’il est prêt à aller plus loin et à prendre du plaisir. Je me saisis d’un peu de merde déposée au sol et m’en badigeonne les seins. D’un ton toujours provoquant, j’interroge mon fils : « Tu aimes mes nichons bien sales et bien gras comme ça ?
— Oui, ils sont superbes, lance-t-il. » Il les empoigne et joue avec, faisant darder mes tétons jusqu’à m’en faire mal. Puis à ma grande surprise, il se penche et se met à les lécher, directement sur la partie la plus sale. Il me sourit ensuite et me donne un baiser sale que j’accepte avec un immense plaisir.
Excitée comme une folle de voir mon fils prendre son pied en jouant avec de la merde, j’enduis sa queue de mon caca et lui intime l’ordre de me baiser sur le champ avec son gros dard bien gras.
Il fourre alors ma chatte en faisant y entrer ma merde à grands coups de bite. Quelle sensation délicieuse ! Je ne tarde pas à jouir une nouvelle fois, alors que lui n’a pas encore juté, il fait preuve d’une belle endurance.
Voulant profiter à fond de notre séance de baise sale, je m’allonge sur le sol de la salle de bain, directement dans les restes de ma merde, souillant mes cheveux. Je lance à mon fils : « Mon chéri, viens chier sur ta maman. Pousse ta crotte toute chaude dans ma bouche, je vais m’en régaler !
— Je ne sais pas si je vais arriver à chier, maman, répond-il.— Aller, tu vas toujours aux toilettes en fin d’après-midi. Ton cul doit être empli d’une belle grosse merde bien puante, fais nous-en profiter tous les deux, continue-je. »
Il s’agenouille, surplombant mon visage de son cul et pousse. Un bel étron pointe et se faufile pour venir s’écraser dans ma bouche grande ouverte. Je goûte pour la première fois les fèces de mon fils et je suis terriblement excitée. Il libère une grande quantité de caca brun, assez souple, qui embaume la pièce d’une odeur très forte, qui me rend dingue. Tout mon visage est recouvert, j’ai du mal à voir.
Kévin se retourne et dégage mes yeux avec ses mains, il badigeonne mon corps et je fais de même avec le sien. Nous nous vautrons dans nos merdes et y prenons un plaisir rare.
Mon fils me baise une nouvelle fois la chatte avec sa queue souillée de nos excréments. Nous jouissons ensemble profondément, nos corps sales et puants se collant l’un à l’autre dans des bruits de sucions d’une obscénité qui repousserait la plupart des libertins, mais qui décuplent nos orgasmes incestueux et pervers.
Cette première expérience scatophile avec mon fils n’est pas la dernière. Nous baisons quasi quotidiennement dans notre merde pendant plusieurs mois.
Courant décembre, je n’ai plus mes règles et un test m’apprend que Kevin m’a fécondé. Depuis le décès de Serge, j’ai fait moins attention à ma contraception. J’aurai sans doute dû être plus prudente lorsque je me suis mise à coucher avec mon fils, mais je pense que – comme 20 ans auparavant – l’idée de tomber enceinte m’excitait, surtout le fait que ce soit mon propre fils qui m’engrosse. Je suis toute émoustillée à l’idée d’avoir un enfant de mon fils !
J’apprends la nouvelle à Kévin qui montre immédiatement son enthousiasme : « C’est génial maman, je vais pouvoir te baiser pendant que tu seras grosse, tu vas avoir de super gros nichons ! »
Suite à cette révélation, nous baisons une fois de plus. Je me fais prendre par tous mes trous et la merde ne tarde pas à jaillir de nos culs, nous la répandons généreusement sur nos corps excités.
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