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Une vie de débauchée

Chapitre 9

Trash
Un peu avant les fêtes de fin d’année, Léa m’informe qu’elle compte venir passer quelques jours à la maison. Je suis ravie de l’apprendre, je m’imagine déjà en train de baiser dans la merde avec mes deux enfants en même temps, ce serait tellement excitant. Toutefois, mon ardeur est freinée lorsqu’elle me demande de venir avec son copain, qu’elle a rencontré dans la nouvelle ville où elle habite. J’accepte, à contrecœur craignant de perdre l’occasion de faire des cochonneries avec mes enfants. Néanmoins, en réfléchissant à la situation je me dis que ma perverse de fille a dû rencontrer un chaud lapin et qu’il n’est pas impossible que nous nous adonnions tout de même à des actes pervers.
Je suis littéralement estomaquée lorsque Léa entre dans la maison suivie d’un homme, nettement plus âgé qu’elle, je reconnais immédiatement Alexis. Celui qui m’a fait découvrir mon vice il y a bien des années, avec lequel j’ai découvert les joies du sexe sale et de l’inceste avec sa sœur et ses parents.
Il semble aussi surpris que moi. Léa ne comprend pas : « Vous vous connaissez ? nous interroge-t-elle.
— Oui, en effet… réponds-je.— Oui, acquiesce Alexis d’une petite voie. »
Sachant combien ma fille est une salope, je ne suis pas si étonnée qu’elle ait rencontré un pervers comme Alexis. Mais soudain une idée me traverse l’esprit : je n’ai jamais su qui était le père de Léa, il s’agit soit de Reynald, le père d’Alexis, soit d’Alexis lui-même ! Sans le savoir, ma fille couche avec son demi-frère ou son propre père !
Alexis a dû comprendre au même moment que moi. Nous décidons d’informer immédiatement Léa de la situation. Elle prend la chose avec le sourire : « Putain, c’est vrai que ça fait bizarre de me dire que tu es mon demi-frère, ou peut-être même mon père, dit-elle en regardant Alexis.
— Mais après tout, comme tu me l’as appris maman, ce qui compte c’est le plaisir. J’aime baiser avec Alexis, alors même s’il est de ma famille, on ne fait de mal à personne, ajoute-t-elle, souriante. »
Je me détends un peu, Alexis semble faire de même.
Quant à Kévin il semble heureux de retrouver sa sœur. Il l’a embrassée sur la joue, mais je vois qu’il la serre de très près. Je lui ai dit que je baisais avec elle avant son départ, je suis sûre qu’il a envie de se la faire pendant les vacances. La présence d’Alexis ne semble pas le perturber plus que ça.
Après quelques minutes de retrouvailles, c’est lui qui annonce la nouvelle de ma grossesse à Léa et Alexis. Tous les deux nous félicitent. Il ajoute fièrement qu’il est le père de l’enfant qui va naître. Léa me lance un regard évoquant un peu de reproche, mais surtout l’excitation, de savoir que sa mère s’est faite engrosser par son frère.
Léa en profite pour nous annoncer qu’elle aussi est enceinte, d’Alexis. Cela ne fait que quelques semaines. Elle va avoir un enfant de son frère ou de son père ! Quelle famille de déjantés nous formons ! Cette situation est le résultat d’une vie de débauche et de plaisirs.
Ces révélations nous ont excité tous les quatre. Kévin dévore sa sœur des yeux. Sentant qu’il a vraiment envie d’elle, je glisse discrètement à l’oreille de ma fille que son frère Kévin est devenu un vrai bon coup. Elle me jette un regard coquin et s’approche de son frère, pour un nouveau câlin, qui dépasse rapidement les tendresses habituellement échangées entre frère et sœur. Elle porte sa main sur l’avant du jean de Kévin, elle tâte son chibre à travers le pantalon. Voyant le comportement provoquant de Léa, Kévin lui tripote les fesses au travers de sa robe. Je vois mes enfants se peloter devant moi ! Alexis observe également la scène, l’air détendu, regardant sa jeune copine enceinte en train de batifoler avec son frère sous son regard et celui de leur mère !
Cette situation m’excite évidemment très fortement. Je regarde Alexis en lui faisant les yeux doux. Il y a tellement longtemps que je n’ai pas baisé avec lui. De délicieux souvenirs me reviennent en mémoire.
Je lui demande : « Comment me trouves-tu ? J’espère que je ne suis pas trop fanée.
— Oh que non ! répond-il en me fixant. »
Alors que mes enfants commencent à s’embrasser langoureusement sur la bouche, je me colle à mon ancien amant et plaque mes lèvres sur les siennes, nos langues et nos salives se mêlent, cela me suffit à tremper ma culotte. Alexis libère sa bite, elle est toujours aussi attirante après toutes ces années, et j’entame une fellation en gorge profonde, en espérant qu’il appréciera la progression de ma technique depuis notre dernière rencontre. Ses gémissements me laissent croire que tel est bien le cas.
Après quelques minutes, je me relève et l’embrasse de ma bouche baveuse. Il retire mes vêtements et découvre mon corps, que j’espère assez attirant pour lui qui a l’habitude de baiser ma fille de 19 ans. Il m’allonge sur la table, écarte mes cuisses et fourre sa bite dans ma chatte dégoulinante. Je gémis très fort, que c’est bon de retrouver une telle queue après tout ce temps !
Du coin de l’œil je vois que mes enfants ne sont pas en reste, Kévin prend Léa qui est couchée dos sur le canapé. Aux mouvements amples et rapides des fesses de mon fils, je constate qu’il baise sa sœur sans aucun ménagement. Elle pousse des râles qui démontrent son plaisir de coucher avec son frère !
Cette situation m’excite au plus haut point et je veux absolument profiter de l’atmosphère de débauche qui règne chez moi ce soir pour provoquer une grosse orgie scatophile. Sans même savoir que Léa sortait avec Alexis, j’avais anticipé et m’étais abstenue d’aller à la selle pour être prête.
Profitant d’un instant où Alexis interrompt le pilonnage de mon con, je m’approche de Léa et de Kévin et les invite à me suivre à la salle de bain. Je fais un clin d’œil à Alexis et lui déclare : « Ça te rappelle quelque chose les partouzes dans la salle bain ? »
Il me jette un regard de feu, m’empoigne par ma chatte humide et me pousse dans la pièce d’eau.
Nous savons tous pourquoi nous sommes là. J’ai l’impression que tous les protagonistes attendent la même chose que moi. J’invite Alexis à me pénétrer le cul de sa grosse bite, en levrette. Kévin plante également son dard dans le cul de sa sœur.
Mon intestin est tellement rempli qu’en quelques poussées seulement, je sens l’odeur caractéristique de la merde envahir la pièce. A chaque pénétration mes excréments débordent de mon cul et graissent mon entrecuisse et le sexe d’Alexis.
Je surveille mes enfants. Léa gémit sous les coups de boutoir de son frère. Rapidement celui-ci lance : « Sœurette, tu es en train de cochonner méchamment ma bite, ta merde sort et s’étale de partout c’est vraiment dégueulasse. J’adore, c’est trop bon ! »
Elle l’encourage : « Putain tu me fais du bien, j’allais exploser tellement j’ai de merde dans le cul. Je vais chier partout ! »
L’odeur et la vue de la merde m’excitent tellement que je romps la pénétration. Mon intestin se vide en grande partie, notamment sur la bite d’Alexis. Cela me soulage et renforce encore mon envie de baise sale. Je me retourne et, sans hésitation, je plonge littéralement mon visage dans l’amas merdique formé sur le sol.
Le visage totalement maculé de ma merde, je m’approche de ma fille – dont le cul est toujours embroché par le pieu de son frère – et l’embrasse à pleine bouche. Elle goûte avec délectation ma merde. Kévin retire alors sa bite et libère un flot impressionnant de matière fécale du cul de sa sœur, elle chie pendant plusieurs secondes en continu. Cette situation incroyable lui procure un orgasme dévastateur.
Son frère prend une partie de cette merde en main et vient me tartiner le torse, mes cheveux, mes fesses et mon sexe avide.
Alexis prend une partie de ma merde et badigeonne Léa, toujours pantelante après avoir jouit. Il insiste particulièrement sur sa chatte, macule ses longs cheveux et termine en déposant de petits morceaux d’étrons dans sa bouche. Je vois ma fille les mâcher et les avaler, avant d’afficher un sourire franc, dévoilant ses dents blanches au milieu de son visage couvert de merde brune !
Sans nous laisser de répit, Kévin invite Léa à s’allonger sur le sol. Il s’accroupit au-dessus de sa tête et pond un formidable étron. Je pense qu’il s’était retenu depuis longtemps, tellement il devait être content de montrer à sa sœur à quel point il est vicieux.
Cette scène est pour moi irrésistible, je me branle dans la merde et jouis furieusement en regardant mes enfants se vautrer dans l’ordure !
Enfin Alexis me fait signe que lui aussi a le cul bien plein. Je me positionne sur le sol et attends son offrande avec impatience. Quelle belle merde me donne-t-il ! Abondante, puante et grasse, comme je les aime ! En plus, Léa se met à lécher ma chatte souillée de sa langue agile d’adolescente, quel bonheur ! Je jouis une seconde fois.
Kévin m’arrose ensuite de sa pisse brulante, que je lape de mon mieux. Pendant qu’Alexis inonde le visage de Léa.
De nouvelles pénétrations et fellations redonnent de la vigueur aux membres de nos amants. Kévin jouit dans la bouche de sa sœur. Habitué à être sucé par ma bouche très expérimentée il enfonce très loin son pieu dans la cavité buccale de Léa. Elle est prise de hauts le cœur et bientôt elle vomit le contenu putride de son estomac. Elle régurgite un amas de merde mêlée de pisse et de sperme. Ces résidus viennent souiller encore davantage sa poitrine et son corps. Chauffée à blanc par la vision de ma fille gerbant des immondices en suçant son frère, je m’approche pour laper ces jus ignobles. Quelle truie je fais ! Mais que c’est bon de se vautrer ainsi dans l’ordure et l’inceste sans aucune retenue.
Peut-être est-ce dû au début de ma grossesse ou à l’absorption de substances infâmes, mais je sens aussi rapidement mon estomac se retourner et je dégueule à mon tour le contenu vicié de mon ventre. Mes partenaires, dans la plus pure perversion, s’enduisent le corps de ces miasmes, les goûtent et jouissent de nouvelles pénétrations sales.
Nous poursuivons ces jeux scatophiles pendant toute la soirée. Nous aurons le plus grand mal à nous nettoyer réellement de toutes les ordures dont nous nous sommes couverts pour notre plus grand plaisir.
EPILOGUEEnceinte, tout comme ma fille, bientôt grand-mère à même pas 38 ans, ayant retrouvé mon amant de jeunesse qui m’a initié aux vices les plus inavouables, baisant avec mes propres enfants, je sens qu’un nouveau chapitre de ma vie s’ouvre, fait de toujours plus de débauches et de jouissances, je l’espère…
Mes choix de vie sont extrêmes, leurs conséquences me font parfois peur, mais j’assume mon esprit déluré et ne regrette rien.
FIN
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