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Une vie de dominateur

Chapitre 4

Hétéro
Quand je suis arrivé, Solange m’attendait dans un petit salon au premier étage de son vaste hôtel particulier. Le bouquet de roses que je lui avais fait livrer était en bonne place sur une commode. Elle portait une robe blanche serrée à la taille et dont le décolleté vertigineux laissait apparaître les pointes de ses seins au milieu d’un froufrou de dentelles qui devait être un balconnet ou mieux une guêpière. La jupe très évasée était faite pour être troussée. Les talons aiguilles et des bas blancs complétaient cette tenue d’un érotisme charmant. Une nouvelle fois Nady avait été de bon conseil (voir chapitre 2).Nous nous sommes embrassés avec fougue. Pendant que je la complimentais sur sa tenue elle m’a faits asseoir dans un confortable fauteuil et m’a servi mon whisky préféré. A ma grande surprise elle c’est alors lancée devant moi dans une danse effrénée au son d’une salsa endiablée. En virevoltant elle laissait sa jupe se relever me permettant d’entrevoir la large bande de dentelle blanche en haut de ses bas et l’amorce des jarretelles.J’étais fasciné quand elle s’est immobilisée pour relever lentement sa jupe. Elle n’avait pas de culotte et m’exhibait sans aucune pudeur son pubis parfaitement épilé, une vraie chatte de petite fille.     - je veux être toute à toi mon chéri, Ysan fais moi tout !!!Avant que j’aie eu le temps de réagir, elle m’a tourné le dos pour relever à nouveau sa jupe et me présenter cette fois son cul admirable. Se pliant en deux, les mains posées sur ses globes fessiers pour bien ouvrir la raie, j’avais son petit oeillet à hauteur de mes yeux. J’ai glissé ma main dans son entrecuisse, elle mouillait abondamment. Sans ménagement j’ai alors enfoncé deux doigts dans son petit trou culier. Elle a d’abord eu un mouvement de recul, mais très vite s’est ressaisie, cambrant les reins pour faciliter ma pénétration et frétillant de la croupe comme une vraie chienne en chaleur. J’ai pu me rendre compte que Katy avait raison (voir chapitre 3), Solange était très étroite derrière. Il me faudra être prudent quand je vais l’enculer pour la première fois, mais nous n’en étions pas là pour l’instant.Solange s’est relevée, je l’ai serrée contre moi tout en dégrafant sa robe. Perchée sur ses talons aiguilles, la taille bien prise dans la guêpière dont les jarretelles sous tendaient les bas blanc, elle ma conduit vers la chambre marchant devant moi en ondulant de la croupe comme une véritable putain. Je l’ai prise dans les bras pour l’étendre sur le lit. Cuisses écartées, jambes légèrement relevées elle était la jeune esclave vierge livrée à son maître que j’avais figurée sur l’une de mes toiles (voir chapitre 1). Après m’avoir présenté son cul, avec la même impudeur elle m’offrait maintenant son con. Mon excitation était à son comble, je bandais comme un taureau. Vite déshabillé, j’ai pris position a genoux entre ses cuisses. Mon gland turgescent parcourait sa fente bien lubrifiée, titillait son clitoris. Elle gémissait de plaisir, quand, la prenant par surprise, d’un coup de rein puissant je l’ai enfin pénétrée, déchirant sa rondelle. Elle a poussé un long cri de douleur et d’effroi, vite remplacé par les spasmes de la jouissance. D’abord lentement ma bite énorme limait son vagin puis j’ai accéléré mes mouvements par de violents coups de butoir. Quand j’ai senti qu’elle atteignait l’orgasme, j’ai déchargé puissamment. Il nous a fallu un moment pour reprendre nos esprits. Solange pleurait de joie. Avec une infinie délicatesse elle a nettoyé ma verge souillée par son sang. Toujours en guêpière et perchée sur ses talons aiguille elle a enfilé un long déshabillé transparent qui accentuait encore l’érotisme de sa tenue. Elle m’avait acheté un très beau kimono en soie. Nous sommes revenus au salon où une table était dressée pour un souper froid: caviar, saumon et douceurs, vodka et champagne. Pendant tout le repas nous n’avons pas cessé de nous embrasser et de nous caresser. Par moments elle passait sous la table pour me sucer. A ce régime j’ai vite retrouvé toute ma vigueur :    - Solange tu ais une petite vicieuse, tu m’as excité, je n’en peu plus, il faut que je te baise.— mon chéri je suis là pour te satisfaire, fais moi tout !— je vais t’apprendre une autre position, vas te mettre en levrette sur le canapé.— mais c’est comment en levrette mon amour, je suis ignare.— a quatre pattes sur le canapé, la tête en bas, le cul en l’air et trousse ton déshabillé pour me présenter ta croupe. Dépêche toi, je n’aime pas attendre.Elle a eu vite compris, en levrette au bout du canapé, la tête enfouie dans les coussins, des deux mains elle écartait ses globes fessiers afin de m’offrir son petit oeillet comme elle l’avait fait en début de soirée et comme le lui avait certainement appris Katy. Dans sa naïveté amoureuse elle était persuadée que j’allais maintenant l’enculer. Là n’était pas mon intention pour ce soir, elle était bien trop étroite, il me fallait prévoir une longue préparation. L’obligeant à cambrer les reins, je lui ai planté ma bite dans la chatte. Elle s’est mise à hurler de douleur, son petit con encore meurtri par la défloraison récente.— Ysan mon chéri, j’ai mal je suie en feu mais c’est bon ! c’est bon ! de souffrir. Prends ton plaisir mon amour je suis ton esclave. J’ai déchargé violemment et mon jus a calmé ses brûlures. Nous étions assis sur le canapé, amoureusement enlacés et préparant notre voyage en Italie quand elle m’a demandé la permission de retirer sa guêpière qui la faisait souffrir. Son comportement ma plu, elle commençait à réagir en esclave qui ne doit prendre aucune initiative. Je lui ai donné mon accord à condition qu’elle me propose une autre tenue.Solange m’a alors offert le spectacle érotique d’un véritable défilé de mode : longues chemises de nuit fendues jusqu’à la taille, nuisettes transparentes, déshabilles en dentelle, le vestiaire complet que lui avait préparé Nady.Perchée sur des mules à talons aiguilles, elle passait lentement devant moi en virevoltant et ondulant de la croupe. Devant ce spectacle charmant, j’ai vite retrouvé toute ma vigueur et Solange a bien vu que je bandais ferme sous mon kimono :— Ysan mon chéri je suis fière de te troubler ainsi, je suis ta femme, je veux être ton esclave, fais moi tout !!!— mais tu ais encore meurtrie par ton dépucelage, tu as souffert quand je t’ai prise en levrette, je ne veux pas t’abîmer.— c’est dans la douleur qu’une femme amoureuse doit trouver sa jouissance. Fatima me l’a expliqué.Et, sans plus attendre, assise à cheval sur mes cuisses, elle s’est embrochée toute seule sur ma bite d’airain. J’ai vu dans le rictus de son visage, l’intensité de sa douleur. Oubliant le feu dans son petit con meurtri, en bon petit soldat de l’amour elle a entrepris de lents mouvements de va-et-vient pour me faire jouir. Je lui mordillais les tétons accroissant encore sa souffrance et mon plaisir. Je n’ai pas tardé à décharger et mon jus a calmé sa douleur. Tous deux épuisés par cette folle soirée nous sommes allé au lit mais j’ai compris que Solange serrée contre moi avait besoin de me parler :— Ysan, maintenant que je suis à toi, je voudrais que tu me parles franchement. Penses tu que je sois assez soumise, assez salope pour te plaire ? Je veux devenir ta chienne, ton esclave d’amour.
— Solange tu ais très douée et tu me plais mais ton éducation ne fait que commencer. Je ferai de toi mon esclave soumise comme tu le souhaites.— mais alors pourquoi tu ne m’as pas sodomisée tout à l’heure, moi je voulais tout te donner.— Tu es très étroite derrière, Katy te l’a dit. Je ne veux pas te déchirer, il me faut le préparer ton petit cul. Je vais m’en occuper dans les prochains jours. Fais moi confiance, tu la sentiras passer ma grosse bite.Rassurée, elle s’est endormie dans mes bras. Le lendemain, avant de partir pour Venise, j’ai tenu à vérifier le contenu de ses bagages. Elle avait prévu d’emporter plusieurs pantalons que je n’ai pas acceptés. Ce voyage initiatique devait la conduire vers une soumission complète et permanente à tous mes désirs, elle ne pourrait mettre que des minijupes ou des robes afin que je puisse la prendre à tout moment et n’importe où sans déshabillage. Par contre elle avait mis dans ses valises un bel assortiments de dessous : guêpières, portes jarretelles, nuisettes à frous-frous........... une vraie panoplie de stripteaseuse. Je l’ai félicitée pour ses choix.Nous sommes partis par le chemin des écoliers, fuyant les autoroutes. Premier arrêt à l’orée d’un bois, Solange cherchait un coin isolé pour faire ses besoins. J’ai exigé qu’elle s’accroupisse devant moi :— Ysan, mon chéri, je n’oserai jamais faire mes besoins si tu me regardes.— Et bien tu vas devoir t’y habituer. N’oublie pas que maintenant c’est moi qui décide.Elle s’est exécutée en bougonnant. Le spectacle était très excitant, je la découvrais dans ses occupations les plus intimes de femme. Quand elle a voulu remonter sa culotte je l’ai arrêtée :— non Solange, enlève ta culotte. Je veux que tu restes cul nu pendant tout notre voyage. Je veux pouvoir te pénétrer à ma guise, n’importe où et à tout moment je te l’ai déjà dit avant notre départ.— mais Ysan, avec mes minijupes tout le monde va voir mes fesses et mon pubis épilé.— si j’ai envie de t’exhiber c’est moi qui décide. Puisque tu contestes tu vas tout de suite mettre une tenue encore plus érotique, les voyeurs seront ravis, prends dans la valise des bas et un porte jarretelles. Une nouvelle fois elle s’est exécutée en bougonnant. La voir, jupe relevée enfiler ses bas et attacher ses jarretelles dans ce sous bois bucolique était pour moi une vision exquise, mais j’ai trouvé qu’elle n’y mettait pas suffisamment de bonne volonté et méritait une punition. L’obligeant à se courber, j’ai bloqué son buste sous mon bras gauche. Jupe relevée, ma main droite lui a infligée une sévère fessée. Je voyais son charmant petit cul rougir sous les coups puissants. Elle pleurnichait et gémissait :— Ysan, je te demande pardon, je serai plus docile à l’avenir, mais j’ai mal, je suis meurtrie, tu vas abîmer mon cul.— Solange tu as mérité cette punition. Il ne suffit pas de me dire Ysan fais moi tout, tu dois accepter ta condition d’esclave et trouver ta jouissance dans la douleur.— oui mon chéri, fais moi mal ! fais moi mal ! je dois l’accepter c’est bon de souffrir.Tout ceci m’avait terriblement excité, avant de repartir je l’ai prise sauvagement, allongée sur le capot de la voiture. Notre voyage c’est poursuivi, ponctué de haltes amoureuses dans les hôtels ou en pleine nature. Au troisième jour nous sommes arrivés à Milan.Au prétexte de lui faire visiter à pied la vielle ville nous sommes passés dans une petite rue où se trouvait un grand sex-shop. Nous sommes rentrés dans la boutique, Solange était émerveillée, une vraie petite fille dans un magasin de jouets. Elle voulait tout voir, tout comprendre. Je lui donnais des explications et l’ai poussée à prendre des initiatives :— maintenant ma petite Solange tu vas faire tes achats. Il te faut choisir une cravache puisque tu as pris goût à la fessée et deux vibromasseurs et n’oublie pas que derrière tu es plus étroite que devant. Pendant ce temps je vais aller voir d’autres objets intéressants qui sont au fond du magasin.— je t’en supplie Ysan, ne me laisse pas seule au milieu de tous ces hommes qui me regardent.— ils ne vont pas te violer en plein magasin, au pire te mettre la main aux fesses et tu devras les laisser faire. Dès que je me suis éloigné plusieurs hommes se sont approchés d’elle intrigués par cette jeune femme en minijupe. De loin j’observais la scène, les plus hardis lui caressaient les fesses, Solange toute rougissante se laissait faire et consciencieusement choisissait ses vibromasseurs et la cravache. Moi j’ai eu vite trouvé ce que je cherchais : une poire à lavement des boules de geisha et un plug de bon diamètre. Quand nous sommes sortis du magasin elle voulait savoir ce que j’avais acheté, je me suis bien gardé de lui dévoiler mes intentions.En fin d’après midi nous sommes arrivés à Venise ou j’avais retenu une chambre au Danielli. Je me suis empressé de raconter à Solange que cet hôtel avait abrité les amours contrariées de George Sand avec Alfred de Musset très malade et piètre amant. Le médecin qui venait soigner le poète était par contre un très bel homme dont la romancière est tombé follement amoureuse. A chaque visite, il la sodomisait dans le vestibule, à deux pas du malade. Elle refusait de se faire prendre autrement, la peur de se retrouver enceinte.— alors, mon chéri, je vais peut être avoir l’honneur de subir ici le même sort que George Sand. J’ai tellement envie que tu me fasses tout, que tu me sodomises !— d’abord, il faut que tu oublies ton vocabulaire de bourgeoise, je ne vais pas te sodomiser, je vais t’enculer. Encore faut-il que tu sois prête à prendre ma bite. Pour commencer déshabille toi et essaye les vibromasseurs que tu as achetés.Solange s’est lentement dévêtue devant moi ne gardant que les escarpins, bas et porte jarretelle, comme elle en avait pris l’habitude. Lentement elle a introduit le plus gros vibromasseur dans sa chatte, l’opération a été plus douloureuse pour rentrer l’autre dans son petit trou malgré le gel que le vendeur du sex-shop lui avait conseillé. C’est moi qui ai mis les deux engins en route. Solange était en transe, pour compléter mon plaisir j’ai commencé à la cravacher puissamment :— jouis petite salope avec tout le matériel que tu as acheté !— Ysan tu es sévère avec moi, j’ai mal mais je jouis. Fais moi tout ! Je t’en supplie encule moi ! encule moi !— non pas maintenant, je m’arrête, vas t’habiller pour descendre au restaurantObéissante elle s’est dirigée vers le dressing pour en ressortir dans une robe très élégante. Je l’ai félicité tout en relevant sa jupe. Elle avait parfaitement respecté la règle: porte jarretelles mais pas de culotte. Sans lui donner la moindre explication j’ai enfoncé les boules de geisha dans sa chatte et planté le plug dans son petit trou. Surprise, elle a eu un soubresaut mais a subi sans rien dire.Tenue élégante, bijoux scintillants, perchée sur ses talons aiguilles et ondulant de la croupe, Solange a fait une entrée remarquée dans la salle de restaurant. Tous les hommes auraient bien fantasmé s’ils avaient pu voir ce qu’elle portait dans l’entrejambe et le fondement. Assise, le plug l’obligeait à rester bien droite, reins cambrés et poitrine arrogante :— es-tu bien sur cette chaise ma chérie ? tu ne souffres pas trop ?— je suis très bien et quand je marchais ce que tu m’as mis me procurait des sensations délicieuses, mais tu avais acheté trois objets, qu’a tu fais du troisième ?— Solange tu es trop curieuse, tu verras quand nous remonterons dans la chambre.De retour dans la chambre, c’est moi qui l’ai déshabillée lui laissant uniquement les bas et son charment porte jarretelles en dentelle noire. A ma demande et docilement elle s’est positionnée en levrette au bord du lit. J’ai remplacé le plug par la canule de la poire à lavements. Elle gémissait sous l’effet des jets puissants et chauds qui inondaient son ventre, mais la séance a été brève :— maintenant tu vas aller te vider aux toilettes et crème ton oeillet avant de revenir. Saches qu’à l’avenir tu devras prendre seule ton lavement quand j’aurais envie de t’enculer et je n’accepterais que ma queue soit souillée par tes excréments. La sanction sera de vingt coups de cravache et l’obligation de me nettoyer avec ta langue.J’ai trouvé amusant de la voir, très digne, marcher vers la salle de bain toujours perchée sur ses talons aiguilles, bas, porte jarretelles et la poire à lavement plantée entre les fesses. J’en ai profité pour me déshabiller rapidement et poser un coussin au milieu du lit. A son retour, sans rien dire, elle s’est allongée à plat ventre sur le coussin, les reins bien cambrés. Solange n’avait pas oublié le temps où je la faisait poser dans cette position pour ma toile ?esclave préparée pour recevoir son maître? (chapitre 2). Aujourd’hui ce n’était plus de la fiction. Des deux mains elle écartait ses globes fessiers. La chevauchant j’ai pointé ma grosse bite sur son petit oeillet :— Ysan, mon chéri, je sens ton gland, vas-y ! force moi ! encule moi ! encule moi !— tu vas souffrir Solange mais il le faut, je te veux toute à moi. Détends toi, détends toi !— oh ! tu es gros ! j’ai mal ! j’ai mal ! mais c’est bon ! c’est bon ! défonce moi !— maintenant tu es bien prise, jouis dans ton cul ma petite salope !— oui je suis une pute, une salope, prends ton plaisir dans mon ventre Ysan. Oh ça y est tu gicle ! ton jus me calme, c’est bon ! c’est bon !J’avais enfin atteint mon objectif, sodomiser Solange et la soumettre à tous mes désirs. Notre séjour à Venise s’est poursuivi dans une débauche de plaisirs. Toujours en minijupe, perchée sur ses hauts talons, porte jarretelles et sans culotte, elle était en permanence à ma disposition. Je la baisais, je l’enculais n’importe où. Je l’obligeais à me pomper dans les lieux les plus insolites au grand bonheur des voyeurs. Quand j’étais épuisé, je bourrais son cul et son con avec les vibromasseurs, le plug ou les boules de geisha. Je cravachais sans croupe déjà bien meurtrie Elle hurlait, gémissait, dans un état d’excitation permanente. Un soir où nous faisions une promenade nocturne en gondole, je la pelotais aux vues du gondolier très excité par ce spectacle. J’ai demandé à Solange de lui faire une pipe pour le soulager. Elle s’est exécuté docilement, mais s’est permis de recracher tout le foutre ce qui lui a valu trente coups de cravache dès notre retour à l’hôtel.Je suis sans doute un bon pygmalion, mais j’avais une élève particulièrement douée qui jouit aussi bien par devant que par derrière, suce à merveille, possède un vraie talent de stripteaseuse, et accepte avec délice toutes les soumissions : la cravache, les attouchements d’inconnus dans le sex-shop, et maintenant pomper notre gondolier.Notre voyage s’est ainsi terminé en apothéose, mais le moment était venu de rentrer. Nous sommes arrivés à Paris le jour de la cérémonie de clôture de notre exposition. Le temps de se changer et Solange en tailleur strict mais élégant accueillait ses nombreux invités sur les marches du Grand Palais : un mot aimable pour chacun, long discours de remerciements, distribution de mes toiles aux généreux acquéreurs, les enchères avaient atteint des sommets. Ainsi, en moins d’une heure, ma petite pute en minijupe, mon esclave docile, ma chienne en chaleur était redevenue la comtesse Solange de Saint-Hubert de Bois Colombes, présidente d’une très importante association caritative. Métamorphose étonnante, j’étais admiratif.
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