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Une vie pas comme les autres

Chapitre 2

Hétéro
Enfin femme
Elle me libère et fait redescendre ma jupe sur mes fesses. Je retourne dans le salon, Marc a mis de la musique, Julie danse avec Pierre, Hubert se précipite vers moi pour m’inviter à danser, c’est un slow. J’accepte avec joie, après ce que m’a dit Sophie, je veux vérifier s’il a un quelconque sentiment pour moi. Il me prend dans ses bras, me serre contre lui, je mets ma tête sur son épaule, il me bloque contre lui, ses mains montent et descendent le long de mon dos, mais ma colonne vertébrale est très sensible, j’ai un frisson quand ses mains passent dessus.
— Que t’arrive-t-il ?— Ce sont tes mains quand elles passent sur ma colonne, c’est une zone très sensible chez moi, ça provoque des frissons.— Excuse-moi, je vais l’éviter.— Non, au contraire, j’adore cette sensation, tu peux continuer, je suis si bien dans tes bras.— Vraiment ?— Oui, très bien, j’aimerais y rester tout le temps.— Laurence, ne dis pas ça pour me faire plaisir, tu sais que j’ai toujours eu beaucoup d’amitié pour toi, si on peut appeler ça de l’amitié.— Je ne dis pas ça pour te faire plaisir, mais parce que je le pense, et je dois te dire que pour moi, c’est plus que de l’amitié, mais je suis trop moche pour oser l’exprimer ouvertement.— Pour exprimer quoi ?
Je fonds en larmes sur son épaule, il me serre encore plus.
— Laurence, je suis là, ne pleure pas, je ne suis venu que parce que Sophie m’a assuré que tu serais là. Calme-toi chérie.
Ces mots me font comme un coup de tonnerre, mon chagrin s’arrête net, il m’a appelée « chérie », serait-ce qu’il m’aime ? Il m’écarte de lui, me regarde droit dans les yeux. Je soutiens son regard, les yeux embués par mes larmes, j’y trouve une grande tendresse, voire plus. Un doigt vient sécher mes larmes sur mes joues.
— Ne pleure pas chérie, ne pleure plus.
Je vois sa tête s’approcher, je n’en crois pas mes yeux, il veut m’embrasser, là, devant tout le monde, je l’attends en entrouvrant mes lèvres. Ses lèvres atterrissent sur les miennes, un long baiser nous unit. Il me serre le plus possible contre lui, mon corps fait corps avec le sien, mes seins sont écrasés contre sa poitrine, mon cœur est près d’exploser de bonheur, je me donne à ce baiser avec toute mon âme. Quand nos bouches se séparent, c’est un tonnerre d’applaudissements qui éclate à nos oreilles. Hubert me regarde, il me sourit. Je me blottis contre lui.
— J’ai envie de rester avec toi cette nuit, emmène-moi s’il te plaît.
— OK chérie, mais je ne connais qu’une adresse. — Si c’est chez toi, je suis partante.— OK.
Nous nous séparons en voyant tout le monde qui nous regarde avec un immense sourire, Sophie vient vers moi.
— Je comprends pourquoi il tenait absolument à ce que tu sois là, sinon, il ne venait pas, et tu comprends maintenant pourquoi je tenais à t’avoir ici aujourd’hui ?— Merci, ma chérie, merci de tout mon cœur.— Je comprendrais que vous vouliez vous retrouver seuls, allez, foutez-moi le camp !
Hubert vient vers moi et me soulève dans ses bras, j’ai le réflexe intellectuel de rabattre ma jupe, mais avant de faire le moindre geste, je réalise que c’est complètement con, et je laisse tout le monde voir mes fesses et mon sexe nus, heureux d’imaginer ce qu’ils vont vivre. Sophie nous ouvre la porte, elle a mon sac d’affaires dans une main, une fois dehors, Hubert me porte jusqu’à sa voiture, il pose plusieurs fois ses lèvres sur les miennes pour des baisers furtifs. Sophie se précipite pour ouvrir la porte passagère, à croire qu’ils se sont donné le mot. Elle en profite pour mettre mon sac derrière. Hubert m’installe délicatement, non sans déposer un baiser sur ma bouche, il se redresse pour faire le tour de la voiture, Sophie se penche sur moi pour m’embrasser.
— Bonne chance, ma chérie, si tu savais comme je suis heureuse pour toi.— Je sais ma chérie, merci encore.
Une fois qu’il est dans la voiture, je me penche sur lui pour l’embrasser, je veux rattraper le temps perdu, j’ai une folle envie de ses lèvres sur les miennes. Il m’embrasse, sa main gauche se pose sur ma cuisse, je les ouvre instinctivement, mais il ne remonte pas vers mon sexe, au contraire, sa main quitte ma cuisse pour venir se poser sous mon sein droit. Je suis parcourue par un frisson de plaisir, il le ressent, sa main remonte pour envelopper mon sein. Il le caresse doucement, j’ai l’impression qu’il n’ose pas aller plus loin de peur de m’effrayer. Je me saisis de sa main et la glisse sous mon corsage pour la poser sur mon sein nu.
— Comme ça, tu pourras sentir le grain de ma peau.
Son baiser devient encore plus intense, il finit par se dégager, il me regarde en souriant, il démarre la voiture. Pendant le trajet, il ne s’occupe que de la route, je suis impatiente d’arriver. Ça prend une bonne demi-heure pour arriver à Mirepoix sur Tarn, en plus, il faut laisser le passage à une voiture qui vient en face, le pont n’est qu’à une seule voie de circulation et elle a la priorité. Il y loue une ferme légèrement à l’extérieur du village. Je suis impatiente d’arriver, je sais que je vais vivre un moment merveilleux. Nous arrivons devant une maison sur deux niveaux, quatre pièces au rez-de-chaussée, quatre pièces à l’étage. Il me prend dans ses bras au sortir de la voiture et me fait entrer dans la maison, la porte n’est pas fermée à clé, je m’en étonne.
— Pas besoin ici, tout le monde sait ce qui se passe à côté, il n’y a pas de voleur.— Donc, tout le monde sait que tu ramènes une fille chez toi.— Exactement, et ça va jaser dans les chaumières demain, mais on s’en fout.
Il va directement dans sa chambre, elle est immense. Il y a un très grand lit rond, un bureau au fond à droite et une salle de bain complètement ouverte sur la chambre avec une douche à l’italienne à gauche. Mais ce qui m’étonne le plus, c’est une baignoire en verre entre la salle de bain et le lit surélevé sur une estrade, elle trône au-dessus du lit.
— C’est quoi cette baignoire ?— Une de mes folies.— On peut y prendre un bain ?— Bien sûr, elle est fonctionnelle, ce n’est pas que de la décoration.— Et, comme elle est en verre, tu peux voir la personne dedans.— Exactement, vivement que tu l’utilises.— Plus tard, plus tard, nous avons autre chose à faire.
Il m’allonge sur le lit, me regarde et me sourit.
— Je suis ton esclave, fais de moi ce que tu veux.
Je me lève et viens vers lui.
— Déshabille-moi.
Il me sourit et tend ses bras pour déboutonner les deux boutons de mon corsage. Il me l’enlève et le pose sur un très beau fauteuil crapaud. Il passe ses mains sur mes seins pour les caresser, doucement, tendrement, ça dure une bonne minute. Il défait le bouton de ma jupe et fait descendre le zip, elle tombe à terre. Je l’enjambe pour qu’il puisse la mettre à côté du corsage. Je suis là, nue devant lui, il s’accroupit pour passer ses mains sur mes fesses, comme pour mes seins, il les caresse doucement, tendrement, là aussi pendant une minute. Il se redresse, il me regarde, me sourit, mais ne bouge pas. Je m’approche un peu, je déboutonne sa chemise, lui enlève et la mets à côté de mes affaires, je déboutonne le bouton de son pantalon, et ceux de sa braguette, je le fais descendre le long de ses jambes, il n’a rien dessous, son sexe se dresse à l’horizontale devant moi, son gland passe à cinq centimètres de mon nez. Une fois son pantalon avec le reste des affaires, je le regarde.
C’est un athlète, il a de très beaux pectoraux et de belles tablettes de chocolat à la place du ventre, des fesses musclées, son sexe n’est pas monstrueux, mais bien au-dessus de la moyenne, avec un très gros gland, c’est la première fois que j’en vois un en vrai, mais j’ai déjà vu des photos érotiques, voire, pornographiques. Je lui prends la main et recule sur le lit. Je le lâche et m’allonge sur le dos.
— Maintenant, c’est toi qui peux faire ce que tu veux de moi, je suis à toi, ta chose, ton esclave, mais je te préviens, je suis toujours vierge.— Ne t’en fais pas, je ne veux pas te brusquer, je ne ferais que ce que tu veux que je te fasse.
Il s’allonge à côté de moi pour m’embrasser. Sa main parcourt mon corps, elle va des fesses aux seins, doucement, légèrement. Je fais comme lui, j’explore son corps, je veux le connaître à fond. Je sens mon sexe couler, je suis dans un état second, je suis avec un homme qui, je le pense, m’aime, je peux à peine y croire, comment peut-il m’aimer, moi la fée carabosse. C’est vrai que pendant toute notre scolarité, il a toujours été avec moi quand j’en avais besoin, mais j’étais loin de m’imaginer qu’il puisse être amoureux de moi, c’était le beau gosse de la classe, toutes les filles lui couraient après. Sa bouche commence à explorer mon corps, je me cale sur le dos pour le laisser évoluer. Je commence à gémir.
— MMMMM.
Au bout d’une bonne demi-heure, il me fait mettre sur le ventre, il veut explorer la pile. Il s’attarde sur mes fesses, remonte sur le dos en évitant la colonne vertébrale, ce n’est que quand il est arrivé en haut qu’une main me la caresse du bas en haut. Je reçois une décharge électrique.
— Oh lala, oh lala, MMMMMMMMMMMMM.
Il me fait mettre sur le dos, je suis au bord de l’orgasme, et il ne m’a absolument pas touché le sexe. Il faut dire que c’est une vraie fontaine. Sa bouche se pose sur mon sein gauche, elle le titille, l’aspire, le roule entre ses lèvres, je commence à me tortiller dans tous les sens.
— àààààààààààààààààààà.
Elle descend lentement sur le ventre pour arriver sur mon pubis. Je donne un léger coup de reins, mais sa bouche contourne mon sexe, pour aller embrasser mes cuisses.
— S’il te plaît, s’il te plaît.
Je sais que je suis prête, que ça va très bien se passer, mais j’ai peur qu’il hésite de peur de me faire mal. Il ne veut rien savoir, il continue la prospection de mon corps. Il me fait mettre une nouvelle fois sur le ventre, ses mains parcourent mon dos, mes fesses, mes cuisses, mes jambes, sa bouche les suit de très près. Arrivé aux pieds, il remonte vers le, haut, lentement, très lentement, mon bassin ondule toujours, mais il ne veut pas en tenir compte. Quand il arrive enfin à mes fesses, ses mains les écartent, je ne comprends pas très bien pourquoi jusqu’à ce que je sente sa bouche se glisser entre elles, sa langue me lèche les fesses puis se glisse elle aussi entre elles pour venir titiller mon anus. Une nouvelle décharge traverse mon corps.
— Oui, oui, c’est trop bon, encore.
Sa langue me lèche de plus en plus fort mon anus, je sens qu’il s’ouvre un peu, elle essaye de s’introduire, mais il est trop serré, je réalise que ça peut être une source de plaisir. Sa bouche remonte sur mon dos, il me fait remettre sur le dos, je le regarde, je supplie.
— Maintenant mon chéri, maintenant, je n’en peux plus, s’il te plaît.
Il finit par se coucher sur moi en se tenant sur ses bras pour ne pas m’écraser. Je le regarde dans les yeux.
— Viens mon chéri, viens en moi, je t’attends.
Je sens son sexe raide contre une de mes cuisses, il remonte lentement. Son gland touche ma vulve. Je pose mes mains sur ses fesses.
— Viens, viens.
Je sens son gland s’enfoncer dans mon sexe, c’est une sensation merveilleuse, pour la première fois, je ressens ce que toutes les femmes connaissent, cette sensation de pénétration sublime, je me laisse aller en me concentrant sur mon sexe. Il avance doucement, son gland écarte la paroi de mon vagin jusqu’à ce qu’il rencontre une certaine résistance, c’est mon hymen. Il s’arrête. Il me regarde l’air interrogateur.
— Ça va ma chérie ?

J’appuie le plus fort possible sur ses fesses.
— Maintenant, oui, oui, je t’attends, viens, viens !!
Son sexe reprend sa progression, mon hymen cède, je ressens une violente douleur, mais en même temps, je sens son gland continuer de s’enfoncer entièrement dans mon sexe, son sexe finit par me remplir le mien, ça y est, je suis femme, une vraie. Je ne peux retenir un sanglot, mais c’est de joie. Il se redresse, affolé.
— Non, non, mon chéri, je pleure de joie et de bonheur, je suis si heureuse, si heureuse. — Vraiment ?— Oui, continue, maintenant, il faut que tu me fasses l’amour, je veux te sentir bouger en moi, je veux que tu sois heureux en moi, que tu me donnes ton essence de vie.
Il commence à sortir et entrer en moi lentement, avec une faible amplitude, je sens son sexe bouger dans le mien, je suis au nirvana. Je suis tellement heureuse que la douleur se transforme en accélérateur de plaisir, elle participe à mon bonheur, mon corps commence à réagir. Je ressens un immense plaisir à sentir ce corps dur aller et venir dans mon vagin, je suis envahie par une vague de plaisir, pas un orgasme, mais une sensation de bien-être absolu. Je fais glisser mes mains sur son dos et sur ses fesses, je veux m’imprégner de ce corps qui me donne tant de plaisir. Je ne pensais pas que le simple fait d’être pénétrée par un sexe puisse donner une telle sensation de bonheur. Petit à petit, son amplitude augmente en même temps que son rythme, je sens une onde légère se diffuser à partir de mon sexe, elle monte lentement dans mon corps et finit par l’envahir complètement. Elle se transforme progressivement en petits picotements.
Je me concentre dessus quand je sens que le sexe d’Hubert commence à donner des signes que j’assimile à une prochaine éjaculation, je veux l’accompagner dans son bonheur, je me colle à son corps brillant de sueur. Il donne des coups de reins de plus en plus amples et rapides. Je me concentre sur les picotements qui ont maintenant complètement envahi mon corps et commencent à se transformer en un gigantesque feu d’artifice.
— Oh oui, oui, oh mon chéri, je vais jouir, tu vas me faire jouir, viens avec moi, donne-toi, donne-toi à moi, je t’attends, oui, oui.
Il accélère ses va-et-vient et se raidit d’un seul coup, son sexe complètement enfoncé dans le mien.
— Oh oui, je viens ma chérie, pour toi.
Je sens son sperme m’inonder le vagin, j’explose dans un gigantesque orgasme.
— AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH, oui, oui, oh mon amour, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Je suis submergée par un tsunami qui m’emporte dans un autre monde fait de plaisir et de bonheur, de sentir Hubert jouir en moi augmente encore mon plaisir. C’est l’orgasme le plus puissant que j’ai ressenti de ma vie, il transforme mon corps en un gigantesque jouet aux mains de je ne sais quel magicien capable de te transporter dans la stratosphère, de te transformer en vapeur légère flottant en apesanteur. Je plane, je vole, je glisse dans l’air, je jouis, je jouis comme une folle. Je mets très longtemps à redescendre sur terre, Hubert est déjà de nouveau opérationnel, mais il s’est levé, il est très tard, il me soulève dans ses bras pour couvrir mon corps de baiser, il me manipule pour accéder à toutes les parties de mon corps. Je me retrouve la tête en bas pendant qu’il embrase mes cuisses et mon sexe, sur le ventre quand il promène sa bouche sur mon dos et mes fesses, sur le dos quand sa bouche vient titiller mes seins et que sa langue vient lécher mon nombril et mon pubis.
Je n’arrive plus à suivre tous les mouvements. Au bout de cinq bonnes minutes, il me remet sur le sol.
— Laurence, je t’aime, j’en suis sûr, tu n’as jamais quitté mes pensées, même quand j’étais loin d’ici pour mes études, je ne suis revenu à Toulouse que pour toi, je t’aime et j’aimerais partager ma vie avec toi.— Hubert, tu vas trop vite.— Je sais depuis longtemps que je t’aime, je ne peux pas me tromper.— Tu le sais depuis quand ?— Depuis notre adolescence, je t’ai toujours aimée, tu as toujours été dans mon cœur, dans mes pensées. J’ai toujours voulu être avec toi, mais la vie nous a séparés pendant trois ans, j’ai vécu l’enfer sans toi à mes côtés.
Je fonds en larme et me jette dans ses bras pour l’embrasser. Après notre baiser, il m’enlace.
— Ne pleure pas chérie, ne pleure pas, je sais, c’est brusque, mais je te laisse le temps, ne t’en fais pas, je suis très patient.
Je ne sais pas encore si je l’aime, mais je sais qu’il a toujours eu une place prépondérante dans mon cœur, et je crois que c’est de l’amour. Je n’ai jamais ressenti un tel sentiment pour quelqu’un, mais mon manque d’expérience me bloque, et je ne peux pas être sûre de moi, je ne voudrais surtout pas me tromper avec lui. Il ouvre le lit, me prend une nouvelle fois dans ses bras pour me déposer doucement sur le drap et me recouvrir d’un léger drap. Il se couche à côté de moi, se tourne de mon côté et me prend dans ses bras. Mais j’ai un petit manque.
— Tu sais, j’ai adoré quand tu m’as léché entre les fesses, j’ai ressenti un immense plaisir, c’est normal ?— Bien sûr ma chérie, c’est une zone érogène, et j’ai remarqué chez toi qu’elle l’était particulièrement, je suis sûr que tu pourrais jouir avec une sodomie.— On essaye ?— Laurence, tu veux que je te sodomise ?— Oui, c’est un acte d’amour non ?— Oui bien sûr, si les deux partenaires sont d’accord.— Tu es d’accord ?— Oui, mais il faut se préparer.— Et bien, préparons-nous.
Il se lève, me prend la main et m’entraîne vers la salle de bain, il défait le pommeau de la douche et ouvre l’eau.
— Accroupis-toi dans la douche.
Je m’accroupis, il présente le bout du tuyau de douche sur mon anus.
— Prends-le et enfonce-le un peu dans ton anus, vas-y doucement.
Je prends le tuyau et l’enfonce un peu. Ce jet d’eau dans mon anus ne me laisse pas indifférente, c’est assez érotique. Je sens le liquide sortir de mon anus, Hubert surveille, quand l’eau est parfaitement claire, il coupe l’arrivée. Je retire le tuyau, il le prend, le rince et remonte de pommeau. Il me prend dans ses bras et nous retournons dans la chambre, il couvre mon corps de baisers, il est insatiable. Il me pose sur le lit, sur le ventre. Il cale des coussins sous mon pubis pour relever mes fesses.
— Ne bouge pas, j’arrive.
Il va dans la cuisine et revient avec le beurre.
— Tu connais le film de Bertolucci « Dernier tango à Paris » ?— Non.— Dommage, mais je rejoue une scène.— Laquelle ?— Celle du « Fais-moi passer le beurre ».
Je ne comprends rien à ce qu’il dit, mais j’attends la suite des évènements. Il prend du beurre sur ses doigts et me badigeonne l’anus. Il introduit un doigt dedans, je donne un petit coup de reins en arrière.
— Oh oui, c’est super.
Il rajoute du beurre, enfonce cette fois deux doigts dans mon anus et commence des va-et-vient. Je sens une onde parcourir mon corps.
— Oh oui, oui.
Je sens de moins en moins ses doigts, il les retire, je sens son corps venir au-dessus de moi, son gland touche mes fesses, je passe un bras derrière moi, m’en empare et le dirige entre elles. Il pousse un peu, le gland les écarte et s’enfonce pour venir toucher mon anus.
— Prête ma chérie ?— Oui, je t’attends de pied ferme.
Il pousse un peu, je sens mon anus s’ouvrir lentement. Au bout d’un moment, une légère gêne apparaît, je me crispe un peu.
— Ça va ?— Oui, vas-y doucement, je sens qu’il va entrer.
Il pousse un peu plus, je sens comme un anneau se rabattre sur sa verge, le gland est entièrement entré, je le sens s’enfoncer en moi. Tout à coup, je sens son pubis contre mes fesses, il est complètement en moi, je déborde de bonheur.
— Oh mon chéri, quel bonheur, allez, vas-y, fais-moi l’amour.
Il commence des va-et-vient lents et profonds, sur toute la longueur de son sexe. Il s’active sur mon anus, je sens monter dans mon corps des ondes, pas comme avec mon sexe, plus sourd, mais le résultat est le même, mon corps va inexorablement vers un autre orgasme, je le sens, je le sais. Le sexe d’Hubert commence à palpiter dans mon anus, je sais maintenant que c’est juste avant l’éjaculation, je suis prête, je n’attends que la preuve de son amour, son sperme. Il arrive par un énorme jet, j’explose.
— AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH, oh lala, oh lala, oui, oui, oh lala, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Une nouvelle fois, je suis dans un autre monde, transportée par une force irréelle, une force sublime qui m’inonde de joie et de bonheur. Lentement, je reviens à moi, Hubert est couché sur mon dos, en évitant de m’écraser, je le sens respirer dans mon dos. Je veux rester comme ça le plus longtemps possible, je suis bien avec cet homme qui m’aime et qui sait faire chanter mon corps. Il finit par se redresser et se mettre à côté de moi.
— C’est pas mal pour une fille vierge.— Oui, je ne suis plus vierge devant et derrière, il ne manque plus que la bouche.— Laurence, tu plaisantes.— Tu n’aimes pas ?— Si, mais on a le temps, laisses-en un peu pour après.— Tu as raison chérie, demain.— OK, demain.— Tu aimes toucher ma peau ?— J’ai toujours envie de te sentir contre moi, de sentir ta peau contre ma peau, tes seins contre mon torse, de caresser tes fesses, les seins, le ventre, les jambes, pourvu que ma main soit sur ta peau.— Moi aussi, j’aime ta peau contre ma peau. J’aime te sentir à côté de moi, je me sens sereine, apaisée, protégée.— Dors ma chérie, je suis là.
Je suis fatiguée, je ne peux pas résister au sommeil qui m’envahit. J’ai joui deux fois de suite ce soir, et avec le sexe de l’homme qui m’aime, je suis au comble du bonheur. Je commence à être sûre que je l’aime. Il me serre un peu plus dans ses bras et je m’endors, sereine.
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