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Une visite chez le medecin

Chapitre 1

Hétéro
Nous étions Lundi. J’avais passé un week-end horrible, plié en deux par une douleur cuisante dans tout le bas-ventre. J’eus beau tout essayer, le massage, un bon bain chaud, une poche de glace, des antalgiques rien n’y faisait, la douleur était bel et bien là irradiante et insistante, ne me laissant pas une seule seconde de répits. En désespoir de cause j’appelais donc le cabinet médical au sein du quel exerçait mon médecin et obtint une rendez-vous pour le milieu de matinée. Je me rendais donc à l’heure dite au rendez-vous et, après m’être acquitté des tâches administratives de rigueur auprès de l’hôtesse d’accueil, je me retrouvais assis sur une chaise fort peu confortable dans la salle d’attente, un exemplaire de GEO datant d’au moins un an et demi mais arrivant, à me captiver suffisamment pour me faire oublier, l’espace de quelques instants, la barre douloureuse, raison de ma présence. De longues minutes passèrent et j’entendis la voix familière de mon médecin prononcer mon nom. Répondant à l’appel par l’affirmative et regroupant mes affaires, je regardais dans la direction de la porte. Mon médecin m’attendait, me regardant depuis l’encadrement de la porte. Je n’avais jamais vraiment fait attention à elle étant donné que la plupart du temps j’avais la tête dans le sac à chaque fois que je venais la voir, mais, alors que je posais les yeux sur ma doctoresse, je restais interdit. Mon Médecin d’habitude si banale, portait une tunique noire mettant en valeur les courbes délicates de son corps. De taille moyenne, ses cheveux châtains coupés en carré court mettaient en valeur un visage ovale aux yeux rieurs et à la bouche finement dessinée, sa tunique épousait une silhouette sportive au ventre plat et aux hanches fines se terminant à mi-cuisses. Ses jambes élégamment galbées, étaient gainées d’un collant sombre et elle portait, pour finir, des bottes en cuir noires montant jusqu’aux mollets. Après nous être salués d’une poignée de mains je la suivais dans son cabinet, ne pouvant décoller mes yeux de l’arrière de ses cuisses emprisonné dans le fin collant. Une fois la porte fermée nous nous installâmes de part et d’autre de son bureau :
— Alors, comment allez-vous ? me demanda t-elle— Super et vous ? Lui répondis-je du tac au tac avec un petit sourire.
Faisant partie de la même génération (5 ou 6 ans nous séparant), elle accueillit la plaisanterie avec humour. Je lui expliquais alors mon problème, elle me demanda alors d’enlever mon pull et de m’allonger sur la table d’auscultation. Après un rapide palper du ventre ne déclenchant aucune douleur, je lui expliquais que la douleur tirait dans tout le bas-ventre et vers le bas. Elle prit quelques minutes, réfléchissait, fronçant les sourcils, puis finit par se tourner vers moi et me demanda d’ôter mon pantalon.
— Pas la peine de devenir rouge ! me dit-elle avec un sourire. Je dois juste vérifier que tout se passe bien au niveau de vos testicules car une simple torsion ou un choc peut avoir de graves conséquences pour plus tard.
Penaud je m’exécutais et me rallongeais, les bras de long du corps, en caleçon, sur la table. Elle s’approcha, le descendit puis, après avoir enfilé des gants, plaqua mon sexe sur mon ventre avec deux doigts puis commença l’auscultation. Je m’efforçais de penser à autre chose et souhaitant que l’examen prennes fin assez vite. Sûrement pour être plus à l’aise dans son examen, elle fit un pas de coté et ma main entra en contact avec le nylon de sa cuisses, surpris, je rectifiai la position de ma main et posai mon regard à l’endroit du doux impact pour vérifier l’éloignement de ma main avec les désirables courbes de mon médecin.Ses cuisses galbées et fines ayant accrochées mon regard, je me trouvais désormais dans l’incapacité de détacher mon regard de l’anatomie de ma doctoresse puis je remarquais une balance en inox posée sur le plan de travail derrière. Alors que mon médecin était légèrement penché sur moi, sa tunique était un tout petit peu relevé vers l’arrière et me trouble se fit de plus en plus grand. Je sentais le désir m’envahir et tentait de toutes mes forces de lutter contre mes bas instincts. Malheureusement mon mental perdit la bataille face à ma raison et mon sexe commençait à prendre de conséquentes proportions entre les doigts de ma désormais très désirable praticienne.
— Je ne constate aucune torsion ni aucun hématome. Me dit-elle en rompant le contact mettant fin au supplice. « pardonnez ma question mais avez des rapports sexuels en ce moment ? car votre douleur peut venir d’une accumulation de semence dans vos testicules. De plus, au vu de la violence de votre érection au simple contact de votre main sur ma cuisse, je privilégierai cette piste. » me lance t-elle avec un doux sourire mais en me fixant dans les yeux.
— Et que me proposez-vous pour régler le problème ?
Me fixant toujours dans les yeux, elle s’approcha de moi et, sans un mot, entoura mon membre gonflé de sa main gauche. Elle me demanda de m’allonger et de commencer un lent vas et vient. Elle fixait ma queue avec envie, maîtrisant difficilement sa respiration. Sa main se faisait experte, imprimant tantôt un rythme lent, tantôt me décalottant au maximum m’envoyant des décharges électriques dans tout le corps. Un sourire doux et plein de luxure se peignait sur son visage, elle semblait s’amuser de la lente et douce torture qu’elle m’infligeait. Je posais ma main le long d’une de ses cuises puis remontais ma main le long de ses magnifiques cuisses jusqu’à sentir la soie de sa culotte trempée et brûlante. Je sentais le magnifique dessin de ses lèvres au travers du tissu. J’écartais la culotte et parcourais de mon doigt le contour de ses grandes lèvres puis sa vulve pour atteindre son clitoris gonflé de plaisir. Le contact lui procura une vague de plaisir car elle se cambra et lâchât un profond soupir. Elle continuait passionnément sa besogne aux mouvements parfois désordonnés tant je m’affairai avec passion sur sa petite chatte trempée. J’introduisis un doigt au fond de son intimité d’un coup, lui arrachant un petit cri. Je me bornais à présent à faire coulisser mon doigt qui était presque aspiré en elle tant notre plaisir mutuel était intense. De son coté, elle accélérait de plus en plus son mouvement autour de ma queue. Elle me branlait maintenant de manière furieuse avec passion mordillant sa lèvre inférieure, les yeux mi clos. Le rythme devenant de plus en plus insoutenable je jouis puissamment entre les mains de ma doctoresse experte en de longs jets brûlants, le plaisir me parcourant le corps en d’irradiantes ondes. Dix minutes après, et sans dire un mot, je me retrouvais dans la rue, sur le retour de chez moi, me demandant toujours si cette aventure m’était vraiment arrivée.
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